Vues: 414 Created: 2013.02.25 Mis à jour: 2013.02.25

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 35

Bonsoir,

Un autre extrait du même livre.

- Dis-moi Thérèse, ton premier amant, il te fessait ?

- Parfois, mais surtout sa mère…Il lui avait demandé de le remplacer

La correctrice s’amusa de ma tenue qui me donnait l’apparence d’une jeune femme alors que je m’apprêtais à recevoir le châtiment réservé aux petites filles, couchée a plat ventre sur le lit.

Sans plus attendre elle baissa ma culotte, dégageant bien mes deux fesses palpitantes d’émotion, me les caressa un peu, augmentant mon trouble, puis me fessa délicieusement.

Au cours de la punition je n’avais pu retenir quelques pets aussi sonores qu’odorants, ce fut prétexte à me donner un lavement. Elle le prépara, revint dans la chambre, m’allongea en travers de ses genoux, puis de sa main gauche elle écarta mes fesses toutes chaudes pour bien dégager ma rondelle, alors de l’autre main elle approcha la canule, puis se ravisant elle la reposa.

- J’allais oublier, ton mari m’a recommandé de te prendre la température, aussi souvent que nécessaire, voire plus !

Elle ouvrit le tiroir de la table de nuit, en retira un tube en carton bleu foncé d’où elle retira un thermomètre d’un modèle ancien, le secoua longuement, produisant un tintement caractéristique qu’elle introduisit lentement dans mes appartements privés.

- Hé oui mademoiselle, j’adore prendre la température aux jeunes-filles, je ne manque aucune occasion !

Le thermomètre glissa lentement dans mon fondement jusqu’à ce que je sente les doigts de la femme dans ma raie. C’était la première fois que je recevais un thermomètre aussi loin, et ma fois, ça ne m’avait pas fait mal. J’en ressentais un plaisir diffus. Elle me le retira au bout d’une dizaine de minutes pendant les quelles elle l’agita, le tourna, le rentrant et le sortant. Après l’avoir retiré, elle me le montra :

- Regarde ! Tu a bien besoin d’un bon lavement !

Elle reprit la canule, assez grosse et me l’enfonça entièrement

La pénétration de l’objet dans mon intestin, après le thermomètre, me remplit de bonheur et plus encore lorsque l’eau tiède se répandit doucement à l’intérieur de mon ventre.

J’étais à la fois confuse et excitée de me sentir presque nue sur cette jolie femme complètement habillée, qui reluquait les endroits les plus secrets de mon anatomie et me clystérisait telle une petite fille de douze ans. ,

Elle assista à la restitution du bouillon pointu, m’essuya délicatement, me reculotta et me ramena dans la chambre.

Repose-toi bien, ton mari ne va pas tarder à rentrer ; je vais nettoyer ce thermomètre. Je parie qu’il va vouloir s’en servir…