Vues: 413 Created: 2013.06.27 Mis à jour: 2013.06.27

Re: Re: Histoires glanées de-ci de-là

Chapitre 37

Bonsoir,

Oui, je me fais rare ! Je vieillis, que voulez-vous !

La première partie d’un texte paru dans "Lettres de femmes" en version intégrale.

HUMILIEE DEVANT LA BONNE

La petite aventure suivante m'est arrivée il y a quelques années. J'avais alors vingt-neuf ans, j'étais mariée, sans enfant. Pour son travail, mon mari était contraint à s'absenter parfois plus d'un mois à l'étranger. Quelquefois, je l'accompagnais.

En ce beau et chaud mois de juillet, il était parti seul, et j'avais décidé d'aller passer une dizaine de jours chez une jeune tante que j'aimais beaucoup. Ma tante, de dix ans mon aînée, était veuve et habitait avec une domestique une agréable maison à la campagne.

C'était une très belle femme, gaie et toujours accueillante, aussi mon projet fut-il tout de suite accepté.

Installée comme une reine dans cette belle demeure, j'y passais quelques jours délicieux. Le temps se partageait entre le bavardage, les promenades dans les environs, quelques visites et de petites courses dans la ville voisine. Tout était d'autant plus merveilleux que ma tante était servie par Maria, une jolie Portugaise de vingt ans environ, et de ce fait, nous n'avions qu'à nous laisser vivre.

Un matin, je me réveillai avec un mal de tête, et ma journée en fut gâchée. Après goûter, bien que cette migraine se soit en partie dissipée, ma tante me dit en posant sa main sur mon front,

"Ma chérie, un de mes voisins est un vieux monsieur charmant, c'est un médecin en retraite, je vais lui demander conseil. Il faut que tu sois en forme pour le reste de ces vacances. Mais avant tout, je vais prendre ta température : monte t’étendre dans ta chambre, j’arrive tout de suite. "

Elle arriva avec un petit tube entre les mains,

"c’est pour lubrifier le thermomètre, je ne voudrais pas te faire mal. "

Mais tu "ne vas pas…"

Elle me coupa la parole,

"ici c’est toujours comme ça ; d’ailleurs je sais parfaitement que ta mère prenait elle-même ta température jusqu’à ton mariage ! "

Je fus bien obligée d’en convenir… Je baissais en même temps mon short et ma culotte et me tournais sur le côté pour présenter ma lune au thermomètre qu’elle avait sorti du tiroir de la table de nuit.

Assise à côté de moi, elle lubrifia soigneusement le tube de verre et de sa main écarta mes deux pêches,

"comme il est mignon ton petit œillet ; on dirait celui d’une adolescente. Je l’avais déjà contemplé d’ailleurs ; ce n’est pas la première fois que je prends ta température si je me souviens bien. "

Je sentis l’embout me pénétrer doucement, puis le tube entrer de plus en plus profondément et je sursautais quand je le sentis toucher au fond de moi.

"Aïe pas si loin ! "

"Allons je ne t’ai pas fait mal ? "

"Heu non mais j’ai eu un peu peur quand ça a touché au fond."

"Bon, tu l’a reçu presque en entier ; attendons un petit moment… J’ai toujours adoré prendre la température des filles, quel que soit leur âge. D’ailleurs, tu pourras demander à Maria, elle y a souvent droit…"

Elle gardait son doigt sur le petit bout de verre qui dépassait d’entre mes fesses ; une ou deux fois elle le retira en partie pour lire la température. Cela dura presque un quart d’heure au bout duquel elle me l’ôta,

"38°3 ; attendons mon aimable voisin…"

Une heure plus tard arriva ce vieux et charmant médecin. Nous bavardâmes un moment tous les trois, puis il me dit, "Alors, qu'est-ce qui ne va pas, ma petite ?" Il me prit le pouls, me regarda la gorge, me fit tirer la langue, puis dit: " Rien de grave, chère amie, je vous conseille de donner à votre nièce un peu d'aspirine, de lui faire ce soir un dîner léger et, demain matin, un purgatif, ou mieux, un lavement ".

Je me sentis brusquement gênée quand ma tante dit,

"Merci, cher ami, nous suivrons vos conseils... "

Lorsque nous fûmes seules, ma tante me regarda en souriant. "Que penses-tu de son ordonnance ?"

Je ne savais trop que répondre. Si ce n'est que la perspective d'un lavement m'inquiétait un peu.

"Bah," répondit ma tante, "c'est une médication simple et efficace. Tu verras que tout se passera sans problème".

Après un dîner léger, comme prescrit, une petite promenade autour de la maison - sans oser parler de ce qui m'attendait le lendemain, mais en y pensant tout le temps - nous rentrâmes à la maison et ma tante me conseilla de me coucher de bonne heure. Elle m’accompagna dans ma chambre et je dus me laisser de nouveau prendre la température qui n’avait pas baissé. Elle sortit en m'embrassant, comme tous les soirs.

Contrairement à l'habitude, je me réveillai à sept heures. La maison était calme. Vers huit heures, j'entendis ma tante descendre et retrouver dans la cuisine Maria. La cuisine et ma chambre donnant sur le jardin, et les fenêtres étant ouvertes, j'entendis leur conversation. C'est ainsi qu'au bout de cinq minutes, ma tante dit à Maria : "Voulez-vous faire bouillir deux litres d'eau dans cette grande casserole? C'est pour un lavement que va prendre mademoiselle Jacqueline. Elle ajouta aussitôt :

"Je vais faire un saut chez le pharmacien acheter un flacon de glycérine."

J'entendis alors Maria répondre :

"Eh bien. Mademoiselle Jacqueline va être gâtée et avec ce que vous lui préparez, elle va pas mal se tortiller."

J'étais rouge de confusion et furieuse. Ainsi, cette Maria s'amusait à la perspective de ce qui allait m'arriver. Je ne pouvais rien faire qu'attendre. Dix minutes passèrent. Ma tante était à nouveau dans la cuisine.

"Bon," dit-elle, je vais préparer le matériel."

J'entendais le remue-ménage, les bruits d'eau... Je devinais ce qui se passait, et tout cela devant Maria que, comble d'humiliation, j'entendis dire :

"Oh, madame, vous allez lui mettre cette grosse chose dans le derrière ?"

Mon Dieu, quelle canule ma tante comptait-elle utiliser? A l'humiliation s'ajoutait maintenant une certaine angoisse.

Je n'entendais plus rien depuis un moment, lorsque je perçus des pas dans l'escalier. Ma tante entra, portant une grande serviette blanche et derrière Maria tenait l'appareil équipé de son long tuyau, terminé par une canule que je jugeai volumineuse. J'avais le souffle coupé. Je me sentis rougir et ma tante, devinant mon trouble, me dit en m'embrassant :

"Bonjour ma chérie, ne sois pas inquiète, tu verras, tout se passera très bien."

Voyant que mes yeux ne quittaient pas Maria, elle ajouta en riant :

"Je pense que tu n'es pas gênée si Maria m'aide. C'est beaucoup plus facile, et c'est pour moi l'occasion de lui apprendre à administrer un clystère. Allons ma chérie, tu vas être très sage et faire ce que je vais te demander. D'abord, lève-toi, que je mette sur le lit cette serviette-éponge. Bon, maintenant, allonge-toi sur le côté, et laisse-moi te remonter ta chemise."

Avec gêne, je sentis ses mains dénuder complètement mes fesses que, malgré moi, je contractais.

"Décontracte-toi, ma chérie. Maria, posez le bock sur la petite table. Bon, maintenant, donnez-moi le tube de vaseline."

Un doigt très gras me garnit mon intimité que j'essayais en vain de défendre.

"Tout d’abord, je prends ta température. Vous voyez Maria, je lui enfonce le thermomètre aussi loin qu’a vous"…

"Bon, maintenant, Maria, passez-moi la canule."

Je me serrais avec force mais ma tante, après m'avoir tapoté les fesses pour calmer mon appréhension, introduisit la chose, doucement. Doucement, c'est vrai, mais j'avais l'impression que ça ne finirait jamais. J'étais crispée et anxieuse, et puis la présence de Maria m'humiliait tellement que je serrais les dents, ne voulant surtout rien dire, me jurant même de ne pas bouger. J'avais gardé en mémoire les propos de Maria sur mes fesses qui se tortilleraient...

"Bien, dit ma tante, cette fois, nous pouvons y aller. Maria, vous allez d'abord bien agiter l'eau avec la grande cuillère en bois afin de mélanger la glycérine qui, sans cela, resterait en surface. Maintenant, vous allez lever le bock, encore un peu. Bien, ne bougez plus. Voyez, j'ouvre le petit robinet."

Je ne pus réprimer un mouvement en sentant l'eau arriver.

"C'est trop chaud, ma chérie?" demanda ma tante. Je fis non de la tête, et comme je me l'étais promis, je ne bougeai pas. Mais c'était long, long, et je sentais de plus en plus l'effet de cette eau, qui coulait toujours. J'espérais être à peu près au bout de mes peines. Ma tante dit alors à Maria:

"A quel niveau sommes-nous ? "

"A la moitié, Madame. "

J'eus une sueur froide. Jamais je ne pourrai tenir jusqu'au bout. "Ça va, ma chérie ?" dit ma tante. Je répondis par un petit gémissement. Elle me tapota les fesses, ce qui me fit les contracter, et elle insista :

"Ma chérie, Si tu as des coliques. il faut remuer un peu, décontracte- toi. Tiens, je vais arrêter un instant et fermer le robinet."

J'avais effectivement de plus en plus envie de bouger, mais Maria me regardait et je ne voulais pas lui donner ce spectacle supplémentaire. Ma tante ouvrit à nouveau le robinet, et dit à Maria :

"Levez le bock plus haut."

Cette fois, je commençai à déplacer une jambe puis l'autre, puis a tortiller ma croupe d'une façon que je sentais indécente, mais je ne pouvais plus du tout tenir en place. Je murmurai :

"Assez, assez."

"Encore un demi-litre,"

dit ma tante.

"Maria, baissez le bock et faites-le passer tout doucement."

Je sentis alors la canule glisser et j'eus l'impression que tout allait partir. "Attention, attention," dis-je en serrant les fesses de plus en plus fort. Mais ma tante répondit : "Sois sage ma chérie, c'est moi qui fait bouger un peu la canule afin que le lavement trouve bien sa place. C'est très bien, tu es très sage."

A peine avait-elle dit cela qu'une terrible envie de remuer me domina. Cette fois, ma volonté fut impuissante. C'est alors que, mes cuisses se contractant et se décontractant, je sentis une main se glisser sur mon ventre et s'arrêter sur mon intimité. "Sois calme, ma petite," dit ma tante, "tu vas voir que tout cela va t'aider."

Et en effet, sous ce doigt habile, je ne sentais plus les horribles coliques mais une jouissance terrible, qui venait sans que je puisse la contrôler. C'est ainsi que, devant Maria qui n'en perdait rien, j'eus une succession d'orgasmes, m'entendant gémir, "oui, oui, oui..."

Et puis ce fut la fin. Ma tante retira la canule, dit à Maria de tout ranger et resta seule avec moi. J'étais rouge, confuse, et ne savais que dire. Alors, ma tante m'embrassa et me dit :

"Tu as été très bien, ma chérie. Saurais-tu à ton tour me donner un bon lavement, un jour prochain ?"

Malgré les coliques qui m'obligeaient à serrer les dents, je la regardai avec à la fois étonnement et plaisir, et je m'entendis lui répondre :

"Pourquoi pas ? Mais avec Maria pour m'aider."

Ma tante rosit un peu et, m'embrassant, me dit :

"Eh bien d'accord, demain matin."

Comments

mondoi Il ya 9 ans  
clyso Il ya 11 ans