Vues: 375 Created: 2015.10.04 Mis à jour: 2015.10.04

L'Accueil Provincial…

Chapitre 8

L'Accueil Provincial…(Suite 7)

La fin de la semaine est arrivée rapidement, il faut dire qu'elle avait été bien remplie, autant que les conduit rectaux, au diner le vendredi soir, mon hôtesse m'avait faite quelques sous entendus courtois et amusées sur ce qu'elle avait apprit des "écarts" pendant ma formation, soulignant au passage que mon Chef était un peu déçu de ne pas avoir put conclure plus profondément avec moi, mais comme il était invité à passer le w.e avec nous et les deux secrétaires, elle se proposai de me préparer plus "largement", afin de lui offrir ce plaisir, j'acquiesçais et en profitais pour lui parler de l'étroitesse de la jeunette à laquelle j'aurai bien goutté…

La Dame me promit de s'occuper d'elle aussi, il était temps qu'elle connaisse les assauts masculin par sa petite porte, n'ayant reçue pour l'instant comme expérience anale, que la présence de doigts et de jouets de petites tailles, donnés par la quadra et par elle également, mon hôtesse alors se laissa aller à quelques confidences sur les amitiés particulières qui les liaient toutes les trois, cela datait de loin, d'une époque où pucelle, la mère de la quadra la gardait en nourrice, une femme autoritaire qui punissait souvent, la fessant le cul nu au devant de sa fille, à qui elle donnait les mêmes corrections…

La fessé n'était rien, comparée au moment où la mère énervée, saisissait d'autres objets pour rougir leurs derrières, badines en roseau ou martinet de cuir, elle leur cinglait les fesses à la moindre incartade mais une fois calmée, elle reprenait son rôle de nourrice bienveillante et sortait une pommade pour leur oindre le séant, ses doigts étaient très doux sur les vives boursoufflures, ils allaient même plus bas, caressants des endroits qui n'étaient pas blessés, la nourrice lui disait que c'était pour son bien, en lui touchant l'endroit qui sert à faire pipi et celui plus fermé pour la grosse commission, cela lui provoquait d'étranges sensations…

Une fois par semaine, la nourrice d'un placard, sortait une poire rouge et leur donnait lavement à chacune leur tour, elle s'enduisait un doigt d'une noisette de pommade pour leur masser l'endroit qui sert à faire popo, puis elle introduisait la tige de bakélite par où giclait de l'eau d'une chaleur agréable, elle la vidait entière et obligeait d'attendre que ça fasse son effet, passant à la suivante pour le même traitement, la nourrice obligeait la Dame à regarder, lui disant que plus tard, elle devrait savoir faire, c'est ainsi qu'elle la vit, s'occupant de sa fille, lui mettre un doigt entier au fond de son derrière et le bouger dedans par petits vas et viens…

Un jour la Dame comprit la cause des mouvements d'humeur de sa nourrice, son mari fréquentait un lieux qu'elle appelait "le club", et quand il en revenait, c'était pour la fouetter mais avec sa ceinture, la nourrice les éloignait promptement avant que ça commence mais en fermant la porte de la chambre refuge, elle eu le temps de voir la nourrice se trousser et présenter ses fesses à la dure punition, courbée sur une table, elle attendait les coups sans une protestation, la fille et mon hôtesse se couchaient sur le lit, écoutant les gémissements de la nourrice fouettée, elles se réconfortaient, serrées l'une contre l'autre…

Elles étaient devenues amies et même "bonnes amies", les punitions communes, ainsi que les lavements, les avaient rapprochées dans leurs intimités, imitant la nourrice, elle avaient commencées par se passer l'une sur l'autre, sur les parties meurtries, la pommade apaisante comme la nourrice faisait, elles en avaient passées sur les endroits sensibles, cherchant à retrouver les sensations plaisantes, elles comprirent toutes les deux que de ces attouchement, provenait le mouillement qu'humidifiait leurs vulves, des timides caresses données furtivement, elles se masturbèrent, provoquant des émois…

Dans la pièce à côté, les claquements de la ceinture et les gémissements s'étaient tus, mon hôtesse et la fille ne faisaient plus un bruit, seuls le frottement des doigts au fond de leurs culottes brisait le lourd silence, précédent le moment qu'elles savaient arriver… Quand la nourrice cria, - non pas ça…! non pas là…! , elle surent toutes les deux ce que l'homme faisait, les doigts glissèrent plus bas, touchant le trou plissé… C'est d'une confidence de la fille de la nourrice, que la Dame avait sue que le méchant mari enfonçait son zizi dans les fesses de sa mère, elle les avait surprit, alertée par les cris et avait vu comment son père faisait la chose…

Sa mère la nourrice, lui disait toujours "Non…!" quand il voulait le faire, mais après quelques secondes, c'est "Oui…!" qu'elle lui disait, là encore, les deux jeunes filles avaient fait le rapprochement entre les doux massages précédent les lavements et l'hygiène de l'endroit où le mari s'enfonçait… Alors, quand la nourrice cria son premier "non" elles entrèrent une phalange dans l'anus de l'autre, puis pour le deuxième "non" ce fût le doigt entier, quand vinrent les "oui…" jouissifs, elles bougèrent leur doigt faisant des vas et viens, chacune gémissait de ce que lui faisait l'autre, essayant d'imiter ce qu'une verge peut faire quand elle est entrée là…

A SUIVRE…

Comments

mondoi Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans