Vues: 366 Created: 2015.10.04 Mis à jour: 2015.10.04

L'Accueil Provincial…

Chapitre 9

L'Accueil Provincial…(Suite 8 )

C'est ainsi qu'elles grandirent presque ensemble, se donnant du plaisir dès qu'elles se trouvaient seules, découvrant de la bouche le gout du sexe de l'autre, elles se douchaient ensemble , prétexte à des caresses et aux jeux de pipi, la nourrice les voyant grandir avait décrétée que la petite poire ne suffisait plus à présent et elle était passée au broc en émail dont elle variait la quantité et le contenu selon ses humeurs, elle avait aussi équipée le tuyau d'une canule bien plus grosse dont l'embout arrondit ressemblait à une verge, les jeunes filles avaient ries en voyant cet objet, qui d'après la nourrice, avait un bon maintient dans le rectum…

Lavementeuse initiatrice, la nourrice s'appliquait à toujours leur donner du plaisir par les fesses comme elle en prenait avec son mari, les jeunes filles de leur côté, avaient déjà essayées quelques légumes du jardins, uniquement par l'anus car elle étaient encore vaginalement vierges et que les caresses buccales accompagnées d'une présence rectale leur procuraient suffisamment de jouissance, les garçons ne les intéressaient pas mais mon hôtesse avouait que les coïts sodomites de la nourrice ne la laissait pas de marbre, et quand un jour elle se retrouva seule avec le mari, elle se laissa faire quand il lui passa une main sous la jupe…

Que pouvait lui faire de plus un homme que ce qu'elle connaissait déjà, à part la déflorer devant, ce qu'elle refusait, et par derrière, ce qu'elle pensait être fait avec ce que son amie lui mettait dans les fesses…? Au clapotis des doigts lui triturant la fente, elle comprit qu'elle mouillait d'envie d'aller plus loin et quand il se débraguetta pour lui donner sa verge à honorer, elle ne refusa pas, bien qu'un peu effrayée par la taille et le parfum du sexe bandé, hésitante aussi parce qu'elle ne savait pas comment bien faire une fellation, il lui expliqua quelques gestes, caresses et léchouilles et elle le suça jusqu'à qu'il se répande dans sa bouche…

Elle n'apprécia pas le gout et la texture du sperme et recracha par terre, les jours suivants elle essaya de l'éviter, elle avait honte d'avoir cédée, surtout par rapport à son amie, mais la nuit, seule dans son lit, elle repensait à la verge qu'elle avait vue et prise en bouche, sa vulve s'humidifiait alors et elle se masturbait en imaginant que l'homme la plaquait sur la table, comme la nourrice, qu'il lui troussait la jupe et lui baissait culotte pour pointer son gros gland violacé à l'entrée de ses fesses, l'enculant d'un coup de reins, lui déchirant l'anus, alors elle se sodomisait de deux doigts réunis en se touchant la motte jusqu'à gicler sous elle…

Mais la chair est faible, alors le sachant seul, ses femmes parties aux courses, elle ne put s'empêcher d'aller sonner chez eux, en feignant la surprise de ne point les trouver, de suite il l'entreprit en lui passant des mains, il baissa sa culotte pour lui manger la vulve, allongée sur la table elle se laissait faire mais quand il essaya de lui mettre ses doigts, elle resserra les cuisses pour interdire l'entrée, elle sanglota faussement sur sa virginité qu'elle voulait conserver, l'homme sembla comprendre, il avait une fille, mais il glissa ses doigts plus bas entre les fesses et lui touchant l'anus, demanda si de là, vierge elle était encore…

Elle prit un air timide pour lui que oui, elle l'avait jamais fait, mais que s'il le voulait elle acceptait par là, l'homme ne se sentait plus et bandait comme un âne, il l'a fit se pencher pour qu'elle le suce un peu puis il la retourna pour la courber en deux, affalée sur la table comme faisait la nourrice, elle lui tendait ses fesses, attendant d'être prise, mais contre toute attente, il lui lécha la raie en broutant sa rondelle, elle poussa légèrement pour ouvrir son sphincter et permettre à la langue de s'enfoncer plus loin, puis il se redressa pour lui rentrer son pieux, lui crachant sur l'anus et y posant son gland, qu'il mouilla de salive…

Les capotes étaient rares et chers à l'époque et le mari la savait lavementée, c'est donc sans états d'âme qu'il s'enfonça en elle, la Dame eu une larme en nous content cela, comment tel un soudard il l'avait perforée, lui déchirant les chairs avec son sexe énorme, emplissant son conduit à lui couper le souffle, la tenant fermement pour prendre son plaisir, il l'avait besogné comme il baisait sa femme, se servant de son corps comme un morceau de viande, il n'avait même pas eu d'attention pour elle, même pas un attouchement sur sa vulve trempée et ses seins aux tétons durcis par le désir, il l'avait enculée pour se vider les bourses…

A SUIVRE…

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mondoi Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
suppox39 Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
arthur Il ya 9 ans  
arthur Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans