Camille
Chapitre 2
A son tour elle explora l’anus du garçon regrettant qu’il ne fut plus déguisé en fille mais remplaçant sa langue par ses doigts il lui indiqua comment caresser de l’intérieur la prostate d’un garçon ne la laissant pas aboutir a une conclusion prématurée.
Comme il lui dispensait ce cours d’anatomie pratique elle regretta ne pas avoir de prostate mais il la rassura en lui proposant de se servir de son petit cul autrement que pour satisfaire des besoins naturel ou y accueillir une langue ou des doigts curieux.
Il lui proposa si elle le souhaitait d’en faire l’expérience.
Comme elle le questionnait d’enthousiasme il l’envoya chercher de la crème douce dans la salle de bain et d’en profiter pour se soulager. Sagement de retour avec un gros tube neuf a la main elle lui proposa « j’en ais d’autres si tu veut ? »
En guise de réponse il s’enduisit et la disposant a quatre pattes lui fit tendre les fesses vers lui.
Il engageât l’extrémité du tube dans l’innocente rondelle et pressant fortement lui injecta la moitié du tube dans le rectum, et comme sous la surprise de cette froide invasion elle se retirait il répandit entre ses fesses une bonne ration.
L’index n’eut aucun mal a se glisser a cet endroit bientôt rejoint par un autre doigt puis un troisième distendant la fragile rosace. Petit à petit elle s’habituât à cette présence remuante et envahissante.
La petite douleur due au troisième doigt était oubliée et c’est elle qui se pressait contre ses doigts.
Surtout que l’autre main s’occupait activement de son clitoris, utilisant ses sucs naturel comme lubrifiant il la fit jouir plusieurs fois.
Tu n’oublieras pas que je suis ta chérie et que ce que je vais te rentrer dans l’anus n’est que mon clitoris !
Oui chérie met mois ton clitoris s’il te plait !
S’ouvrant les fesses a deux mains elle lui tendait son petit trou ou il pointa sa verge.
Doucement il pressa laissant les chairs se faire a sa taille et le gland décalotté entra doucement en elle. Sans relâcher sa pression il entrais toujours et fut bientôt engagée de tout son gland, la bague de l’anus accueillant se refermant derrière le gland mais il poussait toujours.
La hampe de la verge glissait a son tour et le gland était en entier dans le rectum.
Une dernière poussée et il engloutis le reste en entier a la grande surprise de la jeune fille.
Elle n’avait ressenti aucune souffrance, mais seule une grosse présence, comme une grosse envie de se soulager mais bien sûr elle attendait autre chose.
Devant le doigt n’avait cessée de caresser son clitoris et elle su que la chose qui maintenant lui pilonnait le rectum, entraînant puis repoussant ses chairs pouvait encore faire mieux.
« Chérie attend ! »
Et retirant de sous son oreiller un godemiché de belle taille elle entrepris de le faire entrer dans son vagin où il fut bien tôt, sa présence augmentant le plaisir des deux complices.
Sa jouissance sans fin l’épuisât enfin et elle supplia son amie de finir en elle.
Les jets de sperme au fond de l’anus furent nettement perçut par Alice qui regretta la fin des jets annonçant la fin prochaine d’un supplice si ardemment supportée.
Mais Camille la coquine se penchant a son oreille lui demanda si elle aimait les lavements ?
Oui bien sur mais je ne vois pas le rapport ni surtout ce que celas vient faire ici ?
Garde moi bien en toit !
Et malgré sa détumescence il resta prisonnier des fesses de sa tendre amie.
Il s’agissait pour lui de profiter de la possibilité d’uriner mais de forcer son urine a dilater sa douce prison.
Le premier jet passé, il le savait, il pourrait vider sa vessie mais il devait forcer pour le premier jet.
D’étend toi ma chérie, je vais te laver le cul a grande eaux tiède et je suis sur que tu vas aimer ! Et se concentrant, il forçât de toutes ses forces pour envoyer entres ces globes chéris la lessive promise.
En forçant il lâcha un pet qui la fit rire et il en profita pour vider a grands jets la totalité de son ventre.
Elle poussa un petit cri de surprise mais il eut l’impression que son cul tétait sa verge.
Oh que c’est bon ! Encore ! Vide toi ! Ah ! Ah.
Etonné d’un tel enthousiasme il se surpris à avoir une nouvelle érection et se remis a pilonner sa belle.
Enfin épuisé il se laissa éjecter de son logement plus que baveux et se rendis dans la salle de bain prendre un bain bien mérité.
Alice après avoir paré au plus pressé pour éviter de laisser une traînée, trouva amusant de s’asseoir sur le périscope, mais eut quelques difficultés dues au manque de rigidité du pauvre zizi
Dans la chambre des garçons, Jean magnifiquement sodomisé par Pierre, s’il avait bien jouis, n’avait pas éjaculé en proportion de ce que Pierre lui avait mis et a son tour d’un doigt explorateur il sondait, si on peut dire, le terrain profitant de la lubrification ambiante il avait entré un index curieux entre les fesses de son amis.
Arrête, le prévient Pierre, ça fait quatre jour que je n’ais pas été me soulager et j’ai peur d’avoir mal !
Attend j’ai tout ce qu’il faut dans ma valise !
Et en effet il retira une mallette contenant tout le matériel du parfait clystérophile.
Pour commencer la crème que l’on connaît, puis des suppositoires a la glycérine, un bock pliable, le tube et son robinet et quelques canules. En habitué il lubrifia l’ouverture, et tout en glissant ses doigts en profita pour entrer deux ou trois suppositoires, puis prépara un lavement d’un litre d’eau tiède avec une poudre qui la rendis trouble.
Il introduisit la canule et laissa le bock se vider.
Le bock vide il retira la canule et la remplaça par son sexe qu’il introduisit sans peine dans un rectum pratiquement vierge. Il ne bougeât plus à la grande surprise de Pierre bientôt ressentant l’action des suppositoires, du lavement, et de la présence de cette verge.
Ce fut Pierre qui a grand coup de reins fit tout le travail désireux de hâter l’éjaculation de la verge qu’il sentait encore grossir en lui et sous la pression conjuguée du lavement, et de toutes les matières non évacuées.
Pierre aussi se mit a bander et la main secourable de Jean enduite de crème fini le travail et avec un grand cris Pierre arrosa son drap,Jean se vidant au fond de son boyaux mais sous la jouissance Pierre désarçonnât son amis et la catastrophe se produisit.
Inutile de détailler ce moment peut glorieux mais les deux draps furent arrachés du lit, une alèze bien utile ayant bien travaillée.
Les nouveaux amis recouchées dans des draps propres de se promettre de renouveler une aussi fastueuse découverte en échangeant les positions et le type d’expériences
Aux dernières nouvelles les garçons se voient souvent les filles aussi mais chacun de son côté !
Au fait, il n’y a que Alice à savoir que Camille est un garçon !