Jean
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Vues: 537 Created: 2007.10.05 Mis à jour: 2007.10.05

Souvenirs de Jean

Chapitre 9 - Jean et les histoires de filles

(Ceci n'est qu'un exercice de style, comment écrire au féminin)

Camille s'éveille à grande peine !

"Quelle journée hier !"

Je me sens un peu lourde de la veille, repas trop copieux, soirée arrosée d'alcool, combien de bouches sur moi plus ou moins agréables et ces mains exploratrices parfois si indiscrètes même si j'aurais aimé être plus esclave des délicieuses sensations produites.

Et ces chaussures !

Décidément même très belles j'allais les jeter, ou les donner, ou…

À la fin de la soirée, dans la voiture, mon voisin le grand aux cheveux gris tout en me tâtant les seins (avec art faut bien le dire) avait glissé son autre main sous ma jupe heureusement longue et avait réussi à explorer mon sexe ruisselant puis comme je le laissais faire avait utilisé ma lubrification naturelle pour pénétrer mon petit cul !

Quelle sensation ce doigt curieux qui remontais la ou je n'entrais que suppositoires ou thermomètres ou a la grande rigueur poires !

La ce doigt qui bougeait en moi m'avait surprise mais surtout qu'il ait voulus faire ça et que je mis soit prêtée !

J'y avais trouvé une sensation bizarre, même agréable de plénitude, avec bien sur le sentiment de franchir un interdit, et même curieusement la crainte qu'il n'en ressorte salis.

J'aurais bien voulut que son doigt soit plus gros et plus long et surtout mieux lubrifiée.

Je m'étais prêtée le mieux possible au coulissement du doigt et comme il

le retirait doucement, il m'avait murmuré dans l'oreille qu'il serait flatté que je lui offre cette virginité la.

Bien sur je n'avais pas répondu mais toujours inquiète de ma propreté et des traces possibles je l'avais vue enfiler un gant comme pour garder mon odeur intime, oh combien !

Pouah !

Mais en même temps celas m'avait touchée. J'imaginais et ressentais encore ce doigt !

Ma sensibilité rectale ou anale ne m'avait jamais effleurée et je ne considérais la sodomie que comme un acte sale, brutal, réservé à certains males où a des filles dépravées.

Troublée par ce doigt, surtout par son souvenir je fouillais dans ma pharmacie pour y trouver une boite de lavements médicaux d'urgence !

Lubrifier la petite canule avec un peut de gel suivant les instructions, s'accroupir pour dégager le petit trou et y enfoncer la canule et enfin vider le contenu d'une pression rapide tout en manoeuvrant la petite poire sans y retrouver les sensations de la veille au soir !

Rapidement des coliques me tourmentèrent mais je résistais au maximum avant de me soulager.

Si je me sentais vide, curieusement mon esprit imaginait des choses luxurieuses.

Un coup d'œil dans la glace me rassura sur la fermeté des fesses mais curieuse il me fallut m'accroupir pour examiner à l'aide d'une glace cette extrémité ignorée.

Utilisant le grand miroir grossissant je me mis sur mon lit, jambes en l'air, cherchant la meilleure position pour voir enfin cette petite excroissance ridée que je pouvais crisper, faille saillir à volonté mais rien de plus.

Je pense que c'est surtout l'idée de cet endroit qui mobilise. Donc mon 'cul' plaisait, oui peut être pour une personne aux désirs troubles.

Mon sexe ne me posait aucun problème et ma lointaine virginité encore moins mais mes relations avec d'autres femmes, à vrais dires très rares, se résumant à quelques baisers, la succions de la pointe des seins et quelques caresses sur le minou avec quelques lapements du clitoris si j'avait aimée sans restriction je n'en recherchait pas le renouvellement. Jamais mon anus ou celui de mes partenaires garçon ou filles n'avaient été convié a la fête.

Je pensais à Aline une voisine qui avait des tendances"femme"et qui semblait me trouver à son goût. Une subite envie de me laisser aller dans les bras d'une 'amie' me fit lui téléphoner.

"Aline ? C'est moi Camille tu fais quelque chose ? Non ? Je peux m'inviter ? J'apporte le repas et une bouteille ? C'est OK ? Le temps de prendre un bain- comment ? Chez toi ? Bon si tu veux je voudrais te raconter et des conseils ! A tout de suite !"

Et quelques instants après je sonnais chez Aline qui me débarrassa de mes paniers puis entrepris de m'embrasser.

D'abord les joues, puis comme je semblais presser mes seins sur sa poitrine presque offerte elle m'embrassa a pleine bouche en me guidant vers la salle de bain.

"Tu veux te laver les cheveux ? Je vais le faire on utilise le même shampoing c'est pratique ! Déshabille toi si je ne te gène pas ?"

Et elle mit l'eau à couler dans son immense baignoire. Se retournant elle passa derrière moi pour dégrafer mon soutient et caresser mes seins en faisant saillir les pointes.

"Tu as une belle poitrine !"

Elle fit glisser ses doigts sur mes hanches saisissant les cotes de ma petite culotte lui fis franchir le saillant de mes fesses et j'écartais les jambes légèrement pour laisser l'entre jambe se dégager et suivant le mouvement jusqu'a mes chevilles entrepris de dégager un pied après l'autre.

Elle remonta ses mains sur mes cuisses le nez la ou j'avais eut des inquiétudes.

Apres un petit baiser sur mes fesses, elle se remit debout et en un instant se débarrassa de ses habits pour se retrouver nue elle aussi. Plus nue à vrai dire car complètement épilée elle me montrait un sexe de fillette même s'il était bien charnu.

Elle me guida dans la baignoire et s'adossant sur un coté me pris entre ses jambes mon dos contre ses seins.

Elle commença par me savonner les seins qui réclamèrent et apprécièrent leurs caresses en pointant allégrement.

Puis elle me fis mettre debout pour savonner le reste, abord le pubis puis le clitoris et glissant ses doigts dans mon vagin me demanda "Ce que tu voulait me demander cela concerne ici"

Et ses doigts précisaient la place.

"Non c'est justement l'autre coté"

"Mais tu m'intéresse, montre, tourne toi et penche toi en avant"

Et m'écartant les fesses, entrepris de passer ses doigts savonneux sur mon anus, puis un doigt se glissa en moi doucement

"Justement hier soir un homme m'a fait la même chose !"

"Tu a aimée ?"

"Justement je ne sait pas ! C'est un endroit sale non ?"

"Tu dit des bêtises ! Le rectum peut contenir des excréments et alors ?

Tu vas aux toilettes et c'est tout. Evidement le mieux c'est de se laver l'anus ensuite pour bien nettoyer les petits plis mais autrement c'est aussi propre que ta bouche."

"Tu exagères il y a quand même des microbes !"

"Et dans ta bouche ?"

"Mais il y as eut du caca"

"C'est justement certain microbes qui font le nettoyage et si tu veut bien te servir de cet endroit un petit lavement te rassurera"

"Justement ce matin j'en ais pris un !"

"Ah oui ? Comment ?"

"Tu sait ces petites poires chimiques"

"Justement ça ç'est réservé aux besoins médicaux et il ne faut pas en prendre trop souvent"

"Alors comment ?"

"Tu connais ça ?"

"Ben oui c'est une poire vaginale"

"Dedans il y a une plus petite canule pour l'anus, mais moi je préfère la grande vaginale tu la remplis d'eau tiède avec une petite pincée de bicarbonate et tu te remplis doucement tu peux en placer plusieurs, mais attention à ne pas en rentrer trop cela occasionne des crampes et c'est plus long de tout restituer."

Et alors ?"

"C'est tout propre quand l'eau sort claire et tu peut jouer sans crainte mais ne pas exagérer tu provoquerais une irritation et des troubles de la digestion"

"C'est vraiment propre ?"

"À tel point que l'on peut sans crainte t'embrasser, y glisser la langue, tu veux essayer ?"

"Oui si tu veux bien m'aider ?"

"Avec un plaisir que tu ne peut imaginer ! Écarte les jambes, tien toi a la barre, et tend bien tes fesses, sans te crisper. Je prépare le liquide et graisse bien la canule et je vais aussi graisser ton petit anus de fillette"

"Justement ça à l'air trop gros, ça fait peur"

Je senti Aline m'écarter les fesses et enduire mon anus d'un produit gras puis un doigt se glisser en moi.

"Fait doucement,…………… finalement c'est bon"

Le doigt sortis alors que la canule prenait doucement la place me surprenant par sa longueur, puis Aline entrepris de lui faire des rotations et vas et vient, et brusquement un jet arriva au fond de mon rectum, sans commune mesures avec la poire chimique, enfin Aline renouvela ses injections malgré mes refus, me massant le ventre puis après la troisième, elle retira la canule et je couru sur les toilettes rejetant un torrent d'eau claire.

Ayant froid je courus me réchauffer dans la baignoire où Aline me pris dans ses bras et cette fois ci c'est avec plaisir que je la laissais me glisser ses doigts dans le vagin et l'anus ou avec surprise je constatais qu'elle glissait trois doigts sans trop de peine.

Sous les doigts d'Aline je jouis plusieurs fois et tentais de lui rendre ses caresses.

De jouissances en jouissances j'avais les lèvres tuméfiées aussi bien en haut qu'en bas et le clitoris avait doublé de volume mais ne supportais plus le moindre attouchement.

Aline glissa sa main en conque entre mes jambes et juste sous mes fesses et me demanda de pousser comme pour aller à la selle !

Sachant mon ventre vide je m'exécutais et à ma grande surprise il sort quelque chose.

Toute surprise je me bloquais toute gênée, mais Aline me montra quelques gouttes, Oh la valeur de deux cuillérées a café, d'une sorte de gelée translucide comme une salive épaisse.

"C'est quoi ça ?"

"Ton corps qui se défend, comme les lavements ont tout emporté ton corps fabrique ce suc pour protéger tes muqueuses c'est presque que de l'eau et un truc pour que ça soit épais"

Et léchant en partie sa main déclara que je devrais goûter a moi-même ce que je fis trouvant le goût neutre en tout cas moins fort que le sperme ou la cyprine

Aline me fit lui présenter mes fesses en les tenants ouvertes et je sentis la pointe de sa langue se glisser dans mon anus.

Formidable la sensation et aussi l'idée me firent jouir une fois encore mais je me douchait très vite et sortis de la baignoire saturée d'érotisme

Je courus chez moi cacher ma honte mais aussi ma satisfaction.

Je rêvais a tout ce qui m'étais arrivée et décidais de partager avec Jean ces nouveaux plaisirs

***

Apres toutes les découvertes faites avec Aline m'avait a vrais dire laissée sur ma faim et je décidais de franchir ce pas avec mon voisin de voiture premier explorateur de cette terre inconnue.

Je possédais son n° de téléphone et je pris contact pour une rencontre sous prétexte de voir les photos extraordinaires prises lors de ses voyages.

Connaissant son goût pour le style petit fille je me décidais pour des petits vernis, presque plat (mes pieds disent merci) un petit chemisier très sage et une petite jupe plissée, sans oublier les petites socquettes et plus important un soutien presque scolaire et une petite culotte en coton à cote (je prévoyais quand même des protègent slips au cas ou).

Je pris, comme me l'avait apprise Aline, des poires simples jusqu'à ne s'écoule plus que de l'eau claire.

Dans ma pochette en plus de protèges slips je pris du lubrifiant spécial préservatif, des préservatifs, et même une boite de préservatif féminin !

Avec mon vaporisateur de parfum et ma mini-trousse de maquillage je croyais n'avoir rien oubliée !

Quatorze heures pille je sonne a sa porte et il m'ouvre en robe de chambre visiblement rasé, douché, parfumé, enfin prêt !

L'appartement est spacieux et il me fait visiter, sur la table du salon des classeurs de photo et une grosse loupe avec un éclairage supplémentaire.

Il me montre des photos classiques mais de plus en plus les indigènes exhibent leur poitrine puis sur une photo une fille totalement nue, apparemment pubère mais le sexe glabre.

D'autres photos la détaillent à l'évident plaisir de la fille.

Un autre classeur et en grand format on peut voir coulant du petit sexe une traînée blanche, sur un autre cliché elle entrouvre son sexe, montrant bien que la coulée vient de son vagin.

Puis on la vois de dos , des belles petites fesses dorées ,puis un autre cliché la montre penchée en avant s'ouvrant les fesses , l'anus encore ouvert et toujours cette coulure blanche qui en ressort !

Il était passe derrière moi et sa main remontait à ma taille pour se glisser dans ma culotte.

Dégrafant ma jupette je la retirais pour ne pas l'abîmer puis je fis glisser ma culotte le laissant dégager mon entrejambe déjà humide.

Il m'aida a l'enjamber et me la remis non sans l'avoir sentie puis retirant le protège slip le glissa dans une enveloppe puis dans un tiroir "Pour ma collection"et me guidant par la main, me mena dans une petite chambre ou une couchette étais couverte d'un molleton confortable.

Ouvrant son peignoir il était nu, verge tendue.

Bien que moyenne elle était couverte de veines et le gland semblait gonflé.

Il me fit grimper sur la couchette et je découvris qu'elle pouvait se lever pour s'ajuster à la hauteur ou la position voulue des sangles même en pendait.

Je pris ans ma pochette un préservatif que je déroulais sur la verge éprouvant la curieuse sensation que le gland était mou et très malléable. Il semblait pouvoir s'amincir en pointe et aussi grossir plus que le reste.

Je lui tendis le tube après en avoir déposé un peu sur la verge j'ajustais la petite canule et la lubrifiait avant de lui remettre. Je m'écartais les fesses à deux mains, et attendis pendant qu'il m'observait visiblement.

Je sentis une curieuse sensation tandis qu'il suçait mon petit trou puis comme celui ci semblait vouloir collaborer la pointe de la langue brûlante et agile se glissa à mon grand plaisir à cet endroit.

A mon grand regret cette langue si longue m'abandonnât et le tube graissa le pourtour puis s'enfonça jusqu'à la garde et une pression remplis mon rectum.

Heureusement le débit était limité par la consistance et la finesse de l'ouverture de la canule

"Hé doucement ça suffit !"j'avais la moitié du tube dans le rectum et le retrait de la canule laissait le lubrifiant ressortir doucement malgré ma crispation.

Heureusement la pointe de sa verge se présenta a ma petite porte close et je tentais de me détendre.

Je sentis la pointe se glisser légèrement tandis que je poussait comme pour aller a la selle en ouvrant aussi la bouche.

Le gland franchis sans douleur l'ouverture se dépliant a l'intérieur de moi puis poussant toujours occupas tous mon rectum pour se présenter a l'autre sphincter tout en poussant le gel dans mes intestins.

Je me sentais pleine et les mouvements qu'il commença sans attendre me massèrent le ventre supprimant des coliques qui se présentaient.

Je découvrait que sa grosse verge me massait le vagin par l'intérieur et comme il eut la bonne idée de me masser le clitoris je commençait a jouir par le cul