On me contacta dès le lendemain pour une première séance chez une cliente. J'étais content que ce soit une femme. On m'avait dit que de temps en temps, ce serait également à des hommes que je devrais donner des soins, mais que c'était plus rare.

On me donna le prénom et l'adresse de la cliente en question, l'heure du rendez-vous le soir même, ainsi que la nature du traitement : deux suppositoires à la glycérine, plutôt facile pour une première fois. Une heure avant, je pris rapidement une douche, m'habillai correctement, et me rendis chez cette cliente. Elle se prénommait Chloé et avait 38 ans.

Elle m'ouvrit la porte de sa maison juste après que j'aie sonné à la porte.

-Bonjour, fit-elle, vous êtes l'infirmier ? Entrez, je vous prie.

Elle se dirigea jusqu'au salon. C'était une femme de taille moyenne, en peu en surpoids. Elle portait une tenue décontractée sur elle. Elle connaissait déjà le déroulement, et me paya la somme exacte puis signa rapidement la décharge après que je l'eus remplie.

Sans lui préciser que c'était ma première séance, je sortis de mon sac une boite de suppositoires à la glycérine. Quand je vis les médicaments, mon sexe se durcit dans mon pantalon à l'idée de ce que j'allais devoir faire. Heureusement, je m'étais souvent imaginé jouer au docteur comme ça, et je fus assez confiant dans mon rôle.

-Bon, vous m'avez appelé pour deux suppositoires à la glycérine, c'est bien ça ? Demandai-je.

-Oui, répondit-elle. Je suis un peu constipée ces temps-ci.

-Très bien, je vais m'occuper de ça, lui dis-je. Où voulez-vous qu'on fasse ça ?

Elle me montra une porte du couloir visible depuis le salon.

-Aux toilettes, répondit-elle, elle sont là-bas.

-Bon alors allons-y, je vais vous donner votre traitement maintenant.

Je pris la boite de suppositoire avec moi, et suivis Chloé jusqu'aux toilettes. La pièce n'était pas très spacieuse, mais suffisamment pour qu'on s'y tienne à deux. Je remarquai également un petit lavabo sur le côté, ce qui serait pratique pour mouiller le suppositoire avant, pour qu'il glisse mieux.

Chloé n'avait pas perdu de temps : debout face à la cuvette, elle avait baissé son pantalon et sa culotte au niveau des genoux, et attendait avec son gros postérieur à l'air.

J'ouvris le robinet, passai rapidement mes mains sous l'eau, ainsi que le suppositoire pour le rendre glissant.

-Allez, on y va, annonçai-je.

Je m'accroupis derrière elle, et à l'aide de mes deux mains je lui écartai les fesses. Je m'attendais à voir un anus assez gros, voir un peu dilaté, mais son orifice était petit et serré. Je posais alors le suppositoire dessus, la pointe en avant.

-Vous êtes prête pour le premier ? Demandai-je.

-Oui, vous pouvez le mettre.

D'une bonne poussée à laquelle je pris plaisir, je lui enfonçai le suppositoire dans son intestin de toute la longueur de mon doigt. Chloé ne broncha pas, et ne se raidit même pas. J'en déduis qu'elle devait avoir l'habitude.

-Pour votre deuxième suppositoire, demandai-je, vous le voulez maintenant ou bien un peu plus tard ?

-Non, je le veux bien tout de suite, répondit-elle.

-Ok.

Je lui lâchai les fesses deux secondes, et celles-ci se refermèrent le temps de prendre un deuxième suppositoire de la boite. Je le passai sous l'eau, et répétai l'opération. Cette fois-ci, je fis tout d'affilée, sans la prévenir ou lui demander si elle était prête au moment de l'introduction. Je m'autorisai même un petit aller-retour du doigt dans son cul, comme pour renfoncer à nouveau le médicament. Elle ne broncha pas non plus et ne fit aucune remarque.

-Ok, tout va bien ? Lui demandai-je.

-Oui, merci pour le traitement.

Je me lavai rapidement les mains, et comme elle n'était pas très bavarde, je la laissai aux toilettes faire son affaire, et repartis au salon récupérer mon matériel avant de quitter son domicile.