Vues: 1091 Created: 2014.08.09 Mis à jour: Il ya 2 mois

Une romance imprévue

Chapitre 33

Une romance imprévue 129*

Ma mère insiste pour prêter à Chantal la chemise de nuit et la robe de chambre qu'elle garde pour d'éventuelles amies qui dormiraient ici. Elle indique par ailleurs à ma copine qu'elle lui préparera un petit déjeuner à six heures du matin pour ne pas qu'elle nous quitte "comme une voleuse". Chantal remercie de ces attentions et assure se sentir gênée. "Mais non, lui dit Maman, vous faites partie de la famille maintenant". puis elle a la délicatesse de s'éclipser. Chantal et moi nous retrouvons seuls dans ma chambre. Nous restons debout, serrés l'un contre l'autre, nous nous roulons une pelle monumentale alors que nos mains retrouvent leurs repères sur nos corps. Les mains de Chantal ont ouvert ma chemise, écarté les pans du vêtement et jouent avec mes mamelons durs. Mes mains à moi se montrent plus audacieuses, j'ai fait glisser la minuscule culotte de ma copine et je lui pétrit avec ardeur ses fesses nues, si douces, si chaudes, avant de laisser un doigt s'aventurer dans la raie des fesses et carrément pénétrer l'anus de la jeune femme. C'est alors que je constate qu'une des mains de ma copine a délaissé mon torse pour ouvrir mon jean, puis se glisser dans mon slip pour entourer de ses doigts agiles ma queue déjà bien dure. Nous restons ainsi un long moment avant de nous séparer, pantelants, pour envisager la suite de cette soirée.

" Je n'aurais jamais cru que ta mère m'inviterait à rester ici cette nuit,...elle est vachement sympa" commente Chantal. Elle ajoute: "Même si on n'a pas mal baisé aujourd'hui, je pense que tu seras d'accord avec moi pour continuer un peu avant de dormir quelques heures pour être présentable, toi pour ton voyage, moi pour mon rendez-vous avec ce bon vieux Dr Blom". Je ne peux qu'être d'accord avec la suggestion de Chantal qui précise son idée: "Une petite tuture-cucul d'abord, puis je te ferai l'amour comme la première fois en cowgirl, et après, si tu tiens le coup, tu me prendras en petite cuillère avant de faire dodo,...d'accord Honey ? " Comment ne pas être d'accord avec un tel programme ?"On commence par toi,;;;si tu es d'accord, bien sûr, Honey" fait Chantal qui a extrait de son sac l'instrument nécessaire à la tuture-cucul que nous affectionnons tant tous les deux. Je me place sur les genoux, ou plutôt sur les cuisses de ma copine. Chantal porte une jupe assez courte, ce qui signifie que ma queue durcie peut se placer contre la peau nue de la cuisse de ma copine, je sais qu'elle apprécie. Avec toute sa tendresse et sa délicatesse, ma girlfriend m'écarte doucement mais fermement les fesses pour y glisser l'instrument adéquat. J'ai déjà dit la sensation extraordinaire quand Chantal fait lentement glisser le thermomètre qui va investir le fond de mon rectum, puis, une fois celui-ci en place, quand elle imprime à l'instrument des mouvements d'une faible ampleur, mais qui suffisent à me transporter dans un autre monde, au bord de l'extase. Le fait que Chantal me thermomètre dans ma chambre de petit garçon, où, petit, ma mère me prenait la température et où, jusqu'à il y a quelques jours, je me mettais seul des thermomètres dans le cul en révant aux filles que n'osais pas aborder, ajoute au caractère érotique de la scène. Tout en jouant comme je l'ai dit avec le thermomètre, Chantal me dit de sa voix si douce, mais sur un ton triste: "tu te rends compte que c'est sans doute la dernière fois que nous nous prenons la température avant ton départ,...toi, tu peux espèrer que ton "American mom" ou une de ses filles feront cela aussi bien, ou peut-être même mieux que moi,....mais moi, je vais être toute seule dans mon lit le soir jusqu'à ce que tu reviennes" Je n'ai toujours pas fait part à Chantal de la "prédiction" provoquée par sa sœur. selon laquelle l'avion aura vingt-quatre heures de retard, ce qui devrai nous ménager quelques heures supplémentaires de baise etc...Chantal poursuit: "en tout cas, tes vilains coups de soleil sont guéris et tes petites fesses, légèrement dorées, sont encore plus excitantes que le jour où tu es venu à mon cabinet,...tu vas rendre folle les nanas de ta famille, mère comprise, et sûrement d'autres au bord des piscines de LA".

Alors que Chantal cesse de jouer avec le thermomètre et m'annonce que les dix minutes que nous accordons à cet exercice sont terminées, je ne peux m'empêcher de revenir sur la conversation avec mes parents et le fait qu'elle ait parlé suédois. "tu ne m'avais jamais dit que tu parlais suédois". Alors qu'elle s'apprête à retirer le thermomètre, Chantal répond d'un ton désinvolte::"Mais tu sais bien que je suis une sorcière et que les sorcières parlent toutes les langues de la terre". Je surréagis peut-être un peu à ces paroles de Chantal qui part à ce moment dans un éclat de rire et commente: "tu es vraiment impossible, mon petit Honey, je te sors une petite blague et instantanément tes petites fesses se crispent,...elles sont encore plus mignonnes d'ailleurs….., et en plus, ta jolie petite queue perd de sa consistance contre ma cuisse, ce que je regrette un peu, tu t'en doutes ...bien sûr que je blague,...il se trouve que j'ai une cousine suédoise chez qui j'ai passé quelques étés,....on n'a pas eu l'occasion d'en parler parce qu'on était trop occupé à baiser ou à se prendre la température". Ce disant, Chantal retire le thermomètre, et après un temps d'arrêt, m'annonce: "Tu as un peu de fièvre, Honey, one hundred and eight en mesure américaine, je te laisse convertir puisque tu fais ça si bien". Je "traduis" rapidement "38,2" et dans un premier temps, je panique un peu et j'interroge ma copine avec un peu d'inquiétude dans la voix; "C'est trop, non, est-ce-que je suis malade?". "Mais non, m'assure ma copine,si je ne me trompe, c'est la température que tu avais quand je t'ai pris la tuture-cucul pour la première fois pour ton certificat médical" note Chantal. Elle poursuit: "Je suppose que c'est juste le stress du départ, et de présenter ta copine si bizarre à tes parents, etc..." A moitié rassuré, j'insiste auprès de ma girlfriend:: "Mais, ca ne pourrait pas être quelque chose de grave ? ". Nouvel éclat de rire de Chantal, qui se déshabille promptement et me tend un autre thermomètre ( "ne jamais partager un thermomètre, même avec un proche" me répète-t-elle) et se place sur mes genoux dans l'attente du thermomètre." Arrête de faire ta chochotte,... ou tu veux que j'appelle ta maman pour prendre soin de son bébé ? ,...mets moi plutôt ce thermomètre dans mon petit cul, ou mon gros cul plutôt, qui commence à s'impatienter, au lieu de t'inquiêter pour rien" me dit-elle. Troublé comme d'habitude par la vision du cul splendide de Chantal, j'oublie un peu mes angoisses métaphysiques. Je caresse un instant les fesses si chaudes, si douces, avant de donner suite à sa demande, Je lui écarte au maximum les fesses, glisse le thermomètre dans l'anus et l'enfonce de manière adéquate, du moins j'espère, au plus profond du rectum de la jeune femme. Après one pause, je commence à faire aller et venir doucement l'engin. "tu fais vraiment ça très bien" m'assure Chantal. Nous nous sommes accordés sur un temps de mesure de dix minutes. Au terme de ce délai, je retire le thermomètre. Chantal affiche un parfait 37,4 que j'ai la flemme de convertir en masures américaines. "Et si on baisait ? " propose ma copine.

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Est-ce dû à mon angoisse face à ma poussée de fièvre ou plutôt à la fatigue accumulée au cours des nombreuses fois où nous avons fait l'amour ou la gêne de faire "ca" sous le toit familial ? Le fait est que ma queue n'est pas aussi vaillante qu'elle devrait l'être alors que ma copine propose avec enthousiasme de baiser. Chantal constate d'une main experte l'étendue du désastre et se fout gentiment de moi ("ca te pose vraiment un problème de baiser chez Papa et Maman, on dirait"). Je suis étendu sur le dos sur mon lit de petit garçon et Chantal est assise au bord de celui-ci. Ma copine prend ma queue fermement en main et commence à la stimuler vigoureusement. Ses caresses ne sont pas sans effet sur mon pénis qui retrouve rapidement sa fermeté. " J'aime mieux ça, juge ma copine, mais je suis sûre qu'on peut faire encore mieux" Se disant, c'est sa bouche qui se porte à la rencontre de ma bite maintenant fièrement dressée et qui commence une fellation savante. Je me trouve rapidement transporté au bord de l'extase. Chantal ne m'a jamais aussi bien sucé, mais consciente du danger de me voir jouir trop vite, elle freine maintenant le rythme et la vigueur de ses mouvements. La sensation est extraordinaire lorsque ma girlfriend retire sa bouche pour se placer sur moi et s'empaler sur ma queue. Je sens mon pénis prisonnier du vagin de la jeune femme. J'agrippe convulsivement les fesses de ma copine alors que son bassin entame ses mouvements de va-et-viens sur mon pénis. "Tu aimes, non?;;;" me dit encore ma copine qui s'efforce de ne pas trop bouger afin de retarder l'orgasme; J'ai l'impression que ça n'a jamais été aussi bien, aussi sensuel. Je ne peux pas ne pas penser à notre première "chevauchée fantastique" dans cette cowgirl position sur la terrasse de ma copine. Je sens que je viens, trop vite comme d'habitude. Ma semence gicle en une dizaine de saccades de quelques micro-secondes chacune dans l'intimité de ma copine, qui, l'instant d'après, jouit à son tour."C'était super" commente Chantal alors que nous récupérons, le souffle court, allongés, cote à cote, sur le lit étroit et que les doigts de la jeune femme jouent avec les paumes de mes mains, comme Chantal l'a souvent fait. Ma doctoresse favorite souhaite remettre le couvert, elle se tourne sur le ventre, me présentant sa croupe avantageuse et me fait pat de ses intentions pour la suite de la récupères, tu n'as pas à t'inquièter. "Maintenant, je veux que tu me prennes par derrière, mais pas dans le cul, s'il te plait, j'aurais un peu peur de ne pas pouvoir me contrôler et de crier un peu trop fort pour tes pauvres parents. Un peu déçu par la restriction que m'impose ma copine, je ne peux néanmoins que me réjouir de sa proposition. Pour l'heure, je ne souviens plus combien de fois nous avons fait l'amour aujourd'hui et ma queue, qui a été beaucoup sollicitée, nécessitera une nouvelle stibulation de la part de ma girlfriend. J'ai donc droit successivement au handjob et au blowjob de ma copine qui font de nouveau rapidement leur effet. "A mon avis, et je suis quand même toubib, hein Honey, vu la vitesse à laquelle tu récupères, tu n'as pas à t'inquiéter pour ta santé" décrète Chantal au moment où elle abandonne le handjob pour le blowjob.. Les deux procédures sont également excitantes et efficaces et je suis bientôt fin prèt pour honorer à nouveau ma copine. Les "petites cuillères" que Chantal avait suggérées se transforment promptement en un "doggy" tout aussi sensuel, puisque ma copine étant allongée sur le ventre, je la chevauche, lui écarte ses splendides fesses et glisse ma queue dans la raie fessière largement offerte. J'ai comme une hésitation à la vue des deux orifices de la jeune femme. J'adorerai sodomiser ma copine, mais je respecte sa recommandation de prudence et ma queue investit donc le vagin de Chantal. Un gémissement appuyé me confirme que Chantal apprécie ma lente et profonde pénétration. Mes mains se glissent sous le torse de la jeune femme pour agripper ses seins ronds et fermes, mes doigts jouent avec les tétons durs. Je vais et viens, alternant les mouvements lents et profonds et ceux plus rapides et superficiels entre les fesses charnues de ma copine. La sensation est toujours aussi extraordinaire. Chantal alterne les grands serments et les déclarations enflammées. "Je t'aime vraiment très fort, tu sais, Honey", "Tu baises comme un dieu, c'est dingue ce que tu as appris en dix jours". Même si la fatigue de nos coïts successifs retarde quelque peu la conclusion de ce dernier acte d'amour, nous finissons par jouir ensemble en un orgasme somptueux.Je me sens un peu crevé après ces deux baises mémorables et ne peux que donner mon accord à la proposition de Chantal de "faire un peu dodo" pour être en forme pour nos obligations respectives de demain. Nous nous embrassons longuement avant de nous étreindre et de rechercher le sommeil dans les bras l'un de l'autre. Il me semble que Chantal pleure doucement. Ma girlfriend me dit:: "Je suis triste que tu partes pour un long mois, mais je suis heureuse que ça se passe si bien avec tes parents". Pour ma part, je me sens un peu coupable de ne pas révèler à ma copine que, si la prévision de Solange se réalise, nous aurons vingt-quatre heures de plus à passer ensemble. J'en suis là de mes réflexions quand je m'endors comme une masse. C'est Maman qui nous réveille quelques heures plus tard en frappant à la porte sans toutefois ouvrir celle-ci:: "Il est six heures moins le quart, les enfants,....pour le petit déjeuner, thé ou café ?". " Café, merci" .répond prestement Chantal. Je suis un peu choqué par l'expression "les enfants" prononcé par Maman, mais ma copine trouve cela "tellement mignon". Chantal et moi trouvons une table somptueusement dressée pour le petit déjeuner avec profusion de cakes, confitures et viennoiseries, devant laquelle nos parents nous laissent seuls; Je pense qu'ils ne veulent pas nous gêner et leur en suis reconnaissant. Le petit déjeuner est rapidement expédiée et Chantal me fait ses adieux émus, assortis de quelques larmes. A peine ma copine est-elle partie que mes parents me rejoignent . Ils me confirment qu'ils ont trouvé Chantal formidable. Pour ma part, je les remercie de lui avoir permis de passer cette nuit avec moi et reconnais que j'ai été surpris de leur "compréhension". " Il faut bien vivre avec son temps" conclut ma mère. Nous avons encore quelques heures avant que mes parents m'amènent à Orly. Je me rendors sans complexe pour cette courte durée. .

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Comme prévu, mes parents m'accompagnent à l'aéroport, puis partent pour leur maison en Normandie. Dans la voiture, nous récapitulons l'organisation de ce voyage et ses aspects matériels. J'ai rendu à mon père les 2000 frans qui devaient être l'argent de poche de mon voyage et je n'emporte que 1000 dollars sur les plus de 2000 que m'a donnés la mère de Chantal. Maman changera le reste et ira le mettre sur mon livret de caisse d'épargne. "Il ne faut pas que ta richesse soudaine te tourne la tète" décrète Papa. Je suis soulagé que Papa et Maman ne s'attardent pas auprès de mes compagnons de voyage. C'est mon premier voyage en avion, mais j'ai vu assez de reportages et de films pour ne pas me sentir perdu dans le grand hall d'Orly. Je retrouve quelques visages familiers dans ce groupe et c'est là que les prédictions de Solange deviennent réalité. Une Pénélope échevelée, habillée très BCBG d'un tailleur pantalon de marque me saute littéralement dessus et me dit, l'air un peu gêné: "Viens, il faut qu'on parle". Ce disant, elle m'entraine à l'intérieur d'un des multiples cafés de l'aéroport dans un espace supposé discret. Pénélope attend que nous soyons installés pour me questionner sur ma visite médicale de l'avant-veille: "Alors, comment ça s'est passé pour toi avec la saleté de toubib ?" Je suis un peu choqué par la formulation de la question et me permets de le dire à la petite Sciences Po. Je précise à voix basse: "j'ai bien eu droit à l'examen poussée que tu peux imaginer de ma queue, au thermomètre où tu sais et à ses questions indiscrètes, mais finalement, c'était quand même supportable et "saleté" je trouve que tu pousses un peu" Pénélope prend très mal ma réponse: "Quoi, tu oses prendre sa défense après ce qu'elle m'a fait et que je t'ai raconté, … elle t'a vraiment tapé dans l'œil, ...ou tu vas me dire qu,elle était finalement plutôt sympa et que son thermomètre dans ton petit cul t'a fait bander ..."Saleté", ça me parait encore trop gentil pour elle". Pénélope se renfrogne. Après une courte pause, la jeune fille attaque le cœur du sujet. "Excuse-moi de m'être un peu énervé, tu vas comprendre pourquoi,... je voulais te parler de ce qui s'est passé lundi,...j'ai beaucoup réfléchi à tout ça et j'ai honte, terriblement honte,....ce qui s'est passé était extraordinaire, merveilleux, fantastique, tu m'as vraiment bien baisé,...mais tout cela n'aurait jamais dû se produire,....tout est de ma faute, c'est moi qui t'ai dragué comme la dernière des putes,...je devais te laisser à ta copine,...je le ferai désormais,...nous ne devons plus nous voir,...même en copains,..." La jeune rousse fond alors en larmes; En sanglotant, elle poursuit: "tu dois m'oublier,...moi, je ne t'oublierai pas". La pauvre Pénélope est particulièrement émouvante et excitante quand elle pleure avec ses yeux verts extraordinaires. J'ai honte d'avouer que je bande, et pas mal, alors que la jeune fille sanglote. Je regrette bien sûr sa décision; même si je me dit qu'elle n'est peut-être pas si définitive, comme me l'a suggéré Chantal quand nous avons évoqué le sujet. Un ange passe. Pénélope quitte brusquement le bistro où nous nous trouvons. Je réalise que la deuxième vision que m'a provoqué Solange vient de se réaliser et je me demande ce qu'il en sera des visites médicales annoncées dans ma "famille" de Los Angeles.J'ai, quelques instants plus tard, une nouvelle confirmation de la justesse des prédictions de Solange.

Lorsque je rejoins mes camarades de voyage, j'apprends que le départ de l'avion est finalement retardé de vingt-quatre heures. Les organisateurs nous informent que des chambres sont réservées pour nous dans des hôtels de bon niveau ou que nous pouvons simplement partir et revenir demain matin. Comme dans ma vision, je cherche un téléphone pour appeler Chantal et l'informer de cette "bonne" nouvelle. Ma copine décroche après plusieurs sonneries et m'indique qu'elle a un patient dans une situation embarrassante.

Comme dans ma vision, je réplique bêtement: "tu lui prends la température". "Tout juste, ..et je viens de couper le haut-parleur" répond candidement la doctoresse. Bref, j'ai encore gaffé. Au contraire de ma vision, je n'ai pas l'image et je ne peux qu'imaginer la tète de mon ami Philippe et surtout le thermomètre de Chantal planté dans son cul. . cette situation me gêne un peu, mais j'en veux un bon peu à mon vieil ami Philippe de s'être précipité chez Chantal le jour de mon départ. De même, lorsque j'annonce à Chantal que le départ de l'avion est retardé de vingt-quatre heures, je ne peux voir la joie sincère de ma copine lorsqu'elle apprend la nouvelle. C'est au moment où ma copine m'annonçait qu'elle me rejoignait dans les plus brefs délais pour vingt-quatre heures d'enfer au Hilton d'Orlyi

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Comments

Svensson Il ya 1 an  
esaterman Il ya 1 an 1  
pierre67380 Il ya 3 ans  
Judyn Il ya 4 ans  
Svensson Il ya 4 ans  
Judyn Il ya 4 ans  
Doudoudagan Il ya 5 ans  
clyso Il ya 5 ans  
Svensson Il ya 5 ans  
clyso Il ya 5 ans