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Vues: 281 Created: 2007.09.05 Mis à jour: 2007.09.05

Servante Matresse

Servante Matresse 3

Mais le mari de Léonore dut prendre un poste à l'étranger, l'une de ses amies, Georgette, ayant besoin d'une suivante, elle lui adressa Élise.

Au début, Élise se sentit seule, abandonnée, mais rapidement un événement fortuit amena un changement.

Par un matin d'avril, Georgette, jeune veuve de 23 ans, blonde comme le miel, dans l'obligation de prendre un lavement, fit appel à Élise.

Prosternée en travers de son lit, la chemise de nuit relevée, expose son derrière à sa femme de chambre de 20 ans. Georgette possède un merveilleux derrière, deux fesses rondes, plus belles s'il est possible, que celle de Léonore.

Georgette émue et rouge de honte, n'imagine pas une seconde l'admiration passionnée que suscite sa lune ; elle s'étonne temps qui s'écoule depuis que sa chemise de nuit est levée ; disposée pour recevoir le clystère, un jeune baronne exposait donc, tout nu, sont merveilleux joufflu, ses belles fesses rondes et rebondies.

Une raie mince et profonde divise équitablement la mappemonde.

Comme elle trouvait le temps long, Georgette interpella la jeune fille,

- mais tu rêves ma fille, c'est pour quand ce lavement,

- je suis désolée madame, mais je me demandais s'il n'était pas raisonnable de prendre votre température avant le clystère, ma précédente patronne l'exigeait toujours.

Sans enthousiasme, un peu étonnée, Georgette acquiesça, en indiquant que le thermomètre se trouvait dans la salle de bains.

Avec délicatesse, Élise sépare les belles joues fessières, déniche l'anus étroit, amène le bout du thermomètre, pèse sur le sphincter, le dilate, l'élargi, introduit le tube de verre, l'enfonce lentement, très lentement et profondément dans le rectum. Georgette, le visage enfoui entre ses bras repliés, rougit encore davantage, elle frissonna sous la pénétration du thermomètre, violant son intimité la plus secrète.

Elle se rappelle son enfance, quand sa préceptrice, Edith, la trouvait trop pâle ou trop rouge et lui imposait de lui montrer ses petites fesses pour lui introduire ce maudit tube de verre qu'elle détestait encore plus que les lavements.

Ce qui la trouble le plus, c'est la main posée doucement sur l'une de ses fesses, pendant que l'autre maintien le thermomètre enfoncé. Elle se rend compte que rien n'est rentré dans son petit cratère fripé depuis qu'elle a quitté la maison de ses parents. Enfin après ce qui lui a paru une éternité, la tige de verre se retire, et Élise lui annonce 37°8,

- c'est un peu trop pour le matin, le lavement vous fera du bien.

De nouveau, Élise écarte les globes jumeaux et, de la même façon que le thermomètre précédemment, elle glisse la canule dans le fondement ; enfin voici l'instrument en place. Élise relâche les fesses qui se referment en emprisonnant la canule dont ils ne dépasse qu'un tout petit bout ; entre les fesses de sa patronne, elle ouvre le petit robinet qui laisse passer l'eau qui se déverse lentement dans l'intestin.

Une nouvelle sensation, plus humiliante encore, envahi Georgette sous l'inondation du petit jet d'eau tiède. Elle voudrait avaler d'un coup le bouillon pointu, or l'opération doit se dérouler sans précipitation, peu à peu. Élise s'y entend pour allonger le supplice de sa patronne, elle a été à bonne école avec Léonore. Enfin le récipient vide, elle procède aux opérations inverses ; elle ferme le robinet, sépare les fesses, empoigne la canule qu'elle retire tout aussi lentement elle enfoncée.

Libéré, Georgette saute à terre et court vers la pièce intime de son appartement ; revenu dans la chambre, elle manifeste un sentiment de fatigue,

- ma pauvre Élise, j'ai les jambes coupées,

- Madame devrait se reposer pendant que je lui prépare son bain.

Lorsque Élise revient la chambre, Georgette est assoupie, couchée sur le côté ; elle s'assoit doucement derrière sa patronne et remonte la chemise de nuit sur ses fesses ; elle ouvre les yeux, étonnée,

- pour être sûre que tout va bien, je vais reprendre votre température, ne bougez pas.

De nouveau le thermomètre se glisse dans le joli derrière de Georgette qui cette fois ressent de drôles de choses et pousse un petit gémissement,

- je vous ai fait mal madame ?

- oh non, mais la sensation m'a surprise, il y a longtemps que mon pauvre petit derrière n'a pas subi autant de choses et, finalement, cette deuxième intrusion du thermomètre ne me déplaît pas du tout.

Élise, ravie d'entendre sa patronne, appuie un peu plus sur le thermomètre qui se trouve introduit aux trois-quarts de sa longueur

- nooon doucement, pas si loin

- je vous fais mal

- pas du tout, mais je suis pas habituée à recevoir le thermomètre si profond

- soyez sage, vous vous y ferez, votre amie Léonore le recevait en entier ; et je sais donner des fessées aux vilaines petites filles.

- tu oserais me fesser ?

- je n'y manquerai pas si c'est nécessaire.

Élise retire le thermomètre,

- 37°2, c'est parfait, le lavement et le petit somme vous ont fait le plus grand bien ; désormais le thermomètre prendra place sur votre table de nuit ; votre température sera prise régulièrement. Maintenant je vais vous faire prendre votre bain.

Georgette, bien réveillée, commença à entrevoir une vie bien plus gaie et pas mal de jeux pervers.

Elise achève de dévêtir Georgette la voici complètement nue ; l plus rien ne voile la splendeur de son corps.

Outre les fesses si bien perçues, devant la gorge s'étalent deux pommes fermes, serrée l'une contre l'autre rendues encore plus blanches par les tétons semblables à des framboises, s'élevant au centre d'une large aréole.

Des seins, le regard descend sur le ventre légèrement renflé, troué par le coquin nombril et envahi à la base par une légère toison

blonde comme les cheveux, dessinant un triangle qui se perd entre les cuisses.

Toutefois, ce léger buisson ne dissimule la coupure ocrée de la fente féminine. Georgette enjambe la baignoire laissant entrevoir les lèvres de son bijou ; puis elle s'assoit dans l'eau tiède et parfumée, s'y allonge, s'y abandonne.

Où bout d'un moment elle se lève, Élise s'approche, s'empare de l'éponge, la plonge dans l'eau et l'enduit de savon, puis comme une caresse, elle frotte sa patronne.

Elle prend beaucoup de plaisir à la laver ; elle s'attarde longuement sur les seins, passe derrière et s'étend sur la lune, puis passe dans la raie, insiste sur le bouton froncé, fait pencher sa patronne en avant et, de sa main libre elle introduit délicatement son index savonneux dans le petit trou et, sous prétexte de laver le fondement, elle l'agite le sort le rentre, affolant Georgette.

Elle repasse devant, passe l'éponge entre les cuisses qui s'écartent timidement,

- Madame voudrait-elle poser son pied sur le rebord,

- est-ce bien nécessaire

- il faut bien

Georgette se laisse faire et ouvre les cuisses, la femme de chambre passe les mains entre elles, atteint la figue. Vigoureusement elle la savonne, la mousse recouvre les grandes lèvres.

Laissant tomber l'éponge, Élise utilise sa main nettoie l'extérieur, puis ses doigts explorent l'intérieur du coquillage,

- mon Dieu Madame, vous êtes presque aussi étroite qu'une pucelle,

- mon pauvre mari avait un sexe assez fin et notre union fut brève, pourtant je t'assure qu'il me rendait très heureuse...

Enfin elle rince le corps magnifique à l'eau claire, recouvre Georgette d'une grande serviette, la ramène sur le lit où elle a fait étendre et tendrement l'essuie dans les moindres recoins, la sèche en insistant sur la fente vermeille et sur le trou mignard. Dans un dernier sursaut, la jeune veuve tente de se dérober, mais l'orgasme la submerge et elle retombe en arrière sur le lit.

Où bout d'un long moment, elle se redresse,

- comment est-ce possible, j'ai ressenti les mêmes fulgurances que dans les bras de mon défunt époux ?

- ne vous êtes-vous jamais caressée, aucune amie, aucune cousine ne vous a jamais touchée,

-mais cela est indigne d'une fille bien née.

Mais non Madame, toutes les filles de tout les mondes font leurs expériences entre elles, avec leurs amies, leur cousines, leurs suivantes. Votre mari vous a-t-il contenté dès le début ?

- oh oui, il a été doux et patient, d'abord avec son doigt et puis avec sa langue et puis mais je m'égare...

- vous avez été heureuse de tomber sur un garçon délicat et très bien élevé et initié, sans doute par des servantes, des cousines,

- il m'a avoué s'être diverti avec quatre de ses cousines et je dois reconnaître que ma défloration a été toute de douceur et d'un certain plaisir.

- j'en suis heureuse pour Madame, mais cela ne me vous manque-t-il pas ?

- si bien sûr, ce qui vient de se dérouler à réveillé bien des regrets,

- que Madame se rassure, en attendant qu'elle trouve un garçon à son goût, je vous promets de bien m'occuper d'elle...

A propos, j'ai jeté un coup d'œil, mise à part le pot à lavement et le thermomètre, je n'ai trouvé aucun autre instrument tel que poires à lavement avec jeu de canules, seringues et clystères, voire un ou deux autres thermomètres, qu'il y ait ce qui est nécessaire à chaque étage.

- Je n'ai jamais trop eu l'occasion de me pencher sur ces objets que je n'ai pratiquement pas utilisé jusqu'à présent ; aidez moi à me vêtir et nous allons visiter tout les endroits où l'on range ce genre de matériel et les autres.

Ces recherches n'aboutirent qu'a peu de chose, un vieux thermomètre qui ne fonctionnait pas et une poire poreuse équipée d'une minuscule canule…

Devant ce fiasco, Georgette décida qu'après déjeuner, nous nous rendrions chez l'apothicaire histoire d'équiper la maison de ces matériels indispensables à notre santé et notre hygiène.

En marchant dans la rue, Georgette mit son bras sous celui d'Elise,

- J'aimerai bien que tu me considère plus comme une amie ou une sœur, tu es tellement gentille avec moi…

Pour toute réponse, Elise glissa son bras autour de la taille de sa patronne et l'embrassa tendrement sur une joue.