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Vues: 298 Created: 2007.09.05 Mis à jour: 2007.09.05

Servante Matresse

Servante Matresse 2

Sa première prestation, Élise la donna le lundi suivant.

Appelée au salon, elle y trouva Léonore et trois de ses amies, Paule jeune femme de trente-six ans, cheveux châtains, coiffée à la garçonne, fesses dans la plénitude de sa maturité,vivant avec sa fille de treize ans Béatrice dite Bébé.

Elvire célibataire de vingt-huit ans, blonde aux cheveux de lin, petit derrière haut placé et d'une rondeur parfaite.

Gabrielle vingt-cinq ans, rousse toute menue, mais des rondeurs bien placées, mère d'une fillette de quatre ans,

- je vous présente Élise, ma femme de chambre, qui va vous servir d'infirmière.

Sur la table du salon, Élise avait déjà préparé trois instruments, une grosse poire, un broc et une seringue en verre, le tout recouvert d'un linge blanc.

- qui sera la première,

Paule s'avança et se pencha sur le canapé, Eléonore s'approcha d'elle, releva sa robe et son jupon et constata qu'elle portait une culotte fermée.

- j'avais bien précisé que vous deviez venir avec un pantalon ouvert, par conséquent je vais vous administrer une fessée.

Elle détacha le pantalon et le lui ôta complètement, posa sa main au creux de son dos, pour la faire se cambrer et commença à frapper alternativement sur chaque fesse nue, vingt claques qui amenèrent le joli derrière à une couleur rose vif.

Quelques larmes coulaient sur les joues de la jeune femme qui se mit à frissonner ;

- voilà madame, comment je traite les petites filles désobéissantes ; vous tremblez, il ne faudrait pas vous ayez attrapé quelque chose, Lisette va prendre votre température.

Paule n'osa pas se rebeller, mais quand Élise revenue avec les thermomètres écarta les jolis globes pour y introduire le tube de verre, elle implora,

- doucement, j'ai plus l'habitude, cela fait des années que je n'ai pas reçu le thermomètre.

- allons rassurez-vous nigaude, ma Lisette est très adroite à ce petit jeu là ; moi non plus, je ne recevais pas souvent le thermomètre et depuis qu'elle est à mon service, elle me prend la température ou moins trois fois par semaine et j'en sui pleinement satisfaite ; d'ailleurs, le thermomètre reste posé en permanence sur ma table de nuit…

Pendant cette digression,Lisette enfonçait doucement le tube de verre dans la rosace de Paule qui l'accueillit sur deux tiers de sa longueur avec un long soupir. Cinq longues minutes s'écoulèrent dans le silence, durant lesquelles Lisette patinait les rondeurs roses de la jeune femme, tout en repoussant dans son conduit anal le thermomètre qui avait tendance à ressortir.

Enfin elle consentit à délivrer Paule de son visiteur et le tendit à Léonore,

- 37°2 pas de fièvre, nous nous sommes alarmées à tort.

Elvire enchaîna,

- cela n'a pas d'importance, je pense que le thermomètre est un bon complément au clystère,

- parfaitement, aussi dès aujourd'hui, Gabrielle et vous serez soumise à la prise de température, qu'en pensez-vous Gabrielle et vous Elvire ?

- mon dieu, je n'ai pas reçu le thermomètre depuis que ma fille est née mais, petite fille, j'ai toujours trouvé cela agréable ; plus grande, j'avais honte de montrer mes petites fesses, cela n'empêchait pas ma préceptrice de me prendre la température plus souvent que nécessaire. Cela m'a valu quelques fessées pour de véhémentes protestations et le thermomètre plus profond et plus longtemps chaque fois.

- ma femme de chambre me prends la température aussi souvent que j'en ai besoin et davantage même et maman ne se gênait pas de me perforer la rondelle jusqu'à mes vingt et un ans.

- bien ! Paule agenouillez-vous sur le divan, Lisette vous administrera votre clystère avec le broc et une longue canule,

La jeune femme se disposa comme il lui était demandé et la servante lui planta lentement et en totalité la canule qui mesurait bien vingt cm, ce qui n'alla pas sans protestations, interrompues par quelques tapes sur le séant récalcitrant. Le récipient posé sur une table basse juste à hauteur des fesses de la patiente, Elise tira un peu sur la canule pour dégager le petit robinet d'entre les collines roses et l'ouvrit, Paule annonça l'inondation de ses reins par un long gémissement.

- Soit patiente, ton lavement s'écoulera très lentement, il y a un litre et demi, tu a le temps de le sentir.

Maintenant, Lisette assied-toi sur cette chaise, Elvire étendez-vous sur ses genoux, nous allons vous prendre votre température.

Sa robe et sa chemise relevées, la jeune femme dévoila une lune plus ample qu'elle ne le paraissait habillée, encore cachée par un pantalon fermé par une coulisse que la femme de chambre détacha pour dénuder une paire de fesses blanches serrées sur une fine raie.

- si madame voulait bien m'aider

Elvire attrapa ses deux globes et les sépara laissant entrevoir un petit œillet brun clair ; Eléonore s'approcha et tendit un thermomètre à sa bonne qui le saisi et, après l'avoir enduit de salive, le glissa profondément dans le petit derrière qui s'ouvrit complaisamment sous l'effraction.

Après dix minutes durant lesquelles son doigt resta posé sur le tube de verre, Elise retira le visiteur indiscret et le rendit à sa patronne qui annonça 37°4,

- restez comme ça, voici la poire de 1 litre, tu dois la vider entièrement.

Elle s'acquitta scrupuleusement de sa tâche, introduisant complètement la canule d'une quinzaine de centimètres et munie au bout d'une grosse olive, comprimant au mieux la poire, retirant le tout et replantant encore six fois de suite pour bien remplir le fondement de patiente qui émit quelques plaintes dues principalement à l'air pénétrant avec le liquide, inconvénient inhérent à la poire à lavement. Après cinq minutes, Elvire fut autorisée à se vider.

Pendant tout ce temps, l'eau s'écoulait lentement dans le derrière de Paule qui gémissait de plus en plus son ventre se gonflant sous l'inondation ; pour la soulager un peu, Eléonore retira à moitié la canule puis la renfonça ; la moitié du liquide seulement était écoulé.

Vint le tour de Gabrielle ; elle fut invitée à relever sa robe et sa chemise et à s'étendre sur le coté près de Paule sur le canapé.

Son pantalon s'ouvrit sur un petit derrière blanc et très bombé fendu en son milieu par une raie beige clair laissant entrevoir un poinçon brun dans lequel Elise fit pénétrer le troisième thermomètre qui se glissa doucement jusqu'au bout et que la servante maintint avec un doigt posé entre les deux demi-lunes.

Les dix minutes passées, elle lâcha le petit tube et attendit qu'il ressorte tout seul et le recueillit avant qu'il ne tombe.

- 37°6 ; reste comme tu es, tu sera clystérisée avec une grosse seringue d'un litre ; prends bien ton temps Lisette, que Gabrielle aie le temps d'apprécier le traitement.

Le bec de la seringue, gros comme un pouce et long de dix centimètres pénétrât complètement avec quelques protestations, vite calmées par quelques tapes sur les collines blanches, dans le pertuis étroit de la jeune femme ; poussant doucement sur le piston, Lisette s'arrêtait fréquemment, retirai à moitié le bec, puis le renfonçai ; un quart d'heure fut nécessaire pour vider la seringue.

Cinq minutes plus tard, Paule et Gabrielle coururent se vider ; lorsqu'elles rentrèrent dans le salon, Elvire était agenouillée devant le canapé, le torse posé dessus ; les deux amies furent invitées à s'installer à son coté.

- j'ai demandé à votre infirmière de s'assurer que le lavement que vous avez reçu vous a été profitable, votre température va être contrôlée.

Elise passa derrière chacune des invitées et leur introduisit leur thermomètre à moitié de la longueur ; le tableau était délicieux : trois jeunes femmes penchées sur un canapé,dévoilant trois jolis derrières très différents d'ou dépassaient trois tubes de verre parfaitement identifiables, des thermomètres !

Cinq minutes de profond silence, les thermomètres ôtés révèlèrent des températures inférieures à 37°… Les bienfaits du lavement ?...

Il y eut bien d'autres séances, environ tout les deux mois, car ces dames recevaient tour à tour leurs amies et les "domestiques" n'étaient pas reçues…