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Vues: 5213 Created: 2007.09.05 Mis à jour: 2007.09.05

Servante Matresse

Servante Matresse 1

Une gouvernante se chargea d'achever l'éducation d'Elise, qui le reste du temps devint la femme de chambre de Léonore. Celle-ci lui apprit son métier. Elise l'aimait facilement, elle était de ces êtres nés pour servir. Enfin, parvenue au terme de son apprentissage, elle dut aider sa maîtresse à s'habiller ou à se dévêtir, préparer son bain, la seconder dans sa toilette. Tâche redoutable et plaisante à la fois. Elle frissonna quand elle entendit Léonore déclarait :

- ce soir vous me mettrez au lit !

Toute la journée elle trembla ; saurait elle satisfaire sa patronne ?

L'heure arriva. Élise se retrouva seule avec Léonore. Son coeur battait à tout rompre. Son émoi redoubla quand elle vit, posé négligemment sur le lit, un martinet flambant neuf ! Certes sa nouvelle situation ne la dispensait pas de la fessée, au contraire, mais l'encourir pour une faute de service semblait une injure à ses yeux. Léonore se planta au centre de la chambre, devant sa psyché. Élise s'approcha.

Dissimulant sans nervosité, elle déboutonna avec dévotion la robe de sa maîtresse, elle l'ouvrit, la descendit, leva les pieds de sa patronne pour l'en débarrasser, la posa le sur un fauteuil, retira le jupon.

Léonore parut en chemise et pantalon, la taille étranglée par un corset de satin noir dont les jarretelles s'allongeaient sur le pantalon pour pincer les bas au niveau des genoux. Affolée, l'adolescente ôta les lingeries. Elle frémit en saisissant le bas de la chemise et en la remontant le long du corps pour la passer par-dessus la tête. Alors Léonore la repoussa légèrement.

Toute nue elle se regarda dans le miroir, se contempla, se détailla, s'admira, offrant tour à tour un côté de sa personne. À trente-sept ans et était dans tous l'éclat de sa beauté. De cet ensemble se détachaient les seins en forme de pomme, fermes, de grosseur moyenne, d'un blanc laiteux sur lesquels serpentaient la ciselure bleue d'une veine, le ventre renflé au pubis tapissé d'une toison d'un blond fauve, mais surtout le derrière, un volumineux derrière aux fesses rondes, rebondi souhait, rendu plus gros par la finesse des jambes le supportant.

- je me sens fiévreuse, prends-moi la température !

Titubante, Élise gagna la salle de bains à la recherche du thermomètre. Quand elle revint, sa patronne, couchée à plat ventre en travers du lit, exposait la rondeur arrogante de son cul. Dans cette posture il prenait un relief extraordinaire. Élise se dominant, avança. À cette minute, Léonore ouvrit les cuisses, livrant sa vulve épaisse, profondément fendue, embroussaillée de poils frisés. Ce sexe intrigua Elise qui n'avait en cet endroit qu'un léger duvet d'adolescente sur une mince fente fermée.

Élise, pour satisfaire sa patronne, empoigna les fesses tièdes de la main gauche. À ce contact elle a crut défaillir, d'autant que les globes palpitèrent, se couvrirent de chair de poule et se tendirent en avant. Elle les sépara, dénicha l'anus étroit, amena l'extrémité du thermomètre et lentement, très lentement, l'enfonça sur la moitié dans le rectum. Léonore l'obligea à le glisser plus loin, à maintenir ses fesses écartées et l'engin plongé dans son intestin pendant 5 bonnes minutes. Enfin elle le retira, tout aussi doucement et le tendit à son étrange patronne.

- bah ! Je me faisais des idées ! Sinon tu m'aurais donné un lavement. Dis-moi, cela t'a plu de me prendre la température ? A partir de maintenant ce sera toujours toi qui t'en chargera, n'hésite pas à me le proposer si je te semble fatiguée.

Environ une semaine plus tard, Léonore appela Elise dans sa chambre,

- Lisette, prépare –moi un lavement, il y a deux jours que je ne suis pas allée…

- bien madame.

Pour l'avoir subi maintes fois, Elise était en mesure de clystériser sa patronne et elle choisit une petite poire rouge à laquelle elle adapta un assez grosse canule avec une olive au bout ; elle savait parfaitement que pour la même quantité de liquide, la poire nécessitait plusieurs introductions et retrait successif.

Elle emplit une bassine d'eau tiède dans la quelle elle versa une cuillère de glycérine, se munit d'une grosse serviette et se dirigea vers la chambre de sa patiente puis se ravisa et s'équipa aussi du thermomètre médical…

- me voici madame, veuillez vous disposer,

Léonore repoussa les couvertures, releva sa chemise de nuit,

- je préfère rester sur le dos,

- bien madame, soulevez vos fesses que je glisse dessous la serviette.

- Bien, tout d'abord il me semble souhaitable de prendre votre température, il y a bien une semaine que vous n'avez pas été visitée par le thermomètre, pliez vos jambes sur votre poitrine,

Léonore obéit à sa servante, non seulement elle les releva mais les ouvrit, étalant sa féminité fendue.

Elise sépara les grosses joues et fit pénétrer doucement le thermomètre dans la rosace anale, jusqu'à ce qu'il ne reste à l'extérieur qu'un petit bout de verre pour le retenir.

- c'est bien, il est enfoncé convenablement

- on attend dix minutes ; j'ai opté pour la poire, cela vous convient j'espère,

- ooh mon dieu, mon pauvre petit trou subira de nombreuses pénétrations !

- bien sur madame, mais cela stimulera votre orifice et vous aidera à combattre votre constipation chronique ; d'ailleurs je me souviens d'une méthode qu'employait ma gouvernante et qui réussit bien sur les petite filles ; elle y recourrait quand elle n'avait pas le temps ou la possibilité de m'administrer un lavement ; par contre elle avait toujours dans son sac un thermomètre...

Elise imprima au thermomètre un large mouvement de va et vient en le retirant à moitié puis le replongeant aussi loin.

- nooon noon non !

Mais Léonore ne protesta pas davantage et, sous les yeux de sa servante, au bout des dix minutes, dans un long gémissement, s'octroya une jouissance.

- je vous ai fait mal madame ,

- mais non petite idiote, tu m'a fait jouir avec le thermomètre ; je t'expliquerai.

Elise ôta le thermomètre et le consulta, bien sur Léonore n'avait pas de fièvre. Se saisissant de la poire qu'elle remplit dans la bassine, Elise entreprit de clystériser sa patronne ; appuyant sur le cratère fripé l'olive de la canule, elle la logea d'un coup sec dans l'anus qui se referma sur elle, arrachant un sursaut à sa patiente ; puis très lentement elle inséra la canule jusqu'à la garde et pressa sur la poire pour injecter le liquide dans le ventre de Léonore, puis toujours aussi doucement, elle retira la canule pour regonfler la poire et renfonça le tube d'ébonite dans le derrière qui l'accepta facilement.

Pour chaque poire, le fondement de Léonore fut perforé quatre fois et quatre poires furent déversées dans l'intimité culière de la jeune femme ; lors de la dernière injection, Élise laissa enfoncé poire et canule dans le fondement,

- restez tranquille pendant un quart d'heure, après vous pourrez aller vous libérer.

Très vite, Léonore commença à gémir et a supplier la laisser aller, mais Élise se montra inflexible

- retenez-vous bien, si jamais vous laisser couler une seule goutte, je vous traiterai comme une petite fille, vous recevrez une fessée.

Le temps écoulé, Léonore s'enfuit dans son cabinet de toilette pour se vider et quand elle revint, Élise lui fit sa toilette soigneusement.

- vous devez vous reposer quelques heures, je reviendrai d'ici là pour vérifier à nouveau votre température.

Elise ne s'attendait pas à la suite des évènements.

Un soir, au coucher, Léonore la trouva rouge, posa sa main sur son front et déclara,

- tu me semble fiévreuse, allonge-toi sur le lit, je cherche le thermomètre,

- mais madame, je ne suis plus une petite fille,

- allons, ta gouvernante m'a affirmé qu'elle contrôlait régulièrement ta température et qu'il n'y avait pas de semaines que tu ne reçoive le thermomètre dans ton petit derrière, la veille de ton arrivée chez moi… et puis tu a constaté que pour moi c'était pareil…

Elise ne sut que répondre et se résigna à continuer longtemps à recevoir le thermomètre dans son fondement.

Elle revient tenant le thermomètre, relève la petite jupe noire, ôte complètement la petite culotte,

- écarte bien tes jambes que tes fesses s'ouvrent ;

elle ouvrit davantage les globes fessiers, pointa le thermomètre et le glissa doucement dans le derrière frémissant sur plus de la moitié et le tint enfoncé pendant 5 à 6 minutes.

- oooh madame, c'est doux

- tu a l'air d'aimer cela ?

- depuis que je suis toute petite, mais j'ai honte de le dire,

- il ne faut pas, moi aussi j'adore qu'une petite pointe s'introduise dans mes appartements privés, thermomètre ou canule.

Cinq minutes plus tard elle retira à moitié le tube pour lire la température puis le renfonça encore davantage,

- aieee, trop loin !

- allons soit sage, tu me le rentre aussi profondément ; détends–toi ça sera plus agréable.

La sentant encore crispée, Léonore agita doucement l'instrument dans le cratère strié et, après une timide protestation, Elise s'abandonna à l'étrange traitement que lui infligeait sa patronne.

Pire elle sentait sa fentine s'entrouvrir et s'humidifier au fur et à mesure des va et vient du thermomètre dans son trou mignon.

- Ta gouvernante te prenait ta température de cette façon ?

- Oh non madame !

- Ca te plait ?

En même temps, Léonore glissa sa main entre les cuisses de l'adolescente, un doigt tout contre l'estafilade féminine, arrachant un gémissement à la grande gamine,

- oui je sens que tu aime, ton abricot est tout humide ;

- je vous jure que c'est la première fois que ça m'arrive, même si j'ai toujours aimé me faire prendre la température.

Les dix minutes écoulées, Léonore ôte le cylindre de verre et constate le peu de fièvre - 37°8 - mais,

- tu a sali le thermomètre, cours préparer un lavement, je te l'administrerai.

- poire, seringue ou bock ?

- Seringue,

Elise prépare l'instrument de son supplice et retourne dans la chambre.

Léonore qui avait posé sur son lit une grande serviette fit étendre sa servante de dos, jambes relevées et écartées,

- tu recevra ton clystère comme une petite fille,

Elise perçut le contact de la seringue sur son œillet et une grosse boule força son anus sans cependant la faire souffrir, car soigneusement lubrifiée – Léonore avait enchâssé l'instrument lavementeux d'une canule assez volumineuse-, lentement mais sûrement, le gros tube d'ébonite se fraya un passage dans le derrière de l'adolescente qui fit entendre quelques gémissements durant l'intromission.

- allons c'est terminé, te voilà investie, ça n'a pas été douloureux au moins ?

- heu non, mais c'est gros quand même,

- il faut t'y habituer ma chérie, tu t'apercevra un jour que les messieurs s'intéressent aussi à ce côté de notre personne…

Léonore commença à appuyer sur le piston,

- aaah doucement !

- mais oui ma fille nous avons tout notre temps.

Elle tint parole ; de temps à autre elle stoppait retirait à moitié la canule, puis de nouveau le piston s'enfonçait en même temps que la canule qui reprenait sa place.

Le piston arrivé au bout, Léonore laissa l'instrument en place,

- nous allons attendre un petit moment, j'en profiterai pour t'examiner un peu,

La jeune femme ouvris de deux doigts le colibri d'Elise à peine recouvert d'un léger duvet et, passant son doigt le long de la blessure commenta,

- mon dieu tu est toute mouillée, tu aimes tant que ça les lavements ?

Puis ouvrant davantage le coquillage, elle aventura le petit doigt dans le conduit virginal jusqu'à buter sur la fine membrane de la pucelle qui cependant le laissa passer ;

- nooon madame, doucement je suis vierge !

- je le sens bien, nigaude ; rassure-toi je ne te percerai pas, mais pour ton bien je t'habituerai à recevoir des objets à cet endroit ; je t'y prendrai de temps à autre la température, tu aimera, j'en suis sûre, c'est délicieux.

Retirant le petit visiteur du fourreau humide, elle remonta sur le haut de l'entaille et effleura le petit bouton qui s'y cachait ; Elise poussa un long gémissement en se raidissant,

- nooon madame je vous en supplies, c'est sale,

- mais non grosse bête, tu ne te touches jamais ta petite perle ?

- Oui mais personne d'autre, c'est défendu…

- Tu doit tout permettre à ta maîtresse, sinon je te fesserai ; bien, cours te vider et reviens ici.

Léonore lava et essuya gentiment sa suivante et l'envoya se coucher,

- demain matin je viendrai te prendre à nouveau ta température, attends-moi avant de te lever…

Le matin huit heures, Léonore se présenta dans la chambre d'Elise, sortit de la table de nuit un thermomètre, pria la jeune fille de se tourner sur le ventre, glissa l'oreiller dessous, remonta la chemise de nuit sur ses reins, lui fit écarter les jambes en grand et, d'un geste doux mais ferme, fit pénétrer le thermomètre très profondément dans le conduit anal qui l'accepta docilement.

Ce n'est qu'un quart d'heure plus tard qu'Élise délivra sa jeune servante de son hôte médical.

- 36° 2, c'est parfait ; maintenant, j'ai besoin de toi. Hier au soir que je me suis conduite comme une vilaine petite fille : après ce que je t'ai fait, que je me suis caressée comme une folle ; traites-moi en conséquence.

Bien qu'un peu étonné, Élise s'assied sur son lit, bascule sa patronne en travers de ses genoux, et commence à la fesser à toute volée. Après 20 gifles, elle cesse une minute, puis remonte la chemise de nuit de la jeune femme, découvrant les jolies fesses qui commencent à rosir, et recommence une série de 20 nouvelles gifles ; le derrière bien rouge, elle envoie Léonore nettoyer le thermomètre. Quand elle revient, elle la bascule de nouveau en travers de ses genoux et cette fois lui prend sa température pour s'assurer que la fessée ne lui a pas occasionné de fièvre.

Léonore se montre satisfaite du traitement de sa servante ;

- n'hésite pas si je ne suis pas sage à me traiter de cette façon et méfie-toi, j'en userais de même à ton égard.

Jour après jour l'intimité grandit entre maîtresse et servante , non seulement celle-ci procédait aux ablutions, lui prenait sa température, lui administrerai les lavements, mais bientôt elle lui demanda de procéder à ses injections vaginales.

Lors de l'une d'entre elles, alors que la grosse canule était introduite en totalité et que Lisette commençait à la retirer, Léonore lui attrapa la main et la guida pour qu'elle entame un long va-et-vient de la grosse canule,

- tu vois Lisette, c'est comme ça qu'un homme opère avec son engin.

Tout naturellement, la jeune servante continua jusqu'à ce que sa maîtresse se tende dans un long gémissement.

- Merci ma Lisette de m'avoir fait jouir ainsi ; chaque fois que tu me trouvera tendue, tu recommenceras

Élise n'oubliera jamais ce matin de printemps ; dans la chambre après qu'elle aie terminé de l'habiller, Léonore lui tendit un paquet, qu'elle défit soigneusement et dont elle sortit une longue blouse d'infirmière ainsi que le bonnet qui va avec.

- je reçois régulièrement une demi-douzaine d'amies à qui j'administre tour à tour un lavement ; désormais, revêtue de cet uniforme, tu t'en chargera.