Vues: 311 Created: 2009.09.11 Mis à jour: 2009.09.11

Jeux d'eau

Extract 2

J’avais rangé le matériel à lavement dans un placard. Un jour, je l’ai surprise nue sur le lit, prête à s’administrer un lavement ; le bock posé sur la table de chevet ! Au moment ou je suis arrivée, elle prenait sa température.

- S’il te plait, retire moi le thermomètre,

j’ai dégagé le petit bout de verre qui dépassait d’entre ses jolies fesses et retiré le tube en prenant mon temps.

Elle m’a avoué que ce n’était pas la première fois, puis elle a ajouté :

- C’est très excitant, surtout quand la canule te pénètre succédant au thermomètre. Tu devrais essayer !

Un picotement me démangeait l’entrecuisse. J’étais troublée de voir son corps nu à la peau laiteuse, ses beaux seins et son minou entrouvert d’où émergeait un long clitoris. Sans être gênée par ma présence, Irène a, posé une noisette de pommade au bout de son doigt et s’est lubrifié l’anus.

Puis elle a enfoncé la canule dans ! son boyau, très lentement. Ses tétons se sont mis à bander . Quand le liquide tiède a commencé à la remplir, elle a gémi en se caressant y chatte, les doigts accrochés aux boucles blondes de son pubis. Après, elle a écarté ses grandes lèvres en me faisant admirer l’intérieur rose pâle de sa fente. Très excitée, j’ai alors décidé de me déshabiller.

Elle m’a jeté un regard complice quand je me suis allongée contre elle. Je l’ai embrassée sur la bouche, mis j’ai mordillé les pointes de ses seins. Je les étirais juste ce qu’il fallait, pour bien l’exciter. J’ai fait glisser mes lèvres sur son ventre, jusqu’à sa toison.

Irène s’est mise à jouir en agitant plus vite la canule enfoncée dans son beau derrière. A la fin, elle s’est effondrée dans mes bras, la bouche entrouverte. Plus tard, comme si elle lisait dans mes pensées, elle a dit : - Ecoute, je vais aller nettoyer le thermomètre et la canule , prendre ta température et te donner un bon lavement. Tu verras, c’est super , installes toi.

Je n’ai pas protesté et me suis allongée sur le dos. Quand elle est revenue, j’ai écarté les cuisses et lui ai livré mon œillet. Elle a lubrifié ma rondelle puis, tendrement, elle a enfoncé le thermomètre très lentement et assez profondément, plus que je ne le faisait moi-même en tous cas.

- Bien, on vas attendre cinq minutes et on passera au lavement…

Elle tenait le thermomètre entre deux doigts, le sortait un peu parfois pour lire la température et de l’autre main examinait ma moule minutieusement, aventurant ses doigts en profondeur…

Enfin elle retira le thermomètre,

- pas de fièvre ; maintenant le lavement ; je suis sure que tu va adorer.

Avec précaution elle introduit la canule dans mon anus ; l’eau tiède et savonneuse s’est écoulée lentement dans mes entrailles. J’aimais bien cette sensation nouvelle ! Tout en m’administrant le lavement, Irène me branlait le dito et agitait de plus en plus ses doigts dans mon manchon. De temps à autre, elle remuait la canule fichée dans mes entrailles, ce qui m’excitait énormément. J’ai commencé à jouir.

Quand mon orgasme s’est apaisé, j’étais vannée.

Depuis, Irène et moi pratiquons nos petit jeux plusieurs fois par semaine. C’est devenu un rituel ! Pour un oui ou pour un non, sous n’importe quel prétexte mon amie ou moi affirmons…

- Viens par ici, tu me semble fiévreuse, je vais prendre ta température !

Nous utilisons le thermomètre pratiquement tous les jours, c’est tellement facile, penchées sur la table, assises sur un fauteuil, en travers des genoux de l’autre, sur le lit…

Nous avons acheté des canules plus ou moins grosses. Certaines comportent des petits trous sur toute leur longueur, d ‘autres ont leur extrémité percée d’un trou unique de fort diamètre. j ‘ai mes préférences et elle aussi. Nous maîtrisons parfaitement la technique du lavement ce qui nous permet de pratiquer des tas de caresses intimes. Nous nous remplissons doucement d’eau tiède, en nous branlant mutuellement.

J’adore contempler sa chatte béante et luisante, et surtout, cette canule enfoncée entre ses fesses. Depuis, nous nous passons d’hommes et pratiquons exclusivement notre « vice », du