Jeux d'eau
Extract 1
Depuis trois ans, je cohabite avec Irène, une jolie blonde. Moi, je suis très brune. Nos relations étaient purement amicales, jusqu'au jour où elle est tombée malade.
Ce matin là, elle avait mal au ventre, se sentait mal ; machinalement, je posais ma main sur son front ; elle me sembla fébrile,
- tu devrais prendre ta température, il y a un thermomètre dans la salle de bain.
- je crois que tu a raison, veux-tu aller me le chercher.
Je reviens avec l’instrument et le lui tends,
- c’est un thermomètre rectal,
- heu oui, c’est comme ça… tu n’aimes pas ?
- c’est pas çà, mais d’habitude, quelqu’un s’en charge pour moi…Dis Pauline tu veux bien me prendre ma température ?
Une chaleur bizarre me monte à la tête, je bafouille une acceptation ; j'extrais l’instrument médical de son étui, le secoue et le lubrifie soigneusement avec ma salive….
Des souvenirs me reviennent… La dernière fois que j’ai pris la température à quelqu’un, je devais avoir quatorze ans… Avec ma cousine Marie-Laure nous jouions au « docteur » depuis notre enfance…
- tournes-toi sur le côté et replie tes jambes,
Je m’assieds à coté d’elle, remonte sa chemise de nuit au dessus de ses fesses et sa lune m’apparaît dans toute sa splendeur ; jamais je ne l’avais contemplée d’aussi près. Pas plus que moi elle ne porte de culotte la nuit. J’écarte les deux joues fessières pour débusquer l’anus beige que je trouve étroit à souhait. Je passe le thermomètre deux ou trois fois sur le petit orifice pour bien le mouiller, puis je commence lentement l’introduction sur environ les trois-quarts de la longueur. Irène n’a pas protesté ; par contre, je me suis rendu compte que sa rondelle palpitait au fur et à mesure que le thermomètre s'enfonçait.
Je suis restée dix minutes à tenir le tube de verre dans le derrière de mon amie sans qu’elle ne s’impatiente.
Deux ou trois fois, j’ai retiré un peu le thermomètre pour lire la température, puis l’ai replanté aussi profondément.
Elle avait 38°6, j’ai appelé un médecin.
Ce dernier m'ayant conseillée de lui administrer un lavement pour calmer ses douleurs intestinales, j'ai du acheter le matériel nécessaire ; une poire avec trois canules, un bock avec un tuyau de caoutchouc et les canules assorties.
J'ai rempli le bock d'eau tiède et savonneuse et l’ai posé sur la table de chevet. Irène s'est étendue à plat ventre sur une grande serviette posée sur son lit ; j'ai retroussé sa nuisette, enduit son petit trou de salive, puis j'ai fait pénétrer la longue canule, tout doucement, assez profondément.
Cela ne semblait pas lui déplaire et moi, ça m'a troublé énormément, encore plus que lorsque je lui avais pris sa température. J’ai ouvert le petit robinet entre ses fesses pour que l’eau s’écoule.
Deux ou trois fois, j’ai fermé le robinet et agité la canule ; ça évite les crampes. Le bock vidé, je n’ai pas retiré tout de suite la canule, pour laisser le lavement agir. Malgré les plaintes de mon amie, j’ai réussi à lui faire garder son lavement au moins dix minutes…
Ce lavement la soulagée, car le lendemain, après une journée de repos (et deux prises de température), elle allait beaucoup mieux.[/left]
C'est toujours aussi agréable de lire…
Bravo et merci à Fournier pour cette …