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Vues: 663 Created: 2020.07.11 Mis à jour: 2020.07.11

Les études de Marie-Jeanne

Contamination

Marie-Jeanne eut du mal à s’endormir. Elle repensait à comment elle s’était offerte à sa logeuse, à ses regards, à sa bouche, à ses mains, à ses doigts. Elle repensait à ce thermomètre lui dilatant son orifice honteux. Elle repensait à son plaisir, quand elle se tortillait sous les attouchements de madame Granlean. Sa main était tentée de reprendre le même chemin, mais elle se disait que non, ce n’était pas raisonnable. D’ailleurs ce qui s’était passé tout à l’heure était-il bien raisonnable ? Elle dormit mal.

Le matin, en prenant sa douche, Marie-Jeanne repensa aux mains de madame Granlean sur son corps, sur ses seins (son gant de toilette passant à l’endroit désigné), sur ses fesses, sur son sexe… Et à comment elle l’avait touchée, comment pour la première fois de sa vie quelqu’un d’autre lui avait donné du plaisir, et ce sans honte. Comment tout cela était contraire à son éducation… Et ce thermomètre dont elle avait apprécié les mouvements de dilation de son fondement… Devenait-elle folle ?

Madame Granlean ne fit aucune allusion aux événements de la veille, et lui proposa d’aller au marché après son petit déjeuner. Marie-Jeanne accepta. Il y avait tout de même un malaise, une tension, entre les deux femmes.

Madame Granlean passa l’après-midi chez des amis. Quand elle rentra, elle était un peu fatiguée. Les deux femmes firent dîner à part.

Le lendemain, Marie-Jeanne ne vit que très rapidement sa logeuse le matin avant son départ pour l’université. Quand elle rentra, elle ne la vit pas. Elle était dans sa chambre, sans doute. Elles se croisèrent dans la cuisine.

« Marie-Jeanne, je crois que vous m’avez refilé votre grippe.

— Oh désolé madame.

— Ce n’est rien, je n’ai pas de cours, moi. »

Marie-Jeanne s’offrit pour préparer les dîners de la semaine. Madame Granlean accepta. Le lundi et le mardi, elle était bien fatiguée.

Le mercredi à dîner, Marie-Jeanne demanda à sa logeuse, qui semblait mieux aller, si celle-ci avait encore de la fièvre.

« Ah ça… ce matin encore 38,3.

— Et ce soir ?

— Je n’ai pas mesuré.

— Oh madame Granlean enfin c’est vous qui m’aviez dit toutes les douze heures, comme à l’hôpital !

— Touché, vous avez raison.

— Voulez-vous que je m’en charge ? »

Marie-Jeanne était surprise de sa hardiesse. Madame Granlean tressaillit.

« Hé bien pourquoi pas. Après tout cela pourra vous aider pour quand vous aurez des enfants. On fera cela à mon coucher. »

Madame Granlean, une fois le dîner passé et sa toilette faite, lut un peu, puis appela Marie-Jeanne.

« Puisque vous voulez jouer à l’infirmière…

— Oh madame mais si cela vous embête.

— Pas du tout ! Comment me voulez-vous ?

— Euh comme moi, sur le ventre culotte baissée. »

Madame Granlean s’exécuta. Tout en se déculottant, elle informa Marie-Jeanne d’une nouveauté :

« Marie-Jeanne, la semaine dernière, comme je suis passée à la pharmacie pour autre chose, j’ai pris de la vaseline au cas où vous retombiez malade. Je me disais que c’était tout de même plus moderne que la margarine, et ça ne rancit pas. Je l’ai posée à côté du thermomètre. »

Madame Granlean s’était mise sur le côté pour pouvoir guider Marie-Jeanne. « Vérifiez que le mercure est bien redescendu à 35… normalement je l’ai fait, mais sinon, il faut le secouer en le tenant par l’extrémité opposée au réservoir pour le faire redescendre. Mettez un peu de vaseline sur le bout. Pour usage sur moi-même je n’en mets pas, mais pour le mettre à autrui ça me semble plus prudent. Voilà c’est bon. »

Sur ces paroles, elle se met sur le ventre. Marie-Jeanne lui écarta les fesses. C’était la première fois qu’elle voyait un anus, à part celui du bébé dont on lui avait fait changer la couche une fois afin de l’instruire de ses prochaines fonctions de mère. Elle approcha le thermomètre. Se remémorant les façons de faire de sa logeuse, elle lui intima de « Pousser… comme pour la selle. ». Elle vit l’anus s’ouvrir et y plongea la petite sonde.

Comme Madame Granlean l’avait fait, elle s’assit sur le lit, tenant le thermomètre entre deux doigts. Elle hésitait à se livrer à des caresses. Elle en avait envie. La texture de la peau, le gras qu’elle percevait dessous, les courbes, tout cela la troublait considérablement.

« Mesurez trois minutes. »

Elle regarda le réveil. Elle se lança maladroitement dans une conversation sur ses études, à laquelle madame Granlean répondait poliment.

« Les trois minutes sont passées, madame » dit-elle en retirant l’instrument.

« 38°C.

— Très bien. Nettoyez et désinfectez le thermomètre avec de l’alcool. Voilà… Secouez-le pour faire redescendre jusqu’à 35°C… Très bien, maintenant dans l’étui. »

En reposant l’étui, Marie-Jeanne fut prise d’une inspiration à la vue du rouleau de papier toilette que madame Granlean avait laissé là. Elle en prit deux feuilles et entreprit de torcher l’anus lubrifié.

« Bonne initiative. La graisse tacherait sinon ma culotte. »

Madame Granlean se renculotta. « Vous voyez, ce n’est pas difficile. »

Ce soir là, Marie-Jeanne se toucha en pensant à cette paire de fesses mûres qu’elle avait effleuré.

Comments

clyso Il ya 4 ans