Christophe, jeune homme naïf

Nouvelles explorations

Maintenant que Christophe était guéri, Cécile n’avait plus de raison de se priver de son contact. Elle le ramena à sa chambre, l’enlaça et l’embrassa. Puis elle le déshabilla, remarqua « j’aime bien la vue » devant sa verge à demi dressée, lui caressa le torse.

« Hé bien tu ne me déshabilles pas ? Déshabillez-moi, ahah »

Christophe ne se fit pas prier. La petite culotte rejoignit le slip, et il enlaça la demoiselle en jouant avec ses fesses. Ils s’embrassèrent sur la bouche, puis il passa dans son cou, qu’il savait un peu chatouilleux. Leurs mains se promenaient partout.

« À la douche ! Au moins le zizi ! »

L’organe fut dûment lavé, et, à la fin du rinçage, brièvement sucé. Pour faire bonne mesure, Cécile enchaîna sur le postérieur « parce que je veux un garçon bien propre là aussi ».

C’est jambes écartées que Cécile se fit laver le sexe et l’entre-fesse. Lorsque les deux tourtereaux furent propres, ils se caressèrent, se sucèrent, se léchèrent… Cécile atteignit le plaisir un doigt fermement planté dans son vagin et appuyant là où il fallait. Quelques minutes plus tard, la semence de Christophe coulait sur la main de son amie.

Les jours suivants, la séance de câlins eut lieu après dîner. Comme la chambre de Cécile était un peu plus grande et comprenait une douche, ils préféraient celle-ci (chez Christophe, il fallait aller à des douches communes ; pour la toilette intime, ils utilisaient le lavabo). Dormir à deux dans un lit une place était un peu inconfortable mais ils étaient habitués. Toutefois, jeudi soir, ils étaient chez Christophe.

Celui-ci, alors qu’ils étaient en train de jouer, demanda d’un air timide

« Dis Cécile j’aimerais… que tu me mettes un doigt dans le derrière.

— Rooh mon grand pas besoin d’avoir l’air si embarrassé ! Bon, où est la Vaseline ? »

Cécile, ramenant le lubrifiant, eut une idée. Elle et son ami avaient convenu de garder chacun dans sa chambre une boîte de préservatifs prête pour le jour où elle oserait passer devant sa peur de la pénétration. Elle ouvrit celle de Christophe, sortit un préservatif et se l’enfila sur le majeur. Christophe la regardait, comme surpris. Puis elle l’enduisit de Vaseline.

« Comment veux-tu te mettre ? »

Christophe n’était en fait pas tant surpris que pris dans ses souvenirs. Quand il avait environ 10 ans, il avait été pris d’une violente crise d’appendicite. Madame le docteur Hirsch était venue à la maison l’examiner. Après un examen de l’abdomen, le docteur avait un peu parlé à l’écart avec sa mère, puis était allé chercher une boîte de gants dans sa voiture. L’enfant n’avait compris en quoi consistait l’examen que quand le doigt ganté posé sur son anus l’avait profondément pénétré. Ce geste décidé lui violant l’intimité, certes avec douceur et lubrification, l’avait profondément troublé. Ce que Cécile s’apprêtait à faire sans le savoir, c’est à tenir le rôle de la doctoresse.

Christophe se mit sur le dos et souleva les genoux. Ce n’était pas la position dans laquelle il avait été examiné pendant l’enfance, mais elle lui semblait plus confortable. Le doigt se posa, l’ordre de « pousser » (comme la doctoresse le lui avait intimé, d’ailleurs, et comme sa maman faisait pour les suppositoires) fut obéi, et Christophe subit son premier toucher rectal à l’âge adulte.

Cécile trouvait cela très amusant et éducatif. Elle avait un peu entendu des amies parler de « mettre un doigt dans le cul pendant la pipe », et elle s’était demandé ce qu’il y avait de si remarquable. Elle avait vu mentionner la prostate et son rôle. Hé bien, elle tâterait la prostate de Christophe ! Après un peu de tâtonnement, elle trouva un point où la pression produisait chez lui une forme de plaisir mêlée à une envie d’uriner.

La position était tout de même inconfortable pour ses doigts pas très longs. Elle se retira, et passa l’index aussi dans le préservatif. Puis, avec précaution, elle pénétra à nouveau Christophe. La sensation de deux doigts lui dilatant le sphincter était nouvelle pour lui. Elle le suçait et le masturbait de l’autre main, tandis qu’elle lui appuyait sur la prostate.

« Cécile je vais… »

Cécile eut juste le temps de sortir le gland de sa bouche. Le sperme lui jaillit sur les lèvres. Elle retira ses doigts et alla jeter le préservatif, sur lequel des traces marron trahissaient l’usage normal de l’orifice dans lequel il avait été inséré. Elle essuya l’anus de Christophe avec un mouchoir. Celui-ci était un peu troublé de se faire ainsi « torcher », mais après tout il n’avait qu’à s’en prendre à soi-même de sa demande…

Cécile prit son plaisir sous une forme plus conventionnelle. Ils dormirent ensemble. Le lendemain soir, chacun repartit passer le week-end en famille.

Le début de semaine, commençant le dimanche soir, fut plus classique. Christophe innova cependant en frottant la vulve de Cécile en lui passant la verge sous les fesses. La sensation était divine : le ventre contre les fesses, la verge contre les lèvres intimes, et le gland contre le clitoris… mais Cécile avait peur qu’un éventuel épanchement du garçon ne puisse s’écouler dans son vagin et causer une grossesse alors très indésirée. Aussi mit-elle en place un préservatif.

Cécile avait depuis des années repoussé la question de la contraception. Elle n’avait pas de petit copain, donc rien de pressé ; puis elle en avait un, mais après tout les préservatifs existent… C’est qu’on lui avait dit que pour se faire prescrire la pilule il fallait passer un examen gynécologique, et que vu les difficultés qu’elle avait à mettre et à retirer un tampon, ou à accueillir plus qu’un doigt de son amant, elle n’avait aucune envie de subir cet examen que ses amies lui avait décrit comme désagréable.

Ce frottement de la verge contre la vulve était une excellente initiative de Christophe, jugeait-elle. Celui-ci bougeait tout en lui tripotant les seins. Le passage du gland devant l’entrée de son vagin lui donnait des envies de pénétration.

Elle n’y tint plus ; elle se mit sur le dos et l’invita

« Mets moi ta verge. »

Hélas ! Encore une fois, l’appréhension et la résistance hyménéale eurent raison de leurs désirs. L’ambiance était cassée. Cécile se dit qu’elle aurait dû se contenter de ce qu’elle avait au lieu de chercher plus. Elle masturba Christophe au travers du préservatif, ce qu’elle trouva fort pratique : il n’y avait pas à lubrifier tout le temps (quoiqu’elle aimât la succion) et l’éjaculat était contenu au lieu de salir les draps.

L’agréable routine reprit les jours suivants. Ses règles commencèrent, mais cela n’arrêtait pas Christophe : après tout, il la lavait avant usage. Elle eut droit au frottement de la verge sans préservatif ; il s’agissait d’une période non fertile. Elle eut un orgasme ainsi. Toutefois, elle regrettait tout de même de ne pas avoir été pleinement traitée en femme et pénétrée.

Le jeudi, Christophe eut une demande particulière : il voulait recevoir un doigt, comme la semaine dernière. Il avait d’ailleurs ramené la Vaseline, preuve qu’il avait de la suite dans les idées ! Cécile lui dit alors de faire un petit tour aux toilettes en préparation. Christophe n’avait pas envie de se rhabiller pour sortir jusqu’aux WC et ne ressentait pas l’urgence de la demande ; il répondit que cela ne lui semblait guère utile.

« Christophe, je t’aime beaucoup mais, même avec un préservatif dessus, je préfère ne pas mettre les doigts dans ton caca. Attends, j’ai une idée. »

L’imagination fertile de Cécile lui avait suggéré une petite plaisanterie, un petit gage, à l’égard de Christophe. Cécile souffrait depuis longtemps d’épisodes, heureusement pas si fréquents, de constipation aiguë, et en prévision, outre un flacon d’huile de paraffine à avaler par cuillerées, elle gardait une boîte de suppositoires de glycérine. Elle en sortit un.

« Allez montre-moi tes fesses !

— Ah mais qu’est-ce que c’est ?

— Un suppo pardi.

— Mais je n’ai pas de fièvre !

— Gros bêta c’est de la glycérine, ça te fera aller aux toilettes.

— Mais enfin je n’en ai pas besoin ! »

Cécile croisa les bras, le suppositoire toujours dans les doigts.

« Christophe, je t’aime beaucoup c’est toi qui veux mes doigts dans ton derrière et moi qui préfère que ça soit propre dedans. Alors soit je te mets un suppo, soit pas de doigts. »

Christophe fit contre mauvaise fortune bon cœur et tendit les fesses. Il se revit enfant subissant les suppositoires maternels… La petite ovule laxative fut vite en place.

Le câlin fut particulier. Cécile avait proposé de réviser un peu des cours en étant tout nus et en se caressant un peu. Christophe sentait au début la présence de l’intrus, puis celle-ci s’estompa, peut-être en raison de sa fonte. Il l’avait presque oublié quand il sentit un besoin naturel monter en lui.

« Cécile, je crois que je vais devoir y aller. »

Il s’habilla et elle passa un peignoir. Quand il fut de retour, elle lui fit un petit strip-tease.

Christophe s’était senti curieusement stimulé par le suppositoire. La séance de câlins commença par la douche, puis par son plaisir à elle, administré par la verge prise entre les fesses (même après une douche, elle repoussa l’offre d’un cunnilingus pendant ses menstruations).

« Et maintenant au cucul du monsieur. Je vais te laver la verge rapidement avant. »

Et « cucul » fut bien massé de l’intérieur tandis que la langue et les lèvres de Cécile s’activaient.

Tout ceci était peut être un peu pervers, jugeait-elle, mais c’était bon !

Comments

clyso Il ya 4 ans