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Vues: 582 Created: 2020.07.20 Mis à jour: 2020.07.20

Les études de Marie-Jeanne

Nuit de douceur

Marie-Jeanne se réveillait tôt chaque matin pour aller à l’université. Elle ne réveillait pas Madame Granlean, épuisée par la grippe, qui dormait plus longtemps que son horaire habituel ; sauf le mercredi où elle se réveilla tôt, et où Marie-Jeanne proposa ses services d’infirmière, qui furent acceptés.

En revanche, le soir, c’était toujours Marie-Jeanne qui prenait la température. Madame Granlean lui avait confié le papier où elle notait les mesures. La vision de ce fessier offert troublait la jeune fille. Elle prit son courage à deux mains pour proposer peut-être une petite aide « pour faire dormir », mais madame Granlean lui répondit que vraiment elle n’était pas dans les meilleures conditions pour la bagatelle et qu’elle préférait attendre.

En dehors de ces activités particulières, Marie-Jeanne avait un comportement filial envers sa logeuse, au-delà de l’échange de bons procédés entre deux dames malades à tour de rôle. Elle se sentait bien, avec elle. Était-ce cela, l’amour ?

La semaine passa et enfin la fièvre décrut. Madame Granlean était encore fatiguée, mais en bonne voie. « Je crois que je ne vais plus avoir besoin de vos services d’infirmière à domicile » plaisanta-t-elle. Marie-Jeanne n’osa aborder la question de ce qui devait attendre la guérison.

Le soir venu, madame Granlean aborda la jeune femme.

« Marie-Jeanne, mes fesses vous plaisent. Voulez-vous voir le reste ?

— Volontiers, madame. »

Madame Granlean amena Marie-Jeanne dans sa chambre. « J’ai augmenté le chauffage pour que nous soyons plus confortables », expliqua-t-elle. Puis elle se mit à se déshabiller devant la jeune fille. Tout y passa. Marie-Jeanne admira les deux gros seins, pas trop tombants malgré l’âge de leur propriétaire. La culotte tomba, Marie-Jeanne apprit alors que les poils pubiens eux aussi blanchissaient avec l’âge.

Madame Granlean retira ses chaussettes, et elle se tint nue, debout, fière, devant Marie-Jeanne.

« Ce que vous voyez vous plaît

— Oui…

— Voulez-vous que je vous déshabille ou préférez-vous le faire vous-même ? »

Marie-Jeanne ne releva pas que dans l’esprit de madame Granlean, il n’y avait pas de toute qu’elle dût finir nue elle aussi.

« Déshabillez-moi s’il vous plaît. »

Madame Granlean ne se fit pas prier. Chemisier et jupe partirent en premier, puis les chaussettes. Madame Granleau libéra ensuite les seins, qu’elle regarda d’un air approbateur. Enfin, la culotte y passa aussi. Madame Granlean posait les vêtements sur la commode. Enfin, elle se retourna vers Marie-Jeanne, la prit dans ses bras et attira ses lèvres vers les siennes. Marie-Jeanne reçut son premier baiser sur la bouche tandis qu’elle se faisait caresser le dos.

Madame Granlean l’entraîna sur le lit. Elles étaient face-à-face, les mains posées l’une sur l’autre.

« Mon enfant, j’aimerais que les choses soient claires. Je ne veux pas paraître tirer profit de votre inexpérience. À tout moment vous pouvez refuser, et nous reprendrons des relations normales de logeuse à locataire. D’accord ?

— Oui, madame.

— Dans notre société on informe peu les jeunes filles des réalités des choses du sexe. J’aimerais faire votre éducation sur ce point, en vous expliquant notamment à quoi vous en tenir sur les hommes, sur les précautions à adopter pour ne pas faire d’enfants, etc. Comme cela, vous choisirez en connaissance de cause. Je vous donnerai à lire des documents et vous instruirai ; comme cela nous joindrons l’utile à l’agréable.

— Merci madame. »

Madame Granlean l’attira contre elle et se mit à la caresser ; Marie-Jeanne répliqua de même. C’était bon, doux, chaud. Elle se sentait bien… Madame Granlean lui embrassa le bout des seins, les suçant afin de les faire pointer. Marie-Jeanne fit de même ; elle apprécia la sensation des tétons entre ses lèvres. Madame Granlean la couvrit de baisers ; elle l’imita. La main de madame Granlean s’insinua entre ses cuisses, qu’elle ouvrit pour la laisser mieux faire. Son index éprouva l’humidité intime de la jeune fille.

« Vous êtes mouillée ici. Savez-vous à quoi cela sert ?

— Euh…

— À faciliter l’entrée du pénis. Jamais de coït sans lubrification. C’est valable aussi pour le doigt. »

Et joignant le geste à la parole, elle enfonça doucement son doigt dans le vagin.

« Là je sens votre hymen. Je serai prudente avec celui-ci car, dans notre société, il est de bon ton que celui-ci ne soit pas rompu avant la nuit de noces. Avez-vous déjà mis votre doigt là ?

— Non… ma mère m’avait dit de ne pas me toucher là sauf pour m’essuyer ou me laver, et surtout de ne rien enfoncer !

— Je vois. »

Le doigt s’agita dans l’orifice, sans forcer, puis se retira. Deux doigts saisirent les petites lèvres et les masturbèrent (« ici je manipule vos petites lèvres »), puis se posèrent sur le clitoris (« ici est votre clitoris, qui vous procure du plaisir, mais je crois que vous connaissez déjà »).

« À votre tour. Vous avez les mains propres ?

— Euh…

— Allez donc vous les laver. »

Marie-Jeanne obéit. Quand elle rentra, madame Granlean, allongée les jambes un peu écartées, la regarda approcher.

« Allez, allongez-vous à côté de moi et touchez-moi, s’il vous plaît. »

Marie-Jeanne jeta un regard affolé à la veuve, puis, devant le regard bienveillant de celle-ci, étendit sa main vers son sexe. Madame Granlean écarta les jambes pour faciliter l’exploration. Marie-Jeanne toucha les lèvres intimes, le clitoris, puis l’entrée du vagin, elle aussi mouillée.

« Allez, n’hésitez pas, entrez. »

Marie-Jeanne enfonça son doigt légèrement.

« Vous pouvez aller plus profond. Vous savez, un mari et trois enfants sont passés par là. »

Marie-Jeanne rougit et enfonça son doigt à fond. La texture, le relief, étaient intéressants.

« N’hésitez pas à explorer. Vous êtes là pour apprendre. »

Marie-Jeanne bougea son doigt, sentant les os, les différentes textures, et comme un objet dur au fond.

« Je crois que vous m’avez touché le col de l’utérus. Cela arrive aussi bien avec le doigt qu’avec la verge. »

Marie-Jeanne continua son exploration.

« Appuyez en direction de mon nombril. »

Marie-Jeanne s’exécuta.

« Là oui, très bien. C’est un endroit agréable… Vous pouvez mettre deux doigts. »

Marie-Jeanne obéit.

« Pouvez-vous me toucher le clitoris de l’autre main ? »

Marie-Jeanne obéit et se mit à masturber madame Granlean de l’intérieur et de l’extérieur. La veuve se laissait aller. Sa respiration se fit plus rapide.

« Plus vite s’il vous plaît Marie-Jeanne. »

Marie-Jeanne s’exécuta. La respiration de Madame Granlean était forte, et d’un coup elle fut prise de tremblements. Marie-Jeanne la regarda avec une grande douceur, elle était très fière d’avoir pour la première fois donné du plaisir à quelqu’un d’autre. Elle retira ses doigts poisseux du vagin.

« Merci. C’était très bien. Venez contre moi. »

Madame Granlean la serra contre son sein. C’était doux. Marie-Jeanne s’enhardit et embrassa la veuve dans le cou, puis les joues, puis sur la bouche. Madame Granlean lui caressait les cheveux.

Après quelques minutes ainsi, Madame Granlean dit doucement :

« Marie-Jeanne, j’aimerais vous faire plaisir aussi. Puis-je ?

— Oui, s’il vous plaît. »

Madame Granlean embrassa Marie-Jeanne sur la bouche, les joues, dans le cou, et sur les seins, suçotant les tétons… puis les épaules, les bras, le ventre, les cuisses, avant d’écarter celles-ci. Marie-Jeanne comprit avec horreur que madame Granlean comptait l’embrasser sur le sexe !

« Ah non madame c’est sale !

— Mon enfant, on enseigne aux femmes que leur sexe est sale. Certes, parfois cela sent l’urine ou la sueur, et pendant les menstrues il y a le sang, mais sinon ce n’est pas sale. Toutefois, j’aimerais vous mettre en confiance. Venez avec moi. »

Madame Granlean l’entraîna dans la salle de bains, remplit le bidet, et passa un gant de toilette.

« Prenez place, dos au robinet. »

Les yeux de Marie-Jeanne s’ouvrirent grands, mais elle obéit.

« Écartez bien les jambes. »

Madame Granlean se pencha sur elle, s’appuyant sur elle, et se mit à lui laver le sexe à l’eau. Les doigts gantés passaient entre les petites lèvres, puis la main à plat frottait le sexe.

« Maintenant avancez-vous et penchez-vous en avant. »

Marie-Jeanne s’exécuta. La main gantée lui lava l’entrefesse et l’anus, s’insinuant même superficiellement dans celui-ci.

« Voilà. Levez-vous. Je vais vous essuyer. »

Madame Granlean rinça le gant, le raccrocha et vida le bidet. Puis, se saisissant d’une serviette, elle sécha d’abord la vulve de la jeune fille, puis son entre-fesse.

« Si vous vous sentez mal à l’aise parce que vous pensez être sale à cet endroit, je vous conseille un tour sur le bidet. Si vous préférez que cela soit moi qui vous lave, demandez. »

Elle saisit la jeune femme par la taille et la ramena dans sa chambre. Elle la fit asseoir au bord, puis allonger jambes écartées. Les yeux de madame Granlean pétillaient à la vue de la vulve de la jeune femme. Marie-Jeanne était toute étonnée de la facilité avec laquelle elle était venue à exhiber son intimité.

Elle mit des petits baisers sur le clitoris exposé, puis descendit le long des lèvres. Un coup de langue dans le vestibule vaginal surprit Marie-Jeanne. La langue remonta, puis se mit à laper le clitoris. Madame Granlean se concentrait sur celui-ci, mais descendait de temps en temps pour lécher l’entrée du vagin.

Marie-Jeanne était encore toute surprise de cette caresse, qu’elle aurait jugée sale et perverse. C’était très doux, et madame Granlean semblait y mettre du cœur… Quant aux sensations, elles étaient différentes d’avec les doigts. Marie-Jeanne se laissa aller à l’expérience.

Marie-Jeanne finit par jouir avec un petit cri.

Madame Granlean et Marie-Jeanne dormirent ensemble pour la première fois, nues. Marie-Jeanne apprécia combien il était agréable d’avoir un corps contre lequel se pelotonner. C’était ce que l’on imaginait faire avec un mari… hé bien elle le faisait avec une femme qui pourrait être sa mère. C’était curieux, mais elle se sentait bien. Et elle apprenait beaucoup de choses sur elle-même et sur la vie.

Comments

lavement68a Il ya 3 ans  
Aranam Il ya 4 ans