La fin d’année s’était très bien passée, si ce n’est que Marie-Jeanne éprouvait de fortes angoisses vis-à-vis de ses examens, angoisses qui lui tordaient les boyaux. Elle avait encore du mal à se faire à l’idée qu’elle n’était pas plus bête que ses camarades « de la grande ville ».

« Je vous propose des massages pour vous détendre. Pour vos maux de ventre… un lavement à la camomille me semble indiqué. »

Marie-Jeanne soupira, car ce traitement était tout de même fort embarrassant. Elle se déshabilla complètement, fut envoyée aux toilettes pour se délester, puis madame Granlean lui massa les épaules et le dos tandis que l’eau pour la camomille chauffait, puis que la tisane infusait. Ce fut ensuite le moment de l’injection, très progressive, allongée sur le côté sur une serviette. Madame Granlean continua de lui masser le dos, les seins et le ventre pendant la rétention de la tisane dans ses boyaux. Marie-Jeanne se laissait faire, et fut en fait surprise quand madame Granlean lui tapa légèrement sur le postérieur en lui disant « à la selle maintenant ! et lavez-vous les fesses ! ».

Elle ne s’attendait cependant pas à ce que lorsqu’elle revint, toujours nue, de la salle de bains, madame Granlean lui proposât de revenir pour un autre massage, ni à l’invitation d’écarter les jambes, afin que le massage des reins s’accompagnât d’une masturbation de l’autre main. La détente fut totale.

Marie-Jeanne reçut pareille injection et pareil massage chaque soir de sa semaine d’examens, avant dîner, sans toutefois la masturbation, madame Granlean préférant un échange réciproque de caresses au moment du coucher. Marie-Jeanne était partante : quoi de mieux pour préparer un travail scolaire léché que d’avoir une vulve à lécher… et ensuite d’être soi-même amenée à un orgasme préparant à un sommeil réparateur !