Alain70


Vues: 41374 Created: 2008.01.19 Mis à jour: 2008.01.19

Marie, jeune fille au pair

Chapitre 1

Marie, jeune fille au pair dans une riche famille anglaise découvre les couches puis le bondage avec une maîtresse de maison un peu coquine.

- Quoi ? t'as encore pissé au lit ? Eh bien on va être obligé de te foutre des couches, comme les mômes. Au moins tu ne me saliras plus les draps.

- Mais...

- C'est pas possible de voir ça...Madame Williams accueille une jeune fille au pair pour s'occuper des enfants et pour nous aider un peu dans notre travail et c'est elle qui nous en cause encore plus... Non mais je rêve...

- Louise, je... Je ne comprends pas...

- Et bien là tu vas comprendre. Tu vas à la pharmacie tout de suite et tu t'achètes un paquet de couches pour adultes. Ca ne peut plus durer Marie. Il faut prendre des mesures.

- Mais enfin...

- Et tu ne discute pas s'il te plait, ou j'en parle à Madame Williams et elle te renverra en France.

- Bien Louise.

Tremblante et mal à l'aise, les larmes aux yeux, Marie enfile son manteau, quitte la grande maison de Chelsea et part seule dans la rue, une boule au ventre. Elle ne comprend pas ce qui lui arrive. Elle a 22 ans et jamais elle n'a eu ces problèmes de pipi au lit. Mais depuis deux semaines, elle se retrouve systématiquement avec un lit mouillé tous les matins. Quelle honte... Sa famille d'accueil est une grande famille de la haute bourgeoisie londonienne. Cette famille dispose de quatre domestiques dont Louise. Louise c'est la gouvernante, c'est la responsable des domestiques et la responsable directe de Marie, nouvelle venue de Paris pour s'occuper du Français des deux petits Williams. Louise est un peu stricte et réagit assez mal. Elle connaît la maison depuis longtemps, surtout Madame Williams, la mère. Madame Williams est exigeante avec ses enfants et les autres domestiques.

Sitôt arrivée, Marie a vite compris qu'elle devait filer droit. Madame Williams lui a d'abord imposé l'uniforme, comme les autres domestiques de la maison :

jupe noire et collant noir, chemisier et petit tablier blanc. Elle aurait pu repartir en France, c'est vrai, mais quel échec cela aurait-il été aux yeux de tous ses amis et de sa famille... et de toute façon, elle avait bien signé pour s'occuper des enfants et faire un peu de ménage. Madame Williams ne demandait jamais plus. Elle était sévère mais juste.

La pluie commençait à tomber. Heureusement, la pharmacie n'était plus très loin.

Encore 200 mètres... La voilà. Elle rentre, très mal à l'aise... Les néons tranchent avec le ciel sombre de l'extérieur. C'est une grande pharmacie, avec plusieurs rayons libre-service, comme il y en a beaucoup à Londres. On peut y acheter un peu de tout, du dentifrice, aux pellicules photos en passant bien sur par les produits de bain et d'hygiène. Marie arpente rapidement les rayons, elle se dirige naturellement vers l'endroit ou elle achète ses serviettes périodiques.

Elle a déjà cru apercevoir, sans jamais vraiment les regarder, des produits pour l'incontinence. Les voilà, c'est au bout du rayon. Il n'y a pas beaucoup de choix... Plusieurs paquets, blancs et bleus, mais c'est la même marque :

Tena "Dix Changes complets pour adultes - Incontinence moyenne à sévère".

Devant les paquets, Marie prend conscience du problème. Elle est vraiment très gênée, n'ose pas s'approcher du paquet pour lire la notice sur le coté...

Elle reste debout, un peu décalée, en faisant mine de regarder les paquets de Tampax à côté. Elle regarde rapidement dans le rayon. Il n'y a personne.

Elle se penche un peu plus sur les paquets. Bon, premier constat, les paquets sont exactement les mêmes, mais il y a trois tailles différentes.

- Zut, que faire ?

Côté taille, Marie sait qu'elle se situe dans la moyenne... C'est une belle jeune brune pulpeuse dirait-on, 1m68, 57 kg, une belle poitrine bien ronde et de très belles fesses, qu'elle sait mettre en valeur sous des petites jupes moulantes.

Marie a du succès en général, on dit souvent qu'elle a un petit air de Virginie Ledoyen.

- Pfff... Bon, je vais prendre M, ça sera au milieu... pense t-elle rapidement.

Avant de prendre le paquet, elle balaye encore une fois du regard le rayon.

Une personne choisit une crème à épiler et une autre est concentrée sur le mode d'emploi d'une crème quelconque. Elles sont deux, mais personne ne fait attention à elle. Allez, elle n'a plus qu'à saisir le paquet et partir payer.

Ca, c'est plus facile à dire qu'à faire, elle tremble et est vraiment mal à l'aise. Elle attend encore un peu devant les boites multicolores de tampons, pour se retrouver enfin seule dans le rayon. Elle se penche alors rapidement et saisi un paquet. Puis, elle se dirige d'un pas vif vers les caisses et prenant bien soin de ne regarder que ses pieds. Elle est morte de honte.

Mince, aucune caisse n'est libre. Une pourtant semble bientôt avoir terminé...

Marie s'approche de la caisse. Elle hésite à poser le paquet sur le tapis.

Finalement, la cliente qui la précède part. Marie tend le paquet à la caissière sans la regarder. Machinalement, la caissière passe le paquet. Marie s'en empare et le fourre rapidement dans un sac plastique.

- 9 livres s'il vous plait. Vous avez la carte de fidélité ?

- Non, merci.

Marie tend l'argent rapidement, tente un regard vers la cliente suivante en attendant sa monnaie, c'est la femme à la crème à épiler qui la fixe du regard...

Marie rougit.

La monnaie rendue, Marie sort rapidement de la pharmacie. Elle se dirige à nouveau rapidement vers la grande demeure bourgeoise de la famille qui l'accueille. La maison n'est pas loin de Hyde Park. Elle est de style victorien, immense, très belle. La porte d'entrée est magnifique, toute en bois. Mais, comme les autres domestiques, Marie a son entrée spéciale, en bas de l'escalier. C'est l'entrée du personnel. Marie se retrouve dans le vestiaire.

Elle pose son manteau, croise Lucy, une des autres domestiques. Elles se saluent, Marie tente de cacher discrètement son paquet de couche en le glissant un peu sous son manteau. Lucy semble ne rien voir. En tout cas, elle ne fait aucune réflexion et s'en va. Marie est la seule domestique à dormir ici. La seule, avec Louise. Leurs chambres sont sous les combles, au dernier étage. Marie s'y dirige rapidement. Elle entre dans sa chambre et jette ses affaires sur le lit. Elle s'assied puis prend le paquet et commence à lire les inscriptions "Tena Slip Maxi, Medium size". Sur le côté, un dessin montre comment mettre les couches.

Marie a le coeur qui bat. Elle se sent un peu vexée, un peu mal à l'aise.

Elle est vraiment ennuyée de devoir mettre des couches. Elle pense qu'une autre solution aurait été possible. Mais elle ne voit pas laquelle... Louise semblait ne pas plaisanter quand elle a menacé de prévenir Madame Williams.

Il se fait tard, la nuit commence à tomber. Marie regarde sa montre.

- Bon, c'est l'heure, je vais aller donner la leçon aux enfants, ils doivent m'attendre.

Marie prend le paquet et le pose en bas dans sa penderie. Elle se recoiffe rapidement devant la glace et essayant d'oublier ses problèmes et en tentant de se concentrer sur sa leçon. Marie participait au suivi des devoirs, en français.

Les enfants l'aimaient bien, elle était très douce avec eux.

Deux heures plus tard, les devoirs touchent à leur fin, la cloche annonçant le dîner retentit. Pour Marie, cela signifiait qu'il était bientôt l'heure de manger, aux cuisines, avec les autres domestiques. Leur repas se prenait après celui des maîtres de maison, quand le service de table était terminé. L'ambiance était bonne. Louise, bien que plus âgée (elle devait avoir la soixantaine), se joignait à elle pour manger. Marie ne participait pas au service de table, mais aidait à la vaisselle. C'était l'occasion pour toute de papoter un peu, et pour Marie de parfaire son anglais. Mais ce soir, Marie était un peu mal à l'aise... Elle espérait que Louise saurait tenir sa langue, comme elle l'avait déjà fait pour les draps mouillés...

Au moment ou chacune partait, les unes chez elles, Louise et Marie au dernier étage pour se coucher, elle prit Marie à part :

- Pas de draps mouillés alors demain, hein ?

- Non, non, c'est bon.

- Tu as trouvé ce qu'il te faut ?

- Oui, j'ai ce qu'il faut. C'est bon.

Marie, gênée, mit fin rapidement à la discussion.

Elle rentra dans sa chambre, toujours avec cette boule au ventre, ravivée par la discussion avec Louise. Elle retire son tablier, dézippe sa jupe qui lui tombe aux pieds. Puis elle déboutonne sa chemise blanche. Elle s'assied sur le lit.

Elle retire ses collants, puis son soutien gorge de satin blanc, et enfin sa petite culotte. C'était un ensemble Lejaby, satin et dentelle blanche. Celui-ci, c'est son ancien petit ami qui lui avait offert. Marie adorait les fringues et particulièrement les sous-vêtements. Elle en avait une belle petite collection, Aubade, La Perla, qui affolait souvent ses petits amis de passage. Marie était très coquette et savait mettre ses atouts en valeur. Elle était d'autant plus dépitée à l'idée d'aller mettre une horrible couche pour adultes incontinents.

Elle qui ne portait que des dessous fins et affriolants... Nue, elle se dirige vers sa salle de bain. Sous la douche, Marie repensait à la journée.

- Quelle honte, j'espère que ça ne se saura pas. J'espère surtout que ça va s'arrêter. Ca vient d'où ce truc ?

Marie mit ce problème sur le compte du changement de vie... Pourtant, elle ne se sentait pas plus angoissée que ça. Les conditions de travail étaient bonnes et lui laissaient pas mal de temps pour ses loisirs, et pour la drague... pour la drague, elle allait devoir revoir ses ambitions.

Marie sort de la salle de bain entourée d'une grande serviette. Nue, elle s'assoie sur le lit et commençe à se sécher les cheveux à l'aide de son sèche-cheveux électrique. Elle repoussait le moment où elle allait devoir mettre sa couche. Elle reste longtemps sous son sèche cheveux, rêveuse... Enfin elle se dirige vers le placard, prend le paquet, déchire d'un geste sec l'ouverture et en sort une couche toute blanche, avec une bande mauve sur le dessus. Elle déplie la couche.

- Le coté avec les adhésifs sous les fesses.

Marie pose le change complet sur le lit et s'assied dessus.

- Rabattre le devant puis scotcher les adhésifs du bas puis du haut.

Marie suit la notice. Un peu maladroite, elle commence par attacher les adhésifs du bas puis suivirent ceux du haut. Elle ajusta un peu la couche. Au moins c'était la bonne taille.

Marie se lève pour se brosser les dents. Impossible d'oublier qu'elle portait une couche ! Elle faisait un bruit de plastique assez caractéristique quand elle marchait et surtout elle sentait l'épaisseur de la couche !

- Incontinence forte à sévère...

Elle regardait le comparatif des produits de la gamme.

- J'y suis peut-être allée un peu fort, mais au moins il n'y aura pas de surprise...

Sur ce, Marie se glissa sous la couette.

Le lendemain, c'était grasse matinée. Durant la nuit, Marie remua dans tous les sens.

Elle sentait sa couche et cela la perturbait. Le change complet tint bien en place durant son sommeil, pourtant agité. Le matin, Marie se réveilla d'un demi-sommeil où elle avait rêvé de tout et n'importe quoi. Immédiatement, elle sentit sa couche. Elle la toucha pour vérifier qu'elle n'était pas humide. Elle ne pensait pas avoir fait pipi au lit cette nuit. En tout cas le lit était sec. La couche semblait sèche aussi. Elle ne l'avait pas mouillée ! Toute contente, Marie déchira les adhésifs et roula sa couche en boule avant de la jeter à la poubelle. Elle s'habilla rapidement et sortit faire un tour en ville.

Rapidement, elle oublia ce problème de pipi au lit et commença son sport favori, les boutiques. Elle dénicha un petit ensemble string, porte-jarretelles noirs, qu'elle avait hâte d'étrenner avec un petit ami. Dans la cabine d' essayage, elle repensa à sa nuit et sourit - Quelle honte ce truc. Mais bon, à mon avis c'est fini...

La journée passée, Marie se retrouva le soir dans sa chambre. Louise n'avait fait aucune allusion, mais elle semblait contente que les draps soient secs. Après sa douche, Marie se coucha, toute nue, sans mettre de couche. La nuit fut bonne, le sommeil fut profond. Le lendemain, Marie se retrouva comme avant, dans un lit tout mouillé et tout froid. Elle n'en croyait pas ses yeux... Elle allait se faire tuer par Louise.

- C'est pas vrai Marie, tu n'as pas encore mouillé tes draps ? Je croyais que tu mettais des couches pour dormir la nuit maintenant ?

- Oui... Mais pas cette nuit, j'ai...

- Ecoute Marie, c'est pas compliqué. Tu pisses au lit, tu portes des couches. Point.

Pfff... C'est pas possible, bon, je vais en référer à madame Williams.

- Non, s'il te plait, ça ne se reproduira plus. Je mettrais une couche tous les soirs maintenant, sans faute, je n'oublierai pas. Je te le promets.

Louise parti, excédée. Marie en déduisit qu'elle lui laissait encore une chance.

Le soir suivant, comme promis, Marie mis un change complet avant d'aller se coucher.

Heureusement pour elle car le matin, si le lit était sec, sa couche elle était bien humide...

Marie avait fait pipi dans sa couche durant la nuit. Elle n'en revenait pas. Elle, la jeune fille de 22 ans, mignonne, dynamique et séduisante, avait pissé dans sa couche comme une gamine. Elle la retira rapidement et un peu dégoûtée. Elle la jeta dans la poubelle et ferma le sac plastique. Elle se dirigea dans la salle de bain. Elle découvrit avec horreur que la couche lui avait irrité les fesses et le pubis. Elle était toute rouge.

C'est de mauvais poil que Marie commença sa journée. Elle profita de son après-midi pour passer à la pharmacie acheter une boîte de talc et de la crème anti-irritation.

Le soir, seule dans sa chambre, Marie se lava rapidement et se glissa sous la couette, elle alluma la télévision et commença à regarder un feuilleton américain quelconque.

Soudain on tocca à sa porte. C'était Madame Williams. Marie se releva, enfila son peignoir et ouvrit la porte.

- Bonsoir Mademoiselle. Je peux entrer ?

Marie lui laissa le passage pour qu'elle pénètre dans la chambre. Madame Williams s'assied sur la chaise du bureau. Marie en peignoir s'assied sur le lit.

- Vous sortiez de la douche ? Excusez-moi de vous déranger, mais je dois vous parler de quelque chose d'important.

Marie retint sa respiration. Devant elle Madame Williams semblait à l'aise, comme toujours. Elle était assez belle, blonde, coupée au carré, elle avait environ la quarantaine.

Un tailleur noir, d'un grand couturier, un foulard autour du cou, Hermès sans doute, Marie les reconnaissait... C'était la femme d'un avocat réputé. Elle était elle-même avocate d'ailleurs. Madame Williams commença à parler.

- Ecoutez Marie, il y a un petit problème un peu délicat, Louise m'a dit que vous aviez des soucis au lit la nuit ?

Marie rougit, Louise avait raconté ça... Elle s'imagina en train de repartir en France.

Voilà, Londres, c'était fini.

- Oui, enfin, euh... Mais je prends des précautions désormais. Balbutia-t-elle, rouge de honte.

- Pas tous les soirs, on dirait... C'est un peu ennuyeux, voyez-vous, je souhaite que mes enfants aient une bonne éducation et je ne voudrais pas qu'ils soient au courant que leur professeur de français fait encore pipi au lit... Voyez vous ?

- Mais, je...

- Bon, écoutez, Louise m'a dit que vous vous protégiez. Quel type de protection utilisez-vous ?

C'est vraiment efficace ?

Madame Williams semblait si sévère.

- J'espère que vous en portez une actuellement, si vous alliez vous coucher ?

- Non, mais j'allais la mettre.

- Montrez-moi.

Marie se leva et sorti le paquet de la penderie. Elle en sortit une couche et la montra à Madame Williams, un peu dans l'espoir de l'influencer.

- Elle est épaisse. Elle ne laisse rien passer, Madame.

Madame Williams prit la couche dans ses mains et la déplia.

- Allongez-vous, s'il vous plait.

- Pardon ?

- Je vous demande de vous allonger. Si vous n'êtes pas capable de mettre votre couche vous-même tous les soirs, je vais m'en charger.

Marie n'en croyait pas ses oreilles, elle hésitait.

- Mais Madame, je...

- Allons, dépêchez vous, j'en ai déjà vu d'autres... Vous préférez que je vous renvoie en France ?

Marie s'allongea sur le lit. Elle retira la ceinture de son peignoir et se retrouva tremblante, toute nue devant Madame Williams.

- Bien, allons-y...

Madame Williams semblait blasée.

- Mais je vois que vous avez des irritations, vous avez quelque chose contre ça ?

- Oui, j'ai acheté du talc et de la crème.

Marie désigna la boîte blanche et le tube qui se trouvaient sur son bureau. Madame Williams se saisit du talc.

- Je vous conseillerai de vous raser le pubis. Cela évite pas mal de problèmes.

- Oui, Madame.

Après le talc, Madame Williams lui mis rapidement le change complet de manière très professionnelle, comme si elle avait l'habitude. Elle serra les adhésifs en ajustant, puis passa son doigt près des fronces.

- Ma couche ne vous serre pas trop ?

- Non, Madame.

Marie était très gênée devant Madame Williams. Elle était intimidée et n'osait pas réagir.

Madame Williams l'impressionnait.

- Bien, je vous laisse dormir. Bonne nuit et à demain. Il y a du nouveau pour vous.

Marie passa la nuit à se retourner dans tous les sens. Elle était très troublée et un peu excité par ce qu'elle venait de vivre. A l'aube, à bout de force, elle s'endormit.

En se réveillant, elle se rendit compte que sa couche était encore une fois mouillée.

Elle était dépitée, ça y est, elle était bien incontinente maintenant... Et elle ne comprenait toujours pas pourquoi. Le lendemain passa rapidement. Elle ne croisa Madame Williams qu'une fois qui ne lui adressa qu'un très cordial "Bonjour Mademoiselle". Marie ne savait pas pourquoi elle lui avait dit qu'il y aurait du nouveau...

Ce n'est que le soir qu'elle fut fixée. Au repas, Madame Williams notifia à Louise qu'elle souhaitait s'entretenir avec Marie et qu'elle devait la rejoindre dans son bureau à 21h.

- Madame Williams veut te voir à 21h dans son bureau Marie.

Le coeur de Marie se serra... Voilà, elle était renvoyée. Madame Williams allait lui dire qu'elle ne pouvait pas garder une pisseuse dans son équipe. Quelle honte pour Marie.

Le coeur battant, elle se dirigea vers le bureau de Madame Williams. En fait, il s'agissait du bureau de Monsieur Williams, mais il n'était que très rarement à la maison. Marie avait même pensé au début que Madame Williams était veuve ou divorcée.

- Entrez Marie.

Madame Williams était le dos au bureau, en train de regarder à la fenêtre.

- Asseyez-vous.

Son ton était cordial. Marie tremblait quand même.

- Bien, deux choses, non négociables, c'est à dire que ou vous restez et que vous l'acceptez sans discuter, ou vous partez et je vous paye vos indemnités bien sur.

- Je heu...Oui ? De quoi s'agit-il ?

Marie était mal à l'aise sur son siège. Madame Williams semblait au contraire totalement maîtriser la situation. Elle se retourna vers Marie.

- La première chose est que vous allez déménager de votre chambre de bonne sous les combles, pour venir vous installer dans l'appartement d'ami situé près de ma chambre.

Je suis seule en ce moment, les enfants sont à l'étage et une présence me rassurera un peu.

L'appartement est plus spacieux et bien plus luxueux que votre chambre. Ca je pense que vous l'accepterez. La seconde chose est plus difficile pour vous, mais je le fais pour votre bien et le bien de la maison.

Madame Williams reprit sa respiration et fixa Marie.

- Je souhaite que vous portiez aussi des protections durant la journée. Je sais que pour l'instant vous pensez ne pas en avoir besoin, mais je me suis renseignée auprès d'un ami médecin et elle me l'a confirmé. Une incontinence de nuit est assez souvent suivie d'une incontinence de jour. Je souhaite donc que vous pensiez à vous protéger aussi durant la journée.

Marie resta interdite. Madame Williams lui avait dit ça, sur un ton amical, mais qui ne prêtait pas à discussion. D'ailleurs, elle termina la conversation.

- C'est tout. Vous pouvez disposer. Vous emménagez à partir de ce soir. Concernant vos...

Vos protections, mon amie m'en a fourni gratuitement pour commencer. Elles sont dans la penderie de votre nouveau logement... Enfin, si vous l'acceptez.

- Je heu... Oui, enfin... Oui, d'accord.

Marie ne savait pas quoi penser, mais la chose qui lui semblait la plus importante est qu'elle pouvait rester à Londres et que Madame Williams semblait au contraire préoccupée par son cas au lieu de le rejeter. Même si porter ces horribles couches aussi durant la journée ennuyait Marie au plus haut point, elle préférait rester. Elle se leva et sortit du bureau.

Le soir, Marie se rasa complètement le pubis afin d'éviter les irritations, comme le lui avait suggéré Madame Williams. Cette opération n'était pas vraiment une nouveauté pour elle. Coquette jusqu'au bout, Marie avait déjà l'habitude d'entretenir son petit triangle.

Elle avait commencé cela il y a quatre ans, parallèlement à sa passion pour les sous-vêtements.

Elle n'envisageait pas de mettre de la lingerie fine par dessus une pilosité mal entretenue.

Elle n'avait jamais tout rasé, mais finalement, elle trouvait ça mignon.

Durant la journée suivante, elle transféra ses affaires du dernier étage à son nouvel appartement. Le logement d'ami était très spacieux... Il disposait d'une grande salle de bain, d'un bureau et d'une grande chambre. Un beau parquet, de beaux meubles, une salle de bain en marbre avec un jacuzzi. Marie trouvait l'appartement vraiment très beau. Un sas séparé par une simple porte coupait l'appartement d'ami des appartements privés de Monsieur et Madame Williams.

Lors du premier allez retour. Marie ouvrit la penderie pour y ranger ses affaires. Les "protections" dont Madame Williams avait parlé étaient là. Il y avait deux paquets blancs et bleus côte à côte. Il s'agissait en fait des mêmes paquets, un peu plus petits, que le premier paquet de couches de Marie, c'était des Tena Slip Plus. Marie ouvrit le paquet et en sortit une. Elles étaient beaucoup plus fines, mais c'était tout de même des changes complets.

- Des couches-culottes... pensa Marie dépitée.

La taille était bonne. Pour prouver sa bonne volonté et pour s'y habituer, Marie ferma la porte, baissa son petit string noir et son collant. Elle déplia la couche et la mit rapidement et maladroitement sur le lit, comme pour se débarrasser de l'épreuve que cela représentait pour elle. Elle scotcha les adhésifs du bas, le gauche puis le droit, et enfin elle scotcha les deux du haut. La couche, même plus fine, était tout de même difficile à oublier... Marie renfila son string et son collant par-dessus. Elle réajusta sa jupe et se regarda dans la glace.

- Bon, ça ne se voit pas trop...

La couche lissait un peu les fesses de Marie, mais ça pouvait passer pensait-elle. A ce moment, Madame Williams entra dans la chambre. Elle vit Marie et le paquet de changes complets ouvert sur le lit.

- Bien, vous avez trouvé. Vous avez réussi à la mettre ? Tout va bien, c'est la bonne taille ?

- Oui, oui, c'est bon, merci.

Marie coupa court de manière polie à la conversation. Durant le reste de la journée, elle termina le déménagement, l'ordinateur et le reste de ses affaires. Durant toute la journée et à chaque mouvement, elle sentait sa couche. Elle pensait ne jamais s'y habituer... La leçon aux enfants fut particulièrement longue. Marie repensait aux mots de Madame Williams.

- Je ne souhaite pas que mes enfants apprennent que leur professeur mouille encore son lit, quel exemple...

Et à chaque moment, elle sentait sa couche sous son collant. Elle était assez perturbée et n'écoutait qu'à moitié les enfants réciter leurs poèmes et leurs leçons.

Durant le repas entre domestiques, Marie tenta de faire bonne figure. Elle essaya de ne rien laisser transparaître. Cela sembla porter ses fruits, car elle n'eut aucune réflexion ni regards vers sa jupe. Elle était rassurée, ça ne se voyait pas...

Le soir venu, Marie partit rapidement dans sa chambre. Elle déboutonna rapidement son chemisier blanc, dégrafa son soutien gorge noir, sa jupe, son tablier et retira ses collants.

Elle les jeta en boule, négligemment, par terre puis baissa son petit string et retira sa couche sèche. Durant la journée, elle refusait catégoriquement d'utiliser ses couches.

Elle se précipita aux toilettes. Durant sa douche, sous le jet d'eau chaude, Marie tentait de faire le point.

- Bon, d'un côté, il y a ce truc horrible de mettre des couches, mais de l'autre, Madame Williams semble bien m'aimer et elle veut m'aider, elle est gentille.

Marie ne se l'avouait pas encore, mais Madame Williams l'attirait aussi pour d'autres raisons...

Marie se coucha rapidement, après avoir soigneusement mis son change complet.

- Les couches violette pour la nuit, les bleues pour le jour, pensait Marie, mi-figue mi-raisin.

La nuit, elle commençait à s'habituer à l'épaisseur de la couche. Durant la journée, l'habitude serait plus difficile à prendre car il fallait aussi gérer le bruit, la longueur de la jupe quand elle s'asseyait, bref, elle faisait beaucoup plus attention. Par exemple, elle n'imaginait pas un instant partir faire une séance d'essayage dans un grand magasin... Elle eut un pincement au coeur. Puis, elle s'endormit.

Elle fut réveillée quelque temps après. Quelle heure pouvait-il être ? Deux ou trois heures du matin ? C'était quoi ce bruit ? Cela venait de la chambre de Madame Williams. Elle entendait des gémissements. Bien sûr, immédiatement, elle pensa au sexe. Madame Williams trompait monsieur ? Marie sourit. Elle se retourna dans son lit. Les bruits continuaient. Marie vit que la porte du sas était mal fermée. Elle voulut aller discrètement la pousser. Elle se leva, faisait des pas très lents pour ne pas faire de bruit avec sa couche. Elle s'approcha de la porte, la curiosité fut plus forte. Elle risqua un coup d'oeil dans la chambre. Il faisait sombre, mais elle voyait Madame Williams nue, simplement vêtue d'un soutien gorge noir, allongée sur le dos, les poignets attachés aux montants du lit. Elle avait une sorte de boule rouge dans la bouche, attachée par une sangle noire. Un bâillon pensa Marie. Un homme était sur elle. Marie pouvait entendre ce qu'il lui disait.

- Alors salope, tu aimes te faire baiser, ligotée au lit comme une chienne, hein ? Petite pute...

T'aime bien ça hein tromper ton mari ?

Marie était fascinée. D'un côté, elle était terriblement gênée, de l'autre la situation l'excitait beaucoup. Mais doucement, elle poussa la porte et reparti dans son lit. Elle se glissa sous la couette. Elle commença alors à se caresser un peu par-dessus sa couche... Les bruits arrêtèrent rapidement, Marie entendit l'homme partir. Le silence se fit.

Le lendemain, Marie ne savait plus si elle avait rêvé ou non. En tout cas la nuit avait été bonne...

et humide. Elle retira sa couche et pris une petite douche pour se réveiller. Elle passa aux toilettes et commença à s'habiller. Elle prit un change complet Tena Slip Plus, "celles de la journée", et l'enfila. Pour se remonter le moral, elle mit par-dessus une culotte de dentelle blanche La Perla, une de ses préférées. Elle enfila aussi un porte-jarretelles, fixa les bas, enfila sa jupe, mis son soutien-gorge et sa chemise. Devant la glace, elle ajusta son petit tablier blanc. Elle repensait à la nuit. Elle était assez excitée. Elle renvoyait Madame Williams, ligotée au lit et bâillonnée, se faisait sauter par un inconnu... Madame Williams l'excitait de plus en plus...

Durant la journée, Marie sortit faire les boutiques. Il faisait beau et elle se sentait d'humeur joyeuse et dépensière. Avant cela, elle rentra dans un fast-food et se débarrassa rapidement de sa couche dans la poubelle des toilettes. Enfin, elle se sentait libre. Elle n'avait plus que la sensation de sa petite culotte légère sous sa jupe noire. Marie allongeait le pas. Durant cette journée, elle dépensa beaucoup d'argent en produits de beauté et vêtements. De l'argent, elle en avait, Madame Williams la payait assez bien pour une jeune fille au pair.

Le soir, à la maison, elle renfila un change complet Tena Slip Plus et donna la leçon aux enfants. Après le dîner, dans sa chambre, Marie regardait la télévision. Bien au chaud sous sa couette, sa douche prise, sa couche mise, Marie était bien. Soudain Madame Williams entra.

- Je venais simplement vous dire bonsoir Marie, nous ne nous sommes pas vu hier, ni aujourd'hui.

- Bonsoir, Madame.

Marie se redressa, Madame Williams s'assied sur le lit.

- Tout va bien, vous vous plaisez dans votre nouvel appartement ? C'est plus grand n'est-ce pas ?

- Oui, c'est très bien, je suis très contente.

Marie regardait Madame Williams, elle était belle.

- Vous avez pensé à mettre votre couche, Marie ?

Marie rougit.

- Oui, Madame.

- C'est bien Marie, je ne veux pas de lit mouillé, surtout ici...

Marie sourit. Madame Williams semblait vouloir dire quelque chose.

- Ecoutez Marie, c'est délicat, mais je dois vous en parler. Je vous ai vu nous regarder hier.

C'est gênant mais...

Marie était rouge de honte. Sa couche lui tenait chaud.

- C'est un peu gênant, mais je dois vous expliquer que Georges est rarement ici et bon...

Vous voyez ce que je veux dire. C'est difficile pour moi. J'aime beaucoup les hommes, voyez-vous. Je pense que vous ne me jugerez pas.

Marie s'écria :

- Mais non, madame, je ne vous juge pas du tout !

- C'est bien alors.

Madame Williams regarda longuement Marie. Elle reprit :

- Vous connaissez un peu le bondage et toutes ces choses-là ?

Marie bredouilla :

- Heu, vaguement, j'ai eu un petit ami qui aimait bien me menotter au lit, mais rien de plus.

- Et vous aimiez ça, faire l'amour avec des menottes ?

- Heu, oui, ça va... J'aimais assez.

Marie était rouge de gêne et de honte.

- Et ceci, vous connaissez ?

Madame Williams sortit le bâillon boule rouge et le tendit à Marie. Gênée, Marie le prit et elle le regarda.

- Non, je ne connais pas.

- Vous voulez essayer ?

Madame Williams souriait, Marie se sentait excitée et en confiance. Elle acquiesça, un peu hypnotisée.

- Bien, penchez votre tête vers moi.

Marie s'exécuta, comme dans un rêve.

- Ouvrez grand la bouche.

Madame Williams enfonça la boule de caoutchouc dans la bouche de Marie et serra la sangle dans son cou. Elle redressa la tête de Marie.

- Vous êtes très mignonne comme cela.

Marie ne pouvait rien dire. Elle était bâillonnée et aucun son ne sortait de sa bouche. Elle se sentait un peu ridicule avec cette boule rouge. Mais elle était fascinée. Madame Williams posa son doigt sur le bâillon.

- Allongez vous sur le dos. Je reviens.

Marie était très excitée. Son coeur battait la chamade. Elle sentait ce bâillon, sa couche entre ses cuisses. Elle se croyait dans un rêve. Madame Williams réapparue rapidement. Elle avait une paire de menottes à la main. Elle prit doucement le poignet gauche de Marie et le menotta.

Puis elle passa les menottes derrière un barreau du montant du lit, juste derrière la tête de Marie. Elle lui pris le bras droit et le menotta aussi. Marie était menottée et bâillonnée à son lit, avec sa couche. Madame Williams lui sourit.

- Vous êtes très mignonne Marie. Je vous trouve très excitante, prisonnière, comme ça...

Marie gémit sous son bâillon, par jeu, elle tenta de se débattre. Madame Williams la regarda, amusée.

- Vous savez Marie, les gens comme moi aiment se faire dominer par plus fort qu'eux. Hier, l'homme que vous avez vu était un ministre. Et moi, j'aime dominer les plus petits que moi.

Vous êtes ma domestique, je vous traiterai encore plus bas que cela.

Madame Williams se leva et éteignit la lumière. Marie se retrouva alors d'un seul coup toute seule dans le noir, attachée au montant du lit et bâillonnée. Elle tira sur ses menottes. Le bâillon la faisait baver. Cela coulait sur sa joue. Elle tira encore, en vain bien sûr. Enfin, le sommeil la gagna. Des bruits la réveillère. C'était Madame Williams, elle se faisait sauter à côté. Elle entendait les mêmes bruits caractéristiques d'hier soir. De son côté, Madame Williams adorait savoir que pendant qu'elle faisait l'amour, sa petite bonne était menottée et bâillonnée dans la pièce d'à côté, avec une couche entre les jambes, et qu'elle entendait tout. Ca l'excitait au plus haut point. De son côté aussi Marie était excitée. Le seul problème était qu'elle ne pouvait pas se caresser, ses poignets étant menottés au montant du lit.

Elle entendit toute la séance de Madame Williams. Elle reconnaissait les gémissements étouffés du bâillon, les bruits des menottes qui se ferment. Puis soudain, ce fut le silence. Madame Williams avait terminé, sans doute. Marie avait mouillé sa couche, mais ce n'était pas du pipi...

La porte de sa chambre s'ouvrit. Madame Williams entra, en petite culotte noire et soutien gorge.

Ses cheveux étaient ébouriffés. Elle était magnifique. Sa poitrine était belle, bien mise en valeur dans ce magnifique soutien gorge. C'est un "Victoria Secrets", nota Marie.

Elle s'assied sur le rebord du lit et elle rejeta la couette de Marie vers ses pieds. Elle apparu quasi nue, avec sa couche, menottée.

- Je viens te faire profiter de ma soirée Marie. Tu es d'accord ? Tu est d'accord pour être ma petite pute ? Comme moi je suis la petite pute de ce ministre ?

Marie, très excitée, acquiesça.

Madame Williams commença alors à caresser Marie et à l'embrasser par dessus son bâillon.

Elle lui caressa la couche, les seins, qui se durcissaient de plus en plus. Marie se cambrait, elle gémissait. Madame Williams lui déscotcha sa couche et elle lui retira, en la faisant glisser doucement entre ses cuisses. Puis elle la sauta, comme sa pute. Marie Jouit rapidement.

Madame Williams lui retira alors son bâillon et l'embrassa. Elle lui déverrouilla les menottes et se leva. Elle enfila sa culotte et parti vers sa chambre.

- N'oublie pas de remettre une couche propre avant de t'endormir. Celle-ci est hors d'usage.

Elle ferma la porte, sans rien dire. Marie était toute retournée. Elle avait adoré, mais d'un autre coté, elle ne savait pas où elle s'engageait... Elle renfila une couche neuve et s'endormit tout de suite.

Le lendemain Marie ne croisa pas Madame Williams avant l'après-midi. Ce fut elle qui l'appella dans sa chambre.

- Venez Marie, j'ai deux heures de libre. Nous allons jouer un peu.

Marie savait ce que cela voulait dire. Elle sourit un peu, l'air coquine. Elle lui tendit le bâillon boule.

- Enfilez-le, je veux voir si vous savez le mettre toute seule, comme une grande.

Marie s'exécuta. Elle mit elle-même son bâillon boule et le serra dans le cou.

- Bien, mettez les poignets dans le dos.

Elle lui ligota rapidement et très solidement les poignets dans son dos, puis passa la corde par-dessus sa chemise blanche, en serrant au niveau de ses coudes, une passa au-dessus des seins, et l'autre au-dessous. Elle serra très fort. Marie bavait à cause de son bâillon.

Puis elle la poussa sur le lit et commença à lui ligoter les chevilles et les cuisses. Elle remonta un peu la jupe de Marie. Ses mains lui caressaient les cuisses, Marie avait la chair de poule.

Madame Williams lui caressait doucement les fesses, puis la culotte sous sa jupe noire.

Elle remontait encore un peu la jupe au fur et à mesure des caresses. Pieds et points liés dans le dos, la corde la serrait. Marie se débattait un peu, gémissait sous son bâillon. Madame Williams continuait les caresses. Elle pouvait apercevoir sa petite culotte de satin blanc.

- Poussin, c'est une couche où c'est une culotte ?

Marie ne pouvait pas répondre à cause de son bâillon. Mais elle eut un pincement au coeur, elle avait oublié de mettre sa couche ce matin. Le soir, elle y pensait car elle en avait besoin, mais le jour, elle oubliait. Madame Williams voyait bien qu'elle avait n'avais pas mit sa couche, mais par jeu y mit sa main.

- Mais, c'est une culotte !

Elle la regarda l'air sévère - Où sont tes couches ? Je t'ai pourtant dit que tu devais en porter jour et nuit. Tu me désobéis, petite pisseuse... Bien, je vais aller en chercher une et te la mettre moi même.

Elle se leva et laissa Marie ligotée et bâillonnée sur le lit. Marie se débattait, mais les liens étaient solides. Elle tirait de toutes ses forces mais la corde lui serra trop les poignets, les coudes et les jambes. Elle était prisonnière. Madame Williams réapparue avec un change complet à la main, c'était un change complet de nuit...

- Me voici.

Marie tentait de crier sous son bâillon, mais rien ne sortait. Madame Williams vu alors que Marie était un peu affolée. Elle la pris dans ses bras et lui demanda de se calmer.

- Allons allons, ne t'inquiète pas, ça ira bien pour toi. Je te le promet mon petit bébé. Allez, maman va te mettre ta couche maintenant.

Elle mit Marie sur le dos puis lui détacha les jambes. Elle lui baissa sa petite culotte et mit la couche sous ses fesses. Elle lui enfila en la serrant un peu au niveau des adhésifs.

- Voilà, tu es belle comme ça mon bébé.

Elle reprit les longues et douces jambes de Marie et lui rattacha solidement avec la corde.

Elle la regardait. Elle aimait ce spectacle : sa domestique était ligotée et bâillonnée sur son lit, avec sa couche pour adultes incontinents qui dépassait de sa jupe noire. Marie tentait toujours de bouger, en vain. Elle faisait de petits couinements sous son bâillon.

- Bien, tu restes bien sage comme ça, moi je travaille à côté.

Madame Williams s'installa au bureau et commença à travailler. De temps en temps, elle jetait un coup d'oeil à Marie, qui gigotait sur le lit. Après deux heures, Madame Williams s'approcha.

- Bien Marie, je dois y aller.

Elle commença à la détacher.

- Termine toute seule, je suis pressée, j'ai une soirée... Ah, oui, et garde cette couche pour la fin de la journée s'il te plait.

Elle laissa Marie, assise sur le lit, occupée à finir de retirer ses liens. Marie était trop excitée.

Quand Madame Williams quitta la pièce, elle se caressa longuement par-dessus sa couche épaisse.

La soirée fut calme. Même si Marie n'était pas sûre que sa couche fut passée inaperçue auprès des autres domestiques. Mais Louise devait leur avoir parlé des problèmes de Marie et par gène ou par pudeur, aucune n'aborda le sujet. Ce qui soulagea Marie. Elle n'aurait pas à expliquer pourquoi elle mettait aussi des couches durant la journée.

Durant toute la soirée, Madame Williams ne fut pas à la maison. Elle était sûrement à sa soirée.

Comme à son habitude, Marie se coucha, sans oublier de mettre son change complet pour la nuit.

Le lendemain, la matinée fut calme. Madame Williams appela Marie en début d'après-midi. Marie entra dans la chambre de Madame Williams.

- Déshabillez-vous en petite culotte et soutien-gorge s'il vous plait.

Marie s'exécuta. En faisant glisser sa jupe à ses chevilles, elle découvrit un magnifique petit string noir de satin qui mettait ses belles fesses rondes en valeur. Elle se rappela alors qu'elle avait encore oublié de mettre une couche de jour. Madame Williams ne fit pas de commentaire.

- Allongez-vous sur le lit Marie.

Madame Williams maniait le vouvoiement et le tutoiement selon les moments... En string et petite culotte, Marie s'allongea sur le lit. Madame Williams menotta les poignets de Marie aux montants du lit.

- Tu es ma pute Marie, ne l'oublie pas. Lui susurra Madame Williams à l'oreille.

Puis, elle lui enfonça dans la bouche son bâillon boule en caoutchouc rouge. Enfin, avec une fine cordelette, elle lui attacha solidement les chevilles puis les cuisses. Elle serra les liens très fort.

Madame Williams se leva et parti sans rien dire. Marie commença à tirer sur ses menottes.

Tout s'était passé très vite et elle était désormais seule.

Le temps passa. Marie était menottée au lit de Madame Williams depuis maintenant deux bonnes heures. Elle avait très envie de faire pipi. Elle tirait sur ses menottes, mais elle sentait l'acier froid et cela lui rappelait qu'elle était bien prisonnière. Elle avait aussi un peu froid, simplement vêtue de son petit string et de son soutien gorge. Madame Williams l'avait-elle laissé attachée au lit uniquement pour qu'elle ne puisse pas aller aux toilettes ?

Les larmes vinrent aux yeux de Marie. Elle tira de plus belle sur ses menottes, mais rien n'y fit.

Marie en pleurs commença à sentir que ça ruisselait doucement entre ses cuisses. C'était horrible. Elle ne pouvait rien faire. Elle tentait de bouger les jambes, mais les liens étaient solides.

Ses cuisses étaient solidement liées. Son string fut vite trempé, suivirent bien sûr, les draps du lit. Elle mordait dans son bâillon, elle bavait un peu. Elle tirait sur ses menottes. Elle avait fait pipi dans le lit de Madame Williams. Quelle honte !

Marie attendit encore une heure, trempée, menottée sur le lit juste en soutien gorge et dans son string trempé. Enfin, la porte s'ouvrit. Madame Williams apparue, avec un sac. Elle s'assied sur le lit.

- Ecoutez ma petite, j'ai conscience que le port d'un change complet la journée vous dérange un peu. Mais si vous l'aviez mis, vous auriez évité de mouiller mon lit. Je sais que vous n'aimez pas porter des couches pendant la journée. Vous oubliez souvent d'en mettre d'ailleurs. Je sais que vous préférez aller aux toilettes. Mais moi, je veux quand même que vous portiez aussi des couches durant la journée. C'est ce qui vous lie à moi. Quand je pense à vous, je vous imagine avec votre couche, où que vous soyez. Je sais que vous aussi vous pensez à moi à chaque pas, à chaque mouvement. Vous sentez votre couche, vous savez que je vous oblige à porter ces couches, vous savez que vous n'avez pas le choix et que vous m'appartenez.

Et ça, c'est ce que j'aime.

Elle sortit du sac plastique un paquet de Pull-up bleu foncé.

- Ce sont des Drynight. John, le petit met ce genre de culottes de la même marque.

J'ai vu qu'elles existaient aussi pour les plus grands. Ceux-ci vont jusqu'à 54 kg. Vous ne devez pas dépasser de beaucoup je pense. Si vous préférez, mettez ces pulls up, c'est peut-être plus discret qu'un change complet. Vous pouvez les baisser puis les remettre si vous voulez aller aux toilettes.

Madame Williams reprit sa respiration.

- En tout cas j'exige que vous portiez des protections jour et nuit. C'est la marque de votre soumission.

Elle détacha les poignets de Marie. Marie balbutia :

- Je suis d'accord pour porter ces culottes d'apprentissage. Ce que je n'aime pas dans les changes complets, c'est qu'ils sont difficiles à retirer et remettre lorsque l'on veut utiliser les toilettes.

Or pendant la journée, je ne pourrais jamais consciemment faire pipi dans une couche. Si j'utilise des couches la nuit, c'est que je n'ai pas le choix car je ne m'en rends pas compte. Mais le jour, je n'ai pas de problèmes...

Madame Williams acquiesça.

- Allez vous laver et mettez votre string au linge sale...

Après sa douche, Marie réapparu dans la chambre. Elle se présenta nue sous sa serviette de bain devant Madame Williams. Celle-ci déchira le paquet de pull-up et tira un change. Elle l'enfila à Marie. Elle lui passa la main sur sa cuisse. Marie frissonna de plaisir.

- Il vous va très bien. C'est la bonne taille et c'est vraiment très discret.

Puis elle remonta son collant directement sur la couche. Marie termina de s'habiller seule.

Sous la jupe, le pull-up était effectivement plus discret.

Le reste de la journée, elle sortit se promener en ville. Cette fois, elle garda la couche durant toute sa promenade, même si elle n'essaya aucun vêtement... Quand elle marchait, elle le sentait un peu, et c'est vrai qu'elle pensait sans cesse à Madame Williams. De son côté, Madame Williams savait que quelque part, Marie était en train de se promener ou de faire du shopping et que sa couche lui rappelait constamment qu'elle était soumise à elle.

Elle pensait déjà à passer la vitesse supérieure... Mais elle aimait avancer de manière progressive. C'était une adepte de la manière douce. Déjà trois jours et Marie était contente de porter des pull-up le jour... C'était impensable il y a une semaine...

Le lendemain soir, après le repas, alors que Marie était quasiment nue, solidement ligotée et bâillonnée sur une chaise dans le bureau de Madame Williams, le téléphone sonna. Madame Williams, qui était en train de travailler prit le combiné. C'était la maman de Marie.

- Je vous la passe, Madame. Permettez-moi de vous dire que je suis très satisfaite de votre fille.

Elle posa le combiné et détacha le bâillon de Marie.

- C'est votre maman, Marie.

Marie ravala sa salive. Son coeur battait très fort. Elle était là les mains solidement attachées dans le dos, les chevilles et les cuisses finement ligotée à une chaise, uniquement vêtue de son pull up de la journée, d'un collant et de son soutien gorge blanc. Madame Williams prit le combiné et lui mit près de l'oreille.

- Bonjour, Maman...

La conversation s'enchaîna. Madame Williams tenait en souriant le combiné, Marie attachée sur la chaise en train de parler... Cela ne dura pas longtemps et la conversation prit fin.

Madame Williams raccrocha. Comme si de rien d'était, elle remit le bâillon de Marie en place puis elle retourna s'asseoir derrière son bureau et recommença à travailler. Le silence s'installa de nouveau, uniquement perturbé de temps en temps par quelques grognements de Marie en train de gigoter sur sa chaise.

Une heure plus tard, Madame Williams mis fin à sa séance de travail.

- Bien assez travaillé pour aujourd'hui !

Elle s'approcha de Marie et commença à lui caresser les seins par-dessus son soutien gorge.

- C'est l'heure de s'amuser un peu maintenant...

Elle passa le doigt sur le bâillon rouge de Marie.

- Qu'en penses-tu, petite pute ? De toute façon, tu n'as pas le choix. Tu es là pour moi, pour mon plaisir, tu es à moi.

Marie était ravie. Elle grogna sous son bâillon. Madame Williams passa derrière la chaise et commença à la caresser dans le cou, puis les seins, ses mains descendaient vers le haut de son collant. Madame Williams pressa un peu ses mains sur le Pull-up de Marie avant de continuer à lui caresser les cuisses. Elle tentait de passer ses mains entre les cuisses de Marie, mais celles-ci était serrées à cause des liens. Madame Williams et Marie s'amusèrent longtemps ce soir-là...

A la fin de la soirée, assez fatiguée, Marie gagna sa chambre et se lava rapidement. Quand elle sortit, elle prit un change complet dans l'armoire, le déplia et s'allongea dessus. Elle se poudra un peu de talc, les irritations partaient petit à petit. Elle rabattit le devant du change complet sur son bas-ventre et scotcha les adhésifs du bas, puis du haut. Elle savait bien mettre sa couche maintenant. Elle se retourna sur le ventre, mis ses mains sous l'oreiller et s'endormit rapidement.

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lafont Il ya 7 ans