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Vues: 39762 Created: 2008.02.11 Mis à jour: 2008.02.11

L'école de puériculture

Chapitre 1

Je m'appelle Alice, j'ai 18 ans et récente bachelière, j'envisage de faire une école de puériculture à la rentrée de septembre. Après des recherches sur internent, j'adresse mon dossier à différentes écoles afin de maximiser mes chances d'intégrer l'une d'entre elles. Fin juillet, après plusieurs échecs du à des notes un peu justes, je reçois enfin une réponse positive d'une école privée située à côté de Limoges. L'école est loin de mon domicile mais propose un pensionnat pour les étudiantes qui le souhaitent, c'est la solution que je choisis, ne pouvant rentrer chez moi qu'à l'occasion des vacances. Un dossier complet d'inscription est joint à la réponse que je dois remplir et adresser à l'administration de l'école Jeanne d'Arc. Le dossier mentionne l'ensemble de l'état civil ainsi qu'un questionnaire de santé et, plus surprenant, demande l'ensemble de mes mensurations. Assez surprise par cette exigence, je passe un coup de fil à l'école pour plus de précisions. Le secrétariat me répond qu'il s'agit tout simplement de prévoir les tailles des blouses et autres vêtements nécessaires dans le cadre des travaux pratiques de l'école. Rassurée par cette réponse, je termine de remplir mon dossier et le poste, impatiente de découvrir dans quelques semaines mon nouvel univers et, pas fâchée de quitter la maison pour entreprendre mes études. Mes parents quant à eux sont rassurés par le fait que l'école Jeanne d'Arc est tenue par des sœurs, gage de sérieux à leurs yeux.

Les vacances d'été passent vite et le jour du départ pour l'école arrive. A l'arrivée du train, j'aperçois sur le quai trois jeunes filles avec un panneau "école Jeanne d'Arc". Je me présente à elles et j'apprends qu'il s'agit d'élèves fraîchement diplômées de l'école qui aident l'administration pour l'accueil des nouvelles étudiantes. Une dizaine d'autres nouvelles attendent déjà sur les bancs du quai. Vingt minutes plus tard, nous sommes au complet, soit 25 nouvelles élèves. Les trois puéricultrices nous escortent jusqu'au car qui nous attend dans la cour de la gare, elles nous indiquent que l'école se situe à 30 kilomètres et que nous avons une grosse demi-heure de bus avant d'arriver. A cette annonce, je déchante un peu car je n'imaginais pas l'école si loin de Limoges que je pensais pouvoir rejoindre régulièrement pour sortir le soir. Après un trajet sans histoires, nous arrivons devant les bâtiments de l'école, large battisse ancienne en pierre avec un haut mur d'enceinte. A l'intérieur, nous sommes accueillies par sœur Thérèse, la directrice de l'école, qui nous souhaite la bienvenue et nous indique que, après le déjeuner, nous procèderons aux inscriptions administratives. Nous rejoignons donc le réfectoire, accompagnées par d'autres "anciennes", qui à ma grande surprise sont toutes présentes à l'école. L'une d'elle, Marie, m'indique que les élèves de 2ème et 3ème années ne reprennent leurs cours que dans 2 semaines et ne sont donc pas encore de retour à l'école. Au cours du repas les langues se délient un peu et je fais connaissance de quelques unes de mes nouvelles camarades. La plupart sont originaires de villes lointaines et seront donc pensionnaires comme moi. Je m'en étonne un peu mais je m'en réjouis finalement car cela nous permettra de mieux nous connaître et d'avoir une vie étudiante plus sympa, je redoutais surtout le fait d'être l'une des rares pensionnaires de la promo.

Le repas achevé, nous nous retrouvons dans une salle de classe. Sœur Thérèse nous remet un exemplaire du règlement intérieur. Dans celui-ci il est précisé que les étudiantes ne doivent pas fumer dans l'école, qu'elles doivent porter les blouses blanches qui nous seront remises cet après-midi, qu'il faut respecter strictement les horaires etc...

Puis elle nous annonce que les cours ne commenceront que dans deux semaines et que d'ici là, nous serions en période d'intégration, sous la responsabilité des anciennes. A ces mots, je blêmie et je m'aperçois, en croisant le regard inquiet de quelques nouvelles, que je ne suis pas la seule à redouter cette soit disant période d'intégration. C'est souvent le terme qui à remplacer le sulfureux bizutage dans beaucoup d'écoles. Sœur Thérèse poursuit en expliquant que durant 15 jours nous serons préparées à nos études de puériculture et que le contenu pédagogique de ce programme avait été visé par l'équipe enseignante. Cela rassura visiblement la nouvelle promotion qui imaginait déjà le pire et un soulagement général était aisément perceptible dans l'assistance.

Sœur Thérèse partie, les anciennes prennent le relais et nous indiquent qu'elles vont nous installer dans nos chambres et nous remettre nos vêtements de travail. Nous montons dans les étages et passons devant diverses salles où nous apercevons des tables à langer, des lits à barreaux et beaucoup de matériel de puériculture. Aux derniers étages, se trouvent les chambres de la promo. chaque étudiante a le droit à une grande chambre individuelle plutôt confortable avec un lavabo. Par contre les douches se trouvent à chaque extrémité du couloir, et en les visitant je m'aperçois que se sont des douches collectives, ce qui me déplait car étant pudique, je n'ai jamais aimé m'exposer aux yeux d'autres filles. Je suis brutalement tiré de mes rêveries par Marie qui indique que chaques nouvelles doit maintenant regagner sa chambre, ranger ses habits dans les armoires et s'habiller avec le contenu du carton que nous trouverons chacune sur notre lit en suivant les inscriptions figurant sur notre table de travail. Elle nous donne rendez-vous dans la salle de classe que nous venons de quitter d'ici une heure. Je regagne ma chambre, ferme la porte et commence à ouvrir la valise pour ranger mes affaires. Sur mon lit se trouve comme prévu un carton et je décide de l'ouvrir pour voir quels vêtements je vais devoir porter. Le contenu me laisse sans voix. Je découvre une grenouillère rose de taille adulte, une sucette munie d'un cordon élastique et surtout une couche culotte pour adulte ainsi qu'une couche droite. Je n'en crois pas mes yeux.

Je me précipite sur ma table de travail pour lire la feuille de consigne:

"Cher bébé, car c'est ainsi que nous t'appellerons pendant les quinze prochains jours, tu dois maintenant te déshabiller entièrement, t'allonger sur le lit, mettre la couche-culotte garnie de la couche droite, puis enfiler la grenouillère, te mettre sur le ventre et attendre qu'une maman vienne remonter la fermeture éclair de ta grenouillère et mettre les pressions permettant la fermeture de l'entrejambe. Entre-temps tu auras mis la sucette dans ta bouche et passer l'élastique derrière la tête pour la maintenir en place. A tout de suite mon bébé. PS : si tu n'y arrive pas, ce qui serait logique car tu n'as pas encore commencé tes études de puéricultrice, attend que maman viennent t'aider."

Je suis stupéfaite par la tournure des évènements et furieuse de n'avoir rien vu venir. Ce que je redoutais se réalise, malgré les interdictions officielles, l'école Jeanne d'Arc a conservé un bizutage et le dissimule derrière ces deux semaines d'intégration. Le discours de la directrice prouve également que l'école couvre cette pratique, me voila dans de beaux draps. Assise sur le lit, j'observe la couche-culotte et la grenouillère et réalise qu'elles sont bien à ma taille, je comprends ainsi pourquoi l'école avait demandé mes mensurations!

Les idées se bousculent dans ma tête et je réfléchis à l'attitude que je dois adopter. Je n'ai aucune envie de mettre cette couche et cette grenouillère ridicule, même si je saisis le lien de cette humiliation avec les études que j'entreprends. Je me demande surtout combien de temps cette plaisanterie risque de durée et s'il ne s'agit que d'une mauvaise blague de début d'intégration. Dans le doute, je décide d'attendre la suite des évènements.

Dix minutes plus tard, la porte de ma chambre s'ouvre sur trois anciennes dont Marie qui semble diriger le groupe. Elles me trouvent dans mes habits, ma valise non encore défaite, le contenu du carton étalé sur le lit.

- Bonjour bébé Alice, je vois que tu as besoin de l'aide de maman pour te mettre en tenue"

Je ne me laisse pas prendre au jeu et demande des explications sur la situation en indiquant que je n'ai pas l'intention de me ridiculiser ainsi.

- Tu as tort de le prendre ainsi me dit Marie, cette épreuve est destinée à échanger les rôles et à faire comprendre aux nouvelles étudiantes l'importance de leurs futures fonctions et du soin nécessaire que demande les bébés. Rien de tel que de vivre pour quelques jours dans la peau de ceux dont tu devras t'occuper par la suite.

J'étais déstabilisée par ces propos, persuadée que les anciennes allaient se jeter sur moi et me déshabiller de force. Sentant mon hésitation, Marie poursuivie :

- N'ai pas peur, il ne te sera fait fait aucun mal et tu auras toujours la même maman pour s'occuper de toi, il s'agit de Claire, qui sera la seule à te voir nue, excepter maintenant ou nous l'accompagnons.

Je digérai péniblement ces informations et réalisais peu à peu ce qui m'arrivait. Marie, maintenant persuadée que je n'offrirai pas de résistance, commença à déboutonner ma chemise pendant que Claire et Sophie débarrassait le lit de ma valise et du contenu du carton. Après la chemise, Marie passa dans mon dos pour dégrafer mon soutien gorge qui fut prestement enlevé.

J'eus à peine le temps de rougir que Claire défaisait mon pantalon et les deux filles m'allongèrent sur le lit. Claire m'enleva ma petite culotte pendant que Sophie inspectait le contenu de ma valise. Dans mes affaires elle découvrit mes serviettes hygiéniques et me dit :

- Tu utilises des serviettes, tu verras que les couches que nous te mettons sont toutes aussi douces, elles sont simplement plus épaisses et plus couvrantes.

Joignant le geste à la parole, Claire positionna la couche droite dans la couche culotte, me souleva les fesses et glissa la couche de façon experte. Pendant ce temps, Marie en tête de lit me pris les deux poignets et tira légèrement sur mes bras. Sans doute voulait-elle prévenir tout geste de dernière minute pour me dégager. Claire rabbatit difficilement la couche sur mon ventre, cuisses bien écartées. Je ne comprenais pas l'utilité de la couche droite tant la couche-culotte me paraissait déjà très épaisse. Rapidement elle fixa les adhésifs et ajusta les élastiques autour des cuisses puis elle me tapota l'entrejambe en me disant :

- Tu es un bébé très docile, c'est bien Alice.

J'étais mortifiée par cette remarque mais je n'ai pas eu beaucoup le loisir de la méditer car les anciennes m'enfilaient déjà la grenouillère, d'abord par les pieds qui se terminaient par des chaussons intégrés, puis elles m'assirent sur le lit pour enfiler les bras, eux aussi terminés par des sortes de moufles rigides. Rapidement, je fut mise sur le ventre et Claire mit les pressions qui refermaient le bas sur les fesses puis remonta la fermeture éclair le long du dos jusqu'à la nuque. Ce système permet d'avoir accès à la couche sans enlever le haut de la grenouillère. Un petit clic m'alerta cependant et je réalisais qu'un petit verrou sur la nuque empêchait de redescendre la fermeture éclair. J'allai protester quant Marie termina l'habillage par la sucette dont l'élastique fus ajusté sur ma nuque, sorte de bâillon m'empêchant de parler. En quelques minutes et sans résistance, ces trois filles me tenaient sous leur control. Elles me mirent debout et je réalisa qu'il me sera difficile de marcher normalement avec cette couche si épaisse et que je n'avais quasiment plus l'usage de mes mains à cause des moufles de la grenouillère. Sophie, terminant l'inspection de ma valise, pris mes sous-vêtements et les mis dans un sac en me disant :

- Tu n'en auras plus besoin, ce sont des choses pour les grandes filles et tu n'es encore qu'un adorable bébé.

Les trois filles, leur mission accomplie, quittèrent la chambre en m'indiquant que Claire, ma nouvelle maman viendrai me rechercher tout à l'heure. Lorsque la porte se referma, j'entendis distinctement le bruit d'un verrou que l'on fermait de l'extérieur. Seule dans ma chambre mon regard croisa la glace de l'armoire et je fondis en larme en me voyant ainsi habillée dans une large grenouillère rose, une sucette dans la bouche et une couche bien visible sous la grenouillère.

J'avais beaucoup de mal à m'adapter à cette masse entre mes jambes qui couvrait mon sexe et mes fesses et au bruit de la couche-culotte à peine étouffé par la grenouillère à chaque mouvement de mon corps.

La porte se rouvrit et Claire apparue.

- Viens mon bébé, me dit-elle, il est temps de rejoindre les autres bébés dans la salle de jeu.

Elle me prit par le bras et je marchais difficilement à ses côtés, nous descendîmes dans une salle au premier étage où je retrouvais l'ensemble de la promotion dans le même état que moi. Beaucoup de filles avaient les yeux rougis par leurs pleurs, mais aucune ne pouvait parler à cause de la sucette qui comme moi leur obstruait la bouche.

Nous étions toutes assises par terre sur des tapis de jeux pour enfants, entourées de jouets et divers cubes pour bébés.

Marie entourée des autres anciennes prit la parole :

- Bienvenue dans le programme d'intégration de l'école Jeanne d'Arc. Vous allez avoir quinze jours devant vous pour mesurer qu'il n'est pas si facile d'être un bébé entièrement dépendant de sa maman pour son biberon, sa toilette et ses couches. Je vous rappelle qu'un bébé ne parle pas, qu'il ne peut pas s'habiller tout seul, qu'il ne mange qu'au biberon ou au sein et qu'il fait pipi et popo dans sa couche. Vous allez avoir la chance d'être prises en charge par des puéricultrices fraîchement diplômées et compétentes, profiter de ces deux semaines pour observer leurs techniques. Bien entendu, pendant cette période d'intégration vous n'aurez aucun contact avec l'extérieur, vos parents ont étés prévenus pour ne pas qu'ils s'inquiètent et attendent de vos nouvelles. Le contenu de cette intégration est un secret de l'école bien gardé et, rassuré vous, personne hormis les membres de l'école, n'en ont connaissance. Je vous rappelle également que les bébés, pour les besoins de leur toilette sont souvent nus devant leur maman ou les autres bébés et que cela ne doit pas être considéré comme une gêne. Chaque maman peut nourrir ou changer un bébé et chaque bébé doit obéir docilement aux mamans. Certaines d'entre vous ont résisté lorsque nous leur avons mis leur tenue, se sera j'espère la dernière fois, car s'il y a parmis vous des bébés difficiles, ils seront punis. Je vous souhaite, chers bébés, un très bon moment.

Sur ces paroles, les anciennes quittèrent la pièce, nous laissant seules avec ce discours en mémoire. Je m'en voulais d'avoir cru qu'il ne s'agissait que d'une farce de courte durée et que seule Claire s'occuperait de moi. La perspective d'être nue devant toutes ces anciennes et même mes collègues de promo me soulevait le cœur. Une autre pensée très désagréable me vient à l'esprit et je réalisai également que non seulement il allait falloir porter ces horribles couches pendant quinze jours mais qu'il faudrait également s'en servir de toilettes ! L'idée de faire pipi et surtout caca dans une couche me révulsait. Moi qui mettais un point d'honneur à avoir toujours des culottes propres et fraîches, l'idée d'une couche souillée me révoltait.

J'observai les autres filles dans la salle et beaucoup d'entre elles devaient avoir les mêmes pensées que moi. Certaines pleuraient, d'autres essayaient vainement d'enlever qui leur sucette, qui descendre la fermeture éclair de leur grenouillère pour se libérer. Ce qui était le plus horrible c'est le bruit de plastique si reconnaissable que faisais chaque fille lorsqu'elles bougeaient ou marchaient. Les moufles ne permettaient pas de mouvement précis avec les mains mais juste de saisir maladroitement un objet en le coinçant entre les mains. Nous étions toutes dans une fâcheuse situation, certaines portaient leurs mains à l'entrejambe et l'on comprenait rapidement qu'elles se retenaient déjà de faire pipi dans leur couche. Nous passâmes ainsi le reste de l'après-midi. Fatiguée d'être debout et n'ayant aucune chaise pour s'asseoir, je me suis rapidement assise et c'est dans cette position que je ressentais hélas le mieux la pression de ma couche sur mes fesses. Impossible de l'oublier tant elle est serrée et ajustée sur moi.

A la vue de certaines mines déconfites, je compris que plusieurs filles n'avaient pas pu se retenir et avaient fait pipi dans leur couche. J'avais eu la chance d'aller aux toilettes après le repas ce qui me permettait de retarder l'échéance mais je savais que tôt ou tard je devrais aussi céder.

En fin d'après-midi, les anciennes firent leur retour, contentes de retrouver leurs bébés sagement assis. Chaque maman pris son bébé par le bras et l'entraîna vers sa chambre. J'avais beaucoup réfléchi à la situation durant l'après-midi et j'étais résolue à tout tenter pour échapper au programme et à cette situation humiliante. Une fois seules dans la chambre, Claire m'allongea sur le lit, passa derrière moi et me prenant la main droite l'attacha part une menotte déjà reliée au montant du lit. Cela se passa très vite et je ne pus esquisser le moindre mouvement. Avant que je ne réagisse, elle fit de même avec l'autre main. Moi qui rêvais de m'évader me voila attachée à mon lit, beaux débuts. Claire sourie à ma déconvenue et me dit :

- Tu n'espérais tout de même pas t'échapper, bébé Alice ?

Puis elle gagna le lavabo, remplissant une cuvette, elle revient vers le lit avec une trousse de toilette qu'elle avait prise dans l'armoire. Elle me demanda si j'avais déjà fait pipi dans ma couche et je secouais la tête pour lui dire non. Malgré ma réponse, elle me mit sur le côté et enleva les pressions de la grenouillère sur mes fesses. A nouveau sur le dos, elle libéra chaque jambe de la grenouillère, accédant ainsi à la couche sans me détacher. La couche-culotte était toujours bien en place, malgré mes mouvements de l'après-midi pour desserrer l'étreinte. Claire posa la main sur la couche, avança le visage pour détecter une odeur suspecte et me dit :

- Bébé Alice a les fesses bien au sec dans ses pampers, je vais te faire essayer toutes les couches dont nous disposons ici à l'école.

Se faisant, elle s'écarte du lit et ouvre l'armoire et je découvre avec effroi que tous les rayonnages sont remplis de couches de formes diverses. Elle en choisi une, elle revient vers moi et la pose sur une desserte ou se trouve déjà la cuvette et la trousse de toilette. Revenant vers ma couche, elle coupe au ciseau les adhésifs et rabat la couche.

- Comme tu peux le constater nous utilisons des couches avec des adhésifs spéciaux pour que le bébé ne puisse pas les enlever, il s'en serve dans les maisons de retraite.

Je suis maintenant nue, avec la couche-culotte et la couche droite toujours sous mes fesses devant cette fille que je ne connaissais pas il y a encore quelques heures. Elle observe attentivement mon minou et passe ses doigts dans mes poils. Je frissonne et observe médusée la scène sans pouvoir rien faire.

- Les bébés n'ont pas de poils sur le minou, me dit-elle, je vais te raser le pubis car le frottement répété de la couche pourrait t'irriter. Je te conseille de ne pas bouger, bébé Alice.

Elle sorte de la trousse de toilette de la mousse à raser, un rasoir jetable et après avoir mouillé mon pubis et appliqué la mousse, commence à me raser méthodiquement. Une fois l'opération terminée, elle sort une lingette et me nettoie délicatement le sexe. Je réalise ce que c'est d'être traité comme un bébé mais surtout d'en avoir conscience. Claire prend ensuite du talc et me soupoudre le pubis ainsi rasé et lisse et l'étale avec ses doigts. Cela me procure une étrange sensation et m'agace car je n'ai jamais aimé être tripoté par qui que ce soit, spécialement sur mes parties les plus intimes.

Claire satisfaite de son travail retire ma couche et m'en glisse une nouvelle, tout aussi épaisse qu'elle fixe de façon experte. Elle me remet ma grenouillère et finalement me détache les poignets. Elle m'aide à m'asseoir sur le lit et me demande ce que je veux pour mon dîner. Ne pouvant pas parler à causes de la sucette, seul un marmonnement sort de ma bouche. A ma plus grande stupéfaction, elle me propose le biberon ou le sein. C'est décidément un cauchemar, je pensais avoir mal entendu mais elle me dit finalement :

- Pour ce soir se sera un biberon, on verra pour la suite.

Elle quitte la chambre et referme le verrou derrière elle. J'ai un peu de répit pour réfléchir à la situation et je dois me rendre à l'évidence, je suis belle et bien prisonnière dans ma grenouillère et je n'ai aucune chance d'échapper à mon sort. Je repense alors au dîner et à la proposition de Claire et l'idée de devoir téter le sein d'une femme me glace d'effroi. Moi qui ai toujours décliné le moindre attouchement entre filles, cette seule idée me révulsant !

Je n'ai pas le temps de poursuivre mes pensées car Claire revient avec un biberon dans les mains. Elle se place sur le lit derrière moi, me retire ma sucette et m'enfourne aussitôt la tétine dans la bouche. Je détourne la tête mais elle me pince le nez et lorsque je reprends ma respiration me remet la tétine dans la bouche en m'ordonnant d'être gentille. La tête en arrière et le nez toujours pincé je déglutis et le lait commence à couler dans ma bouche. De sa main gauche, Claire me masse le ventre pendant que je bois mon biberon vaincu.

- Tu ne devrais pas te retenir de faire pipi me dit-elle, cela va te faire mal au ventre pour rien.

Sa main descend plus bas et elle me masse légèrement la couche au travers de la grenouillère.

- Ta couche est là pour çà, me dit-elle.

Mes pensées reviennent de plus belles sur ma couche et la nouvelle sensation que j'éprouve à entrejambe. Mon pubis rasé est beaucoup plus sensible maintenant au contact pressant de la couche et cela est très agaçant.

Mon biberon fini et ma tétine remise en place, claire m'allonge à nouveau sur le lit, ouvre la porte du fond de la chambre et en ressort un lit à barreaux de taille adulte. Elle me met debout, descend une barrière latérale, me fait monter dans le nouveau lit et remet la barrière en place.

Ce que je n'avais pas vu c'est que de l'autre côté se trouve la grille qui couvre et ferme le lit. Claire la rabat et verrouille à l'aide d'un cadenas.

De mieux en mieux, je suis maintenant enfermée dans un lit à barreaux.

- Bonne nuit mon bébé, me dit-elle.

Je suis maintenant seule dans ma chambre et si je n'avais pas le contact permanent de cette maudite couche et de cette horrible grenouillère je pourrai encore penser que tout ceci n'est qu'un mauvais rêve. Je trouve finalement le sommeil.

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lafont Il ya 7 ans  
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bbtyty Il ya 10 ans  
Azerty42300 Il ya 11 ans