Si si je suis allé travailler mais heureusement je finissais assez tôt. A 13h je me suis mis un pholcone assis sur les toilettes. 1h à 1h30 plus tard, lors d'une flatulence, j'ai senti le suppo couler légèrement. Vous connaissez sans doute cette sensation de fesses grasses et de chaud/froid comme si on venait de se mettre un suppo. Je suis allé évacuer les derniers résidus dans les toilettes : 2 taches grasses flottaient sur l'eau.
Comme j'avais lu que les principes actifs sont absorbés après 20 à 30 mn, je n'ai pas jugé utile de m'en remettre un autre.
Lors d'un sujet, j'avais abordé le thème : garder le suppo.
Je sais qu'à partir du 3ème, garder un suppo complètement devient difficile, tout dépend du suppo aussi. Les Trophirès sont quasiment impossibles à garder par exemple.
Comme je dors à poil et que je ne voulais pas prendre le risque de souiller mon lit, j'ai jugé plus opportun d'éviter le Pholcone hier soir. Comme je voulais quand même me soigner et joindre l'utile à l'agréable, je me suis mis un bon gros coquelusédal.
Certes ils ne sont pas aussi savoureux mais j'aime beaucoup leur emballage rétro, leur bonne taille, leur forme de torpille et leur texture plus souple. J'étais certain de le garder toute la nuit sans problème. j'ai juste évacuer leur résidu ce matin.
Ce matin je suis revenu à l'attaque de l'angine avec un pholcone mis profondément, face plate la première, allongé sur le dos jambes relevées.
Je pense qu'une pénétration plus profonde favorise une fusion plus haute dans le rectum. Actuellement je me sens délicieusement me chauffer et me soigner. C'est à chaque fois une nouvelle façon d'apprécier les suppos.