A l'école primaire, puis peut-être au collège, je ne m'en souviens pas exactement, chaque année lors de la visite médicale scolaire les garçons avaient droit à un décalottage en règle.
Ca se faisait à la fin de la visite, debout en slip devant le médecin, l'infirmière scolaire assise à son bureau.
Le slip était baissé, devant, par le médecin,,qui tenait ce slip baissé en y plaçant les mains pour le premier examen: les bourses étaient palpées pour contrôler la descente -ou non, pas encore- des testicules. C'était assez rapide et gênant, parfois un peu douloureux quand les doigts cherchaient chaque glande.
Puis, sans prévenir, le médecin tirait progressivement mais vite quand même à la base du gland pour le faire sortir complètement, et voir s'il se décalottait sans problème…
Ca faisait un peu mal, même si je décalottais normalement, avec une sensation de fort tiraillement quand le prépuce devait s'élargir pour laisser passer la couronne du gland, partie la plus large chez moi comme pour beaucoup de garçons; il y avait comme une sensation de brûlure quand la couronne passait.
On restait comme ça, le gland décalotté car le médecin ne le remettait pas en place en laissant le slip se remettre en place, et ce n'est que lorsqu'on se rhabillait, dans la cabine de déshabillage, qu'on remettait dans le petit étui un gland qui resterait autrement trop sensible aux frottements du slip.
Les toutes premières années de ces examens, je me touchais déjà, mais sans me décalotter.
A la fin, mes premières vraies masturbations sont venues, là, les jeux, plus ou moins prolongés, de décalottages-recalottages ont commencé, le soir dans mon lit, annulant dans mon esprit ces souvenirs désagréables lors de ces jeux intimes.