Je vais donner ici mon témoignage avec tous les détails, même s'il est un peu long. On peut en parler avec moi .
Certes, je voulais faire plaisir à cet homme dont j'ai parlé précédemment, mais surtout me faire plaisir à moi et ça n'a donc pas été un sacrifice, mais plutôt ce qui m'a aidé à franchir le pas. J'étais très jeune mais je m'intéressais à ce que je faisais et je m'étais documenté. Mes parents m'ont laissé carte blanche, comme tout ce qui concernait ma sexualité d'ailleurs. J'ai choisi l'hôpital américain car la circoncision est évidemment largement répandue aux USA et je n'avais pas eu d'autre idée. Et ça s'est passé de façon infiniment plus simple que je le craignais. Un peu mal après et pendant les premiers jours de la cicatrisation c'est tout, mais rien à voir avec d'autres ennuis que j'avais à l'époque, comme aller chez le dentiste ! Le gland mis à découvert est un peu gênant les premiers jours mais on s'y habitue vite. A la fin de la cicatrisation vers trois semaines après, il est déjà bien désensibilisé. On peut reprendre des activités sexuelles disons après 4 semaines. On peut avant, en ne tirant pas sur la cicatrice mais ça fait une drôle d'impression qui passe très vite.
Ce n'est qu'alors que j'ai compris pourquoi la circoncision avait tant de succès. Je savais que c'était bien, mais à ce point, je ne l'imaginais pas. C'est génial. C'est la nudité du gland qui est ce qu'il y a de plus appréciable. Paradoxalement, sa désensibilisation, toute relative, d'ailleurs, conduit à prolonger les choses, du moins pour moi, et à parvenir à un stade de plaisir plus intense et plus raffiné, me semble-t-il. Je ne l'ai pas une seule fois regretté.
Si quelqu'un y pense pour lui ou seulement aimerait en discuter avec moi, pas de problèmes. Et si quelqu'un a envie de franchir le pas, je lui raconterai plus en détail et je répondrai à ses questions. C'est un sujet qui me passionne et je dispose d'une abondante et impressionnante documentation.
J'avais des relations sexuelles régulières avec cet homme que j'aimais et qui m'aimait, et c'était génial. Je pourrai raconter tout ça. Il m’a appris une chose essentielle : faire la différence entre « baiser » et « faire l’amour ». J’ai retenu cette leçon toute ma vie, et je crois avoir donné du plaisir, de la joie, et surtout du bonheur, à quelques jeunes hommes.
J'ai été très surpris parce que ça n’a que des avantages et je ne suis pas le seul à en avoir eu envie, loin de là ! On comprend pourquoi c’est ridicule et même débile de comparer avec une mutilation ou je ne sais quoi de stupide. Certains se montrent rebelles et critiques parce que leur consentement n’a pas été demandé. On peut comprendre. Mais s’il faut éventuellement modérer l’enthousiasme en affirmant que c’est « pour la bonne cause » qu’on coupe le zizi des petits garçons impubères, on constate quand même que sur un peu plus d’un tiers de la population masculine sur la terre, soit quand même pratiquement 2 milliards de glands découverts ! Il y a peu de contestations et de réclamations auprès du service après-vente ! Si tel avait été le cas, ça se saurait !
Ça a été une révélation pour moi. Et comme beaucoup d’hommes (ou ados, bien sûr, c’est pareil !), qui se le sont fait faire, certes, parfois, par nécessité pour diverses raisons, ou tout simplement par goût, par désir, par envie, par souci d’esthétique, d’hygiène, même si on peut aussi se laver ( !!!), et surtout d’érotisme et de sensualité, ce qui est fréquent, le seul regret c’est souvent de ne pas l’avoir fait faire plus tôt ! J’ai lu cette appréciation dans de nombreux témoignages.
Moi, j'ai mieux maîtrisé mon éjaculation, un plaisir plus fort car j'ai trouvé qu'il y avait un palier qui était déjà l'orgasme qui durait assez longtemps avant l'éjaculation.
Il est vrai que le prépuce induit une grande sensibilité. Dans un sens, on peut penser qu’en le coupant, on se prive de quelque chose. Mais c’est oublier que les terminaisons nerveuses, les corpuscules de Krause, se reforment en-dessous de ce qui a été coupé. Il y a donc une « recapitalisation » des facteurs des sensations, qui expliquent donc le paradoxe qu’en enlevant un bout de peau (externe et muqueuse), on favorise des sensations nouvelles et plus intenses, même si, évidemment, la subjectivité n’est pas absente de cette appréciation. Mais, même s’il y a coupure, le garçon n’a pas l’impression qu’on lui aurait retiré quelque chose, et qu’on lui aurait « sacrifié » sa bébète ! C’est tout le contraire. En général, les hommes (adolescents ou adultes !), ressentent la découverte et l’ajout d’une dimension sensuelle supplémentaire, supérieure par l’effet d’une subtilité inattendue du goût du gland toujours présent. Même dans le slip, après cette désensibilisation qui si paradoxalement renforce les sensations et l’intensité des orgasmes (même si ce n’est, bien sûr, pas aussi mathématique que ça, mais pourtant valable en général), le gland n’est pas gênant du tout. Le plus souvent, on ne le sent pas du tout. Mais des fois, on sent sa présence à nu discrète, se rappelant à nous, et c’est très agréable et sensuel. Quand on bandouille ou quand surgit l’érection c’est le top.
Si quelqu'un veut des informations, ou simplement en parler avec moi , pas de problème
Gérard