Vos réactions d'enfants soignés avec des suppositoires.

Tous vos témoignages concordent pour l'essentiel avec ma propre expérience subie : c'est maman qui me les enfonçait, c'était souvent des "Néocodion" contre la toux .Malheureusement encore un délice qui ne se fabrique plus.

La honte de le recevoir mais une joie de ressentir le gout sublime une fois le suppositoire enfoncé dans mon anus.

Et détail quasi-machiavélique, hors de question d'avouer ce plaisir du gout plus l'excitation provoquée une fois la honte dépassée!

La summum de honte c'est quand elle me demandait avant de me l'enfoncer si j'avais été faire caca!

Et là dilemme si je n'avais pas fais:

- soit je dis non, elle m'envoie aux WC et en cas d'échec, je risque de recevoir un suppositoire de plus pour la constipation;

- soit je mens et je dis oui et là si je suis obligé de le refaire du fait de l'irritation provoquée, j'en reçoit un deuxième.

Je m'en souviens comme si c'était hier de la question surprise du caca.

En résumé pour les occasions ultérieures soit j'avais intérêt à prendre mes "précautions" avant l'heure du suppositoire soit j'avais toutes les chances d'en recevoir deux!

Miststiefeln: Ah ah moi ma mère m'envoyait à la selle par précaution sauf si je disais que j'y été allé très récemment! Si c'était le soir elle me rappelait la nécessité de la selle avant la toilette du soir (logique).

Bastien01 évoque le suppo au lever à peine réveillé. Pour les suppos médicamenteux, comme de toute façon on m'envoyait à la selle avant, ça ne risquait pas d'arriver (ou du moins il fallait attendre que je revienne des WC). Par contre une fois, maman m'avait donné un suppo de glycérine le soir, pas d'effet au coucher, le lendemain matin première chose au réveil, m'a demandé si j'avais été à la selle, et devant la négative, sur le côté pyjama baissé et une deuxième dose.

Je détestais ça, comme beaucoup d'enfants je pense, mais je n'avais pas le choix, quand maman avait décidé de me mettre un suppositoire, je devais m'y plier.

Qu'est-ce que j'ai pu faire la tête quand le médecin me prescrivait des suppos...

Je détestais ça, comme beaucoup d'enfants je pense,

@Rosie : combien de temps cela fait-il ?

@clyso J'ai commencé à apprécier les suppos vers mes 12 ans je crois. J'ai maintenant 25 ans.

En somme d'un mal sont venus un bien et une sensualité ! .... à ressentir en solo ? ou accompagnée ? En tout cas, merci du partage que vous faites avec nous !

Enfant, j'avais vraiment horreur des suppositoires.

Le résultat, c'est que mes parents avaient un peu laissé tomber, car ils devaient vouloir éviter les scènes auxquelles le sujet "suppositoire" donnait invariablement lieu. Une anecdote qui revenait souvent était la soirée où ils m'avaient trouvé brûlant de fièvre dans mon lit et qu'ils avaient pensé pouvoir m'en mettre un sans me réveiller… j'avais sursauté au dernier moment et ils avaient dû laisser tomber.

A partir du moment où j'ai été un plus grand enfant, il n'a plus été question de suppositoires pour me soigner mais je détestais en revanche quand le sujet était abordé par hasard au détour d'une conversation avec d'autres membres de la famille ou des amis. Il arrivait alors que ressente beaucoup de honte à partir du moment où le mot "suppositoire" était mentionné car je craignais qu'un de mes parents révèle à quel point je les détestais ou pire - c'est déjà arrivé - qu'ils racontent la fameuse anecdote du suppositoire manqué, qui faisait en général rire tout le monde…

Serquei.

Je me reconnais un peu dans ton témoignage.

La où je m'étonne moi même c'est que à l'heure actuelle parfois j'utilise des suppositoires pour me soigner pire encore cela me fait fantasmer.

Serguei,

J'adhère tellement à ce temoignage sur la gène quand le mot "suppo" était prononcé en famille. Même quand j'avais plus de suppos (j'en ai eu jusqu'à 7-8 ans) il arrivait régulièrement que quelqu'un évoque le mot en famille ou avec des amis, même en mode blague genre "ça sent un peu comme le suppo" ou "c'est mieux qu'en suppo" ou de manière plus concrète, comme cette fois où une amie à ma mère lui parle d'un de ses enfants et dit "je lui ai mis un suppo ce matin". Tout ça c'etait la honte absolue pour moi. La période suppo était tellement un mauvais souvenir. A chaque fois ça me rapellais que moi aussi on m'avais mis ça dans les fesses et les souvenirs revenaient, le rituel qui allait avec aussi. Et devant ma mère en plus, à une époque où je devenais logiquement très pudique, ça me rapellais qu'elle avait vu, regardé, manipulé même, mes fesses plusieurs fois à ces occasions, ça me foutais la honte, j'étais super gêné que le sujet revienne devant elle. Heureusement je n'ai pas le souvenir qu'elle ai commenté quoi que ce soit en rapport avec moi ou une anecdote concernant une mise de suppo d'avant. Mais ça m'a poursuivi toujours cette peur que le sujet soit abordé, ou simplement le mot mentionné.

Voilà qu'au fil du temps cela devient positif !

Les suppositoires comme la prise de température rectale j'avais cela en horreur.

Et maintenant Matrix ?

@Maec

Bin les suppos je ne connais plus depuis très longtemps.

Le thermometre , faut que j'ai beaucoup de fièvre avant de l'utiliser, et ce n'est toujours pas un plaisir.

Avant pour les enfants les suppos étaient souvent prescrits, en particulier pour les toux/maux de gorge.

Traumatisant par l'insertion d'un médicament dans un endroit "honteux" et tabou.

En plus de la douleur éventuelle, et des effets secondaires (odeurs mentholées caractéristiques, risque de flatulence donc salir son pyjama et qui prend aussi l'odeur, et expulsion grasse aux toilettes avec là aussi un effet odorant sur le postérieur et les vêtements).

Encore pire si le suppo était à peine introduit et donc avait tendance à fondre sur place, voire à ressortir...

C'est pour ça que le suppo était la hantise étant enfant, et que lors de la visite du docteur je redoutais qu'il prescrive des suppos.

Je pense qu'à l'époque, en prenant quelques précautions ça aurait été moins mal vécu:

. Lingette nettoyante après l'insertion du suppo, pour enlever l'odeur sur les fesses

. Un peu de lubrifiant pour aider à l'insertion

. Enfoncer suffisamment le suppo quitte à utiliser un gant en latex pour ne pas se salir

. Lingette nettoyante aussi après chaque passage aux toilettes

. Et ... rester très discret par rapport aux autres enfants du foyer et de l'école pour éviter les moqueries!

J'ai vu aussi une femme sur ce forum qui avait droit à la serviette hygiénique sous les fesses quand elle recevait des suppos, ça devait bien aider aussi pour éviter les petits désagréments...

Et ces petites précautions restent valables étant adultes...

Sujet sensible, je parle seulement de l'effet du médicament étant enfant, il ne s'agit pas du tout de s'exciter sur ce sujet...

Lolo69: Je ne sais pas de qui vous parlez sur ce forum mais moi oui j'ai eu droit à la protection féminine sous l'anus dans le slip après les suppos. Il n'en reste pas moins qu'à l'école, dès que le suppo à l'eucalyptus pour le mal de gorge avait fondu, il y avait d'une part cette odeur embarrassante, qui semblait signaler ma condition à tout l'entourage, d'autre part l"impression d'avoir "fait dans ma culotte", et j'attendais avec impatience la récréation pour filer m'essuyer aux WC. Et puis... une serviette sous les fesses on a l'impression qu'on vous met une couche!

Aucun souvenir, j'étais malade et ne pensais pas à mon cul.

Dragon Lady: Ça c'est ce que je réponds quand les gens sur Zity s'étonnent de ce que j'aie reçu des touchers rectaux pour appendicite. Sur le moment, excusez-moi, mais je me sentais tellement mal qu'un doigt dans le derrière ce n'était rien ! (Après coup j'en ai tout de même voulu aux médecins et à ma mère de ne pas m'avoir prévenu d'en quoi l'examen consistait.)

@Arthurienne alias @mousseline alias @Everest,

Bonsoir " vous " enfin " te " voila de retour, rien de nouveau de ton côté, et comme plusieurs m'ont signalé ton retour je ne voulais pas manquer de te saluer.

@Arthurienne alias @mousseline alias @Everest,

Bonsoir " vous " enfin " te " voila de retour, rien de nouveau de ton côté, et comme plusieurs m'ont signalé ton retour je ne voulais pas manquer de te saluer.

Et Boussin entre autres...

C'est impardonnable de la part de qui vous savez d'avoir oublié boussin er les autres . . .

Oh que ce n'est pas gentil ni courtois de rigoler de vous, pour rappel vous avez plaisir à vous moquer des membres. Back Fire Retour de Flamme ? Retour de Manivelle ? Merci pour les " Coups de torchon "

Je me lance dans un premier post sur le site, avec un premier souvenir ...

Je devais avoir 8 ou 9 ans, en colonie de vacances, nous étions 6 filles par chambrées... Le deuxième jour, je me réveille grognon, un peu patraque, ce qui passa inaperçu. Ce n'est que le soir, où je n'ai pas touché à mon assiette, pâle comme un linge, qu'une monitrice remarque que quelque chose ne va pas, elle me prend par la main et me dit "toi, tu vas venir avec moi". Nous rentrons aux dortoirs, ou elle me conduit sur mon lit "j'arrive". A ce moment je n'imagine pas ce qu'il va se passer par la suite ... Je la vois revenir avec une trousse, elle s'assoit sur le lit, et en sort un thermomètre, du coton, et un tube de crème. Sans m'expliquer, elle me tire mon pantalon, et ma culotte, qu'elle enlève entièrement (j'étais allongé sur le dos). Voyant ma surprise, elle dira juste "je vais te mettre le thermomètre, ça va aller". Avec mon papa pédiatre, j'étais habituée à ce traitement, mais là je connais cette mono depuis deux jours et cela est très embarrassant. Elle me ramène les jambes sur le ventre, enfile un gant, et je sens son doigt froid venir parcourir mon petit trou... C'est au tour du thermomètre, qui me parait très gros de venir s'y loger. La monitrice me regarde dans les yeux, d'un être sympathique, mais ma gène continuait d'augmenter. Elle le retire ou bout d'une éternité, et annonce la température "38.3" ...

Je redoutait de plus en plus la suite, ce qui devait arriver arriva "Bon, on va mettre un suppo". Je recommence donc à rougir, avoir chaud, je ne déteste pas les suppositoires mais le recevoir dans ce lieu par cette personne, était complètement incongru. Je demande à aller faire pipi, espérant, en vain, qu'en revenant la monitrice aurait oublié le traitement (c'est fou ce qu'un enfant de 8 ans peut croire). La monitrice m'attendait, le suppo dans sa main gantée, assise sur le lit "Aller vient par là ma grande". Ne pouvant y échapper, je m'approche d'elle, elle pose la fusée sur le lit et m'installe en travers de ses genoux. Je me retrouve donc sur les genoux d'une personne que je ne connais pas, les fesses à l'air, tête en bas, ce qui ne fait qu'augmenter ma gêne. Là, se sent une gelée froide me pénétrer, longtemps, avec des petits vas-et-viens "Ca devrait être bon dit-elle". Je sers les fesses par réflexe quand je l'entends récupérer le suppositoire "détends toi, ou je vais te faire mal" prononce-t-elle, ce qui fait qu'augmenter ma gêne. D'un coup, une claque vient se poser sur mes fesses m'obligeant à relâcher mes petites fesses, des larmes se mettent à couler sur mes joues. "Ah, là tu écoutes, aller ça suffit maintenant, on est malade, ou se soigne". Je sens l'extrémité froide du suppo s'appuyer sur ma rondelle, puis rentrer... la fusée glisse, me procurant cette sensation indescriptible, suivi du doigt de la mono, qui se retire aussitôt. "Allez, mission accompli, maintenant on se repose". Elle me descend de ses genoux, m'allonges sur le lit, m'enlève ma polaire, et remonte le drap sur moi .... suite au prochain post

Bienvenue à vous @LILOU21 !

suite au prochain post

En attendant, bienvenue à vous... 🌹

Personnellement c'est en colonie de vacances que j'ai eu mon premier suppositoire, j'étais malade et on m'avait envoyé à l'infirmerie, sur un lit de camp dans la tente médical , on m'avait dit de me mettre en pyjama et de me coucher, l'infirmière était venue, elle était assez âgée dans mes souvenirs, elle avait touché mon front et soupçonnant de la fièvre avait décidé de prendre la température. Elle avait descendu la fermeture éclair du duvet, m'avait demandé de me mettre sur le coté, quand elle avait commencé à baisser le bas de pyjama, elle s'était rendue compte que j'avais enfilé mon pantalon au dessus de mon slip. Remontrance sur le manque d’hygiène, elle m'avait alors enlevé le bas de pyjama et le slip avant de prendre la température, je me souviens qu'elle l'avait laissé planté dans mon anus alors qu'elle regardait sa montre, " trois minutes, comme pour cuire un œuf" avait elle dit. Verdict, fièvre , elle m’avait annoncé qu'elle allait me donner un suppo, mais je savais pas ce que c'était. j'ai découvert les doigts qui écartent les fesses l'objet qu'on introduit et le doigt qui attend que celui ci est pris son envol.

Jean-Chris : et quel effet t'avais fait le suppo ? Il avait brûlé ?

Non, je n'ai pas de souvenir de sensation de brulure, par contre je me souviens d'en avoir eu un au réveil et quand j'avais des gaz , ça sentait l’eucalyptus. Du coup, ceux qui connaissaient savaient quel traitement j'avais eu.

Et bien probablement un suppositoire à l'eucalyptus, Jean-Chris.

L'autre inconvénient du suppositoire , c'est qu'il a une furieuse envie de ressortir, un été, j'étais en vacances chez mon cousin et on dormaient dans la même chambre, le soir quand nos mères venaient nous border, il avait droit à un suppositoire, elle faisait ça discrètement et finissait toujours en lui disant « serre les fesses pour le garder ». Mais un soir au moment ou elles quittaient la chambre, il y a eu un bruit de pet humide, sa mère a tout de suite compris, elle l'a sorti de son lit lui a enlevé son bas de pyjama, qu'elle a emmené avec elle , elle est revenu avec un gant de toilette et lui nettoyé les fesses, elle a alors constaté que ça avait traversé le pyjama et qu'il fallait changer le drap de dessous, elle a demandé à ma mère si elle pouvait le faire pendant qu'elle passait le pyjama à l'eau. Lui il est resté là cul nu, tout le temps des opérations de nettoyage. Sa mère est revenu avec le pantalon et la mis à sécher sur le dossier d'une chaise, ce n'est qu'à ce moment là qu'elle lui a donné un slip pour la nuit qu'il s'est dépêcher d'enfiler.

Beau temoignage Jean-Chris.

En quelle annee etait-ce, et quel age avais tu?

Masculine ou féminine la quincaillerie cela à besoin aussi de respirer, dormir nu est tellement plus agréable, et on a plus chaud.