Récits de visites médicales réelles

Pour ma part : oui, tentative à chaque fois dès la maternelle. Toujours le même médecin, une femme qu'on craignait beaucoup qui fumait entre certains examens et avait une voix très éraillée de fumeuse. Très brune, cheveux longs en chignons à la "Simone Veil".

La première fois je suis avec ma mère. La "doctoresse" est assez brutal et nous reçoit un à un en nous plaçant derrière un paravent. Elle écoute mon coeur rapidement. Prend ma tension. Regarde mon carnet de santé et baisse d'un coup ma culotte. Elle regarde et soulève ma verge, essaie de tirer la peau, mais c'est trop serré. Là elle prend un bonbon le met dans sa bouche et commence à palper mon sac. Elle enfonce ses doigts et ça me fait mal mais je dis rien. quand elle a finit elle me reculotte et prépare un courrier qu'elle remet à ma mère.

Quand on repart, ma mère était choquée pour l'histoire du bonbon qu'elle mange devant les enfants sans leur en proposer.

Merci pour cet ensemble de témoignages ! Tu n'as pas eu de chance avec la vieille chameau !

Je me demande si cela se fait encore, ces décalottages lors de visites médicales de routine ou scolaires. C'est très années 70 - 80 non?

J'ai passé des visites médicales scolaires du début des années 70 jusque vers 1980. Il y avait systématiquement un décalottage et la vérification que les testicules étaient bien descendus dans les bourses, ceci jusqu'au début de la puberté.

Ça a continué de se faire ensuite, le décalottage et les palpations de bourses, dans les visites scolaires? Ça continue de nos jours?

Ça a continué de se faire ensuite, le décalottage et les palpations de bourses, dans les visites scolaires? Ça continue de nos jours?

Je suis en train de lire le livre Les brutes en blanc, de Martin Winkler, paru chez Flammarion. Il y dénonce le comportement abusif de certains médecins. Il déconseille aux parents d’accepter tout décalottage de leurs enfants par un médecin, j’en déduis que cette pratique n’a pas disparu.

Merci !

Woyzeck: Dans le cadre d'une visite scolaire, les parents ne sont pas présents...

A l'époque ma mère y était. Bon c'était en maternelle, mais je suis formel. Longtemps après elle a parlé de la fameuse histoire du "bonbon", donc elle avait bien vu le médecin le faire.

Ma position personnelle au sujet du décallotage est qu'il vaut mieux décalloté très jeune c'est à dire entre deux et quatre ans d'age, que de ne pas être décalotté.

Un enfant ne se lavera pas de lui même le gland et ne le rincera pas non plus, le parent qui le lave n'aura pas la possibilité de bien le faire non plus vu qu'il n'y a pas d'accès à la peau du gland ni à la peau interne du prépuce, et à la longue cette zone ne restera pas propre.

Sans décallotage pas mal d'adultes se retrouvent avec les problèmes que l'ont connaît fort bien, et qui pour certains leur empêche toute pénétration du vagin tellement c'est douloureux pour la verge.

Mes fils ont été décallotés très jeunes, ils n'en ont gardé aucun traumatisme, et leur compagne profitent sans restriction de la chose.

Ces idées de l'enfant-roi venant des pays nordiques et de non décallotage par un médecin excessives et dangereuses. Un problème de phimosis détecté et soigné très jeune laissera beaucoup moins de séquelles qu si il était soigné plus tard ou trop tard au moment de la puberté quand l'adolescent ne sait pas se masturber alors qu'il en a besoin pour son évolution normale et naturelle.

Le contrôle des testicules est en fait le contrôle de l'évolution vers la puberté d'un enfant, si les testicules ne "descendent" pas il faut un suivi médical. Ce n'est pas en restant habillé que le médecin scolaire ou de famille pourra vérifier l'évolution normale de l'enfant.

Concernant ce post et le précédent, je veux bien accepter qu'il y a des exceptions et dans certains cas très rares il y a eu des abus, cependant je crois que les exagérations et abus viennent plus souvent de la part des parents que du corps médical.

C'est mon avis et je le partage.

Arthur, la façon dont vous formulez la chose est amusante :

> " Ce n'est pas en restant habillé que le médecin scolaire ou de famille pourra vérifier l'évolution normale de l'enfant. "

Qui ? Le médecin ou l'enfant ? 😃

Bien entendu, je suis d'accord, en supposant que vous ayez bien voulu désigner la nudité de l'enfant, pas celle du médecin 😃

Cependant, il y a des enfants, pas si rares, dont j'ai fais partie, pour lesquels cette "intrusion" peut rapidement se révéler extrêmement marquante. La responsabilité des parents, j'entends. Mais on fait quoi quand les parents sont "défaillants" ? On ferme les yeux ? "tant pis pour le gamin, il avait qu'à arriver ailleurs" - ?

Je vais vous raconter une petite histoire.

J'a 5 ans. Un jour, je suis chez ma grand mère et j'ai mal à la gorge. Elle appelle son médecin qui n'est pas le nôtre, mais travaille dans la même maison médicale. Il procède à un examen normal : coeur, prise de tension, gorge, ganglions. Il me dit que j'i une angine. Et là, sans raisons apparentes, il baisse la couverture et les draps, soulève mon bassin e descendant mon slip bleu ciel. Et il commence à examiner et palper. Ca dure un moment. je ne comprends rien mais ça met le "trouble" en moi, et me questionne évidemment. A la fin, il me demande de remonter mon slip et remet les draps en me souriant.

Les questions qui me viennent dès cet instant : - pourquoi il a fait ça ? Qu'est-ce qui ne va pas à cet endroit ?

Les questions qui me sont venues plus tard : pourquoi le faisait-il ? pour vérifier que j'avais une ectopie et un phimosis ? il était là pour un mal de gorge. C'était à mon médecin de famille de s'en occuper. Alors ? Peut-être mon médecin de famille le lui avait signalé - possible. Peut-être ma grand mère, je ne sais pas. Mais ça m'a énormément troublé. Il n'était pas là pour ça.

Pour ce qui est de "l'enfant roi venant des pays nordiques", là je dois dire, je ne comprends pas grand chose.

S'il y a des pays en pointe à ce niveau ce sont bien eux. Qui vont aujourd'hui jusqu'à restreindre strictement la circoncision à des cas sévères et avérés - en dehors des raisons religieuses - tout en recommandant aux familles le décalottage régulier dans des campagnes télévisuelles filmées et documentées, les médecins, il me semble, sachant prendre le relais en cas de défaillance familiale.

Aux études mes camarades de classe me reprochaient d'avoir de l'esprit de sel, traduction de l'acide chlorhydrique ... , cela n'a pas changé, mais en plus l'esprit avec l'age est devenu de plus en plus carré, et maintenant mea culpa il est devenu triangulaire, mais équilatéral quand même

ce préambule pour oser dire quand on est pas capable d'élever ses enfants on laisse cela à d'autres, et surtout on essaie pas de déformer ceux qui ne le sont pas, toi @tit_biniou tu es la victime, des erreurs des parents et grands-parents et tes réactions actuelles sont normales et logiques au vu de la vue tronquée que l'on t'a donné de certaines choses de la vie. Le souci c'est la loi du nombre, mais aussi comme dans ton cas peut-être le manque d'intérêt pour la profession exercée par celui qui était venu pour te soigner, peut-être avait-il une " urgence grave " après toi, on ne saura jamais, au plus le nombre est grand au plus il y aura de risques et de cas différents, mais la compétence et la connaissance n'évoluent pas spécialement avec le nombre et cela génère une augmentation des cas malheureux.

Dans les pays nordiques l'enfant est roi, donc tous les enfants sont rois, et bien je leur souhaite bonne chance dans quelques années quand tous ces rois, princes et autres auront trente ou quarante ans et qu'ils continueront à vivre comme des rois, l'entente dans les couples avec deux phénomènes pareils risque d'être plus souvent chaotique que agréable, et dans la vie active chacun ayant toujours été le roi les relations de travail seront certainement encore moins bonnes que celles qu'ils connaissent aujourd'hui.

Personnellement je suis " furieux " à l'encontre de parents qui ont si mal préparé leurs enfants à la vie.

J'entends ton propos @arthur ... Il me semble à peut près le saisir. Ce que cependant tu ne sais pas, c'est que dans mon cas mes parents n'ont pas grand chose à y voir, puisque j'ai été placé par l'institution. Eux ont fait ce qu'ils ont pu, ce qui a déjà été énorme 😃

Au delà cependant, je me permets de te faire remarquer que tu n'as pas voulu "déshabiller le médecin", ce qui en soit est amusant.

Chez nous, aux vues de ma maman en particulier, le "docteur" c'était "dieu-le-père" et pardon, mais de part leur statut d'humains, faillibles comme tout le monde, on ne me fera pas croire, en particulier dans les années 70/80, que chez certains, ce statut n'avait pas valeur parfois "spéciale". remarque bien que je ne juge pas, je cherche juste à poser un constat.

Que certains y aient trouvé du plaisir, de mon point de vue, n'aurait rien d'étonnant, voire en réalité de tout à fait "normal" en un sens.

Là où je m'isncris en faux, c'est justement quand ceux là pouvaient commettre un abus de faiblesse face à des parents démunis en terme de savoir.

Tu aurais vu la tête dévastée de mon père, quand alors que j'avais 14 ans, notre médecin de famille ordonna - contre l'avis de son remplaçant - qu'on me fasse une cystoscopie pas vraiment justifiée, lui m-ême en ayant subie une, tu comprendrais exactement ce que je veux dire. (il s'agissait bien d'une glomérulopathie au final. L'examen n'était absolument justifié, come l'avait sous-entendu le remplaçant).

Tu veux savoir le plus "drôle" ? Quand, des années plus tard, j'ai voulu téléphoner à ce médecin famille qui s'occupait de moi quand j'étais enfant pour avoir des explications sur un certain nombre de défaillances - parfosi majeures - qui avaient émaillées toute mon enfance, sa réposne au téléphone après un court silence a été : "il faut oublier", et il a raccroché.

^^

J'apprécie la mesure avec laquelle tu t'exprimes, et la défense que tu prends de tes parents. J'ai expérimenté de nombreuses cystoscopies en douze années et des biopsies dans la vessie ( trois fois 4, quatre fois 4 , trois fois 4 ) . Si pour une femme une cystoscopie n'est pas trop douloureuse, le lendemain la douleur est presque disparue, pour un homme il en a toujours les sensations quatre jours plus tard.

Le tout premier pipi après ... Ouh là là ^^ 😄 Et après 2 ou trois jours assez "intenses" oui ... après ça diminue 😃

Là c'est l'expérience qui parle

Je suis 100% d'accord avec Arthur au sujet du décalottage.

Un acte absolument indispensable durant l'enfance et une mère qui ne le fait pas est une mauvaise mère.

A titre personnel à propos du décalottage, ça c'est passé en 5 semaines chrono.

Le contexte, simple. Lors d'une visite chez notre généraliste, à 14 ans, celui-ci me fait baisser mon slip afin de vérifier si je décalotte. Ca venait pas, alors il a dit : si ça n'évolue pas la prochaine fois qu'on se revoit, on fera le nécessaire pour planifier l'intervention chirurgicale".

J'avais de nouveau rendez-vous 5 semaines plus tard.

Je me suis débrouillé en 5 semaines.

😃

Et je n'ai pas été opéré. (mais qu'est ce que ça fait mal au début ^^ ... :/ )

Excellente réaction du médecin. Et quelle motivation ...

Mais pas normal de découvrir ce problème seulement à 14 ans !!! Ta mère et lui étaient en tort.

Si on commence les décalottages dès la petite enfance il n'y a jamais de problème. Mais bien entendu cela doit se faire progressivement et sans trop forcer, si il faut plusieurs mois pour y arriver en douceur ce n'est pas du tout un problème (c'est même normal chez certains enfants). Personne n'a jamais dit qu'il fallait décalotter de force dès le premier essai.

Electrofun: J'ai vu plusieurs témoignages où un médecin découvre un phimosis (sans infections ni quoi que ce soit qui ne va pas) et alors affolement, on décrète d'un régime de décalottages forcés assez brutal et précipité par des parents stressés. Au mieux c'est douloureux, au pire contre-productif...

Alors que comme vous dites, il n'y a aucune urgence: si le gamin n'a pas eu de balanite depuis sa naissance jusqu'à ce moment, il n'y a pas de raison particulière qu'il en ait une dans les prochains mois (et par ailleurs une balanite n'est pas une maladie grave). On peut prendre le problème progressivement, et demander au patient de pratiquer des décalottages au lieu de les lui imposer (on supporte mieux la douleur si on se l'impose plutôt qu'on ne la subit).

Les questions qui me viennent dès cet instant : - pourquoi il a fait ça ? Qu'est-ce qui ne va pas à cet endroit ?

Lorsque j'avais 5 ans, un médecin était venu chez nous à la maison pour soigner toute la famille (ma mère, mon frère et moi-même), nous avions la grippe. Il nous avait demandé demandé de nous déshabiller entièrement (pas ma mère, évidemment). Il avait toutefois seulement regardé, pas touché. Je ne suis pas retourné chez ce médecin avant d’avoir 18 ans, de nouveau pour la grippe. Il a par contre été beaucoup moins curieux, se contentant de m’ausculter.

Je me demande s'il ne s'agit pas de vérifier, en cas de suspicion d''oreillons", si les testicules sont touchés (ce qui peut occasionner une stérilité).

Bonjour,

J'ai passé quelques visites médicales qui m'ont marqué, je vais vous raconter la première. C'était dans les années 70. Je devais avoir 12 ans lors de la première visite médicale scolaire en secondaire je suis entré en slip dans le cabinet du médecin il m'a examiné, gorge, oreilles, palpation de l'abdomen, etc. le moment que je redoutai le plus est arrivé sans dire un mot il a baissé mon slip pas encore pubère j'étais mort de honte quand il a touché mes testicules, mais le pire était encore à venir, toujours sans un mot il a tenté de me décalotter ensuite il m'a dit de remonter mon slip et de sortir. J'étais fils unique je vivais avec ma mère je n'avais jamais vu quelqu'un de nu j'étais et je le suis resté très pudique cette visite médicale reste à jamais gravée dans ma mémoire comme un très mauvais souvenir. Avant de repartir, l'infirmière vous remettait un document à remettre aux parents. Quand ma mère a ouvert le document entre autres remarques il était indiqué "adhérence du prépuce à traiter" ni moi ni ma mère ne savions ce que cela signifiait. Nous voilà repartis pour une visite chez notre médecin de famille. Cet homme que j'appréciais a agi avec beaucoup de tac, non seulement il n'a pas baissé mon slip devant ma mère ce qui aurait été insupportable, mais il nous a expliqué à qu'il ne fallait rien faire et qu'a un certain âge je me chargerai moi même de résoudre ce petit problème. Et effectivement quelques années plus tard mes premières masturbations furent un peu douloureuses, mais les adhérences ont fini par disparaitre.

Bienvenue, cher ami, sur notre site avec ce premier message !

Merci pour ce témoignage ! Au plaisir de mieux vous connaître sur les forum au fil de vos témoignages ou contributions !

Comme Nichette, en 1ère secondaire,1ère visite médicale dans un autre centre médical scolaire qu'en primaire; moi j'étais déjà pubère. Après être passé chez l'infirmière, on entrait dans une cabine pour se déshabiller à l'exception du slip et quand le médecin vous appelait, on ouvrait la porte qui donnait directement dans son cabinet! Celui-ci, assez âgé, me dit "déshabillez-vous" , j'enlève mon slip et il me demande de venir de l'autre côté de son bureau face à lui. Il me saisit par le bras pour m'approcher encore plus près de lui, je me retrouvais entre ses cuisses! Il regarda mon sexe plusieurs dizaines de secondes, puis saisit mon pénis et me décalotte/recalotte plusieurs fois puis il m'écrase mes testicules, ça fait très mal! Me retâte le pénis, je me retrouve en érection! Il arrête de me tripoter! Il m'ausculte, prend ma tension, etc. Puis me demande de m'allonger sur la table, il me palpe le ventre, et comme je suis toujours en érection, il saisit mon pénis pour palper le bas ventre. Puis, je peux rejoindre la cabine pour me rhabiller. Ce fût très gênant!

Les médecins qui ont procédés aux examens médicaux qui ont "traumatisés " des générations de jeunes gens ont agit correctement comme d'exçellent technicien de la médecine à cette époque l'aspect psychologique était complètement absent. Il aurait suffit de quelques mots pour rassurer, pour expliquer et aujourd'hui j'aurais oublié ces mauvais moments Mais c'était une autre époque heureusement les choses ont évolués et la personnalité des jeunes gens pudiques ou non est prise en compte. Ma visite médicale avant d'entrer à l'armée était déjà bien plus respectueuse que pour la génération précédente.

Le mois passé , une dame que je connais bien est venue pour une séance ostéopathie. Elle avait pris le rendez vous 4 jours avant.

A l'heure de la séance ,comme d'habitude, je lui demande de se mettre en sous vêtements.Mais ce jour là,

comme par hasard, elle avait mis un body,pas très pratique pour manipuler.Elle a donc ôté son body pour se retrouver en tenue d’Ève.

Ce fut une séance très agréable pour elle ,moins pour moi car il fallait rester concentré et ce fut d'autant plus difficile qu'elle avait un joli corps avec de petits seins fermes et une chatte bien épilée.

Je me pose la question du body le matin avant de venir!!!!

Je pense qu'elle avait envie de s'exhiber ou de t'allumer ! ?

comme par hasard, elle avait mis un body

Ben elle a fait le premier pas… A toi de faire le suivant 😄