Moi c'était par ma mère, et beaucoup plus rarement par mes tantes. J'étais allongé sur le canapé et sur le ventre, ma mère baissait mon pantalon et mon slip au niveau des genoux puis elle m'enfonça avec son index, parfois son majeur, le suppo lentement et sûrement. Pareil pour le thermomètre. Pas de lubrifiant utilisé. Même gosse, j'ai toujours adoré les suppos. J'en prenais en cachette dans la pharmacie. J'ai eu des suppos jusqu'à mes 12 ans. Et j'en ai eu parfois quelques années plus tard. Après mes 12 ans, ma mère me menaçait souvent de me mettre un suppo quand je ne sortais pas couvert ou que je risquais de prendre froid ou encore quand je n'allais pas aux toilettes. Mais c'était pour rire. Moi, je lui disais que je m'en foutais d'avoir un suppo ou pas. Un jour, j'avais 15 ans, je lui avait dis que j'avais très mal à la gorge, elle plaisanta encore en me disant qu'elle avait des suppos Pholcones et qu'elle allait m'en mettre. J'ai pris mon courage à deux mains, et je lui ai dis très sérieusement que je m'en foutais de recevoir des suppos de sa part, que ça ne me dérangeait pas du tout. Elle fut surprise et elle me demanda si je ne rigolais pas et qu'elle avait des sirops et autres pastilles si je le voulais, je lui ai répondu non. Elle me demanda d'un air sérieux si ça ne me dérangeait pas donc qu'elle me mette un suppo maintenant, mais sur un ton du style "si tu t'allonges, je ne reculerais pas et je te le mettrais" pour être bien sûr de ma réponse. Je me souviendrais toujours de son air étonné. Je me suis allongé sur le canapé et j'ai baissé mon pantalon et mon caleçon de moi-même pour lui prouver que je ne déconnais pas. Elle alla chercher la boîte, pris un suppo et me le metta. Je lui ai dis pendant l'insertion que je m'en foutais qu'elle me mette des suppos et elle me posa la question si elle pouvait m'en remettre quand elle estimait que je n'étais pas bien ou si c'est moi qui lui demandait et je lui ai répondu oui. Plus tard, elle m'a confié qu'elle aimait me mettre des suppos, qu'elle avait l'impression que j'étais encore son petit garçon dans ces moments-là. Et moi j'ai fini par lui dire que j'aimais ça, tout en la rassurant sur mon orientation sexuelle. Ça a duré jusqu'à mes 18 ans.
PS : Pour ceux que ça choque, je vivais seul avec ma mère, elle était fortement malade, et on été très proche. De par ses soins, car elle avait un cancer, il m'arrivait souvent de la voir toute nue. Je l'aidais à se sentir mieux en l'aidant par des massages de dos par exemple 'Fin bref, dans ces conditions, je jouais souvent le rôle de l'infirmier et la pudeur n'était donc pas de mise entre nous deux. 😉