Jusqu'à quel âge vous a-t-on mis les suppositoires ?

10 par séance... Ce pourrait être considéré comme de la gourmandise (un péché capital..)

Maintenant questions:

1 - Est-ce plutôt le plaisir de sentir ces suppositoires envahir un à un votre postérieur qui vous procure le plaisir principal ou bien vous faut- il un certain volume de principe actif pour déclencher votre "émoi" "?

2 - Si comme moi vous aimez un certain volume de suppositoires, pourquoi n'achetez-vous point un moule à ovules ? Vous pourriez vous couler de superbes pièces . Il existe des moules de 16 grammes parfaitement adaptés.

Le plaisir commence au stade de la fabrication. L'imagination puisant beaucoup dans le "sac à fantasmes"...

Thanatos

Tu dis : " dix suppositoires par séance, je suis plus habitué à les insérer tous en même temps" ...????

Moi je pense plutôt l'un après l'autre.

Et je suis tout à fait de l'avis d'Atropos pour les moules de 16 gr et à l'imagination pour la fabrication.

A propos d'âge, je me souviens d'une discussion avec une copine de collège. Nous étions en 3e je crois, donc nous avions 14 ans et au détour d'une conversation, elle m'avait dit: "Moi, personne ne voit mes fesses à part ma mère." Je lui avais demandé en toute bonne foi: "Ah bon?? Quand ça, elle voit tes fesses?" Et elle m'avait dit: "Bah quand elle prend ma température." J'avais pensé que c'était bien vieux, mais je n'avais rien osé dire.

Citation de moi-même 2011.10.12

Moi j'ai reçu les suppos de ma mère jusqu' à 12 ou 13 ans .Après elle commencé à me permettre de le faire moi- même quand j'en avais besoin. Depuis que je suis devenu adulte j'ai commencé à les utiliser en secret.D'abord je volais ceux de ma mère ou de ma tante puis j'ai trouvé le courage de les acheter moi- même en pharmacie.

Citation de omega44 2011.10.12

Bonjour Nicolas

😉 Ce n'est pas bien de voler !!! 😉

Votre maman et votre tante ne s'apercevaient-elles pas de la disparition des suppositoires ? 😃

Je suppose que maintenant vous ne ressentez pas de gêne pour acheter ces derniers en pharmacie.Cependant vous utilisez le mot "courage" .Est-ce à dire que cette démarche n'est quand même pas si évidente ?

A vous lire . 😎

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En fait oui, ça me gêne encore un peu d' acheter des suppos...surtout chez les jeunes pharmaciennes mais je pense que tout le monde peut éprouver cela.Finalement c'est aussi vrai qu'il s'agit un peu d'un tabou...sinon on se soignerait tous avec les suppos...et après il y a le côté selles, fuites et tout ça...choses excitantes que j'aime bien partager avec les femmes...

Et vous? N'avez-vous jamais volé des suppos chez quelqu'un ?

Un vol de suppo chez quelqu'un !!

On ne peut pas dire que vous faites dans la facilité !

Vous vous imaginez fouiller dans l'armoire à pharmacie ou le tiroir de la table de chevet de vos amis

Avec le risque de se faire surprendre, une poignée de suppos dans la main.... Grand moment de solitude garanti !!

Et je ne parle pas de la carbonisation totale des relations avec "les volés"

La pharmacie me semble moins compliquée pour assouvir une envie... Non???

Le vol a un côté "interdit" qui peut ajouter à l'excitation... Je ne l'ai jamais fait parce que je n'ai jamais trouvé de quoi faire chez des amis, mais je comprends ce que ça peut ajouter au plaisir 😃

En plus il y avait, ou il y a, pour moi un autre côté dans le vol : c'est la surprise...dans le sens de pouvoir découvrir en même temps les habitudes intimes des gens que tu connais...et après de pouvoir découvrir des suppos qu'on ne connaît pas encore...Ce n'est pas donc le vol pour le vol mais l'idée de pouvoir entrer dans le privé, de partager l'intimité des autres.

Je comprends parfaitement l'idée ! C'est un sujet qu'on aborde rarement avec l'entourage.Alors découvrir des suppositoires chez quelqu'un c'est comme découvrir un petit secret... Du moins, je le vois comme ça.

Et si on trouve des suppositoires chez une jolie fille, alors là... 😉

...enfin ça peut être juste le côté médical.

Ehhh....si on trouve des suppositoires chez une jolie fille...c'est la folie !

Pour ma part, on m'a mis des suppositoires jusqu'à mes 7 ou 8 ans à peu près mais c'était relativement rare par rapport à la "petite enfance" où c'était si souvent. Après je refusais et je ne me le mettais pas moi-même non plus. Par contre, j'avais le thermomètre dans les fesses jusqu'au collège. Pourtant déjà là je ne voulais plus.Mais je me rappelle d'une fois où ma mère voulait me prendre ma température et je me suis dit :"Non mais elle ne va pas me mettre le thermomètre dans les fesses comme avant, là non !". Elle ne me forçait pas, je me rappelle bien, et pourtant... j'ai terminé les fesses à l'air, allongé sur le côté, avec le thermomètre... 😳 C'est fou le pouvoir des parents ! Tu ne veux pas, on ne te force pas, mais tu le fais, car c'est comme ça que tu as été élevé... Ce fut la dernière fois, je portais un pantalon rouge (et oui) et je l'ai mis encore quelque temps après. A chaque fois que je le mettais je me rappelais que j'avais eu un thermomètre il n'y a pas si longtemps... La honte !...

Bastien75, quel age aviez vous dans la scène que vous évoquez (où vous avez eu le thermomètre finalement)? Vous vous souvenez du dialogue? Cela a duré longtemps?

Leonore,

Pour l'essentiel, je n'ai que des bribes de souvenirs, des "scènes tronquées" en quelque sorte. Cela dit, l'épisode que je mentionne m'a marqué car j'étais au collège, en 5ème ou 4ème, donc 12 ou 13 ans j'imagine, et c'était un après-midi où je n'avais pas école. Etonnament malgré cet âge avancé, et c'est pour ça que je me rapelle de cette scène, ça n'a pas été la "crise" pour me mettre le thermomètre, j'ai obtempéré rapidement et sans trop broncher, je me souviens pas avoir trop parlé , mais je l'ai bien regretté après car j'étais mal à l'aise... Pour ce qui est du dialoque, je me rapelle simplement que ma mère essayait de me convaincre. Elle me disait que c'était pour mon bien, que je n'étais pas obligé mais qu'elle faisait ça pour que je sois bien et que je devais être un grand garçon, que c'était à moi de voir. Je me rapelle aussi qu'elle avait déjà sorti le thermomètre pendant qu'elle faisait sa pléodoirie. On connait la suite... 😳 La prise a duré comme d'habitude 3 minutes (ma mère comptait à haute voix), puis elle me le retire (avec la sensation qu'on connait 😳 ), elle lit ma température, je me rhabille et elle me dit "ben tu vois c'était pas sorcier" tout en nettoyant et rangeant le thermomètre. Je ne me souviens pas si j'avais effectivement de la fièvre, mais je n'ai pas eu le suppositoire après. J'étais gêné tout le reste de la journée.

Bastien75 -

C'est intéressant que votre mère ait arrêté de vous mettre des suppos avant d'arrêter de vous prendre la température. La mienne, c'était l'inverse. Je n'ai pas de souvenir clair de quand elle me mettait le thermomètre dans les fesses, même si c'est évidemment arrivé (je me rappelle l'avoir vue sortir le thermomètre, la vaseline et l'alcool pour aller la prendre à ma petite sœur). Il me semble que vers l'âge de 6-7 ans elle a commencé à me confier le thermomètre alors que j'étais couché et à me le faire mettre moi-même sous les draps (si en pyjama) ou les couvertures (si habillé). En revanche, je ne le manipulais pas moi-même en dehors de l'insertion et du retrait: je le retirais pour le lui tendre, et elle le lisait, le nettoyait et le rangeait.

En revanche, je me rappelle fort bien des suppositoires et de la sensation de son doigt sur mon anus: il me semble qu'elle enfonçait assez loin après m'avoir commandé de "pousser". Ça a duré je crois toute l'école primaire. Je ne sais pas pourquoi cette différence, mais je soupçonne, étant donné la maniaquerie de la propreté de ma maman, qu'elle ne voulait pas que je me mette le doigt dans cet endroit sale au risque de ne pas bien me le laver ensuite.

Poire rouge: Ah ah... la glycérine chez moi, c'était courant en cas de constipation. Que vous donnait votre maman ?

Bonsoir,

@ Pecan nutjob: oui je confirme qu'elle a continué à me mettre le thermomètre après avoir arrêté le suppositoire. A l'adolescence, j'ai commencé à refuser le thermomètre, et elle m'a proposé alors que je me le mette moi-même. Mais j'ai refusé aussi, j'étais un peu "rebelle" disons. Du coup tous ces plaisirs se sont arrêtés... !

Au-delà de la maniaquerie de votre mère, c'est vrai que c'est quand même plus délicat de se mettre un suppositoire, surtout gras, que d'enfoncer un thermomètre. C'est peut-être pour cela qu'elle ne vous confiait pas cette tâche !! Pour la température, je trouve toujours ça étonnant les personnes qui devaient se mettre le thermomètre. Pour ceux d'entre vous concernés : votre mère vous expliquait-elle "comment faire" (genre: "Enfonces-le plus" ou "Tiens-le bien") ? Regardait-elle ? Qui vous écartait les fesses pour l'introduire ? Etiez-vous libre de choisir la position ? Je réalise que c'est peut-être un peu hors-sujet de cette section en fait... mais bon.

Salut

A partir l'âge de 10 ou 12 ans je ne me rappelle plus vraiment.Pour ce qui est du thermomètre on ne m'a rien imposé.II est vrai que plus je grandissais plus je devenais pudique.Très rares sont celles ou ceux qui ont eu accès à mes partie intimes. A l'adolescence seul mon médecin pouvait accéder à cette région de mon corps.

Pour moi, on m'a mis des suppositoires jusqu'à 12-13 ans.

@bastien75: Je devais me coucher sous les couvertures (si habillé) ou dans les draps (si en pyjama), puis baisser ma culotte. Maman me passait le thermomètre et je me l'insérais. Quelques minutes plus tard (elle regardait l'heure au moment de l'insertion), elle revenait, je le retirais et lui tendais. Elle regardait la température puis nettoyait et remballait.

Je suppose qu'elle a dû m'aider les premières fois, mais je n'en ai aucun souvenir.

Clément,

12,13 ans, c'est tard, mais d'un côté tu en as profité.

Bonjour à tous .

Et maintenant, je m'excuse pour mon français "rouillé" !

J'étais très petite, peut-être 4 ou 5 ans. Je me souviens que ma grand-mère, parfois introduisait les suppositoires avec moi, couchée sur ses genoux.

Elle me mettait des suppositoires seulement à cause de la maladie, mais d'abord donnait un lavement et ensuite introduisait le suppositoire. À l'époque, je n'aimais pas cela mais au fil du temps, j'ai commencé à ressentir du plaisir dans leur introduction. Aujourd'hui, je préfère les suppositoires plutôt que des comprimés sans aucun doute !

Patient Care.

Bonjour Patiente Care

Bienvenue chez les francophones ! 😃

Votre expression française est tout à fait compréhensible ! Je l'ai tout juste un peu "dérouillée"( rectifiée) !!! 😉

Il est assez inhabituel que le lavement précède le suppositoire ainsi que procédait votre grand-mère.

Je crois comprendre que le plaisir que vous ressentiez était dû exclusivement à l'introduction du suppositoire et pas du tout au lavement.

Mais peut-être avez-vous découvert plus tard que le lavement pouvait être,lui aussi, une source d'émotions agréables.

A bientôt le plaisir de vous lire !

Bonjour à tous

Nous te comprenons très bien Patiente Care,

Moi c'est ma mère ou ma grande cousine qui me mettait les suppos.

Je détestais cela au début mais assez rapidement cela m'a plu et je simulais même les maladies dans l'espoir que l'on me soigne avec des suppositoires,ce qui était presque toujours le cas.

Eminence

Bonjour à tous !

Omega44 j'aime le lavement! Tu as raison ! C'est une source d'émotions agréables et beaucoup de plaisir! Un plaisir qui en fait est venu plus tard que les suppositoires !

Patient Care

Clément,

A 13 ans, as-tu ressenti du plaisir en recevant le suppo ? L'as-tu manifesté par une érection ?

Oui Clément, as tu aimé?

Moi ma mère m'a prit la température et mis les suppos jusqu'à l'âge de 17 ans.

Etant d'une santé fragile et ayant plein de problème, j'étais incontinent la nuit et avait aussi beaucoup de problèmes la journée, elle me prenait souvent la température, et j'avais droit au suppo si besoin.

Pour la manière de prendre la température ou mettre le suppo, c'était toujourqs la même.

Les jambes relevées sur le ventre que je devait tenir derrière les genoux.

Elle tenait toujours le thermomètre pendant la prise de température et enfonçait bien son doigt dans mon petit trou pour mettre le suppo.

A noter que c'était la même position pour la fessée qui venait encore plus souvent que la prise de température.

Lulu

Lulutho62 ça rappelle ptemanon !

Comme je l'est déjà dis l'arret pour moi des suppositoires mis par ma mère c'est

vers mes 11/12 ans mais aussi ma plus grande honte.

cela faisais une semaine que j'était à la maison suite à une mauvaise bronchique

le médecin à prescrire antibiotiques et bien sur les fameux suppositoires c'était des

coquelusédal ils sont marrons et assez gros meme les suppos pour enfants

je les sentaient bien passé quant ma mère me les introduisaient dans mon petit derrière

ma honte c'est passé le dimanche soir une amie de ma soeur était venue passer le

samedi et dimanche à la maison .

donc le dimanche soir arrive vers 20h ma mère nous dis d'allé nous mettre en pyjama

nous sommes parties dans nos chambres pour nous changer .

je ne sais plus comment ça à commencer mon frère ma soeur et son amie se sont retrouvés

dans ma chambre et une bataille d'oreillers à commencer puis ma mère et arrivée dans ma chambre

et nous demandent d'arreter bien sur nous avons pas écoutés et continués je pense que sa à mis ma mère

en colère elle revenus sur un ton ferme d'arreté et d'allés nous couchés puis c'est tourné vers moi

et me dit vient je vais te mettre ton suppositoire la je suis devenus rouge de honte et aperçus que

ma mère tenait dans sa main le suppositoire alors qu'elle s'assoie sur le rebord du lit je lui demande

de faire partirent tous le monde pour seul réponse de ma mère et de dépécher qu' elle va pas

passer la nuit pour me méttre un suppositoire malgré mes répétitions que je ne voulais que

personnes ne regarde elle a posé le suppositoire sur le lit à coté d'elle ma attrapé le bras puis ma

en travers de ses genoux la vue sur le suppositoire alors qu'elle allait baisser ma culotte de pyjama

avec ma gauche j'ai attrapé ma culotte a lui disant de faire sortirent tout le monde

elle ma répondue d'arreter se caprice de retirer ma main de ma culotte sinon c'était une bonne féssé

qui m'attendais donc résigné j'ai oté ma main je crois que j'avais la larme à l'oeil ma mère à

baissé ma culotte de pyjama au niveau de mes cuisses à récupéré le suppositoire jattandais

le bruit de l'étuis du suppositoire puis avec ses doigts écarter mes petites fesses avec de sa salive

ma lubrifié mon petit anus puis là j'ai sentis la pointe du suppositoire sur mon petit cratère et

finalement le suppos rentre dans petit derrière ma mère ma serrer mes fesses puis a de nouveau

écarté mes fesses à passé son pouce sur son anus comme à son habitude pour s'assurer que le

suppositoire est rentré et remonte ma culotte de pyjama tout sa à la vue de mon frère ma soeur

mais surtout à la vue de l'amie de ma soeur voilà la dernière fois que j'ai reçu un suppositoire de

ma mère.

Intéréssant ton récit!