La marche vers le suppo

Quand j'allais chez le médecin, ma maman passait ensuite sur le chemin du retour à la pharmacie et avait comme politique de commencer le traitement dès le retour si possible. Donc une fois arrivé, je prenais les premières cuillerées de sirop, les premières gélules et... le cas échéant le suppo.

Donc le retour à la maison était un peu la marche vers la première humiliation. (Humiliation qui se poursuivait par le stockage des suppos en évidence dans le frigo, le rituel soir et matin, etc.)

A la descente de voiture devant ta maison, marchais-tu lentement, à reculons?

Les suppositoires en évidence dans le frigo, étaient-ils dans leur boîte ou directement apparents? Etaient-ils dans le frigo uniquement quand tu étais malade?

Après la pharmacie, ta maman pouvait-elle ne pas rentrer directement à la maison?

Nous allions chez le médecin à pied car nous n'avions qu'une voiture et mon père l'emmenait à son travail. Si mon état était trop sévère, comme quand j'ai fait une crise d'appendicite, nous appelions la doctoresse en visite à domicile.

La boîte de suppos était dans la porte du frigo quand un enfant ou ma mère en recevait (ma mère s'appliquait à elle-même ces suppos anti-mal-de-gorge qu'elle nous administrait). Hors ces périodes, ils étaient dans l'armoire à pharmacie.

De toute façon le premier suppo n'était que le début de la série. Être malade, cela voulait donc dire le matin se lever, voir maman débarquer avec le thermomètre, le mettre sous les draps, attendre que maman revienne, le ressortir, la voir relever la température puis nettoyer le thermomètre à l'alcool et le ranger, puis s'entendre dire d'aller aux toilettes, puis demander si on avait bien fait caca (maman y faisait attention si nous étions malades), maman prenait un nouveau slip et suivant le cas me faisait baisser la culotte sur place ou dans la salle de bain (quand je logeais dans la même chambre que mon frère elle évitait de m'administrer le traitement devant moi), me faisait mettre en position et "pousser", je recevais la torpille, elle me changeait un protège-slip dedans avant de me le remonter. Je pouvais alors remonter mon pyjama et me recoucher.

Le soir, je devais aller aux WC (totalement impératif si suppos!), me laver dents, fesses et "zizi", tempérsture et je recevais le suppo, changeait de slip (d'où encore le protège-slip!) et pouvais me coucher.

J'en ai aussi reçus après le repas de midi.

En fait le matin je n'avais pas besoin qu'on me pousse à aller aux WC car j'avais de toute façon envie pipi et envie de m'essuyer les fesses de la graisse du suppo de la nuit.

J'avais aussi une autre "marche vers le suppo". Si j'étais constipé, ce qui m'arrivait assez fréquemment avant la puberté, ma maman me donnait de l'huile de paraffine, une cuillérée avec chaque repas il me semble. En revanche, pas de suppo glycérine avant une sortie ou l'école, ma mère ne voulant pas que j'aie une "urgence" dehors.

Donc par exemple si le matin je disais que je n'avais pas été aux WC depuis plus de deux jours, je recevais ma cuillérée... et le soir une fois rentré, ma maman me demandait si j'avais fait la grosse commission et une réponse négative me valait de me déculotter et de me pencher sur les WC, puis l'ordre de "pousser" et le suppo. Donc le retour de l'école c'était aussi la marche vers le suppo.

Chez moi ma mère était très suppositoire pour moi pour mon frère et pour elle aussi. Dès les premiers signes de rhume mal de gorge ou toux. C'était le suppositoire qui piquait et qui donnait mal au ventre et j'avais les fesses grasses de suppositoire.

Suppositoire,

Quelles étaient les marques de ces suppositoires?

Suppositoire : jusqu'à quel âge toi et ton frère aviez-vous eu les suppos ?

C'était en quelle année ?

Etiez-vous dociles toi et ton frère pour recevoir les suppos ?

J'ai eu de toutes sortes de suppos mais surtout Trophirès et Trophirès composé et Bronchorectine au citral. La position pour le suppositoire c'était debout appuyé sur une chaise avec les fesses en l'air avec mon frère chacun son tour dans la cuisine. Ma mère m'a mis mes suppos jusqu'à 14 ans.

Ma mère était très suppos. Elle en mettait souvent. Notre réfrigérateur était plein de boites de suppos. Une foi ma mère m'a même montrer qu'elle se mettait un suppos

Ok suppositoire.

Eprouvais-tu du plaisir quand ta mère introduisait les suppos Bronchotectine au citral ou autres ?

Je pense que ma mère aimait me mettre des suppos Bronchorectine ou Trophires. Elle allait mettre son doigt dans mon petit trou et l'enfoncait profondément et longtemps. Je pense qu'elle aimait aussi s'en mettre.

Je me souviens qu'une fois devant moi dans la salle de bain elle s'est mise un suppositoire. Je la vois encore ses fesses écartées et le gros suppo blanc rentrer dans son cul et de me dire :" tu vois, maman met des suppos assez gros 3 fois par jour et ne se plaint pas."

Ok Suppositoire, merci pour tes réponses.

J'ai d'autres questions à te poser, si cela ne te dérange pas.

Allais-tu avec ton frère à l'école et au collège avec le suppos mis avant ?

As-tu des fuites suite au prout ?

Est-ce que tes copains de classe école, collège en recevaient aussi des suppos, et sentaient-ils aussi le suppositoire ?

As-tu reçu des moqueries de la part de tes copains suite aux odeurs du suppo ?

Merci par avance pour tes réponses.

Quant j'allais à l'école ma mère me mettait le suppos dès que j'étais levé juste après le passage au WC. Avant d'aller à l'école je retournais aux toilettes pour chier le suppo qui était fondu. Je ne voulais pas aller à l'école avec un suppo au cul. J'avais honte de dire que j'avais des suppos. Par contre mon frère on lui mettait le suppo juste avant de partir. Je me souviens aussi des fesses grasses à cause des suppos et des slips verts ou blancs à cause des projections et de l'odeur. Je me souviens que des copines de classes parlaient des suppos que leur mère leur mettaient. Une fois on m'a dit :" tu sens le suppo."

Jusqu'à 12 ou 13 ans mon frère était très docile pour les suppos. Moi je n'aimais pas.Je pense que c'était parce que je devais montrer mon cul à tout le monde et que ma mère le disait à tout le monde.

Ton frère était moins âgé je suppose pour qu'il en recevait avant de partir.Quand tu étais en CM2,dans quelle classe était ton frère ?

Etait-gêné par le fait d'avoir les fesses glissantes dans le slip ?

Quels étaient les noms du gros suppo blancs que ta mère se mettait pour elle ? Etait-ce pour une maladie précise ou autre ?

Suppositoire,

Par rapport à tes 2 derniers messages.

Quand tu dis que tu te souviens des fesses grasses, des slips verts ou blancs, et de l'odeur. Etait-ce quand tu allais à l'école?

Pour tes copines de classe qui parlaient des suppos que leur mère leur mettait. Dans quelle(s) classe(s) étaient-elles? Quel(s) âge(s) avaient-elles?

Quand, qui, et où l'on t'avait dit que tu sens le suppositoire? Et comment te l'avait-on dit ?

Ta maman t'a mis les suppositoires : jusqu'en 1980, 1981, 1982 ?

Les slips verts et blancs (taches par le suppos) c'était chez moi. Les copines qui parlaient que leur mère leur mettait des suppos c'était en 5e et elles avaient 13 ans. Une fois mes parents m'ont dit que je sentais le suppo.C'était un Bronchorectine au citral. Ma mère m'a mis des suppos jusqu'en février 1981. Un jour elle m'a dit :" tu pourrais mettre tes suppositoires toi-même." Je me souviens aussi que lorsque le soir j'avais mis un suppo le lendemain en prenant la température le suppo coulait le long du thermomètre et c'était tout gras.

Quand j'étais en CM2 mon frère était en CM1 et il recevait aussi des suppos juste avant de partir à l'école. Une fois il pleurait parce qu'il avait les fesses grasses. Les gros suppos blancs que ma mère avait mis c'était je pense pour des problèmes gynécologiques.D'ailleurs plus tard quand j'étais plus vieux elle disait qu'elle avait mal au ventre au moment des règles et que le médecin lui donnait des suppositoires. Ma mère était très suppos je me souviens qu'en partant en vacances on avait acheté des suppos pour elle car elle avait mal au dos.

Elle s'en est mis pendant une bonne partie des vacances.

Etais-tu en cinquième avec elles ?

En quelle année était-ce ?

Es-tu né en 1968 ?

Tu avais donc un an d'écart et il n'avait pas chance comme toi de vider son suppo aux wc avant d'aller à l'école.

Sais-tu pourquoi il n'avait pas aussi ce traitement de faveur ?

En moyenne combien en recevais-tu de suppos par semaine ?

Qui de toi ou de ton frère en a reçu le plus ?

Mon frère avait 2 ans de moins que moi et ça ne le dérangeait pas d'aller à école avec un suppo. Il n'éprouvait pas le besoin d'aller au WC. Je pense que c'est moi qui ai reçu le plus de suppos. En moyenne 4 à 5 par semaine surtout au moment des rhumes et des toux....

J'étais en cinquième avec les filles à qui leur mère mettait des suppos c'était en 1979 1980. Je suis né en 1967.

Ma mère me mettait souvent 2 à 3 fois par semaine le soir un suppo pour la croissance.C'était des suppos oranges qui ne donnaient pas mal au ventre.

Quel était le nom de ces suppos oranges ?

Vu que tu évacuais le suppo au wc, tu n'avais donc pas du tout de fuite.

Certains suppos même en vidant ont un effet qui continue après quelques heures.

C'était des Liveroil. Ma mère me le mettait juste avant de me coucher et je le chiais le lendemain matin.

Ces suppos oranges, n'en avais-tu que le soir.

Quels étaient ceux du matin, alors ?

Ces suppos là ce n'était que le soir, rien le matin.

Tu avais bien des suppos le matin, non ?

Dans un message tu dis "Quant j'allais à l'école ma mère me mettait le suppos dès que j'étais levé juste après le passage au WC. Avant d'aller à l'école je retournais aux toilettes pour chier le suppo qui était fondu. Je ne voulais pas aller à l'école avec un suppo au cul."

Donc tu en avais bien. Quels étaient ces suppos que tu avais ?

Quand j'avais des suppos le matin et le soir c'était pour la toux, le rhume, l'angine.C'était Trophirès, Bronchorectine au citral ou Febrectol ou autre. Par contre pour la croissance ce n'était que le soir et je n'étais pas malade.Je n'en n'avais que le soir. Je me souviens une fois avoir eu 4 suppos sur la journée 3 Febrectol ou Trophirès et 1 Liveroil. J'étais souvent sur le WC le cul en feu et le slip blanc du Trophirès et orange du Liveroil et toute la maison sentait le suppo.

Je comprends mieux.

C'est vrai que le cul en feu avec les suppos ce n'est drôle.