Visite collective

J'ai trouvé ce témoignage sur un autre site, son auteur m'autorise à le publier ici.

La visite qui m'a le plus marqué est celle où la doctoresse devait contrôler si mon érection était satisfaisante et si je pouvais éjaculer. Il s'agissait de la visite de passage à l'âge adulte que devait subir tout jeune homme à sa majorité dans mon pays.

***********************

Je ne désire pas dire dans quel pays cela s'est passé, disons que c'était au centre de l'Europe. L'examen ne se passait pas exactement à la majorité, plutôt lors de la dernière année d'école, pour faciliter l'organisation.

Un équipe itinérante du Ministère de la Santé venait avec quelques camions pour le matériel et un car pour le personnel, essentiellement féminin. Il s'installaient au gymnase pour quelques jours. Nous étions une douzaine à passer par demi-journée, par ordre alphabétique de tous les élèves, donc les classes étaient mélangées. J'ai passé le matin, de 8 heures à midi. Nous devions nous déshabiller dans le vestiaire habituel et nous mettre en caleçon. Comme c'était l'hiver nous avons pu garder les chaussettes. Une infirmière nous a donné un papier avec notre nom pour inscrire le résultat des examens. Nous pouvions voir à l'avance tout ce qui serait contrôlé. Cette infirmière nous dispatchait entre les différentes stations, qui n'étaient pas isolées, à part deux. Il y avait quelques chaises au milieu du gymnase pour attendre. Nous pouvions ainsi observer nos camarades. Nous pouvions boire du thé à un samovar pour nous réchauffer ou pour faciliter la production d'urine.

Il y avait évidemment les examens classiques : mesure de la taille, du poids, température anale, récolte d'urine devant une infirmière, auscultation, mesure de l'acuité visuelle, auditive, etc. Ce dont je me rappelle particulièrement est l'ECG avec un appareil énorme à l'époque, ainsi que l'examen orthopédique : nous devions enlever caleçon et chaussettes et marcher en long et en large devant une doctoresse, puis faire des exercices de gymnastique. Il y avait bien sûr un examen des parties génitales, la doctoresse était assise. Elle nous baissait le caleçon et tâtait la verge et les testicules, puis décalottait le gland et inspectait le méat. Elle contrôlait les plis herniaires. Nous devions ensuite nous retourner, elle écartait les fesses et les examinaient longuement.

SI un résultat n'était pas bon, le jeune homme devait se rendre plus tard à l'hôpital pour des contrôles supplémentaires. Il était évident que cet examen était une première étape en vue de l'incorporation à l'armée. La dernière étape pour moi a été la récolte de sperme, d'autres y passaient pour commencer.

"... la doctoresse devait contrôler si mon érection était satisfaisante et si je pouvais éjaculer"

N'importe quoi !

Intéressant témoignage ! Merci !

"... la doctoresse devait contrôler si mon érection était satisfaisante et si je pouvais éjaculer"

N'importe quoi !

Il semble en effet assez difficile de savoir si ce témoignage est authentique ou pas, mais dans un pays que nous ne connaissons pas et à une époque révolue, pourquoi pas ?

Réel ou imaginaire, j'aime beaucoup l'idée 😃

Aimer l'idée oui, mais, en fonction du moyen et de la personne qui fait éjaculer.

Pour rappel deux électrodes bien placées provoquent une éjaculation, et dans des conditions plus douces si c'est une matrone qui prends la chose en main ...

L'idée étant de faire fantasmer, mon esprit ne va bien sûr pas aller vers les électrodes, mais plutôt vers des yeux et des mains féminines. 😄

Ce dont je me rappelle particulièrement est l'examen orthopédique : nous devions enlever caleçon et chaussettes et marcher en long et en large devant une doctoresse, puis faire des exercices de gymnastique.

Il s'agit d'une part de l'examen de la colonne vertébrale , d'autre part de tests d'équilibre sur un pied les yeux ouverts puis fermés ... Il n'est pas rare de devoir se mettre nu comme un ver pour ce type d'examen , je me souviens avoir lu un autre témoignage sur un forum médical ... 😃

Oui parce que la colonne se termine au coccyx, qui est très souvent plus bas que la ligne du slip/boxer/caleçon, donc certains médecins préfèrent demander à tout enlever pour avoir la vue de la colonne complète.

Ca ne m'est jamais arrivé personnellement, mais on m'a baissé une fois un peu le caleçon pendant que je me penchais en avant, sans même vraiment découvrir les fesses (un peu quand même, mais pas en totalité).

Moi ça m'est arrivé pour la visite d'incorporation à l'armée : j'étais complètement à poil , le médecin militaire m'a demandé de me pencher en avant et de toucher mes orteils avec mes mains ... Après il m'a fait marcher une trentaine de secondes et m'a dit que j'avais une cyphose dorsale et les pieds plats , ce que je savais déjà ... 😃

Merci pour vos commentaires.

L’utilisation d’électrodes sur la prostate en milieu médical existe, pour les personnes handicapées qui désirent procréer par exemple, mais elle se fait sous anesthésie générale car c’est désagréable. Il faut auparavant vider la vessie car il peut y avoir une éjaculation rétrograde et il faut récupérer le sperme. C’est aussi utilisé chez les animaux. Je ne pense pas que cette méthode extrême sera utilisée ici, je préfère la douceur.

Un étude a été faite en Suisse il y a quelques années pour évaluer la baisse de fertilité chez l’homme. C’étaient les conscrits qui pouvaient le faire volontairement. Il était précisé que seule la masturbation était autorisée pour obtenir l’échantillon. Et c’était évidemment en solitaire.

Un examen orthopédique peut être gênant, je n’en ai jamais eu entièrement nu. Comme Runner Up on m’avait seulement baissé un peu le slip, mais c’était pour une radio à la suite d’une scoliose.

L’infirmière qui dispatchait m’a invité à me rendre vers une des stations qui se trouvait derrière des paravents. L’un avait été déplacé pour entrer. Je me doutais bien de ce qui m’attendait, des camarades en avaient parlé mais je ne les avais pas crus. Il y avait une table d’examen, une table et une chaise. Sur la table : des gobelets en verre, une règle graduée et un centimètre de couture. Une infirmière, jeune et avenante, contrairement aux autres, m’a salué, m’a demandé la feuille avec les résultats. Elle m’a indiqué que tout était en ordre, que j’étais en bonne santé. Puis elle m’a demandé si je savais ce qu’elle ferait. J’ai hésité à lui répondre, puis j’ai balbutié que ce pourrait être de récolter du sperme. Elle a acquiescé, m’a demandé si je me masturbais, si j’avais déjà couché avec une fille. Je lui ai avoué que j’étais puceau et que ce serait la première fois que je le ferais avec quelqu’un d’autre. Elle m’a dit de me détendre, que tout se passerait bien.

L’infirmière s’est assise, je suis resté debout devant elle. Elle a tâté mes attributs par-dessus l’étoffe du caleçon. Elle avait des gestes très doux et lents, contrairement à la doctoresse. J’ai senti le sang affluer dans mon pénis, la femme m’a souri. Elle a mis la main dans mon sous-vêtement et pris mon sexe dans sa main, un peu froide. Elle l’a décalotté, puis a caressé la hampe. Après 2-3 minutes j’étais bien dur, elle a baissé mon caleçon jusqu’au talons. Elle a mesuré mon érection avec la règle graduée puis la circonférence avec le centimètre, elle a noté les résultats sans faire de commentaire. Elle a accéléré les mouvements tout en me malaxant les couilles. Je sentais le plaisir monter. Elle était experte, elle a pris un gobelet au bon moment pour récolter ma semence. La fin a été moins douce, il n’y avait qu’un papier grossier pour s’essuyer, elle s’en est chargée.

L’infirmière m’a dit ensuite que ce n’était pas si terrible que ça, que j’avais bien réagi et que j’avais une belle queue. Je pense qu’elle le disait à tout le monde. Elle a remis mon caleçon en place, j’avais encore une goutte sur le gland qui a traversé l’étoffe.

C’était donc le récit de cette expérience qui est restée unique dans ma vie et que je me rappellerai toujours. À quoi servaient ces analyses de sperme ? À rien. Je dois vous dire encore que j’ai travaillé par la suite au Ministère de la Santé et que j’ai fait des recherches dans les archives poussiéreuses. C’était une erreur de transcription lors du plan quinquennal. Il avait été prévu de faire des recherches sur le sperme des « bovins » et une secrétaire s’était trompée, elle avait écrit « humain » à la place. L’équipe mobile n’avait jamais reçu de microscopes, à la suite d’une planification erronée, et les gobelets étaient rincés et lavés sans analyse. Cette erreur a quand même fait des milliers d’heureux, et j’ose espérer que vous allez vous masturber après avoir lu ce témoignage.

Pas mal !

Récit très sympa !

La récolte du sperme, je n'ai pas connu mais examen médical nu, plusieurs fois y compris pour l'armée! Certains médecins pendant la visite des organes génitaux, voulaient voir le pénis en érection et donc l'allongeait en décalottant/recalottant plusieurs fois, avec souvent les mains froides; ce qui avait pour effet, l'érection assez rapidement. J'ai eu l'occasion de voir ce type d'examens sur des collègues de classe car la porte entre médecin et infirmière restait ouverte. Certaines fois, il y avait plusieurs classes avec des âges différents, jusque 3 ans; les plus jeunes voyaient les plus âgés nus or les plus âgés étaient déjà pubères! Pour certains plus jeunes la 1 ère fois. Bon souvenir!

Des précisions ont été demandées sur le forum où est publié initialement cette discussion. Je copie les questions et les réponses.

Tu dis que pour certains les examens commençaient par la récolte de sperme ? Alors que pour toi ça a été en dernier ?

La secrétaire qui a marqué humain à la place de bovin, l'a certainement fait exprès ...

Pour un prélèvement de sperme, en vue d'un spermogramme (analyse de sperme), on se branle toujours soi même, et seul, d'habitude ?

Tous les hommes qui ont subi de tels prélèvements se sont tous plaints de l'indiscrétion des locaux …

Il fallait simplement occuper toutes les stations au courant de la matinée. Le parcours n’était donc pas le même pour tous. Certains ont commencé par la récolte de sperme et moi j’ai fini, c’était le hasard.

Nous avions l’habitude des visites médicales à l’école, il y en avait chaque année, avec l’infirmière scolaire et un médecin, en plus petit comité. Nous n’avions pas l’habitude de nous plaindre, cela pouvait avoir des conséquences, d’autant plus que ces examens pouvaient servir à l’armée. Les étudiants étaient dispensés de la faire, se révolter aurait pu conduire à une punition, par exemple la révocation de cette dispense. Et puis il n’y avait pas internet à l’époque. Où aurions pu nous renseigner au sujet des pratiques médicales en vue d’un spermogramme ?

Il y avait quand même une certaine intimité puisque cela se passait derrière un paravent. Contrairement à certains récits que j’ai lus, nous pouvions garder notre caleçon en attendant. Ej je pense que certains de mes camarades étaient excités à l’idée de se branler (ou de se faire branler) pour la première fois avec une femme.

On a peut-être imputé une erreur à une secrétaire pour justifier après coup cette pratique douteuse. Mais je l’ai lu des années plus tard dans un rapport. Ils se cachait peut-être autre chose.

Je n’ai évidemment pas pu contrôler si le sperme était vraiment détruit. Il pouvait très bien ne pas l’avoir été et utilisé pour des expériences secrètes. Ou alors l’infirmière devait noter encore beaucoup d’autres paramètres dans un deuxième rapport confidentiel, comme la durée de l’érection avant l’éjaculation, sa dureté, le nombre de jets, l’intensité de l’orgasme, etc. Il pouvait se cacher une véritable étude sur l’orgasme et la reproduction humaine. Il aurait été impensable de présenter de telles études dans le plan quinquennal, elles devaient rester secrètes.

Comment s'y prenait la doctoresse pour écarter les fesses ? Et dans quelle position ?

Nous étions debout pour l’examen génital. La doctoresse a demandé de se retourner et de se pencher, puis de poser les mains sur la table d’examen, les jambes écartées. Elle pouvait ainsi aussi examiner notre périnée et nos couilles vues de derrière. Sur la feuille d’examen ils parlaient d’un examen de la prostate, la doctoresse s’est contentée d’écarter les fesses. Je pense qu’elle ne voulait pas se salir le doigt, elle n’avait pas de gants et pas de lavabo à proximité. À cette époque le papier toilette était une denrée rare et beaucoup de mes camarades ne devaient pas être très propres à cet endroit.

La récolte du sperme, je n'ai pas connu mais examen médical nu, plusieurs fois y compris pour l'armée! Certains médecins pendant la visite des organes génitaux, voulaient voir le pénis en érection et donc l'allongeait en décalottant/recalottant plusieurs fois, avec souvent les mains froides; ce qui avait pour effet, l'érection assez rapidement.

Dans ce récit, il est évident que le but recherché était l’éjaculation et qu’il fallait obtenir une érection. C’était quelque chose d’exceptionnel et pratiqué sur des jeunes qui faisaient leur dernière année d’école, ils devaient avoir autour de 18 ans.

Par contre, désirer voir une érection chez quelqu’un de plus jeune me paraît une pratique douteuse et contraire à la déontologie.

" désirer voir une érection chez quelqu’un de plus jeune me paraît une pratique douteuse " : Tout à fait d'accord avec vous, Woyzeck! Il y a 40 ans, j'ai connu plusieurs médecins ayant des pratiques vicieuses!

Décidément il y a des trucs louches que je ne m'explique pas. On est dans le registre de l'agression sexuelle, de l'humiliation... Perplexe!

Décidément il y a des trucs louches que je ne m'explique pas. On est dans le registre de l'agression sexuelle, de l'humiliation... Perplexe!

Oui, c’est exact, on peut considérer qu’il y a eu une agression. L’infirmière aurait dû indiquer que la récolte de sperme était facultative et laisser le choix au narrateur d’y participer ou pas.

D’une manière générale, il y a souvent un dilemme face à un acte médical ambigu. D’une part, une personne sexuellement majeure devrait être capable de reconnaître cette ambiguïté et refuser au médecin/à l’infirmière de faire cet acte, dans ce cas particulier refuser la masturbation, d’autre part, il y a la soumission à l’autorité représentée par le personnel médical qui empêche de refuser.

Oh les gars, arrêtez de parler de déontologie, d'agression, etc. Toute cette histoire n'est qu'un fantasme.

Je n'ai rien contre les fantasmes, au contraire, mais je regrette vivement cette manie (très répandue sur le présent forum) de présenter des histoires inventées de toutes pièces comme des histoires vraies. Et je trouve encore plus ridicule les lecteurs qui font semblant d'y croire.

Ce récit est dans la rubrique « Nouvelle Histoires », réservée aux fictions. Raconter à la première personne est un procédé littéraire que j’utilise dans pratiquement tous mes récits. Je suis content que cette histoire provoque des réactions, positives ou négatives d’ailleurs, mieux vaut ceci que l’indifférence.

Oh les gars, arrêtez de parler de déontologie, d'agression, etc. Toute cette histoire n'est qu'un fantasme.

Pas de soucis, au-delà des fantasmes d'une bonne partie des témoignages du forum, il n'en reste pas moins que parfois des pratiques réelles (présentes ou anciennes) lors d'examens médicaux sont très borderlines.

Le patient n'est qu'une chose, une maladie.

Le médecin qui est pervers profitera de son statut afin d'assouvir ses besoins.

Ne jamais oublier que nous sommes ici dans le domaine virtuel, qui peut être aussi proche qu'éloigné du domaine réel.

Nous sommes tous des professionnels des plaisirs et fantaisies érotiques et sexuelles, et des amateurs dans presque tous les autres domaines.

Tout à fait d'accord avec vous Electrofun. Et à force de vouloir faire prendre des vessies pour des lanternes , on finit par se bruler.

Qu’on le veuille ou non il y a toujours un rapport dominant/dominé dans la relation entre un médecin et son patient, l’un habillé, l’autre nu, et c’est certainement ce qui fait l’intérêt de cette relation et explique l’existence du fétichisme médical.

Cela se complique évidemment lorsque le patient est mineur, d’autant plus que beaucoup d’entre nous ont un souvenir particulier des visites médicales de leur jeunesse, même avec des médecins au comportement correct, et désirent en parler.

Les médecins pervers sont certainement une infime minorité. Mais nous pouvons aussi percevoir un médecin comme pervers, alors qu’il ne fait que son travail au mieux de sa conscience.

Comme "Michel 13" j'ai passé pour le service militaire des visites complètement à poil

Et que ce soit au centre de sélection ou à la visite d'incorporation, il y avait toujours un examen de la colonne vertébrale qui se pratiquait sur le conscrit ou l'appelé entièrement nu.

Le médecin militaire nous regardait d'abord de dos debout et il faisait glisser ses doigts le long de la colonne vertébrale puis les faisait remonter puis il tapotait différents endroits du dos, puis il donnait l'ordre de se pencher et de toucher ses chevilles et recommençait son examen avec les mêmes gestes et il fallait se pencher une dernière fois mais plus lentement et se relever aussi lentement tandis qu'il appuyait avec son pouce sur le coccyx pendant ce mouvement.

Puis il donnait l'ordre de faire quelques pas vers le mur et de se tenir droit face au mur puis de se pencher comme avant puis de revenir et de recommencer deux fois de suite puis de revenir et de se tenir à nouveau debout de dos et il faisait bouger avec ses mains sur les hanches le bassin.

A la fin de cet examen que j'avais trouvé plutôt embarrassant la première fois au centre de sélection, il avait déclaré que j'avais une légère lordose et qu'il proposerait donc qu'on m'ajourne pour que je revienne l'année suivante puisque je pouvais être convoqué 3 fois avant de devoir donner un avis définitif sur mon aptitude au service militaire.

et la 3 ème fois j'avais été déclaré apte en dépit de cette lordose.

L'examen avait été quasiment le même à la visite d'incorporation avec là aussi l'ordre de faire quelques pas devant le médecin et en plus de marcher en canard et le médecin avait eu la même conclusion.

Mais en fait déjà aux visites médicales scolaires au lycée, on était nu devant la doctoresse et l'infirmière scolaire assistée parfois d'une infirmière stagiaire pour l'examen de la colonne vertébrale.

Comme cela a été dit, je pense que pour avoir une vue complète du dos, il faut aller jusqu'au coccyx, donc plus bas que le slip, alors soit on le fait baisser un peu ou totalement, soit par commodité si la pudeur de l'élève n'est pas considérée comme un sentiment à prendre en compte, on fait enlever complètement le slip.

C'est vrai qu'au centre de sélection , les appelés ne venaient pas uniquement pour se faire examiner la colonne vertébrale LOL ... Et avec le recul , c'était pour moi en 1986 , se mettre complètement à poil était logique : examen des pieds à la marche ( bien que les pieds plats ou valgus n'étaient plus un motif pour être exempté en 1986 ! ) , contrôle des organes génitaux ... C'est sûr qu'à 20 ans on est encore pudique mais bon dans les années 1980 , fallait pas trop se plaindre , on devait se mettre à poil qu'à la fin devant le seul médecin militaire ... Alors que dans les années 50-60 , c'était complètement à poil en groupe et pour la totalité des examens médicaux , y compris les tests de la vue et de l'audition !!! 😃 😃 😃

Pas à poil moi, c'était à Blois en 83 et au pire un médecin a dû tirer l'élastique de mon slip pour voir si il y a avait quelque chose. En fait j'ai pas de souvenir particulier de nudité, je voulais surtout pas faire l'armée.

J'ai vécu pendant 9 ans en collectivité dans une école spéciale pour ceux qui ont des soucis avec l'école, et là sur place nous avions parfois des visites médicales faire par un médecin pris par l'école ce jour là et nous tous en slip un par un ont y passait devant lui et à chaque fois ont avait droit au relevage de slip en étant couché sur la table d'examen et bien sans compter les nombreux réalisés dans l'hôpital Militaire ou j'ai passé 10 jours sur place pour un souci de vessie et là j'ai eu la totale visite minutieuse de mon pénis dans tous les recoins pour savoir ce que j'avais et bien durant les U.I.V que j'ai reçu et ensuite à mon entreprise lors de la visite annuelle par la médecine du travail.

Je n'ai jamais trouvé cela gênant même pour les toucher rectaux que j'ai reçu toujours à cause de ma vessie ou de mes soucis anaux.

Pour ce qui concerne le nombre de médecin que j'ai vu je ne saurais pas le nombre exact.