Vues: 447 Created: 2015.01.04 Mis à jour: 2015.01.04

Matinée Troublante…

Chapitre 2

Marie-Meredith tentât bien de se reprendre en revenant à sa préoccupation première, cette fièvre sur son front, et qui maintenant semblait se répandre sur ses seins et son entrecuisses, elle se planta le thermomètre dans les fesses d'une poussée autoritaire, le thermomètre était moins agréable que le doigt qu'elle venait d'y passer se disait-elle et cela calmerait ses envies, mais une fois introduit le tube de verre, elle ne peut s'empêcher de le bouger en elle, comme le faisait parfois sa gouvernante, souvenirs et sensations excitent son sphincter, de sa main restée libre, elle caresse sa vulve, la fièvre est là aussi, elle y glisse ses doigts qui descendent vers sa grotte, effleurant les pétales de sa rose enflammée et titillant du pouce sa petite perle durcie…

Et là le temps s'arrête pour Marie-Meredith… passant outre la honte due à sa condition, refoulant les préceptes rigides de son éducation, elle se laisse divaguer comme divaguent ses doigts, elle donne des mouvements à l'objet dans ses fesses, sa gouvernante est là, revenue du passé, c'est elle qui la pénètre avec le thermomètre tout en passant ses doigts sur ses intimités, elle entend même sa voix lui dire de pousser, plusieurs fois elle le sort puis le réintroduit, de petits vas et viens lui excitent l'anus, elle soulève sa jambe pour s'ouvrir à ses doigts et index et majeur pénètrent son vagin, sous la double caresse, elle se sent défaillir, l'orgasme la surprend, venant de toutes parts, elle se mouille la main du jet de son plaisir…

Quelques instant après, Marie-Meredith émerge de la torpeur où la jouissance la plongée, le thermomètre a glissé seul hors d'elle et la tache mouillée sur les draps s'agrandie, la honte la reprend quand à ce qu'elle vient de faire… Onanisme Sodomite, c'est là les seuls mots qui lui viennent à l'esprit pour s'auto-flageller, elle, femme si vertueuse, épouse et mère exemplaire, élevée loin du péché, vient de prendre du plaisir avec son anus en se touchant la vulve, les pointes de seins en sont encore durcies et ses intimités sensibles comme une pile, elle ne peut décemment rester dans cet état, et son front encore chaud lui dicte ce qu'elle doit faire pour soigner son malaise, comme le lui aurait fait sa chère gouvernante, elle part à la salle d'eau se faire un bon lavement…

Marie-Meredith est pratiquante, dans les deux sens du terme, un lavement le samedi et la messe le dimanche, c'est un rituel pour elle, savoir se purifier autant l'âme que le rectum, elle tient ça de sa mère mais aussi d'une tante Bretonne chez qui elle passait ses jours de vacances, et qui la lavementait en présence de son oncle, chose banale étant petite mais qui l'avait gênée quand elle avait grandie, d'être déculottée en présence d'un homme qui assistait à toute la séance, assis derrière elle, la voyant de pencher pour recevoir la canule entre ses fesses écartées par les doigts de sa tante, cela l'avait souvent troublée qu'il puisse voir sa vulve et son anus, encore plus à l'époque de ses premiers poils et premières règles…

Mais la douceur des gestes de sa tante, le massage digital préliminaire de son orifice avec une pommade, la chaleur de la canule enfoncée doucement, tout cela lui faisait oublier cette présence masculine et quand le liquide jaillissait en elle, Marie-Meredith ressentait du plaisir à être lavementée, ce n'est que plus tard dans l'âge qu'elle refusa de recevoir son lavement en sa présence qu'elle jugeait vicieuse, en effet, elle avait découvert dans un ouvrage interdit aux bonnes mœurs, que des hommes et des femmes voués aux enfers, pratiquaient des copulations par la porte interdite, des Sodomites, tel était leur nom, les hommes introduisaient leur verge dans l'anus de femmes perverses, mais aussi dans celui d'autres hommes, cela l'avait horrifiée, elle qui souffrait tant lors de ses constipations…

Son mari n'avait jamais eu l'outrecuidance et la goujaterie de vouloir la prendre ainsi, elle l'aurait répudié, elle se remémorait les lavements de sa tante tout en remplissant le broc de deux litres et demi qu'elle allait s'injecter, elle contrôlait la température de l'eau avec son thermomètre, 38° ferait l'affaire se dit-elle en ajoutant une huile de camomille au liquide, puis elle suspend le broc, se penche en avant et va pour se lubrifier l'anus d'un doigt savonneux..

Elle stop net son geste, non, pas de lubrifiant, avec ce qu'elle s'est fait avec le thermomètre, l'endroit est encore glissant, et puis, une introduction de la canule presque à sec lui empêchera de ressentir du plaisir, un lavement punitif en quelque sorte, pour punir les mauvaises pensées qu'elle a eu se dit-elle…

Sans ambages, elle pousse sur son sphincter et s'enfonce la canule entière d'une traite dans le rectum, malgré elle, son geste lui procure un vif et délicieux plaisir anal, elle ouvre rapidement le petit robinet du broc se disant que d'être remplie par le jet va la calmer mais de suite la chaleur du liquide se répandant en elle lui en procure un autre, elle ne peut s'empêcher de bouger la canule dans son rectum, et voilà que la vision de son oncle derrière elle vient s'imposer à son esprit, elle essaye de l'effacer, se disant que sa perversité devrait être punie par un deuxième broc, elle a déjà supportée quatre litres une fois, un jour de forte constipation qui la faisait souffrir, mais l'homme est toujours là, il s'approche d'elle, que lui veut-il…? Est-il de ces hommes qui aiment posséder une femme par les fesses…?

La vue de Marie-Meredith se brouille, des larmes de peur, ou de désir honteux, la salle de bain s'efface pour ne laisser place qu'à la pièce des lavements de sa tante, d'ailleurs celle-ci s'en va du décor, l'abandonnant à son mari qui s'approche encore d'elle en se caressant le devant du pantalon, Marie-Meredith s'affole, sa main sur la canule aussi, elle ne peut plus la contrôler, des petits mouvements du début, elle passe à de longs vas et viens pénétrant, l'homme à ouvert sa braguette et exhibe une verge large et bandée, mon dieu gémie Marie-Meredith, qu'allez-vous me faire mon oncle…? L'homme ne lui répond pas, elle sent juste ses mains se poser sur sa croupe, elle ne le voit plus, il est derrière elle, collé à elle, c'est maintenant son sexe qui la pénètre…

Malgré la vision qu'elle en a eu, la verge s'introduit sans douleur, Marie-Meredith est même troublée par le bien qu'elle lui fait, est-ce donc cela ce plaisir interdit, tant décrié…? Mérite t'on l'enfer si l'on jouit par l'anus…?

Un instant, elle ferme le robinet, il reste moins d'un litre, elle veut seul le plaisir qu'elle ressent par derrière, une main s'égare encore et masturbe sa vulve, tandis que l'autre s'active à la faire jouir des fesses, son oncle la besogne, elle l'entend soupirer, il grogne qu'il va venir et se vider en elle, c'est l'instant qu'elle choisie pour refaire couler l'eau, le jet viens l'asperger comme le ferait le sperme mais d'une belle quantité, supérieure au réel, elle masturbe ses chairs en se sodomisant et jouit encore une fois en urinant sous elle…

Le broc est vide maintenant, Marie-Meredith, presque à regrets, retire la canule de son anus en feu, son ventre est gargouillant et les crampes se succèdent, elle n'aura pas le temps de se reprendre deux litres et c'est jambes tremblantes qu'elle s'en va aux wc, elle se retient encore, contractant ses sphincters, un autre plaisir l'attend, c'est celui d'évacuer, ce moment qu'elle retarde jusqu'à n'en plus pouvoir et qui maintenant explose, jaillissant telle une trombe et brusquement hors d'elle, jouissive cataractes, Niagara soulageante, Marie-Meredith se vide, repensant au plaisir qu'elle s'est donnée honteuse, pour elle maintenant, le doute est consommé, au diable éducation et préceptes bourgeois, elle accepte ses désirs si longtemps refoulés, saphisme et sodomie seront sa nouvelle bible…

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mondoi Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans  
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arthur Il ya 9 ans  
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patou39 Il ya 9 ans  
clyso Il ya 9 ans  
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Rabban the Clyst Il ya 9 ans