Vues: 711 Created: 2011.10.05 Mis à jour: 2011.10.05

Ma grande soeur Manon

Chapitre 2 - Le jeu de nuit

Un mois plus tard...

Manon et moi venions de regagner notre chambre, chacun dans son lit respectif. Après avoir éteint la lumière du plafonnier et celle de sa table de nuit, ma grande sœur se glissa dans ses couvertures.

Plusieurs minutes de silence passèrent, avant que sa voix ne parvienne à mes oreilles.

-Tu peux venir, si tu veux.

Je m'y attendais. Quand nos parents s'absentaient le weekend, nous laissant la maison à moi et à Manon, cette dernière laissait rejaillir de son imagination ses passions perverses.

Je me levai, puis dans la pénombre de la chambre, je rejoignis rapidement son lit pour grimper dedans. Elle m'accueillit dans ses couvertures et m'aida à me placer correctement, c'est-à-dire mon dos contre elle. Comme d'habitude, j'eus d'abord droit à des caresses sur le dos, avant que ses mains convergent doucement vers mon derrière.

Elle baissa mon pantalon, et le retira complètement avec ses jambes, puis écarta mes fesses, chercha du doigt mon petit trou serré, et commença à me titiller à ce point sensible.

Cela suffit comme les fois précédentes à faire durcir mon sexe. Comme Manon ne s'intéressait clairement pas à ce côté de mon intimité, je portai ma main à mon entre-jambes et commençai à me masturber. J'avais appris à apprécier ce massage, et remerciais intérieurement ma sœur de m'avoir fait découvrir cela un mois plus tôt, même si ça avait été sous la contrainte ce jour-là.

Je restai attentif, guettant le moment où Manon allait pousser son doigt pour s'introduire dans mon cul. En général, elle ne me prévenait pas avant, mais le geste prenait assez de temps pour le voir arriver et avoir le temps de pousser aussi pour aider à la pénétration.

Bizarrement, cette fois-ci, je sentais que les gestes de Manon avaient quelque chose de différent. Son comportement aussi était étrange : elle ne parlait pas du tout, et n'avait pas l'air de chercher à enfoncer son doigt.

Après un quart d'heure de massage, je demandai :

-Tu ne rentres pas ?

-Si si, ne t'inquiètes pas, ça va venir.

Dans la minute qui suivit, elle poussa à deux reprises, mais pas assez fort pour passer. Je commençai à me demander ce qu'était devenu sa fermeté et sa détermination dans nos moments intimes.

En réalité, Manon était très excitée, et voulait accomplir un autre fantasme qui avait germé dans sa tête depuis la première fois. Ce n'était probablement pas très bien, et c'était pour cette raison qu'elle avait longtemps hésité à se lancer. Finalement, elle se jeta à l'eau.

-J'ai une nouvelle idée, fit-elle. Viens avec moi, il faut aller dans la salle de bain.