Vues: 684 Created: 2011.10.05 Mis à jour: 2011.10.05

Ma grande soeur Manon

Chapitre 3 - Le fantasme de Manon

Pour la première fois, Manon alluma sa lampe de chevet durant notre jeu secret. On cligna des yeux un moment pour s'habituer de nouveau à la lumière, et elle se jeta hors du lit en première. Elle ne portait qu'une culotte, et avait les seins à l'air. En la contemplant ainsi pour la première fois, je la trouvai très jolie, même si c'était ma sœur et qu'elle avait plusieurs années de plus que moi.

-Tu viens ? Fit-elle.

-Oui.

Je quittait également le lit, ne portant sur moi que le haut de mon pyjama. Mon sexe était encore bien tendu.

-Pas besoin de se rhabiller pour aller à la salle de bain, fit-elle, comme les parents sont partis ce week-end.

Encore à moitié nus, on quitta la chambre pour traverser le couloir et rejoindre la salle de bain. Marchant juste derrière elle, je continuai de fixer ses fesses qui se balançaient dans sa culotte, et me demandai également ce qu'elle avait en tête. J'eus plusieurs idées, mais ce n'était pas les bonnes.

"Me donner un bain ? En prendre un avec moi ? Échanger les rôles ?"

En entrant dans la petite pièce, Manon referma la planche du cabinet et s'assit dessus.

-Viens près de moi, me demanda-t-elle.

Elle me fit pivoter pour que je lui montre mon popotin, puis m'écarta les fesses avec ses deux mains. Avec ses pouces, elle écarta la peau plus près de mon anus, comme si elle cherchait à voir de l'autre côté.

Je tournai juste la tête pour l'observer : elle était penchée en avant, sa tête à une vingtaine de centimètres de mon derrière, et semblait très concentrée sur son geste. J'allais lui demander ses intentions, quand elle prit la parole.

-Tu ne dois pas aller aux toilettes ? Là, maintenant.

Je fus surpris par la question, mais ne devinais pas encore ce qui se préparait.

-Euh, non. J'ai déjà été aujourd'hui.

-Ok.

Elle eut l'air satisfaite.

-Pourquoi ? Demandai-je. Qu'est-ce que tu veux faire ?

Elle me relâcha, puis attendit que je me retourne face à elle.

-Tu te souviens, quand tu était constipé, il y a longtemps, ce que maman te donnait ?

En effet, je me souvenais. Même si ça remontait à très longtemps, ces souvenirs ne s'oubliaient pas. En quelques secondes, un raisonnement se mit en place dans ma tête, et je compris ce que Manon avait en tête.

J'avais hoché la tête, ne sachant pas comment répondre.

Manon soutenait mon regard. Elle posa ses mains au niveau de ma taille.

-Elle te soignait avec des suppositoires, fit-elle. Avant tu n'aimais pas trop ça, je me souviens. Mais maintenant, comme ça ressemble un peu à ce qu'on fait, je pense que tu pourrais aimer que je t'en donne un.

-Mais, c'est un médicament, fis-je. Et je ne suis pas constipé, en plus.

-Ne t'en fais pas, rassura-t-elle, ça va juste te faire faire caca, rien d'autre. Tu veux bien, alors ?

-Euh, oui, d'accord, fis-je après une seconde d'hésitation.

Un sourire de contentement apparut sur son visage. Elle me lâcha et se releva du trône.

-Ok. Tu peux attendre là, je vais en chercher un dans le frigo.

Elle quitta la salle de bain précipitamment. J'attendis sans bruit dans la pièce, puis j'entendis des pas rapides remonter l'escalier. Manon arriva dans la pièce, tenant entre ses doigts un suppositoire gélatineux. Automatiquement, je me retournai et me penchai sur la baignoire, en avant. Elle vint s'accroupir derrière moi, et écarta une fesse de sa main libre.

-C'est sûr que je ne vais pas être malade ? Demandai-je.

-Non, ne t'inquiètes pas, ça va juste te faire aller aux toilettes après.

Elle posa le médicament sur mon anus, puis je poussai. L'opération se passa très vite : le doigt entra, puis ressortit aussi vite qu'il était entré. Manon se frotta les mains l'une contre l'autre, satisfaite. Quand je me retournai, je vis qu'elle avait mouillée sa culotte.

Comme avant, la sensation d'insertion de son doigt dans mon trou de balle m'avait procuré du plaisir. Le suppo n'avait pas changé grand chose, à part que j'allais bientôt avoir besoin d'aller aux toilettes, chose que je trouvais moins excitante.

-Tu as bien aimé ? Me demanda-t-elle.

-Oui, fis-je.

Je préférais quand elle mettait juste son doigt, mais comme j'avais quand même eu ma part de plaisir, je ne lui fis pas remarquer.

Après cela, Manon me laissa seul pour faire caca, regagnant la chambre. J'eus un peu mal au ventre au bout d'un moment, et m'installai sur le trône pour me soulager.