Quelques minutes après je suis donc entrain de me vider toujours en position gynécologique sous l’effet d’un puissant laxatif qui doit être prescrit à mon avis pour la constipation chez l’éléphant vu l’effet qu’il a sur moi.

Les deux stagiaires me font ensuite une toilette intime avant de me reconduire dans ma chambre pour passer la nuit. Un peu plus tard une aide- soignante vient m’apporter mon plateau repas.

Le lendemain matin je fus réveillée de bonne heure par une infirmière qui vient me faire une prise de sang et recueillir mes urines du matin.

Quelque temps après en guise de petit déjeuner j’ai seulement droit à boire 2 litres d’eau .

En moins d' une heure : drôle de petit- déjeuner auquel je ne suis pas habituée. Bon, enfin bref j’arrive tant bien que mal a avaler toute la bouteille. Je suis ensuite conduite chez l’urologue et installée tout de suite sur la table d’examen et l’on me précise bien que je ne dois pas avoir de fuites. Je suis comme d’habitude solidement attachée. Le médecin me pose toute une série de questions et commence à me palper la vessie qui est de + en + pleine. Cela devient pénible. Ensuite il me fait une échographie. C’est très désagréable car il appuie en continu sur la vessie mais cela ne dure pas très longtemps.

Apres ça je fus détachée pour être installée sur un fauteuil spécial destiné à faire un bilan uro- dynamique.

Le médecin me demande de faire pipi normalement sur le fauteuil qui est bourré de capteurs. Ceci lui permet de contrôler la quantité d' urine évacuée ainsi que le débit. Ce fut un vrai soulagement pour moi de pouvoir enfin vider ma vessie.

Je suis ensuite reconduite dans ma chambre afin de pouvoir continuer tranquillement à éliminer toute cette eau avalée avant.

A mon retour dans ma chambre il y a une jeune colocataire qui vient d’arriver.

Pour elle c’est son premier passage ici et elle aussi va être attachée pendant tous ses examens mais contrairement à moi elle ne l' a pas choisi c’est sa belle famille qui l' a inscrite ici afin de vérifier son état avant son mariage.

Mais peu de temps pour discuter , elle part pour sa toilette et sa visite d’admission.

Après le repas du midi je retourne chez l'urologue.

Je suis ré attachée en position gynéco. Cette fois les examens sont un peu plus pénibles. Tout d’abord on m’introduit une sonde urinaire dans l’urètre pour vider celle-ci complètement. L’introduction est un peu douloureuse mais dès que j’entends l’urine couler dans une bassine la douleur diminue d’intensité mais ce n’est que pour un court moment car pour l’examen d’après ma vessie doit être vide. Pour vérifier l’infirmière bouge la sonde et à chaque mouvement des picotements se font sentir.

Ensuite l’urologue introduit un fibroscope. C’est une caméra miniature. Ce n’est pas très agréable mais supportable. Je peux suivre la progression en direct et je sens la caméra bouger en moi . Cette fois je n’ai plus de dépôt ce qui est une bonne nouvelle.

Par contre à l’issue de cet examen on m’annonce que j’ai mes sphincters urinaires légèrement détendus et que si on ne fait rien je risque d’avoir des fuites urinaires dans le futur. Il faudrait me remuscler le plancher pelvien. Pour cela il me faut des séances d’électrostimulation.

Pendant ce temps Cécile ma jeune colocataire qui est là pour un contrôle technique avant son mariage passe sa visite d admission sans êtreménagée surtout que visiblement elle n’est pas trop coopérante. Mademoiselle na pas voulu se mettre nue pour la visite d’admission. Les infirmières on dû faire appel a la sécurité pour lamaîtriser et l' attacher dans la machine à laver. A la sortie elle fut installée de force en position gynécologique, bâillonnée et les yeux bandés. Mais même dans cette position très inconfortable : aucun signe de bonne volonté de sa part. Les infirmières relèvent les mensurations qu’elles peuvent et arrivent tant bien que mal à faire ce qu’elles m'ont fait lors de ma propre visite d'admission c'est-à-dire un prélèvement de selles et une prise de sang.

Le médecin en charge des visite d admissions essaye tant bien que mal de continuer son examen mais il lui est impossible de prendre une tension correcte ou encore d’écouter le cœur. Il décide donc de la renvoyer dans sa chambre en espérant qu’après le repas Cécile soit devenu plus conciliante. Mais c’est peine perdue !Lorsque l’infirmière dépose le plateau- repas de Cécile celle-ci le fit valdinguer d’un revers de main digne d’un grand joueur de tennis.

Quant à moi ,à cette heure je devais normalement quitter cet établissement car ma série d’examens du système urinaire est terminée mais comme il a été détecté ce petit problème de sprinkler on me propose soit de partir comme prévu et de prendre rdv si je le souhaite pour faire des séances de rééducation ou bien de rester cet après midi et demain matin pour commencer la rééducation et de venir la finir selon mon emploi du temps à venir en venant juste pour la séance .

Je choisis donc de rester et de commencer cette rééducation .

Je suis donc conduite dans le cabinet d’une sage- femme qui est très gentille et très accueillante. Je retrouve ici les deux stagiaires qui étaient présentes lors de ma visite d’admission de jeudi soir.

Dès mon arrivée la sage- femme me pose une question qui me surprend. Elle me demande si j’ai changé d’avis pour la soumission car je peux refuser puisque ceci n’est pas un examen mais un soin, ma réponse est non. J’aime bien ce jeu de soumision donc je continue.

Elle m’invite à passer dans la salle à côté et à me dévêtir .

Je dois donc me mettre debout au centre de la pièce devant la sage- femme qui m’accroche les mains au plafond et me place une barre d’écartement aux chevilles.

La sage- femme tout en mettant ses gants m’explique qu’elle va commencer par une rééducation manuelle du périnée puis elle va me mettre une sonde de stimulation électrique dans le vagin. Tout en m’expliquant ça elle introduit délicatement 2 doigts puis m’indique d’essayer de contracter plus le devant ou derrière à gauche ou à droite. Cela fait très bizarre d essayer de se contracter sur les doigts de cette jeune femme.

Après quelques séries de contractions et d’exercices la sage-femme profite de ma position pour m’injecter dans l’anus une petite dose de gel laxatif afin de dégager mon rectum pour pouvoir insérer une sonde pour pratiquer une séance d’électrostimulation.

Dès que le gel a fait effet je suis autorisée à me soulager dans la wc au fond de la pièce avant d’être installée et attachée en position gynéco afin de mettre en place les sondes vaginales et rectales et aussi les patchs électrodes sur le bas-ventre et sur les lèvres vaginales .