Stéphane


Vues: 1565 Created: 2008.01.12 Mis à jour: 2008.01.12

Alexandra

Chapitre 2

Le soir venu, alors que j'étais rentré des cours depuis un petit moment, à son tour ma cousine rentra du boulot.

- Coucou, c'est moi, dit-elle en rentrant dans le salon. J'ai trouvé la solution pour tes problèmes ! dit-elle en jetant un sac plastique sur le canapé. Vas-y, ouvre et regarde !

J'ouvris le sac, et tirai deux trucs pliés en me demandant ce que c'était.

- Mais on dirait des couches ? dis-je sur un air étonné, tout en me disant que c'était bien trop grand pour en être.

- Bravo, tu as gagné !

- Elles sont vachement grandes tes couches. Le pauvre bébé doit être emmaillotés de la tête aux pieds, avec ça.

- C'est pas pour les bébés, mais pour les adultes. Enfin, normalement pour les vieux qui se font dessus. Je les ai récupérée au boulot pour toi. C'est ce qu'il te faut à la place de mes serviettes. Tu mets ça, et en cas de pollutions nocturnes tu ne risques pas de salir les draps.

- Au boulot ? Comment ça au boulot ?.

J'avais du mal à comprendre comment des couches pour adultes pouvaient se trouver au boulot d'Alexandra, alors qu'elle était secrétaire ?

- Ben oui au boulot. Parfois il y a des situations où tu ne peux pas aller aux toilettes quand tu veux. Alors, il vaut mieux porter une bonne protection si ne tu veux pas te faire dessus. Tu sais des fois, les réunions durent des heures et quand tu es secrétaire comme moi, tu n'as pas intérêt à t'absenter pendant que tes patrons parlent, sinon tu te retrouves au chômage. Alors je porte ça de temps en temps. C'est une copine, caissière dans un supermarché, qui m'a donné le truc.

Elle prit la couche et la déplia sous mes yeux éberlués.

- Tiens essayes ça pour voir. Je n'étais pas sûr pour la taille quand je l'ai prise où je travail.

- Mais ça se met comment ? J'ai jamais mis ça moi. Je devais avoir dix ans la dernière fois que j'ai porté une couche, et c'est maman qui me la mettait.

- Ça va, j'ai compris ! Je vais te la mettre, dit-elle en s'approchant du canapé. Allez baisses ton pantalon et allonges-toi que je puisse faire le test de la taille.

- Non mais ça va pas dans ta tête ? Tu ne penses quand même pas que je vais me mettre à poil devant toi quand même, dis-je en me demandant comment tout ça allait finir.

- Pfff quel enfant tu fais. Comme si je n'avais jamais vu ton asticot, répondit-elle sur un ton moqueur. Tu te rappelles pas quand on prenait notre bain ensemble ? Les baignades à la rivières... Tu as oublié tout ça, me demanda-t-elle avec un voile de tristesse dans la voix.

- Mais on avait dix ans Alexandra ! Aujourd'hui c'est différent.

- Il n'y a rien de différent. Tu es mon cousin et je n'ai rien à te cacher, un point c'est tout. On serait dans la situation inverse que ça me gênerait pas du tout. Allez déshabilles-toi, autrement ce soir je te laisse te démmerder tout seul. De toute façon cette nuit, tu ne dormiras pas sans la couche. Tes derniers débordements nocturnes dans mes draps ne m'ont pas laissé un autre choix que celui-là.

- D'accord ! Tu as gagné, dis-je en me levant, avec un mouvement d'humeur pour baisser mon pantalon.

Il est vrai que depuis que nous étions tout petit, ma cousine profitait du fait qu'elle était l'aînée pour me faire faire tout ce qu'elle désirait. Elle commandait et j'obéissai, c'était comme ça. Et aussi loin que je me rappelle, j'étais obligé de suivre cette règle. Par habitude aujourd'hui je me pliai à ses exigences.

- Le caleçon aussi, dit-elle sèchement.

- Quoi ! dis-je incrédule de ce que je venais d'entendre.

- Tu m'as très bien entendu, ton caleçon aussi. Comment veux-tu mettre une couche en gardant ton caleçon ? Ce ne sera jamais efficace, argumenta-t-elle.

Dominé par le ton autoritaire d'Alexandra, je baissai mon caleçon et m'allongeai sur le canapé.

- Lèves tes fesses et relèves ton pull. Tu vois, tu glisses la couche sous tes fesses, la partie avec les adhésifs dans le dos. Tu baisses les jambes, et ensuite tu rabas le devant sur ton ventre.

Je baissai les jambes.

- Oh mon Dieu ! dit-elle sur un ton faussement surpris.

- Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?

- Rien, sauf que tu as bien changé depuis nos dix ans ! répondit-elle. Il y a surtout des endroits qui ont grandit plus que d'autres. Avec un engin comme ça entre les jambes, je connaîs beaucoup de copines qui rêveraient de faire ta connaissance.

- Pourquoi ? Il est petit ?

- Que du contraire ! Il est énorme, je comprends pourquoi tu as eu des problèmes cette nuit, et pour quoi tu en as mis plein les draps. Ça a du déborder.

En entendant cela, je fus légèrement excité, à tel point que mon sexe commençait à grossir.

- Eh oh! Tu n'as pas honte, je suis ta cousine quand même.

- Si ça continue comme ça, je vais pas pouvoir me retenir longtemps.

Cette fois j'étais en érection complète.

- Hé cousin calme-toi, je suis ta cousine.

Elle prit toutefois mon sexe dans sa main pour le recalotter, avant de rabattre le change sur mon ventre. La douce chaleur de sa main fit que j'eu une contraction.

- Une fois rabattu, tu prends les adhésifs, d'abord ceux du bas et ensuite ceux du haut. Penses à bien recalotter ton sexe si tu bandes quand tu te changes, autrement ça risques de te faire mal. Soit tu mets ton kiki vers le haut, soit vers le bas. Si tu le mets en bas, quand si tu bandes dans ta couche, ça va te faire mal. Comme c'est pour la nuit, il vaut mieux le mettre vers le haut, comme ça, l'érection du matin passera toute seule.

- Je suis désolé pour l'érection, c'est involontaire.

- Ce n'est pas grave, et puis ça m'a flattée de voir que je te mettais dans cet état là, même si tu es mon cousin. Lèves-toi, que je voie si je l'ai bien mise.

Le pantalon et le caleçon sur les chevilles, je me suis levé du canapé.

- Hmm... ça te va super bien, tu sais que tu es super sexy avec ça. Surtout quand on sait ce qu'il y a dedans.

- Moi je me trouve surtout ridicule.

- Mais non cousin tu te fais des idées. Enlève ton pantalon et va te voir dans la glace, tu t'apervevras que j'ai raison..."

J'enlève mon pantalon, mon caleçon et je pars vers la salle de bains, en gardant le pull sur le dos. Je me mets devant la glace et je commence à regarder mon reflet que le miroir me renvoie. Je vois surtout cette couche géante me recouvrir le sexe et les fesses.

Alexandra me rejoint quelques secondes après. Elle se place derrière moi et me dit :

- Regarde comme tu es mignon. Un vrai bébé à croquer, dit-elle en me pinçant la fesse à travers la couche. Surtout pense à vérifier les élastiques anti-fuites, poursuit-elle en passant un doigt entre la couche et une fesse afin de vérifier la position des élastiques. Elle le fait de chaque côté puis, passe par devant pour faire de même.

- Tu vois, si tu mets mal ces élastiques, tu risques d'avoir des fuites. Ah, mince, suis-je bête ! dit-elle, tu ne te fais pas dessus toi, enfin c'est pas du pipi, lança-t-elle avec un petit sourire en coin. Pour toi, il faut plus vérifier que ton robinet est dirigé vers le haut qu'autre chose.

Après avoir sorti son doigt de sous la couche, elle pose la main sur le devant et réajuste mon sexe à travers la couche. Ce geste très orienté à tôt fait de réveiller mon érection. Cependant, au lieu de juste le remettre dans sa position correcte, la main d'Alexandra, s'attarde, se pose même sur toute sa longueur, et se met à la frotter contre le plastique.

Poussé par je ne sais quelle pulsion, je tourne ma tête et j'approche mes lèvres des siennes. Elle ferme les yeux et accepte ma langue. Je me tourne complètement vers ma cousine, je la prend dans mes bras et la plaque contre mon corps. Mon sexe en érection enserré dans sa couche se colle à son corps. Elle pose ses deux mains sur mes fesses et me pelotte doucement. L'excitation aidant, mon bassin commence à onduler doucement comme pour simuler un coït. Le corps d'Alexandra, comme mû parla même fièvre répond à mes avances. J'avance une jambe pour la passer entre les siennes. Elle se frotte.

La douce sensation du coton de la couche et le fait de sentir le corps d'une femme contre moi, accélèrent les balancements du bassin au bout de quelques instants de ce corps à corps inattendu.

- Allez, vas-y mon bébé, fais dans ta couche ! me dit-elle en poussant sur mes fesses comme pour accélérer le mouvement. Une brusque convulsion annonce l'imminence de mon orgasme. Puis, six jets de semence chaude innondèrent mon bas ventre, dans un râle absorbé par la bouche de ma cousine.

- C'est bien mon bébé, maman est fière de toi ! me dit-elle, avant de relâcher son étreinte. Tu vois que tu as bien fait de mettre une couche. En plus je te trouve irrésistible avec. D'ailleurs tu vas la garder jusqu'à demain.

- Et si j'ai envie de faire pipi ? dis-je en tentant de rester debout malgré mes jambes flageolantes.

- Et bien tu as tout ce qu'il faut sur toi. Si tu n'as pas trop froid, tu peux rester comme ça. Autrement habilles-toi, maman va faire à manger.

Après avoir terriblement joui, je ne pu résister à ses désirs et c'est avec une couche sur les fesses, que je remis mon caleçon et mon pantalon avant de regagner le séjour.

- J'espère que tu as gardé ta couche ? me demanda-t-elle.

- Bien sûr, puisque tu me l'as demandé si gentiment.

Pendant le repas on discuta des personnes dont elle s'occupait bénévolement. Ma cousine orienta directement la conversation vers les couches et les séances de changes. A un moment donné du repas, une envie pressante de faire pipi se fit sentir.

- Alexandra ?

- Oui ?

- J'ai envie de ...

- Envie de quoi ?

- De faire pipi.

- Ben fait pipi, vas-y, tu as une couche, non ? Tu sais c'est fait pour ça. Ne craint rien, tu es en sécurité. Une couche peut tenir plusieurs heures.

- Mais je n'ai jamais fait pipi assis.

- Lève-toi tu auras plus facile pour faire pipi.

Ecoutant les conseils d'Alexandra, je me suis levé et tente de faire pipi, pour la première fois de ma vie, dans une autre pièce que les toilettes, et en portant tous mes vêtements.

- Vas-y, détends-toi, me dit-elle, pense que tu es aux toilettes ou dans l'eau.

Je me détendis, en essayant de me concentrer, et fermai les yeux pour tenter de m'imaginer devant la cuvette. Ca y est je sens mon sphicnter se relâcher et le pipi se ruer vers la sortie. D'abord quelques gouttes, puis un flot plus important.

- Et bien ? Mais on dirait que ça marche ! dit Alexandra contente de mon exploit. J'entends tout d'ici.

- C'est vrai ? dis-je, étonné de ce que je viens de faire aussi facilement et de sa réaction.

- Mais oui mon bébé. C'est très bien, continue comme ça, maman est fière de toi. Dans quelques jours tu n'y penseras même plus et tu feras naturellement ta couche.

- Comment ça ?

- Ben oui. Tu sais pas ? Il paraît que les personnes qui ont goûté au plaisir du port de la couche et qui ont fait dedans, disent que c'est la sensation la plus douce qu'ils aient jamais connu, et qu'ils ne peuvent plus s'en passer. Ils vont même jusqu'à régresser et refaire pipi au lit. Certains vont jusqu'à vouloir devenir totalement incontinent.

- C'est vrai que c'est agréable, dis-je en me rasseyant, mais de là à en porter tout le temps, il y a un monde. Et puis je te rappelle que je suis pas malade, que je ne me fais pas dessus, et que si je portes une couche c'est parce que tu m'y as obligé. À cause de soi-disante traces dans les draps.

- Pendant que tu y es, dis que tu n'as rien fait dans les draps, espèce de petit cochon. Et puis j'ai bien vu la serviette que tu as jeté dans la poubelle, elle avait des traces de pipi. Ça prouve que tu as du mal à te contrôler et qu'il faut que tu portes une protection.

- C'est pas ça, tu peux pas comprendre, répondis-je un peu agacé.

C'est vrai que j'avais fait pipi dans la serviette, mais c'était plus pour cacher les traces de sperme. Mais elle avait raison, cette sensation d'avoir les fesses, les hanches et le sexe, maintenu serré était agréable. Cette douceur du coton et puis la chaleur du pipi. Je venais de découvrir une nouvelle sensation très érotique.

Après le repas, on regarda la télé un moment. Avant de se coucher, elle se tourna vers moi et me demanda :

- Tu as encore fait pipi depuis tout à l'heure ? Tu veux que je regarde avant d'aller au lit ou tu peux garder cette couche jusqu'à demain ?

- Oui, non, enfin... je sais pas.

- Bon, ben, déshabilles-toi que je vérifie.

Pour la deuxième fois de la journée, je dus baisser mon pantalon devant ma cousine, ce que je fis avec un certain plaisir.

- Ça devrait aller, me dit-elle. Tu vois l'auréole jaune, là devant. C'est Le pipi que tu viens de faire a été absorbé par la couche. Lorsque ta couche sera entièrement jaune, jusque derrière. Ce sera le signe qu'elle est remplie, et qu'il faut te changer. Tu m'appelleras pour que je t'en mette une propre. Sinon tu risques des fuites et de bousiller le matelas. Tu m'as compris ?

- Oui cheffe ! répondis-je sur le ton de la plaisanterie.

- Bisous et au dodo, mon gros bébé, dit-elle en m'embrassant sur la joue, avant de se diriger vers la salle de bains.

Je me suis déshabillé complètement et me suis glissé sous les draps. La couche que je portais me faisait une sensation bizarre entre les jambes à chaque fois que je bougeais. J'étais habitué depuis très longtemps à dormir le bas nu, mon sexe traînant ça et là sur les draps. Maintenant il était emprisonné dans un cocon de coton, qui était des plus agréable.

Je me mis à penser à cette journée, où ma cousine me met une couche, se branle contre ma cuisse, et me traite comme si j'étais un bébé. La situation et surtout son comportement me paraissait bizzarre. Elle disait qu'elle mettait des couches de temps en temps pour son boulot, mais la façon dont elle me traitait me parraissait louche. J'avais l'impression d'être le partenaire involontaire d'un jeu, dans lequel je suis son bébé, complètement soumis à ses fantasmes. C'était sans me déplaîre. Moi qui n'avait eu tout au plus que deux ou trois relations intimes avec des filles; mais il fallait que j'en sache plus. Et c'est sur ses douces pensées que je m'endormis. Je me mis à rêver, de ma cousine, de moi, de ses couches et de nos jeux d'enfants.

Tout cela fit que je me réveillai brusquement dans la nuit, sans savoir pourquoi, une sensation étrange dans le bas du ventre. J'allume la lumière, je soulève le draps pour voir ce qu'il y a. Ah oui, tiens donc, c'est vrai, j'avais oublié, je porte une couche. La sensation bizzare vient de là. Je me mets sur le dos et tire sur le devant de la couche pour voir à l'intérieur. Et là, je vois mon sexe tout gluant qui retrouve sa taille normale, après avoir libéré ce qui semble être du sperme. Le rêve que je venais de faire m'avait fait jouir.

Une de ces pollutions nocturnes que les ados craignent tant. En constatant les dégâts, je réalise le bénéfice de porter une couche la nuit, même si on est plus victime de pipi au lit. Il faudrait que le port de la couche se généralise chez les ados, pensai-je. Ça éviterait des tonnes de lessive, des hontes matinales et les explications malheureuses à beaucoup de garçons.

Heureusement que j'avais cela me dis-je dans ma tête, sans me douter que c'était le fait d'être garni qui avait déclenché cet orgasme inattendu. J'éteignis la lumière et me rendormit en pensant au réveil.