Alexandra
Chapitre 3
Lelendemain à sept heures, la lumière s'allume, ma cousine est à mes côté quand j'ouvre les yeux.
- Debout, il es l'heure. dit-elle en soulevant la couette pour regarder mon entrejambe.
- Alors, ça va ? Ta couche a tenu le coup ? Ecartes les jambes que je voie ça.
j'obéis dans un demi-sommeil.
- Ça va ! dit-elle. Elle a tenu le choc, même si les mouvements de la nuit ont mis le coton légèrement en boule dans le bas de la couche. Tournes-toi, montre-moi tes fesses. Ça va elle n'est pas trop mouillée on dirait, tu ne t'es pas fait dessus dans la nuit. Je vois que tu es un grand garçon quand tu veux. Bon ben, lèves-toi et va préparer le petit déj, je vais me doucher, je te l'enlèverai tout à l'heure.
Et c'est les fesses garnies que je me suis levé, pour préparer le déjeuner. Je ne savais pas trop ce qui m'attendait, mais je ne pouvais pas aller à la salle de bains pour enlever cette couche qui abritait le résultat de mes rêves nocturnes.
Quelques minutes plus tard, ma cousine sortit de la salle de bains fraîche et pimpante comme à l'accoutumée.
- On déjeûne, et ensuite je te montrerai comment enlever ta couche, me dit-elle.
On passe à table.
- Ca va, t'as bien dormi ? Ça ne t'a pas trop gêné ?
- Non, ça va, on s'y habitue. Mais j'aimerai bien aller aux toilettes car j'ai une grosse envie.
- Ben tu n'as qu'à faire comme hier. De toute façon, elle ne servira plus par la suite. Tu peux l'utiliser, dans dix minutes tu l'auras plus. Vas-y laisses-toi aller tu verras, ça ira tout seul. Mais ne fais pas la grosse commission, on est à table quand même... Pense à la flotte, à la mer, à l'eau qui coule.
Ca y est je me détends et suis ses conseils et c'est vrai que ça marche.
D'abord je sens quelques gouttes remonter mon canal urinaire, puis un flot plus important vient cogner contre le coton et le plastique de la couche.
- Et bien dis donc, dit-elle, tu avais vraiment une grosse envie on dirait.
- Oui.
- Fais gaffe quand même. Attention aux fuites si tu vas trop vite. Il ne faut pas trop pousser, il faut que ce soit naturel, comme si tu étais aux chiottes.
- Ah, ça y est, ça va mieux.
- Alors, ça fait quoi de faire dans des couches ? C'est'y pas agréable ?, me demanda-t-elle d'un ton volontairement niais.
- Oh, si... Je ne pensais pas que ça pouvait être comme ça. C'est vrai que ça fait drôle de faire pipi quand on porte des vêtements et quand on est aux chiottes. La sensation du coton est douce.
- Avec l'habitude, tu apprécieras de plus en plus.
- Attends, c'est que pour la nuit. Il est hors de question que j'en porte la journée ! dis-je.
- Mais je le sais, J'ai dit ça que pour t'embêter. Mais bon qui sait ? Peut-être qu'un jour tu en porteras jour et nuit. En attendant, file à la douche, je vais tenlever ta couche."
Je me levai et parti vers la salle de bains, suivi de près par Alex.
- Déshabilles-toi !
Ce que je fis. Et en peu de temps je me retrouvais nu devant elle, à l'exception de ma couche.
Elle s'acroupit devant moi...
- Et ben dis donc, tu es bien trempé. Heureusement que tu n'as pas fais pipi dedans cette nuit, elle aurait débordé ce matin... Bon, il faut faire attention quand tu enlèves les adhésifs car tu peux déchirer ta couche et en mettre partout, après c'est le bordel pour nettoyer. Tu défais d'abord ceux du haut, puis ceux du bas. Une fois les adhésifs défaits, tu mets ta main en dessous et tu retires doucement ta couche.
Elle mit sa main dessous, et enleva ma couche. La couche enlevée, mon sexe se retouva libre de toute entrave. Le problème c'est que la position dans laquelle je me trouvais, était fort excitante. J'étais à poil devant une fille super sexy et son visage se trouvait à quelques centimètres de mon sexe. Et ce qui devait arriver arriva, je commençai à bander.
- Et oh, t'as pas fini, dis donc ?
- Désolé, c'est un réflexe.
- Ce n'est pas une raison, dit-elle.
Je pensais qu'elle était en colère, mais le ton qu'elle employa me fait dire qu'elle ne le pensait pas.
- En plus, il est tout sale, dit-elle en essayant de me recalotter.
Elle se leva, me tapa sur les fesses et me dit :
- Allez dépêches-toi, tu vas être en retard.
Elle sortit de la salle de bains et ferma la porte derrière elle, en me souhaitant une bonne journée.
J'entrai dans la douche et commençai à me laver. Je commençai à me caresser pour satisfaire l'excitation créée par la situation. Sans couche et sans rien pour m'essuyer, j'arrêtai quelques secondes avant de jouir. Bien décider à en savoir plus ce soir.
Je sors de la douche, je m'habille et pars pour la fac.
Le soir venu, ma cousine rentra vers 20h, comme à son habitude, je l'attendai bien sagement assis dans le canapé, en regardant la télé. Après avoir mangé, on s'est affalés tous les deux dans le canâpé, et nous avons papotés à propos de notre journée.
Vers vingt-trois heures, elle me dit qu'elle était fatigué et qu'elle irait bien se coucher. Elle se lève et se dirige vers la salle de bains, pour revenir avant un change complet dans une main et un flacon dans l'autre.
- Allez mon bébé, c'est l'heure d'aller au dodo, mais avant maman doit te mettre une couche, pour éviter que bébé fasse des cochonneries dans le lit. Allonges-toi sur le canapé, et défais ton pantalon.
Excité à cet idée d'être soumis à ses envies, je me plie à ses exigences. Elle baisse mon pantalon et mon caleçon.
- Et bien ! C'est quoi ces tâches dans ton caleçon ? Ce ne serait pas du pipi par hasard ? Et elle s'accroupit et approche son nez de l'intérieur de mon caleçon et respire à plein nez.
- Hmmm, ca sent pas très bon, on dirait que tu oublies de secouer ton petite robinet quand tu vas faire pipi. Maman n'est pas contente. Tu es un vilain petit garçon. Si ça continue, tu vas devoir porter des couches aussila journée.
- Oh non, dis-je pour jouer le jeu. Je suis un grand maintenant, j'ai plus besoin de couches, je ferais tout ce que tu voudras, mais pas de couche, maman.
- Vilain garçon, me dit-elle. De toute façon, ce n'est pas ta faute. C'est normal d'avoir des fuites avec un aussi gros robinet.
Le jeu commençait à prendre une drôle d'orientation et je commençais à bander.
- Oh, mais c'est que le robinet grossi... petit cochon. Tu n'as pas honte ? dit-elle en le prenant en main.
À mesure que mon sexe grossissait je voyais les yeux de ma cousine s'aggrandirent, et sentais sa main se resserrer autour de lui. Lorsque je fus en pleine érection, elle me regarda et dit :
- C'est malin, comment veux-tu que je te mette ta couche dans cet état là ?
Ça ne va jamais rentrer. Je ne vois qu'une seule solution. Ferme les yeux et ne dis rien.
J'obéis sans broncher et ferme les yeux. A cet instant, je sens la main d'Alex bouger de haut en bas et une douce sensation de chaleur et d'humidité sur le bout de mon gland. Elle est en train de le prendre dans sa bouche.
- Hmmm, c'est bon, dit-elle en sortant mon gland de sa bouche. J'espère que bébé aime ce que lui fait sa gentille maman.
- Oh oui, dis-je en savourant cet instant.
Elle reprit mon sexe dans sa bouche, en essayant d'engloutir le plus qu'elle pouvait. Au comble de l'exictation, j'essayai de me retenir, mais peu habitué à ce genre de soins, je sentis des contractions venir, et mon sexe durcir au maximum. La respiration de ma cousine se faisait plus pressante, à mesure qu'elle sentait venir mon orgasme. Finallement, pris de convulsions, j'envoyais dans la gorge d'Alexandra plusieurs jets de ma semence, en guise de remerciements. Sa cavité buccale déjà occupée par mon sexe, il ne restait que peu de place pour ma semence. Elle retira doucement mon sexe de sa bouche et lorsqu'elle eut fini, juste un mince filet de bave reliait mon gland à sa bouche. Un 'slurp' bruyant annonça l'engloutissement de mon sperme dans l'estomac de ma cousine.
- Délicieux, dit-elle en se passant la langue sur les lèvres, comme pour happer les dernières gouttes. Et bien, mon bébé, ça a été rapide. Maintenant maman, va pouvoir tranquillement langer bébé. La prochaine fois, si tu es sage,maman te feras goûter son lait.
Le temps qu'elle s'essuye la bouche, mon sexe avait repris sa taille normale. Elle déplia le change sous mes fesses et rabattit le devant sur mon robinet, et scratcha les adhésifs un à un.
- Bonne nuit mon bébé, me dit-elle en me faisant un bisous sur le front. Et surtout ne te mouilles pas trop.
- Bonne nuit maman, lui répondis-je sur un ton quelque peu enfantin.
Toute lumière éteinte je m'endormis profondément et rapidement. Je me mis à rêver à la situation, la couche, la fellation, le fait qu'elle me prenne pour un bébé. C'était un rêve agréable, dans lequel j'étais vraiment un bébé qui devait encore porter des couches car il faisait encore pipi au lit. Que mon père nous avait abandonnés, que je vivais seul avec maman, et qu'une tendre union nous unissaient. En pleine nuit, une brusque envie me réveilla et me tira de ce sommeil.
L'envie de faire pipi, mais surtout celle de faire un tour dans la chambre d'Alexandra, enfin de maman. J'avais envie de la voir dormir. Je me levai doucement, en essayant de faire le moins de bruit possible. Je me dirigeai vers sa chambre et ouvrit tout doucement la porte. La chaleur qui émanait de la chambre était importante, comme si elle avait laissé le chauffage à fond. La lumière discrète des toilettes que j'avais allumée en passant, me fournissait suffisament de lumière pour distinguer Alexandra étendue sur son lit.
Elle dormait nue, sur le ventre. Mon regard commençait à scruter ses formes, pour s'attarder au niveau de ses fesses, petites et fermes, terriblement excitantes sous un pantalon moulant. Au début, je ne les distinguais pas, ne voyant qu'une tache blanche, à la place. Je pensais que c'était un bout de drap qui était resté, cachant cette anatomie si désirable. Puis mes yeux s'habituèrent à la pénombre et me permirent de discerner ce que c'était. Ma cousine avait mis la troisième et dernière couche et dormait ainsi, simplement vêtue d'un change complet, tout comme moi. La vision qui s'offrait à moi eut tôt fait de déclencher en moi une érection. La jeune femme de 21 ans qui venait de me sucer quelques heures auparavant était là, nue sous mes yeux, et portait une couche pour adultes.
N'étant jamais entré dans la chambre d'Alexandra, je ne peut dire si cette situation était inhabituelle ou non. Ainsi, je me mis à penser à une situation où Alexandra, souffrant problablement d'une forme d'énurésie qui touche les adultes, devait porter toutes les nuits une couche. Cette situation me paraissait d'autant plus probable que je me demandais pourquoi une fille aussi bandante qu'elle, disons les choses comme elles sont, n'a pas de mec. En deux mois de présence chez elle, pas un coup de téléphone, de courrier, ou la visite d'un quelconque mec. A chaque fois qu'on en parlait, elle disait qu'elle sortait d'une rupture et qu'elle avait besoin de temps pour s'en remettre. Plus je pensais à cela, plus je comprenais la raison de l'absence de mec.
C'est vrai, comment faire comprendre à un mec qu'une fille aussi belle et bien foutue qu'elle doit se garnir tous les soirs d'une couche, comme une vulgaire petite fille. Je comprenais aussi pourquoi elle me faisait jouer ce jeu là, et qu'elle avait tenu à ce que je porte, comme elle, une couche sur moi.
En songeant à cela, et à sa probable énurésie, mon sphincter se détendit et du pipi arriva à la couche, sans que j'en ai véritablement conscience. Tiens voilà que je me pisse dessus me dis-je. Heureusement que j'ai une couche.
En libérant ce flot de liquide, je me disais que la sensation de la couche sur mes fesses et mon sexe était de plus en plus agréable, et que le fait d'être garni n'était peut-être pas aussi ridicule que ça. Et c'est sur ce flot d'humidité et cette douce pensée que je refermai aussi discrètement que possible la porte de sa chambre.
En me recouchant, je me dis qu'il fallait que je joue le jeu, qu'elle trouve petit à petit ma couche de plus en plus mouillée, et qu'à la fin, je sois complétement énurétique tout comme elle. C'était d'autant plus facile, que la couche que je portais était déjà mouillée...