Anonymous


Vues: 778 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 11

Ma toilette fut rapidement menée, et revenu dans ma chambre, j’enfilais la culotte en caoutchouc pleine de pipi à l'intérieur comme à l'extérieur que j'avais quittée quelques minutes auparavant et m'allongeais sur le drap en caoutchouc sans remonter le drap du dessus tant j’avais hâte de regarder ces fameuses brochures.

Je ramassai la première qui me tomba sous la main. Elle s'était ouverte lorsqu'elle avait atterri sur le lit. Je me rendis compte que c'était un genre de roman photos, énormément de photos et très peu de textes. Cela arrangeait mon manque de connaissance de la langue anglaise.

La première photo qui me tomba sous les yeux représentait une salle de classe occupée par des jeunes filles toutes habillées de la même manière, style pensionnat de bonnes soeurs. L'accent de l'image était bonne. Sur une jeune pensionnaire au piquet dans un coin de la salle, la jupe relevée dans le dos, tenue par une épingle et montrant sa culot de caoutchouc gonflée par des couches, alors qu'une mare s'étendait à ses pieds.

Passant plusieurs pages, je vis d'autres photos représentant une infirmière enlevant la culotte en caoutchouc et les couches d'une autre pensionnaire, allongée sur un lit genre hôpital, alors qu'une deuxième infirmière s'apprêtait à lui donner un lavement.

Je compris alors que c'était cette brochure sur laquelle la maman de Véronique avait attiré mon attention.

Je repris donc depuis le début. J'étais tellement absorbé par la lecture des images si explicites qu'elles rendaient le texte inutile, que je n'entendis pas Véronique rentrer dans la chambre.

Je sursautais lorsqu'elle me posa la main sur l'épaule et me retournai.

Ma verge déjà bien raide dans le caoutchouc glissant de ma culotte, se cambra encore plus.

Véronique était nue à l'exception d'une couche-culotte à boutons en caoutchouc naturel à demi-transparent qui laissait deviner la couleur sombre du triangle de son ventre dont les poils humides adhérant au caoutchouc formaient une végétation étrange .

M'arrachant la brochure de mes mains, elle la regarda rapidement et me dit :

-"Je comprends maintenant ton silence et ton intérêt pour la langue anglaise, car il s'agit bien de langue, si j'en crois la photo, n'est ce pas ?" L'audace et la pertinence de sa réplique me laissèrent un moment abasourdi

Il s'agissait bien en effet de langue, car les photos successives représentaient deux jeunes filles presque nues, tête-bêche sur un lit de dortoir, qui, leur culotte en caoutchouc descendue en bas des cuisses se suçaient mutuellement leurs couches que l'on devinait pleines d'humidité et de senteur aphrodisiaques, alors que leurs doigts glissant sous le tissu des couches, allaient et venaient dans leur petite chatte respective.

-"Pour ta punition, puisque tu ne m'as pas attendue, tu vas me m’expliquer le début de la scène. Comment dois-je me mettre sur le lit ? Comme ça ? » dit-elle, en s'allongeant les cuisses largement écartées.

-« Allons ! Qu'est ce que tu attends ? Dois-je aussi te dire ce que tu dois faire ?" Et comme je ne répondais pas, complètement atterré. « C'est bien. Alors, allonges toi contre moi ... Non ! Dans l'autre sens !" A peine étais-je étendu, tout tremblant de honte et de peur, qu'elle se jeta sur moi et prenant dans sa bouche ma verge caoutchoutée, elle se mit à la sucer comme un gros bâton en sucre d'orge. Pris par ce même accès de folie érotique, je plaquais ma bouche contre le caoutchouc recouvrant le renflement de son sexe et me mit à lécher le caoutchouc odorant. Ce ne furent bientôt que bruits de succion entrecoupés de râles et de gémissements.

Après un premier orgasme commun, nos langues entreprirent de boire et lécher l'intérieur bien sirupeux de nos culottes en caoutchouc légèrement baissées à cet effet, avant d'entreprendre une ronde infernale dans et autour de nos sexes brûlants, ce qui nous amena rapidement à une nouvelle jouissance.

Anéantis par le plaisir, nous reposions tous les deux dans la position initiale, lorsqu'une idée commune aussi bizarre que magnifique, comme elle se l'est révélée par la suite, traversa notre esprit de bébé heureux.

Je me laissai aller à faire pipi dans ma culotte en caoutchouc, et réveillé par le plaisir du chaud liquide qui me coulait sur le ventre et entre les cuisses, je sentis le même chaleur humide qui ruisselait sur ma joue et le long de mon cou.

Je m'étais assoupi, le nez dans les poils soyeux de sa toison, la tête recouverte par le devant déboutonné de sa culotte en caoutchouc.

Instinctivement, comme la bouche du nourrisson qui cherche le sein de sa mère, la mienne se posa sur sa fente entrouverte, ma langue cherchant, puis s'abreuvant à la source dorée, alors qu'au même moment, je sentais ma verge engloutie par une bouche avide et aspirait mes dernières giclées acides et piquantes.

Très vite, je me retournai et nos bouches encore pleines de pipi se joignirent, nos langues brassant les liquides mélangés, alors que mon membre ayant retrouvé la raideur nécessaire, retrouvait également le chemin de son fourreau si magnifiquement chaud et humide. Cette fois encore, une main discrète et secourable prit le temps, durant notre sommeil, bien mérité, de nettoyer le lit et de nous mettre des couches propres sous nos culottes en caoutchouc.

La lendemain, nous passâmes la journée dans notre chambre, mettant en pratique les différents enseignements tirés des brochures anglaises en y alternant des repos compensateurs. Pour la dernière nuit, nous dûmes nous soumettre au projet un peu spécial de la pharmacienne qui nous administra un lavement de sa composition tel qu'il nous fut impossible de quitter nos culottes en caoutchouc étant donné l'état à combien pâteux de nos couches et de nos cuisses. Au moment de se quitter pour rentrer à la maison, je lui fis comprendre combien j'étais attaché à sa fille et combien j'aimerais la revoir.

Elle me répondit qu'après ce qui s'était passé entre Véronique et moi avec sa complicité, elle n'avait pas l'intention de me fermer sa porte.

Sachant également combien Véronique tenait à moi, elle me pria de ne pas la décevoir.

je ne pense pas l'avoir déçu par la suite.

Je devais revoir Véronique très souvent durant l'année qui suivit, soit chez elle, soit chez nous, car elle venait aussi passer certains week-end à la maison.

Pour des raisons de commodité, j'avais cessé de faire pipi dans ma culotte, mais je ne parvenais pas à me priver du plaisir de me mouiller au lit.

Quant à Véronique, je l'avais suppliée de ne pas changer ses habitudes. Tant pis pour ma mère qui la croyait vraiment incontinente. Lui rappelant combien j'aimais la prendre dans ses couches mouillées et combien j'appréciais le moment où allongée à coté de moi, elle faisait pipi au lit sans protection, à part le drap en caoutchouc qui maintenait l'humidité sous nos corps.

Depuis tout jeune, j'avais formulé le désir d'être pharmacien. Cette idée s'était renforcée depuis que je voyais Véronique, mais aussi depuis qu'en pharmacie on vendait couches et culottes imperméables pour adolescents et adultes.

Comme les études de pharmacie commençaient par un stage d'un an dans une officine, tout naturellement je fis ce stage chez la maman de Véronique, et comme, sans en parler explicitement, le mariage semblait l'aboutissement normal de mes relations avec : Véronique, j'habitai aussi tout naturellement chez elle.

Le travail du stagiaire était surtout d'apprendre le codex, recueil des différentes préparations pharmaceutiques, mais comme ces préparations faites en pharmacie, diminuaient de plus en plus en faveur des spécialités fabriquées par les grands Laboratoires, je disposais de pas mal de temps libre que je consacrai à ce qui me plaisait, viscéralement, pourrait-on dire, c'est à dire aux différents articles d'hygiène pour femmes et enfants.

Déjà, durant l'année précédente, la mère de Véronique voyant ce genre de commerce se développer, l'avait séparé de la pharmacie, en faisant un petit magasin, sacrifiant les deux pièces de la maison contiguës à l'officine.

On avait accès à ce magasin par la pharmacie et un escalier en colimaçon donnait accès à la réserve du 1er étage. Comble de coïncidence, la mère de Véronique avait embauché comme vendeuse la jeune fille que j'avais vue, un an auparavant, s'admirer devant une glace dans cette même réserve, uniquement vêtue de sa culotte en caoutchouc. Je me promis de vérifier si elle faisait toujours pipi dans ses couches à la prochaine occasion.

Le magasin drainait sa clientèle, devenue importante, dans un périmètre de plus de 100 km.

Par Hélène, elle était entrée en relation avec des fabricants anglais dont elle assurait l'écoulement des produits uniquement sur commande grâce à un petit catalogue en couleur. Parmi les différents articles d’hygiène proposés, figuraient en bonne place les culottes en caoutchouc qui, malgré leur prix élevé, avaient de plus en plus d'adeptes.

Je n'eus aucun mal à la convaincre, qu'avec quelques modifications dans l'agencement du magasin, la vente pourrait être largement augmentée.

Comme Véronique, sa mère aimait le caoutchouc sous toutes ses formes et elle me donna bien volontiers carte blanche.

Je commençai par rendre le magasin plus chaud, plus intime, en supprimant tout ce qu'il y avait de verre et d'inox, je le remplaçai par un grand comptoir en bois sombre, muni de nombreux tiroirs, coupant le magasin en deux. De larges et hautes vitrines posées sur des armoires basses en bois occupaient tout un mur.

Comme l'ensemble était assez sombre, des lumières indirectes éclairaient l'intérieur des vitrines.

J'eus assez de mal à me procurer des mannequins troncs en osier de tailles différentes sur lesquels j'enfilais les culottes en plastique pour enfant, adolescent et adulte que je garnis de couches pour donner plus de réalité. Ces mannequins trouvèrent leur place dans les vitrines.

Les modèles de culottes imperméables qui n'avaient pas trouvé place dans les vitrines, étaient exposées sur des silhouettes grandeur nature placées çà et là dans le magasin, mais à la portée des clients qui pouvaient les palper à leur guise.

De même, les couches, changes complets et autres garnitures étaient fixés sur des présentoirs offerts au toucher du public, avec possibilité d'emporter un échantillon gratuit.

Lorsque plusieurs clientes se pressaient dans le magasin, je venais en renfort aider la vendeuse.

Je me réjouissais toujours de l'air gêné et emprunté des femmes qui s'adressaient à moi. Comme les premières fois, elles n'étaient jamais fixées sur le modèle de la culotte qui leur convenait, j'aimais étaler devant elles deux, voir trois culottes différentes, vantant les mérites de l'une ou de l'autre, de façon à ce que tout le magasin l'entende, ce qui augmentait la confusion des clientes. Pressées de partir, elles acceptaient souvent mon offre de prendre les différents modèles et faire un choix chez elles, ce qui les faisait revenir une deuxième fois plus détendues et plus favorables à engager la conversation sur l'énurésie de leur fille ou leur incontinence personnelle.

Comme j'étais chargé des approvisionnements, et du renouvellement des stocks, j'accomplissais toujours ce travail en collaboration avec la vendeuse qui devint rouge jusqu'aux oreilles lorsque je lui demandais quelle culotte aurai-t sa préférence si elle devait en porter. Le rouge des joues tourna au cramoisi lorsque je lui conseillai fermement d'en mettre une pour éviter d'avoir le derrière de sa blouse tout humide. Honteuse, elle s'enfuit dans la réserve où je la suivis dans l'intention de la consoler. Elle accepta l'asile de mes bras pour épancher ses larmes. Ses hoquets se transformèrent peu à peu en gémissements, lorsque ma main, ayant déboutonné la blouse blanche, s'infiltra entre ses cuisses tout en caressant le plastique tout humide de la culotte. Un doigt polisson explora même le tissu éponge tout trempé de la couche jusqu'à atteindre la fissure mouillée, à l'origine de ces maux.

La culotte en plastique devenant un obstacle à une exploration en profondeur fut vite enlevée par sa propriétaire qui accepta mon membre, sevré de tendresse depuis l’absence d'une semaine de Véronique.

Cette gentillesse de sa part me donna l'occasion de lui offrir une merveilleuse culotte en caoutchouc rose dont elle avait envie mais qu'elle ne pouvait s'offrir étant donné le prix élevé. Elle accepta aussi que je la lui enlève chaque fois que j'en éprouverais un besoin pressant, comme, un besoin hygiénique, cette sorte d'hygiène étant également valable pour elle, disait-elle.

A ce régime, elle perdit très vite sa timidité et à ma demande, elle accepta de servir de modèle en montrant sur elle, aux clientes, intéressées la possibilité d'absorption des couches et l'efficacité des culottes en caoutchouc, démonstration qui se faisait dans une cabine d'essayage à laquelle j'assistais visuellement, un œil glissé à la fente d'une tenture prévue à cet effet.

A la fin de mon année de stage, sentant nos exercices hygiéniques sur le point de prendre fin, elle m'avoua tout heureuse qu'elle avait trouvé durant ces séances d'essayage un peu spéciales une âme sœur toute pleine d'attention dont elle allait partager l'appartement, et le reste.

Plus délicate et plus dure fut la séparation avec Véronique, malgré notre vie presque commune durant cette année, nos sentiments étaient devenus encore plus profonds, Véronique désirant un enfant, dont il n'était pas question avant le mariage.

Ce furent d'abord la période des fiançailles. Véronique venait me rejoindre à Paris dès qu'elle le pouvait, et moi, je passais tous mes week-ends chez ma future belle-mère.

Je savais que Véronique et Hélène se revoyaient de temps en temps.

Hélène était toujours en Angleterre, mais avait l'intention de revenir en France pour monter un Etablissement scolaire dans la grande propriété qu'elle avait héritée de sa mère, réservé à une vingtaine de jeunes filles toutes incontinentes dont la clientèle lui était déjà assurée, pour un enseignement « made in England ». Elle avait fait miroiter à Véronique que ce serait là un débouché important pour tous les articles d'hygiène et d'incontinence dont elle aurait besoin.

Enfin le grand jour arriva.

Véronique était vraiment merveilleuse dans sa grande robe en broderie rose, ornée de roses rouges naturelles.

Elle descendait les marches de l'église serrée contre moi, marchant à petits pas.

-" Je suis déjà toute trempée dans ma culotte en caoutchouc. Je ne crois pas que mes couches tiendront jusqu'à ce soir, j'en ai pourtant mis une bonne épaisseur, profitant qu’on ne peut rien voir sous la robe. Et toi ?

Comment es-tu ?" chuchota t'elle à mon oreille,

-" J’ai accepté de mettre la culotte bermuda en latex que tu as offert à ma cousine. C'est un vrai sauna. Quant à la couche que tu as mouillée toute la nuit et que tu m'as obligé à mettre, le massage du latex aidant, elle a déjà reçu deux fois le témoignage de l'ardeur qui me brûle."

"- Pourvu qu'il t'en reste assez pour éteindre l'ardeur à moi qui me consume, c’est le principal, sinon je te ferai sucer mes couches." Dit-elle en riant.

-« Chiche ! »

- Allons soyons sérieux. Si la famille qui est derrière entendait notre conversation, elle serait horrifiée."

A table le protocole avait été un peu bousculé.

J'étais placé entre la brune, ma femme, et la blonde, ma cousine.

A un moment du repas, ma cousine attira mon attention et basculant légèrement sa chaise en arrière, elle retira la serviette de table posée sur ses cuisses dévoilant sa robe déboutonnée jusqu'au ventre, les pans écartés et la splendide culotte en caoutchouc doré comme les paillettes de sa robe, qui moulait son pubis et son sexe épilé, elle faisait penser à une statue en or d'un temple hindou, ma température monta de quelques degrés.

Ayant repris une position normale, elle se pencha vers moi, sa main glissée sur ma cuisse et murmura :

-" C'est pour toi que je l'ai mise. Elle te plait ? Mais tu bandes ! Ne bouges pas, je vais t'arranger ça." Et sans attendre, elle se mit à caresser la bosse de mon pantalon. Elle ralentit ses mouvements lorsqu'elle sentit sous sa main les pulsations de ma verge suivies aussitôt par les longues giclées libératrices.

J'avais laissé tomber ma serviette puis l'avais ramassée pour cacher mon léger trouble, bien que j'eusse réussi à garder mon sang froid dans ces cas là, car souvent Véronique me caressait ainsi sous la table pendant les repas, à la maison ou au restaurant.

Dans l'après-midi au cours du bal qui suivit, fatigué par le bruit et désireux de rejoindre Véronique qui avait du aller se changer tant elle était mouillée, je sortis par le jardin. En passant derrière une tonnelle de verdure, il me sembla entendre des voix. Je m'approchai discrètement Effectivement deux femmes conversaient entre elles et je fus à moitié surpris d'être l'objet de leurs ragots.

.....,c'est un brave garçon, vous savez, et il a bien du mérite.......

Comment, vous ne savez pas ? Véronique n'est pas tout à fait normale. Mais oui, Il faut encore l'habiller comme un bébé, avec des couches et une culotte en caoutchouc..., comment vous ne saviez pas ? Elle fait encore pipi au lit et même dans la journée.

Pauvre garçon ! Quelle nuit il va passer ! ....

Mais ma chère, il doit être au courant et d'ailleurs il n'est pas perdant. La fille est peut-être une pisseuse, mais la pharmacie marche bien. L'un compense l'autre...

" Pauvres gourdes" pensais-je "si vous saviez !"

Ecœuré malgré tout de la méchanceté et de la stupidité des gens, je n’avais qu'une hâte : retrouver les bras de ma petite "pisseuse" et sa toute "pisseuse" culotte en caoutchouc.

Ma belle-mère et Véronique avaient agencé notre nid. D'abord une chambre comme celle de Monsieur et Madame tout le monde, très fonctionnelle et très confortable où l’on peut recevoir de la visite quand on est malade.

Mais surtout une chambre secrète celle-là, une merveilleuse chambre de bébé avec tous les accessoires nécessaires, lit à barreaux, parc à jouets, poupées et animaux en peluche, tapis de haute laine, armoire à vêtements et armoire basse faisant table à langer, tout un mélange de bois laqué et de tissu éponge de couleur rose.

L'armoire basse était pleine à craquer de culottés en caoutchouc de toutes sortes mais d'une seule couleur rose, de couches et de pointes en tissu éponge et en molleton. Un tiroir était réservé aux articles de toilette pour bébé, poudreuses, tubes de crème, etc. , voisinant avec une collection de sucettes toutes différentes, de biberons, d'assiettes à bouillie et de bavoirs.

L'armoire à vêtements me laissa aussi plein d'extase. La couleur rose dominait mais le caoutchouc régnait en maître. Chemisettes, pyjamas, nuisettes, baby-dolls, tout était en latex très mince. Une odeur sucrée, entêtante s'échappait des piles de vêtements et de linge de maison, draps, taies d'oreiller, etc..

Un grand placard encastré dans un mur attira mon attention et suscita ma curiosité car il était fermé à clé.

Véronique m'expliqua tout d'abord qu'elle avait accumulé ce trousseau pour elle comme pour moi, depuis des mois avec la complicité d'Hélène car tout venait d'outre manche. Sa mère était bien sur au courant et l’avait même encouragée dans ce sens.

Interrogée sur le contenu du placard fermé à clé, Véronique me dit :

-" Maman ne sait pas ce qu'il y a dans ce placard et je préfère qu'elle l’ignore. C'est pourquoi je l'ai fermé à clé, pour éviter toute surprise.

Mais toi, ce n'est plus pareil."