Anonymous


Vues: 761 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 13

Lorsque je dégageai les épaulettes de sa robe et les fis glisser sur ses avant-bras, je constatai qu'elle ne portait aucun soutien-gorge d'ailleurs inutile, car sa poitrine était celle d'une fillette à peine nubile, les seins petits et coniques aux tétons fort pointus.

Mes mains ayant caressé ces mamelons au passage et les faisant durcir, firent glisser la robe jusqu'aux hanches et s'accrochèrent à une ceinture..., en caoutchouc, ma gorge devint sèche tout à coup alors que mon sexe se manifestait un peu plus sous ma robe de chambre lorsque mon regard se posa sur elle. Une poche en caoutchouc maintenue par des sangles à la ceinture était Plaquée entre ses cuisses. La ouate cellulose absorbante qu'elle devait contenir, dépassait des bords et faisait à la jeune fille une toison touffue et blanche, alors que le haut de son pubis était lisse et imberbe comme celui d'un bébé.

Je n'avais jamais bien compris qu'on puisse se fier à l'étanchéité d'une telle protection surtout pour une personne ambulatoire, et bien que nous en disposions toujours au magasin, je déconseillais fortement aux intéressés l'usage de la "Bambinette".

La raison je l'avais devant les yeux :

L'intérieur des cuisses était tout humide et tout rouge, là où frottait le caoutchouc épais de la poche.

Je n'arrivais pas à croire que cette jeune personne avait une vingtaine d'années et était plus âgée que Véronique.

A la voir, nue et harnachée de cette manière, on lui aurait donné une douzaine d'année au maximum. Elle était la parfaite image de l'enfant qui a fait une bêtise et qui, la tête basse, attend docilement le châtiment corporel.

-" Mais comment pouvez vous rester dans cet état ? Où avez vous eu cette bambinette ? Je peux vous assurer qu'elle n'est pas à votre taille. Ce n'est pas une protection valable pour vous. Votre maman ne sait-elle pas qu'il existe en pharmacie tout ce qu'il faut pour ce genre de choses ?" Voilà que je lui parlais maintenant comme à un enfant, me laissant prendre à mon propre jeu.

Elle releva la tête, ses larmes ayant disparu et une lueur presque joyeuse dans les yeux, satisfaite sans doute de la progression des évènements. Sans paraître se rendre compte de sa presque nudité, elle dit :

-" Maman ne sait rien. Et j'ai chipé la bambinette à ma jeune sœur croyant qu'elle pourrait m'aller. Etant infirmière, je sais bien qu'il existe des couches et culottes imperméables pour adulte, mais pour rien au monde, je n'aurais osé acheter ces articles dans un magasin..., jusqu'à ce que je soigne votre femme qui m'a rassurée et m'a conseillé de venir vous voir et vous parler. Voilà, c'est fait. Maintenant je suis libérée d'un grand poids, mais je crois que je me sentirai encore mieux lorsque je serai débarrassée de cet habillement ridicule." Et elle se mit à rire en se regardant, la tête baissée.

D'où venait un tel revirement ? Le comprimé aurait-il eu un effet si rapide ?

La joie de la jeune femme était communicative et la folie du moment me gagna à mon tour.

Comme je m'étais baissé pour déboutonner sa bambinette, la ceinture de ma robe de chambre s'était dénouée et en me relevant la bambinette à la main, les pans de la robe s'écartèrent, mais au lieu de la refermer, d'un coup d'épaules je la rejetai en arrière et la laissai glisser à terre.

Entièrement nue, les jambes écartées, toutes luisantes d'humidité, la jeune fille me regarda, les yeux écarquillés :

-" Comment, vous aussi ? Ca alors, c'est à peine croyable." et posant sa main sur le devant de la culotte, elle caressa le caoutchouc, insistant particulièrement sur la bosse qui se mit à grossir sous ses doigts légers :

- Comme c'est chaud et moelleux et que ça sent bon ! J'aime l'odeur du caoutchouc mouillé, mais pourquoi du caoutchouc transparent ?"

-"Parce que, petite fille, au plaisir d'être enveloppé dans la chaude humidité de son pipi, s'ajoute celui de voir jaillir le liquide ambré à travers le tissu, voir la tache humide s'agrandir et le tissu se teinter de jaune."

Repoussant doucement sa main qui s'était refermée sur mon membre devenu douloureux par la tension, je l'amenai devant la table à langer et ouvrant un des tiroirs :

-" Choisissez la culotte en caoutchouc que vous désirez, elles sont toutes à votre taille." Avec un "0h" admiratif elle plongea les deux mains dans les culottes, les palpant et remuant dans tous les sens, les narines frémissantes.

Finalement elle tira du lot une culotte toute simple en caoutchouc rose, très large d'entrejambe qu'elle porta aussitôt à son visage, en respirant à grands coups.

-" Donnez !", lui dis-je, " Vous la respirerez avec plus de plaisir quand elle sera bien mouillée à l'intérieur, maintenant, allongez vous sur la table. Je vais vous lavez, vous mettre de la crème et du talc et ensuite je vous mettrai vos couches pour la nuit." Je l'aidai à se hisser sur la table et je pus admirer ses fesses petites et potelées ainsi que son petit abricot rose et humide, bien fendu comme un fruit mûr et juteux à souhait .

Alors que je passais entre ses cuisses un tampon de ouate imbibé de lait de toilette pour bébé, elle poussa un léger cri et serra les cuisses instinctivement. Au même moment un jet puissant et chaud inonda ma main et s'écoula sous ses fesses dans les plis du drap en caoutchouc.

Je pris rapidement une couche et lui fourrai entre les jambes pour empêcher la mare qui se formait sous elle, de s'élargir et de s'écouler en bas de la table sur la moquette.

Comme je la regardais d'un air mi-fâché, mi-amusé, elle me sourit gentiment et dit :

-" Pardonnez moi, je n'ai pas pu me retenir, mais c'était si bon de sentir vos mains entre mes cuisses." Je fondis littéralement et ne pouvant plus me retenir à mon tour, j'éjaculai avec force dans mes couches.

Je résolus de me venger de ce pouvoir érotique qu'elle dégageait, et re tirant la couche ruisselante je la posai sur sa figure.

-" C'est ainsi que je punis les petites filles qui font pipi dans leur culotte. " Elle commença par s'étrangler et toussoter, car en ouvrant la bouche pour respirer elle avala involontairement son pipi qui s'égouttait de la couche.

La bouche hermétiquement close et le nez recouvert par la couche, elle respirait difficilement lorsqu'elle laissa échapper de petits gémissements tout en remuant son bassin, faisant aller et venir dans son fourreau étroit les deux doigts que j'avais réussi à glisser entre ses lèvres pleines de pipi, tandis que mon autre main caressait et titillait les bouts de ses seins érigés.

J'entendais avec plaisir le clapotis de mes doigts qui s'agitaient dans sa grotte toute mousseuse, d'où coulait un jus abondant.

C'est alors que son corps se cambra comme soulevé par une main invisible, puis retomba inerte sur le caoutchouc luisant d'humidité dans un floc retentissant ,un cri venant mourir sur ses lèvres perlées d'or.

Retirant mes doigts gluants de son sexe imberbe et soulevant la couche je les glissai dans sa bouche entrouverte où une petite langue avide les nettoya de leur bave odorante.

Comme une deuxième érection commençait à déformer ma culotte, et ne voulant pas perdre cette fois inutilement une bonne quantité de semence qui avait mieux à faire que de se répandre dans les plis de la couche, je me hâtais de terminer la toilette de la jeune infirmière, sans oublier avant d'épingler ses couches, de glisser dans son petit trou, deux suppositoires, dans, l'espoir de les voir correctement remplir leur office au cours de la soirée.

Je glissai avec peine autour des hanches la culotte en caoutchouc rose, tant le paquets de couches était épais. Il est vrai qu'une troisième en tissu éponge rectangulaire l'emmaillotait complètement de crainte des fuites qui pourraient survenir la nuit, le contenu de ses intestins venant s'ajouter à celui de sa vessie.

Comme elle me souriait les lèvres légèrement entrouvertes, je pris dans le tiroir une sucette en caoutchouc et lui glissai dans la bouche. Puis après l'avoir aidée à se relever je terminai de l'habiller en lui passant une nuisette en voile transparent et très courte, mettant en relief sa culotte en caoutchouc tendue sur ses épaisses garnitures. Jamais je ne me lasserai de voir une jolie paire de fesses bien matelassées et caoutchoutées.

Ayant vérifié la bonne étanchéité de la culotte en passant la main entre ses cuisses, j'invitai la jeune fille à s'asseoir sur le canapé.

Après avoir éteint le plafonnier central et mit le magnétoscope en route, je m'assis à coté d'elle, nos deux ombres se détachant sur le mur sous l'effet de la seule et faible lumière provenant d'une applique mural au dessus de la table à langer.

J'avais déjà vu plusieurs fois le film qui défilait sur l'écran de la télévision, mais à chaque fois, il me faisait le même effet et je poussai un petit cri en m’enfonçant dans les coussins moelleux, alors qu'un torrent chaud envahissait mes couches et ma culotte en caoutchouc.

La vue de ces fillettes dans un Internat, allongées sur leur lit dans le dortoir, attendant les jambes écartées que les deux surveillantes viennent changer à tour de rôle, leurs couches et leur culotte en caoutchouc mouillées durant la nuit, avait un effet similaire sur ma voisine.

Les bruits de succion de plus en plus fort, se mêlaient aux crissements des doigts griffant la caoutchouc de la culotte alors que le divan était animé d'un léger tremblement.

Lentement je me laissai glisser en bas du canapé et en une seconde je me retrouvai à genoux entre ses cuisses qu'elle n'avait pas eu le temps de refermer.

Je repoussai doucement sa main qui cherchait vainement à se glisser sous l'élastique de sa culotte, tant celle-ci collait au paquet de couches, et posant ma bouche sur l'entrejambe caoutchouté largement offert, je mis à lécher lentement la peau satinée de ses cuisses à la limite des élastiques de la culotte. Elle poussa un râle et souleva sa croupe comme pour demander à ma langue de se glisser plus à l'intérieur.

Je profitai de cet instant où son corps ne reposait plus sur les coussins, pour porter mes deux mains à sa taille et élargissant au maximum la ceinture de la culotte, je la tirai brusquement vers le bas, réussissant à la faire glisser d'un seul coup jusqu'à mi-cuisses. L'ôter complètement fut un jeu d'enfant comme ce le fut pour me débarrasser dans la foulée de ma culotte en caoutchouc transparent.

Je la contemplai un instant, de nouveau assise sur le sofa, dans ses couches déjà humides de plaisir, les deux mains plaquées pudiquement entre ses cuisses serrées.

Me voyant les yeux brillant de désir, et la verge dressé pointant sous ma couche devenue lâche, elle devina sans peine ce qui devait suivre, et me dit d'une voix rauque et chevrotante :

-" Non, pas comme ça ! Il faut prendre des précautions....,là.., dans mon sac !" Les tempes bourdonnantes, la gorge sèche, je me dirigeai vers la chaise où elle avait jeté son sac à main en entrant. Ne trouvant pas ce que je voulais en fouillant, je le vidai de son contenu en le renversant sur la table. Il y avait là, comme dans la plupart des sacs de femme, une foule de choses hétéroclites, dont deux serviettes périodiques en sachet individuel, dont elle devait se servir pour garnir sa "bambinette", et chose surprenante dans un sac de femme, une boite de préservatifs. Comme j'allais ouvrir cette boite, :

-"Donnes !" dit-elle simplement.

Je m'approchai d'elle et lui tendit la boite. Elle y prit un préservatif qu'elle posa à coté d'elle.

Se levant légèrement elle réussit à glisser une main sous ses couches et la ressortit aussitôt toute gluante. De l'autre, sans aucun mal, elle fit jaillir mon sexe de dessous la couche. Elle le lubrifia d'un bout à l'autre de sa mouille abondante. Puis, alors qu'elle déroulait de ses deux mains le mince caoutchouc le long de ma hampe tressaillant sous ses doigts, elle saisit dans sa bouche le tissu trempé de ma couche qui pendait entre mes cuisses, et se mit à sucer et à téter le pipi encore chaud qui l'imbibait.

Mon excitation était telle que je sentais l'explosion prochaine. Aussi j'abrégeai la séance de tétée qu'en temps ordinaire j'aurais aimé prolonger, et lui relevant les jambes et les plaçant sur mes épaules, je m'escrimai à repousser ses couches d'un seul coté pour dégager sa fente juteuse et béante, alors qu'elle gémissait :

-" Viens ! ...Vite, vite !... Je n'en peux plus !" Moi non plus, je n'en pouvais plus et je dus serrer à m'en faire mal, la base de mon. membre, tout en m'enfonçant en elle, pour retarder l'éjaculation. Ce, qui ne tarda pas, alors qu'elle me suppliait de me déverser en elle dans un langage peu commun digne du meilleur carabin.

Comme je me dégageais d'entre ses jambes, elle saisit au passage le préservatif tout poisseux et le fourra en entier dans sa bouche le mâchonnant et le suçotant semble t’il avec délectation.

Alors que je réajustais ses couches autour de ses fesses, j'entendis nettement un gargouillement provenant de son ventre, parcouru au même moment d'une houle spasmodique.

En connaissant l'origine et ce qui allait suivre, je m'empressai de lui remettre sa culotte en caoutchouc et veillai à ce qu'aucune fuite ne soit possible.

J'avais encore mes mains plaquées sur ses fesses pour tendre le caoutchouc que je sentis la chaleur d'un flot torrentueux qui envahissait ses couches sous mes doigts et animait le fond de la culotte.

En même temps la jeune fille poussa un cri de délivrance, sans doute mais encore plus de plaisir.

Je reposai ses fesses précautionneusement sur le divan et me hâtai d'aller préparer le lit de bébé qui n'avait pas servi à ma femme et à moi depuis des semaines. .

Je le garnis d'un drap en caoutchouc rose et de deux oreillers de même nature. .

J'allai reprendre dans mes bras la jeune infirmière qui geignait toujours, pour l'étendre sur le lit, et je me rendis compte alors que la poche pleine qui s'était formée sous elle dans la culotte en caoutchouc, devenait de plus en plus grosse.

Une fois allongée je lui remis une sucette dans la bouche et après avoir éteint la lumière, je m'étendis à coté d'elle, frissonnant involontairement au contact du caoutchouc encore froid du drap.

J'aurais aimé la prendre contre moi, ses fesses caoutchoutées lovées contre mon ventre et mes mains glissées dans sa culotte en caoutchouc, sous les couches trempées, jouant à l'entrée de sa grotte brûlante, mais la mélasse qui devait maintenant en barrer l'entrée me découragea.

Par contre je ne voyais pas d'inconvénient, bien au contraire, à la réversibilité des choses, et prenant sa main consentante, je la glissai dans ma culotte en caoutchouc. Comme ses doigts posés sur ma verge molle, restaient inactifs, je pensai leur donner vie en les arrosant d'un jet de pipi bien chaud.

J'avais vu juste car peu de temps après, je les arrosai de nouveau, mais cette fois d'un liquide bien différent par la teinte et par la consistance.

Epuisé et heureux, je m'endormis dans un sommeil réparateur.

Pendant la nuit je me réveillai et je fus tout de suite incommodé par l'odeur et je regrettai de ne pas avoir répandu dans ses couches et sa culotte en caoutchouc le déodorant spécial. Ma main se posa sur le corps de la jeune fille et je constatai dans le noir qu'elle dormait recroquevillée, le derrière en l'air. Je me levai le plus discrètement possible et dans la salle de bain, je répandis sur une grande serviette éponge une bonne quantité d'eau de Cologne parfumée, dont je recouvris ensuite les fesses de la jeune infirmière.

Le lendemain matin, je m'éveillai, le nez chatouillé par une bonne odeur de café qui avait remplacé celle plus désagréable de la nuit dont l'auteur, d'ailleurs n'était plus dans le lit.

Lavée, parfumée, elle se tenait devant moi un biberon à la main, plein d'un café bien fort qu'elle avait fait dans une petite kitchenette attenante à la salle de bain.

Elle était, vêtue d'une blouse blanche en latex fin qu'elle avait du trouver pendue à une patère derrière la porte.

Fermée à la taille par un seul bouton, la blouse s'ouvrit quand la jeune fille se pencha pour me donner le biberon, et dévoila ses petits seins nus. J'aurais de beaucoup préféré téter les petits boutons roses qui pointaient devant mes yeux et qui m'excitaient terriblement.

Une bosse énorme qui déformait le devant de ma culotte, attira les yeux de l'infirmière qui constata à travers le caoutchouc transparent, combien ma couche était trempée.

Comme elle s'appliquait à me donner le biberon sans qu'une goutte ne se perde, je passai ma main à travers les barreaux du lit et la glissait entre les pans de la blouse qui baillaient, pour se poser sur des cuisses dont l'intérieur était tout humide. Ma main remonta plus haut et rencontra le caoutchouc tout chaud de la culotte. Le faisant rouler entre mes doigts, je me rendis compte qu'il retenait prisonnier une importante quantité de pipi bien chaud et que l'absence de toute garniture absorbante intérieure, justifiait amplement les fuites aux élastiques de l'entrejambe.

Je retirai ma main, car sous la caresse, l'infirmière avait écarté les cuisses et de ce fait, aggravé les fuites.

-" Je crois que vous devriez prendre plus de précaution.", lui dis-je en souriant ,après qu'elle eut posé le biberon pour libérer ses mains qui, plaquées entre ses cuisses, essayaient, mais en vain, de retenir le flot doré qui ruisselait entre ses jambes.

-"Oh non !", s'exclama t’elle. " Non, pas tout de suite. Depuis hier, vous m'avez fait goûter à des plaisirs inconnus jusqu'à maintenant. Je suis follement heureuse de sentir mon pipi bien chaud baigner et lécher la raie des fesses .., et.., ses environs immédiats. Une couche absorbante m’aurait privée de cette joie.

A mon avis, pour le moment c'est vous qui avez besoin de soins. Levez vous ! Je ne peux pas vous prendre dans mes bras, malheureusement. Et allez vous allonger sur la table à langer. C'est à mon tour de faire la Nounou."

Elle déboutonna ma culotte et la tira de dessous mes fesses. Mon sexe une fois moins serré, se redressa un peu plus sous la couche devenue légèrement flottante.

Pour cacher son trouble grandissant, matérialisé par la rougeur qui gagnait ses joues, elle continua :

-" Ces couches-culottes ouvrantes sont vraiment pratiques et.., excitantes. Quand je pense que je portais cette horrible "Bambinette", j'en suis honteuse. Aujourd'hui même, je vais en acheter pour ma petite sœur ..., et pour moi également. Finis aussi ces changes complets qui ont la mauvaise habitude de descendre en marchant. J'ai une amie intime couturière qui se fera un plaisir de me confectionner des pointes en éponge comme les vôtres. Au diable la lessive. Comment ai-je pu être aussi bête pour ne pas me rendre compte combien c est agréable de rester mouillée dans ses couches.

J'ai eu beaucoup de chance de rencontrer votre femme qui m'a envoyée auprès de vous. Aussi je vais vous faire un petit plaisir, bien faible à coté du reste."

Tout en parlant, elle avait défait les épingles de nourrice qui fixaient la pointe en éponge autour de la taille et la tira également de dessous mes fesses comme elle avait fait pour la couche-culotte où elle alla la rejoindre dans un seau placé à cet effet à coté de la table.

Les yeux brillants et le souffle court, elle taquina un instant mon sexe dressé verticalement comme un pieu en le caressant du bout des doigts tant et si bien que je poussai un cri de jouissance alors qu' une goutte blanchâtre perlait à son extrémité.

-" Non ? Pas tout de suite. Attendez moi." parvint elle à articuler avec un bruit d'arrière gorge et prenant une décision qui devait la tourmenter depuis un petit moment, elle se hissa sur la table et se plaça aussitôt à genoux, à cheval de chaque coté de mes hanches. Elle écarta l'élastique qui fermait la culotte à une de ses cuisses, vidant la mare dorée sur mon ventre et toujours avec la même précipitation, tirant encore plus sur l'élastique, elle prit ma verge de son autre main et la présenta à l'entrée de sa fente épilée. Fermant les yeux, avec un "han" de bûcheron, elle se laissa retomber accroupie sur les talons, s'empalant d'elle même sur mon membre raide qui fut englouti entièrement.