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Vues: 701 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 16

Nos regards se portèrent vers elle. Elle était couchée en chien de fusil, sur le flanc droit, une main pressée sur son derrière comme pour retenir quelque chose.

Nous comprîmes alors que l’évènement" était en train de se produire, et rapidement j'allai prendre mon "polaroid" pour fixer sur la pellicule le tableau intensément érotique d'un grand bébé faisant innocemment ses besoins dans sa culotte en caoutchouc.

Déjà Agnès avait descendu la large culotte du baby-doll et je pus me régaler, le terme n'est pas trop fort, de ce que je voyais.

Des bulles pâteuses jaillissaient des fesses de Sylvia et venaient s'écraser en éclatant contre le caoutchouc heureusement transparent de la culotte de bébé. Puis poussées par les autres qui se formaient elles glissaient au fur et à mesure le long de la vallée profonde élargie par l'effort, et venaient pour finir "ballonner" la culotte en caoutchouc en arrière des cuisses serrées qui faisaient barrage à l'envahisseur.

Le premier éclair du flash illumina brièvement le lit sur lequel Sylvia redevenue pour un temps un vrai bébé, geignait doucement.

Agnès la retourna sans effort et lui écarta les jambes. Le barrage supprimé, la mélasse brunâtre, telle une coulée de lave, surgit d'entre les cuisses et recouvrant son sexe, gagna peu à peu le duvet de sa toison qui disparut à son tour sous la montée des flots tumultueux.

Le niveau à peine stabilisé, un geyser doré jaillit de la pâte molle, et sous la pression, son pipi bien chaud remonta le long de la paroi caoutchoutée de la culotte pour venir ruisseler sur le haut de son ventre jusqu'à la ceinture.

Un deuxième éclair fixa cette merveilleuse marée montante et descendante qui retombait pour finir de chaque coté des hanches de la fillette comme le ressac de la mer sur les rochers.

Transportée au paradis des bébés, Sylvia se tortillait de plaisir dans ce cataplasme inhabituel, la bouche entrouverte laissant sortir des râles de jouissance incontrôlables.

Agnès se pencha alors sur sa jeune cousine et passant un bras sous ses épaules, l'aida à se redresser dans le lit.

Puis attirant une chaise à la tête du lit, elle s'assit dessus tout en déboutonnant sa brassière en dentelles. Prenant la tête de Sylvia, elle la posa contre sa poitrine et présenta à sa bouche toujours entrouverte le bout d'un de ses seins juvéniles .

Les lèvres de Sylvia aspirèrent le mamelon durci et le sucèrent avec l’avidité d'un bébé tétant sa nourrice.

Sans doute émoustillée par la langue de sa cousine qui lui titillait la pointe dressée du sein, Agnès se tortillait sur sa chaise, se masturbant sur le pénis en caoutchouc toujours enfoncé entre ses cuisses, alors qu'une de ses mains, glissée dans l'entrejambe de Sylvia, malaxait la culotte en caoutchouc, cherchant à glisser un doigt à l'intérieur de sa fente nettoyée de la mélasse par les jets denses de pipi.

Un troisième flash crépita, fixant pour l'avenir un souvenir impérissable d'une lubricité extrême telle que ma culotte en caoutchouc se remplit à son tour sous la pression libérée de ma vessie.

Sur un signe d'Agnès je m'approchai d'elle : présentant des signes de grande fatigue, elle repoussa doucement le visage du bébé qui libéra son sein, rougi par les meurtrissures occasionnées par les petites dents nacrées.

Les yeux fermés, le buste ruisselant de sueur sous la chemise en caoutchouc du baby-doll, Sylvia semblait attendre, ses lèvres remuant sans cesse comme tétant un biberon invisible.

Agnès glissa sa main sous ma culotte en tissu caoutchouté fermée et satisfaite de son inspection, la descendit en bas des hanches. Elle retira ensuite les épingles de sûreté qui retenaient la couche, faisant jaillir à l'horizontal, ma verge gonflée et raide.

Puis passant de nouveau sa main derrière la nuque de Sylvia, elle rapprocha son visage de mon ventre dénudé. La jeune fille sentant quelque chose de chaud et d'humide se presser contre ses lèvres, ouvrit la bouche et engloutit avidement ce biberon d'un genre spécial. Se rendant compte de son erreur et plus ou moins étouffée par mon sexe enfoncé dans sa gorge, elle essaya, en vain, de recracher ce qui obstruait son palais. Résignée, elle se plia au mouvement de va et vient que lui imposait la poigne de l'infirmière, ce qui au moins lui permettait de reprendre alternativement sa respiration.

Puis, peu à peu, le mouvement se fit plus coulant, les lèvres moins serrées sur le cylindre de chair.

Agnès s'apercevant maintenant de la bonne volonté coopérative de sa cousine lui lâcha la tête.

Surprise par le relâchement, elle recula la tête plus que nécessaire et laissa échapper mon membre tout englué de sa salive.

Au lieu de le reprendre dans sa bouche, elle se mit à lécher du bout de sa langue ma hampe frémissante, tout en jappant comme un petit chiot.

Elle alla même jusqu'à sucer le pipi qui s'égouttait des poils de ma toison, enfouissant son visage dans ma couche qui pendait entre mes cuisses.

Bien qu'inexperte, mais sans doute plus ou moins informée par ses petites camarades, elle sentit à certaines pulsions l'approche de la fin explosive de son massage buccale.

Elle cueillit du bout de sa langue la première goutte laiteuse qui venait d'apparaître à l'extrémité de ma verge et se recula à temps, évitant de justesse les jets successifs qui éclaboussèrent son cou et le haut de la chemisette en caoutchouc.

Toute souriante de sa prouesse et fière de sa première expérience, elle se laissa retomber sur l'oreiller.

Cette fois libérée, la gorge de Sylvia laissa passer distinctement les petits cris de plaisir que lui procuraient les caresses d'Agnès dont les doigts avaient réussi, malgré le caoutchouc de la culotte, à se glisser à l'intérieur de sa fente.

L'entrejambe malmené de la culotte laissait maintenant filtrer en haut des cuisses des larges traînées brunâtres qui s'écoulaient dans les plis du drap en caoutchouc.

Malgré le déodorant dont j'avais aspergé l'intérieur, de la culotte de Sylvia, une odeur acre et fade commençait à se dégager du lit. Il était temps à mon avis, de procéder rapidement à la toilette de la fillette si je ne voulais pas que l'atmosphère de la chambre devienne bientôt suffocante.

Pour signifier ce moment aux intéressées, je me dirigeai vers la salle de bain. Lorsque le bain bien moussant et parfumé fut prêt, je revins dans la chambre trop tard pour éviter le pire.

Agnès avait retiré la culotte en caoutchouc de Sylvia qui barbotait heureuse dans un magma indéfinissable.

Repoussant sans ménagement Agnès qui roucoulait de plaisir, je dégageai du matelas les bords du drap en caoutchouc et emballai précautionneusement la jeune fille, rabattant les quatre coins sur elle, m'assurant ainsi de l'impossibilité d'une fuite quelconque qui serait catastrophique pour la literie comme pour le tapis de la chambre.

C'est dans ce suaire caoutchouté que je transportai Sylvia dans la salle de bain et que je la plongeai dans la baignoire sans me préoccuper de sa situation certainement inconfortable, enfermée qu'elle était dans une atmosphère cette fois irrespirable.

Deux bains successifs et une douche furent nécessaires pour effacer toutes traces visibles ou odorantes rappelant son état infantile poussé à l'extrême qu'elle venait de vivre, pour le plus grand plaisir de tous trois il faut bien le dire et pour le plus grand plaisir des yeux pour ceux qui auraient plus tard la chance de regarder les photos en couleur d'un réalisme parfait.

Lavée, séchée et talquée, Sylvia fut de nouveau langée, mais cette fois debout les jambes bien écartées. Elle regarda avec un grand intérêt, les mains agiles d'Agnès lui passer entre les cuisses une grande serviette éponge qu'elle épingla autour de ses hanches et lui boutonner pour finir une jolie couche-culotte en caoutchouc rose tirée de la collection de Véronique.

Elle applaudit des deux mains, riant aux éclats lorsque pour terminer l'habillement, Agnès lui passa une barboteuse également en caoutchouc rose, garnie de fanfreluches qui se boutonnait entre les cuisses. Le plastron de la barboteuse attachée par une fine bretelle autour du cou modelait s'a jeune poitrine plantée haut, qui jouait librement sous le mince caoutchouc. .

Sautillant de joie exubérante comme un jeune cabri, elle s’élança vers moi et me sauta au cou.

-" C'est merveilleux de se sentir de nouveau un bébé dans la douce protection de ses couches et de sa culotte en caoutchouc. Je n'ai jamais été aussi heureuse et cela grâce a vous. Je veux vous prouver ma reconnaissance.",

L'odeur de son jeune corps parfumé mêlée à celle du caoutchouc frais, me montait à la tête, alors que son ventre pressé contre le mien se conjuguait pour faire renaître un certain émoi à l'intérieur de ma culotte caoutchoutée.

Amusée par la réaction qu'elle avait déclenchée, ses yeux rieurs pleins de malice fixés sur les miens, elle posa sa bouche sur ma joue et se mit à me sucer et mordiller le lobe de l'oreille en gloussant de plaisir se frottant cette fois volontairement contre moi.

Ma main se glissa sous ses fesses essayant de s'infiltrer dans la raie défendue par le tissu éponge et les deux épaisseurs de caoutchouc.

Se prêtant au jeu, Sylvia ôta rapidement une de ses mains de mon cou, et la glissant entre nos deux corps, déboutonna sans hésiter l'entrejambe de sa barboteuse. S'accrochant de nouveau à mon cou, elle leva les jambes, les passa de chaque coté de mes hanches et les noua par derrière .

Ma main glissant sous la barboteuse ouverte défit le bouton pression qui fermait la couche-culotte sur sa cuisse et sous la couche moelleuse encore sèche, remonta vers la source de la chaude humidité qui tapissait l'intérieur satiné de ses cuisses.

Comme je retirais ma main dont les doigts légèrement humectés n'avaient pu atteindre l'objectif, elle poussa un petit "oh" de dépit et frustrée dans son plaisir naissant, elle me mordit sauvagement le lobe de l'oreille avec un " Na, c'est bien fait " vengeur.

Malgré mon oreille douloureuse et cuisante, je pris le parti d'en rire:

-"Puisque Bébé n'est pas sage, il va recevoir la fessée !"

-"0H, chic alors ! Comme tout à l'heure....sur vos genoux !", s'exclama t'elle en se laissant retomber sur la moquette.

-"Tout y est." ajouta t'elle, un sourire angélique sur ses lèvres, en caressant hypocritement la bosse qui déformait le devant de ma culotte.

-" A une chose près cependant !" lui dis-je, entrant à mon tour dans son jeu. " Tout à l'heure, Bébé était tout mouillé, alors qu'en ce moment sa couche est toujours sèche."

-" Plus maintenant. Regardez !", et Sylvia rayonnante de joie, remontant le devant de sa barboteuse, déboutonna avec précaution sa couche-culotte pour me montrer la large tache jaune qui s'étalait sur le tissu éponge entre ses cuisses, alors qu'un petit filet doré s'écoulant de la couche venait grossir la mare qui s'était formée dans le fond de la couche-culotte qu'elle tenait largement ouverte devant elle.

Vivement elle la reboutonna, serrant et desserrant alternativement ses cuisses, faisant ainsi remonter et descendre le niveau du chaud liquide qui devait lui baigner largement le sexe et les fesses.

Les yeux fermés, un faible gémissement s'échappant de ses lèvres, elle gouttait le plaisir nouveau pour elle du massage répété de son pipi contre son ventre et rythmé par un léger "floc-floc" de la masse liquide en mouvement.

Je me réjouissais par avance du moment où je devrais lui retirer sa couche-culotte, allongée sur mes genoux, lorsque sa cousine dont l'absence avait passé inaperçue, sortit de la salle de bain :

-"0uf ! Ca y est. Tout est nettoyé !", dit-elle à notre intention et apercevant l'attitude empruntée de Sylvia qui se déplaçait à petit pas :

-" Tu aurais pu attendre un peu pour faire dans ta couche, mon petit Trésor. Nous n'avons plus le temps pour te changer ici. Je travaille à midi à l'Hôpital et j'ai des courses à faire avant." et se tourant vers moi:

-" Je vous ramènerez vos affaires plus tard, quand je les aurai lavées, et nous pourrons reprendre le programme prévu là où nous l'avons quitté surtout en ce qui concerne Sylvia. Nous vous devons bien ça."

-" Ne vous croyez pas mon débiteur, chère Agnès. Bien au contraire. Cette matinée fut pour moi un vrai paradis. Quant aux affaires, faites moi le plaisir de les garder. Pour Sylvia elle peut repartir en barboteuse sous son ciré, bien que dans son état .....?Mais vous, je vais vous prêtez une robe de ma femme, vous avez à peu près la même taille."

-"Merci. J'accepte volontiers. J'ai l'impression d'être toute nue." dit elle en s'esclaffant de rire,-" D'un autre coté, ne vous alarmez pas pour Sylvia si sa couche-culotte est pleine de pipi. A vrai dire, nous n'allons pas loin car je dois repasser chez mon amie couturière dont je vous ai parlé hier. Là, Sylvia aura tout ce qu'il faut pour se changer." et devant mon air étonné et interrogateur, elle continua :

-"0h,c'est vrai ! J'ai oublié de vous parler de ma visite chez la couturière aussitôt vous avoir quitté. Je croyais l'étonner en me déshabillant devant elle surtout dans l'état où je me trouvais, vous vous en souvenez surement.

Et bien, ce fut moi la plus surprise. Elle me dit simplement :

-"Ainsi toi aussi tu en es là ! Je ne vais bientôt avoir que des bébés parmi mes clientes. Je passe mon temps à faire des couches pour ces dames. Et ce n'est pas tout, j'ai du me procurer des rouleaux de drap d'hôpital en tissu caoutchouté dans lequel je confectionne des culottes sur mesure. Ca va de l'enfant aux grandes tailles, celles-là, je les soupçonne fortement destinées à leur mari. Je dois reconnaître que ces culottes imperméables sont fort pratiques a certaine moments et moi-même, maintenant, lorsque je dois rester plusieurs heures debout à faire des essayages, je porte volontiers cet équipement de bébé sous ma blouse et pour être franche, je me sens etrangement heureuse quand je suis mouillée.

Allons, viens. Suis moi. Il faut te nettoyer et te mettre une couche propre. Tu verrax ainsi ma fabrication. Tu pourras même en prendre plusieurs si elles te plaisent.

Je vais devoir embaucher une couturière si les commandes continuent d'affluer."

« Vous savez maintenant d'où vient cette pointe que vous portez actuellement. Je peux vous donnez son adresse si vous le désirez. Elle sera ravie, j'en suis sur, de votre visite."

- J'irai certainement car j'aimerais voir ses culottes caoutchoutées.

De plus, cela intéressera certainement ma cousine pour toutes ses futures pensionnaires."

Sur le pas de la porte, prête à partire, l'infirmière se retourna vers moi :

-" Je suis vraiment navrée de devoir vous quitter si rapidement, Sylvia aussi d'ailleurs. J'en connais une troisième qui va être contente également, c'est ma mère. Elle aime tant langer les bébés. Tous ces temps ci que Sylvia faisait pipi au lit, elle me disait sans cesse qu'elle serait heureuse de lui mettre des couches et une culotte en caoutchouc pour la nuit. Seule la peur de froisser sa nièce l'en a empêché jusque maintenant. Dorénavant elle va être au petit soin pour Sylvia.

Au revoir et à bientôt ?"

Je les regardai par la fenêtre, s'éloigner dans la rue. Les passants se retournaient sur la joie exubérante de ces deux femmes qui se tenaient par la main, sans se douter le moins du monde que leur culotte pleine de pipi était à l'origine de leur bonheur.

L'après-midi j'allai voir Véronique à l'Hôpital. Sans me sentir coupable, j'étais quand même un peu honteux.

Pour me rassurer je me disais "après tout, c'est Véronique qui m'a envoyé l'infirmière et programmé ce qui devait suivre. De toute manière je n'avais pas l'intention de lui cacher quelque chose, j'espérais seulement qu'elle m'en parlerait la première, ce qui faciliterait le reste.

Je la trouvai très heureuse de me voir et toute souriante.

-" Tu as passé une bonne matinée d'après ce que m'a dit l'infirmière.

A voir ta mine défaite, tu as du te surpasser. J'en suis heureuse car je n'aurais pas été satisfaite qu'on dise de mon mari qu'il n'est pas à la hauteur. Agnès m'a dit beaucoup de bien de toi. Toutefois à l'écouter j'ai cru comprendre que son amie la couturière l'intéressait encore davantage que toi. J'ai bien peur qu'elle ne se fasse très rare maintenant à la maison.

Par contre tu as envoûté sa nièce, la jeune Sylvia. Ca ne m'étonne pas du tout, car je suis bien placé pour savoir que tu aimes les fruits verts et que ces derniers te le rendent bien. J'ai pu me rendre compte que tu as des talents d'initiateur peu communs surtout pour des sales petites pisseuses qui craignent la curiosité manuelle des garçons pour ce qui se passe sous leur robe.

Elle me plait rudement cette petite...."

-"Comment a t'elle pu te plaire, tu ne la connais même pas."

-"Oh si ! Je la connais fort bien, d'abord par tout ce que m'a dit sa cousine sur elle. Par ailleurs, elle vient toujours me dire bonjour quand elle reprend sa cousine à la sortie de son travail.

Crois tu qu'elles seraient allées te voir aujourd'hui de leur propre chef ? Je t'ai dépeint comme un pauvre garçon, seul, privé de présence féminine et elles ont tout de suite accepté de te distraire. Elles y sont arrivées, si j'en crois les apparences.

De plus, je lui ai demandé de bien vouloir s'occuper de notre fille pendant les vacances et les week-ends. Après sa scolarité, l'année prochaine, on pourrait même envisager de l'employer au magasin, deux vendeuses ne seraient certainement pas de trop, vu le développement que prend la vente d'articles d'hygiène et médicaux."