Anonymous


Vues: 677 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 18

-Tu voudrais qu'elle reste à la maison après ce qui vient de se passer?"

- Après ce qui ne s'est pas passé, veux tu dire ? J'ai cru comprendre que tu l'avais un peu déçue, mais tu as encore le temps de te rattraper.

Après tout je ne rentre chez nous que dans deux jours." Tout en parlant elle avait repoussé le drap qui la couvrait et de nouveau mon cœur se mit à cogner dans ma poitrine, ne me lassant pas du tableau qui s'offrait à mes yeux.

Véronique était à croquer dans sa sévère chemise d'hôpital en toile blanche remontée à la taille, faisant ressortir la couleur mate et satinée des ses longues jambes fines et nerveuses dont le haut disparaissait pour ma plus grande joie dans les fronces caoutchoutées de sa large culotte imperméable rose.

Ma main se glissa sous le tissu rêche de la chemise, remonta pour caresser un instant un petit sein gonflé par la maternité récente et après avoir taquiné un mamelon vite durci par le plaisir s'engouffra sous la ceinture élastique de la culotte en caoutchouc.

Une chaude humidité baignait son ventre sous l'épais matelas du change en cellulose, doublé un peu plus bas d'une autre couche également trempée.

Malgré l'étroitesse du lieu, ma main se glissa encore plus bas cherchant la moiteur d'un sexe entièrement épilé.

Véronique se mit à gémir :

-" Arrêtes, je t'en supplie ! Je suis toute sale. L'infirmière ne devrait pas tarder pour venir me changer." ma main sortit de sa culotte emmenant avec elle une bouffée d'odeur piquante excitant ma tension croissante, puis se glissa sous ses fesses pour vérifier ses dires.

A travers le caoutchouc elle palpa et pressa les garnitures toutes mélassées, arrachant à Véronique des petits râles de plaisir difficilement contenus.

Ignorant ses faibles protestations et m'assurant qu'elle reposait sur une alèse en caoutchouc, j'entrepris de lui retirer sa culotte imperméable pour jouir du spectacle de ses couches et de ses fesses toutes maculées.

La culotte elle-même en était pleine et je la fis glisser avec précaution le long de ses jambes.

Je la tenais devant moi d'une façon empruntée, ne sachant où la poser, lorsque l'infirmière entra dans la chambre.

D'un seul coup d'œil elle enregistra la scène et vint me prendre des mains la culotte en caoutchouc de Véronique dont je me servais comme écran pour dissimuler une érection impossible à dérober à ses yeux inquisiteurs.

Voyant l'état intérieur de la culotte, elle se tourna vers Véronique et lui dit :

-" Pendant quelques temps il serait préférable d'éviter l'emploi de couches à jeter. Dans votre cas, elles sont nettement insuffisantes pour une protection efficace.

Je connais une couturière qui fait des couches particulièrement absorbantes pour plusieurs de ses clientes fortement handicapées sur ce point. Ces pointes vous donneraient le maximum de confort et de sécurité si vous le désirez, je peux donner à votre mari l'adresse de cette personne.", et ce disant, elle m'adressa un clin d'œil complice.

Après que Véronique se fut fait expliquer les particularités de ces couches spéciales, elle parut ravie et me demanda d'y aller le plus tôt possible.

Laissant Véronique aux mains de l'infirmière pour sa toilette intime, je quittai la chambre restant sur ma "faim", résigné à trouver un aboutissement solitaire dans la pointe sophistiquée que j'avais gardée, sur moi et qui s'égouttait entre mes cuisses sous mon pantalon, malgré ma culotte en caoutchouc devenue inefficace.

Toutefois je décidai malgré mon état de passer chez la couturière avant de rentrer à la maison et de regarder un film dans mes habits de bébé.

A mon coup de sonnette, la porte s'ouvrit sur une rousse plantureuse dont la blouse, contenant avec peine une poitrine en ogive, attirait en premier le regard, qui aussitôt se portait sur un visage candide dévoré par de grands yeux verts, le tout encadré d'une crinière flamboyante tombant en cascade sur les épaules.

La blouse déboutonnée jusqu'à mi-cuisse, laissait apercevoir des genoux ronds remplis de fossettes, surmontés de cuisses potelées couleur miel.

Un parfum poivré environnait sa silhouette et déjà me faisait tourner la tête.

-" Entrez !", dit-elle, un large sourire sur les lèvres," je vous attendais, Agnès m'avait annoncé votre visite." Je la suivis, surpris d'un tel accueil chaleureux, d'habitude réservé aux amis de longue date.

Bien vite mon ouie perçut un bruissement feutré dont l'origine provenait sans aucun doute de dessous sa blouse. Je reconnus tout de suite le crissement particulier du caoutchouc que l'on froisse et j'en déduisis que la charmante jeune femme qui me précédait portait une culotte en tissu caoutchouté de sa fabrication, et mon émoi s'en trouva décuplé.

Arrivé dans un petit salon où traînaient partout des journaux de mode, je lui expliquai brièvement les raisons de ma visite.

-"Agnès m'en avait touché un mot ce midi", dit-elle," et d'office, j'ai mis de coté pour vous toutes les couches qui me restaient. C'est la première fois que je sers ce genre de choses à un homme et ça me fait grand plaisir. Je ne pense pas que vous veuillez les essayer !", ajouta t'elle une lueur étrange dans les yeux dont la couleur prit la teinte mystérieuse des fonds marins.

Elle se dirigea vers une armoire et en tira un paquet de linge plié qu'elle posa sur une table.

-" Il y a là une douzaine de couches. Si vous pensez que c'est insuffisant, je pourrai vous donner le supplément d'ici deux ou trois jours."

Je me sentais devenir de plus en plus écarlate et je cherchais le moyen de me sortir de cette situation délicate.

Voyant mon air gêné et mon hésitation, elle reprit :

-"Peut-être désiriez vous autre chose ?"

-"Heu,...Oui. Agnès m'a parlé également de culottes imperméables. J'aurais aimé...." .

- " Malheureusement, je ne les fais que sur commande." m'interrompit-elle " et sur mesure, bien entendu. C'est la seule façon d'obtenir une culotte bien étanche. De plus le tissu caoutchouté a un petit coté romantique, vieillot que n'a pas le plastique. Vous ne trouvez pas ? Je ne pensais pas que mes culottes auraient tant de succès et je manque de matière première pour le moment. Mais ça ne devrait pas tarder. Je regrette de ne pouvoir vous en montrer une. Mais, attendez... Il y a peut-être une solution, moi-même...." et s'arrêtant de parler, elle commença à déboutonner sa blouse.

J'avais compris son allusion et son intention et je devins rouge de confusion à l'idée de ce qu'elle voulait faire, ne sachant qu'elle attitude adoptée par la suite.

S'apercevant de mon trouble, elle referma sa blouse qu'elle s'apprêtait à défaire et me dit en riant :

-"Pardonnez mon audace, j'ai tellement l'habitude de me montrer en culotte devant mes clientes. De toute façon vous n'en verriez ni plus ni moins que si j'étais en caleçon de bain sur la plage. De toute façon, une culotte, qu'elle soit en coton en soie, en nylon ou en caoutchouc, c'est toujours une culotte et celle-ci présente de nombreux avantages, je ne vous en dirai pas plus.

Mais peut-être une culotte de bébé, assez grand il faut le reconnaître, vous fera t'elle moins peur. Venez, suivez moi !" Elle ouvrit une porte qui donnait sur une pièce contiguë qui devait servir de cabinet d'essayage, à voir les miroirs disposés çà et là.

Et subitement j'eus le souffle coupé.

Dans un large fauteuil, Sylvia était allongée, les yeux fermés, paraissant endormie. Elle était habillée d'un tee-shirt moulant et très court, qui dévoilait une large bande de peau brune au dessus d'une culotte blanche très seyante qui plaquait sur son ventre un épais paquet de couches lequel faisait un bourrelet énorme à l'entrejambe.

Les doigts d'une de ses mains glissée entre ses cuisses écartées, faisaient crisser le tissu caoutchouté de la culotte, alors que.. la peau de ses cuisses tapissée d'une humidité aux reflets chatoyants, était sillonnée par de fins ruisselets dorés.

-" Quel spectacle merveilleux ! Ne trouvez vous pas ? J'en suis toute remuée ..., et mouillée." dit-elle en souriant, sa main glissée entre deux boutons de sa blouse et palpant le fond caoutchouté de sa culotte. Puis elle s'approcha de Sylvia plongée dans ses rêves érotiques, posa sa main sur les cuisses de la jeune fille et la remonta jusqu'à toucher le fond de la culotte gonflée par les garnitures.

-"Comme ce tissu est doux au toucher" s'exclama t'elle, " on peut sentir à travers, la chaude humidité qui rend le caoutchouc si moelleux et si glissant sous les doigts. Et l'odeur qui s'en dégage. Quel parfum sublime ! " Elle engagea sa main plus à fond sous les fesses de Sylvia et se rendit compte alors des dégâts humides causés au siège du fauteuil non protégé.

-" Ce n'est rien, mon petit Ange.", dit-elle comme pour s'excuser de son manque de prudence, -" nous allons remédier à cela." Elle se releva et alla débarrasser un divan collé contre un mur, de tous les vêtements jetés pêle-mêle, en cours de confection ou d'essayage. Puis elle sortit et revint peu après portant un morceau de plastique transparent.

-"Il va falloir que j'achète des alèses en caoutchouc," dit-elle à mon intention,-" mais pour aujourd'hui, ce rideau de douche fera l'affaire." Elle l'étendit sur le divan et aida Sylvia toute somnolente à se lever du fauteuil et à s'allonger sur le lit d'occasion.

Sylvia se laissa faire sans rien dire, son regard faisant le tour de la pièce comme pour se rappeler du lieu où elle se trouvait.

C'est alors qu'elle m'aperçut et s'écria avec un sourire radieux :

-" Vous ! Enfin." Jalouse sans doute de la préférence marquée pour ma présence, la couturière bouscula un tant soit peu Sylvia et en un clin d'œil, avec une dextérité de professionnelle, elle la débarrassa de sa culotte en caoutchouc et me la tendit toute dégoulinante, en précisant :

-"Vous vouliez voir un échantillon de ma fabrication ? En voilà un, vous plait-il ?" Je saisis la culotte et respirai avec délices, l'odeur aphrodisiaque qui s'en dégageait. J'aurais aimé enfouir mon visage à l'intérieur, mais je me retins à temps, me souvenant de la présence de la rousse pulpeuse.

Très perspicace, cette dernière avait vu l'amorce de mon geste et dit :

-"Je suis comme vous, il y a des choses qu'on aimerait faire, mais qu' on ne fait pas de peur de la morale, du scandale ou du mépris de son entourage, maintenant, je fais ce que je veux et je me fiche du qu’en dira t’on.

Quand je pense à la bêtise de ces mères qui viennent se plaindre près de moi de ce que leurs enfants font encore pipi au lit, et qui se vantent de leur raillerie et de leur vexation à leurs égards. J'en suis révoltée. Elles devraient, bien au contraire, être heureuses que leurs enfants se conduisent en bébé prouvant ainsi le besoin impérieux de la protection maternelle."

Malgré cette longue tirade encourageante, je renonçai à mon projet et m'approchai du divan pour la voir retirer de dessous Sylvia, la serviette éponge pliée en quatre qui avait complété la couche triangulaire. Des milliers de perles jaune d'or s'accrochaient au tissu hydrophile des serviettes périodiques matelassant le fond de la pointe.

Je dévorais des yeux la couche jaunie et fumante qui séparait les cuisses relevées de Sylvia, lorsque la couturière, sur le point de retirer les épingles de sûreté, s'arrêta et me dit :

-" Il se fait tard et je dois aller livrer une robe avant ce soir.

J'en ai pour une bonne demi-heure. Vous allez fermer à clé derrière moi, je sonnerai pour rentrer. Vous trouverez une grande serviette éponge pour la changer, à coté, dans la salle de bain. Quant à la culotte vous lui remettrez celle que je viens de retirer après avoir bien essuyé l'intérieur." Après son départ, je revins près de Sylvia qui de nouveau avait fermé les yeux en suçant son pouce d'un air béat.

Pour surmonter mon trouble grandissant, je ramassai la culotte imperméable et cette fois sans témoin je pus lécher les gouttes dorées qui en tapissaient l'intérieur. Dopé par ce breuvage comme par une drogue, je m'agenouillai au bord du divan et enfouis ma figure entre les cuisses chaudes et humides, la pressant contre la couche pour boire la divine liqueur à même la source.

Alors que je tétais le tissu riche en saveur délicieuse, Sylvia s'empressa de défaire elle-même les épingles de sûreté et de repousser la pointe sur le coté pour jouir d'un contact plus intime.

Après avoir sucé le duvet soyeux qui ornait sa petite chatte parfumée, ma langue s'insinua dans les plis de ses lèvres entrouvertes et força l'entrée de son fourreau brûlant. Elle poussa un cri lorsque ma langue vint titiller son petit bourgeon gorgé de plaisir et plus ou moins consciente de ses gestes, elle pressa ma tête contre sa fente juteuse tout en remuant son ventre cherchant une pénétration plus profonde.

Le palais gorgé de pipi et de sa liqueur, je relevai un moment la tête pour reprendre haleine. Mes doigts prenant la relève de ma langue ,je promenai celle-ci sur un ventre sillonné de spasmes pour venir sucer et mordiller une poitrine trop longtemps délaissée.

Sylvia gémissait et haletait sous l'ensemble de mes caresses devenues presque brutales sous l'empire du feu qui me dévorait.

Un petit cri de douleur m'avertit de mon excès de hargne buccale et digitale du mâle en rut.

Comme je me relevais pour calmer les battements de mon cœur prêt à éclater, elle en profita, dans un geste rapide, pour faire glisser la fermeture éclair de mon pantalon.

Puis sans me laisser le temps de réagir, tout en relevant le buste, elle saisit le devant de ma culotte ouvrante et d'un seul coup, arracha toutes les pressions qui la fermaient sur les cotés. Dans le même temps elle appliqua son visage contre mon ventre et ses lèvres se refermèrent sur la protubérance que faisait ma verge enfoncée dans la couche.

A son tour elle se mit à téter gauchement le tissu empesé à cet endroit Par les éjaculations précédentes semblant apprécier le jus épais qu' elle en tirait.

Son geste incroyable m'ouvrit des horizons nouveaux et prometteurs.

Aussi je la, repoussai doucement l'obligeant à s'allonger de nouveau sur le divan. Son regard fixé sur moi exprimait l'étonnement et l'incompréhension. Très rapidement elle dut se rendre compte de son erreur en me voyant enjamber mon pantalon tombé à mes pieds et me débarrasser de ma culotte en caoutchouc toujours maintenue à la taille , par une seule pression.

Gardant ma couche pour ne pas l'effaroucher, je montai sur le divan et m'allongeai à coté d'elle. Son corps se raidit lorsque, la prenant par la taille, je l'attirai contre moi, son dos collé à ma poitrine et ses fesses lovées contre mon ventre.

Puis passant ma main par dessus sa hanche, je repoussai sa couche et glissai ma main jusqu'à son sexe. De nouveau quêtant une caresse plus profonde, elle souleva légèrement sa jambe gauche et j'en profitai pour passer la mienne empêchant ainsi à l'étau de ses cuisses de se refermer. De mon autre main, je réussis difficilement à dégager mon membre empêtré dans les plis de ma couche et le glissai dans un premier temps entre ses cuisses pour le placer dans le berceau douillet formé par ses lèvres entrouvertes.

Quelques petits mouvements de va et vient dans ses poils trempés, déclenchèrent une lubrification abondante de sa part, alors que des râles me parvenaient étouffés par l'oreiller dans lequel elle mordait à grandes dents.

Je me laissai descendre légèrement le long de son corps et plaçant à l'équerre ma jambe toujours glissée entre les siennes, je donnai à ma verge l'espace nécessaire pour se redresser et se présenter à l'entrée de sa fente ruisselante.

Le reste ne fut qu'une question de patience et de douceur. Je m'enfonçai lentement en elle. Sylvia qui gémissait sans arrêt poussa cette fois un cri de douleur, lorsque, pressée de devenir une femme, elle se jeta en avant de ma lance qui la pénétrait peu à peu. Ce fut elle encore, qui, la douleur passée, donna le rythme du lent massage de ses muqueuses exacerbées, qui l'amena dans un halètement croissant et de plus en plus sonore, à un orgasme foudroyant alors, qu'à mon tour, emporté par un tourbillon de jouissance extrême longtemps contenu, je me déversai en elle en de longs jets puissants et libérateurs.

La redescente sur terre fut savourée en commun par un échange de longues caresses mutuelles.

Comme je lui conseillais un peu plus tard de se lever et d'aller se laver, je ne savais pas très bien comment présenter la chose, elle me murmura, ronronnant comme un jeune chat et en se coulant dans mes bras :

-" Ce n'est pas la peine. Agnès m'a expliqué hier les périodes pendant lesquelles je ne risquais rien." puis, sa main ayant réussi à réveiller l'eau qui dort, elle me susurra en me mordillant l'oreille : -" Viens", et cette fois, allongée sur le dos, elle essaya de m'attirer sur elle.

-"Ce ne serait pas raisonnable." dis je à regret, mes doigts fouillant l'entrée toute baveuse de sa chatte." La couturière ne devrait pas tarder à rentrer et il serait préférable que tout soit rangé avant qu' elle n'arrive."

-" Parce que tu crois qu'elle ne sait rien. Grand nigaud, tu ne vois donc pas que cet agréable passe temps était prévu d'avance ? Peut-être que s’il avais eu quelques doutes, aurais tu mis moins d'ardeur et de gentillesse à me débarrasser d'un accessoire encombrant pour une fille de mon âge. Sais-tu que ce serait déjà fait si un de mes admirateurs n'avait pas rencontré, au cours d'une exploration sous ma robe, une "bambinette" de bébé bien mouillé, gardienne involontaire et combien de fois maudite, de ma virginité. Me voilà comblée, enfin !" J'étais heureux qu'elle le prenne de cette manière et je m'apprêtais à me relever, lorsqu'elle me repoussa sur le divan, m'enjamba et se coucha sur moi, ses petits seins se balançant au dessus de mon visage.

Je crus un moment qu'elle cherchait à s'empaler sur mon pieu, ce qui était très loin de me déplaire, lorsqu'un puissant jet brûlant inonda mon ventre et mes cuisses. Sylvia s'amusant comme une petite folle faisait pipi sur moi, me débarrassant d'un seul coup des traces blanchâtres qui s'accrochaient à ma toison et de celles sanguinolentes qui maculaient l'intérieur de mes cuisses. De nombreux petits ruisseaux s'étaient formés et me coulaient de chaque coté des hanches et entre les cuisses, faisant frémir de plaisir le glaive sanglant qui se dressait, prêt à se glisser dans le fourreau suspendu au dessus de sa tête. De ses doigts, elle chercha à diriger le jet sur ma figure, et voyant ses tentatives vaines ,elle ramassa sa culotte en caoutchouc et me l'enfonça sur la tête en s'esclaffant de rire.

Saoulé par, l'odeur grisante qui m'enveloppait, je me laissai aller bercé dans ce nirvana merveilleux qui suit l'amour physique, doublé par l'incomparable sensation de volupté que procure la macération des fesses dans un pipi bien chaud.

Je fus sorti de ce bonheur ouaté par des mains douces qui s'activaient autour de mon sexe ramolli.

Sylvia terriblement lascive, nue dans sa culotte en caoutchouc, finissait d'éponger et d'essuyer le plus gros du liquide qui stagnait encore sous tes fesses tout en portant pliées sur un bras, une grande serviette éponge et ma couche-culotte en caoutchouc.

" Bébé est réveillé ? " dit-elle en souriant," je vais donc pouvoir finir de le langer." Je n'avais aucune intention de me soustraire au plaisir d'être langé par une femme, ce plaisir m'étant refusé depuis que Véronique était en clinique.