Examed


Vues: 928 Created: 2012.03.24 Mis à jour: 2012.03.24

La visite médicale de Julie

Episode 4

La doctoresse observa longuement sans mot dire une Julie troublée par l'atmosphère spéciale qui se dégageait de la situation. Elle avait porté ses yeux des pieds à la tête de sa patiente puis s'était levée pour la visualiser par derrière. Elle se rassit avant de prendre quelques notes au clavier de l'ordinateur : "Vous avez en apparence un joli corps Mademoiselle...".

Julie ne savait pas s'il fallait s'inquiéter de la remarque sur son corps ou en être flattée. Elle avait vu dans les yeux bruns de la doctoresse un mélange d'ironie et d'avidité. Elle n'eut guère le temps de philosopher sur la situation que, déjà, la femme l'interpellait : "Bien... Vous allez faire quelques mouvements, que je vais préciser, afin d'évaluer la souplesse de votre corps...".

La séance de test de souplesse parut bien longue à Julie. Sportive régulière, elle n'eut aucune peine à réaliser les mouvements demandés par la doctoresse mais certaines positions lui parurent humiliantes car elle se trouvait souvent les jambes fort écartées ; elle avait senti que la fine bande de tissu d'entrejambes de son string lui rentrait dans la fente intime découvrant en partie ses grandes lèvres au regard de la femme. Au bout de dix minutes, ceci prit fin : "Parfait Mademoiselle, je constate que vous enchaînez parfaitement les mouvements demandés et que vous êtes très souple et endurante... Vous allez vous asseoir quelques instants et nous allons prendre votre tension !".

Les exercices avaient fait transpirer légèrement Julie et de s'asseoir quelques instants lui fut profitable. Pendant ce temps, la doctoresse avait déployé la large bande hygiénique en papier sur le lit d'examen et avait passé son stéthoscope autour de son cou.

La doctoresse demanda à Julie de se lever : "Avant que nous passions à la consultation sur la table d'examen, je vais vous demander de marcher autour de la pièce comme vous le faites dans la rue... C'est pour cela que vous allez garder vos chaussures...". la jeune femme se lève alors et se met à marcher comme si elle faisait les boutiques. A un moment, elle vit que la doctoresse ne la regardait pas. Elle en profita pour réajuster son string qui lui rentrait à l'intérieur de son sexe qu'elle sentait encore échauffé et humidifié à la fois après la séance de gymnastique. Elle dut faire cinq fois le tour de la pièce avant que la doctoresse la stoppe dans son élan : " Vous semblez bien marcher malgré la hauteur déjà importante de vos talons... Vous allez les retirer... maintenant !". Julie avait remarqué combien la femme mûre avait reluqué ses chaussures ouvertes à lanières qui mettaient si bien en valeur ses pieds aux ongles impeccablement laqué d'un noir brillant coordonné à sa chevelure sombre. Elle mit du temps à se défaire de ses lanières et était restée penchée suffisamment de temps pour qu'elle intercepte le regard de la doctoresse plongé dans son décolleté : elle se dit que c'était le hasard des choses et n'y pensa plus.

De nouveau Julie fit plusieurs fois le tour de la pièce sous l'oeil scrutateur de la doctoresse qui ne perdait pas une miette du superbe déhanchement de la jeune femme et surtout de ses fesses mises en valeur par le string : " Parfait, vous semblez ne souffrir d'aucun problème de scoliose ni de hanche... Restez au milieu de la pièce, jambes serrées, bras le long du corps et tête haute !".

Avec ses doigts fripés par l'âge aux ongles longs vernis de rouge foncé, la doctoresse contrôla la stature de la colonne vertébrale de Julie. Le passage répété et précis des mains le long de son dos, du cou à la commissure des fesses donna la chair de poule de la jeune femme. Le verdict de la praticienne confirma ce qu'elle avait perçu lors des tours de pièce de sa patiente.

La chair de poule n'eut pas le temps de s'évanouir que déjà Julie était assise sur la table de consultation : jambes pendantes et bras étendus en arrière, buste en avant et tête haute. La doctoresse posa alors son stéthoscope sur le dos puis se positionna face à la jeune femme. Le disque froid cercla sur le haut de la poitrine avant qu'il s'insinue sans crier gare sous la dentelle fine du soutien-gorge. Julie sentit son téton se durcir légèrement quand la couronne toucha le bord de l'aréole.

La doctoresse laissa le disque près de l'aréole suffisamment de temps pour que le téton durcisse plus nettement tendant la dentelle du soutien-gorge. Julie rougit légèrement ce que ne manqua pas de relever la femme : "Vous paraissez bien sensible Mademoiselle ! Pourtant rien ne semble le justifier... Qu'est-ce qui vous cause cet état ?". La jeune femme murmura, pour donner le change, qu'elle avait tendance à rougir sans forcément avoir une réelle raison. La praticienne, pas dupe pourtant, fit mine d'admettre cette justification. Elle continua son contrôle minutieux de la capacité respiratoire et put ainsi apprécier la belle plastique apparente de la poitrine de Julie.

La doctoresse en termina avec la capacité respiratoire de Julie en constatant qu'elle était parfaite et cohérente avec la pratique sportive. Elle continua ses investigations avec les tests de réflexe. Ils furent parfaits mais n'avaient pas détendu pour autant Julie qui constatait que la vieille femme prenait tout son temps à chaque moment de ses examens : "Très bien, voyons maintenant l'ensemble de votre corps ; je vais vous en palper chaque endroit !".

Tout y passa. La doctoresse et ses mains fripées palpèrent et massèrent à qui mieux mieux le corps soumis de Julie. Elle posait rarement des questions à la jeune femme qui sentait la chair de poule l'envahir à chaque étape de la procédure. Même les doigts de pieds y passèrent et la femme plus que mûre s'y attarda plus que ceux des mains. Heureusement, sa patiente n'était pas chatouilleuse.

Pas chatouilleuse, certes Julie ne l'était donc. Mais elle frissonna quand les ongles longs de la doctoresse avaient frotté les commissures des doigts de pieds, surtout entre le pouce et le plus long d'entre eux : "Vous êtes bien douillette Mademoiselle... comment réagirez-vous tout à l'heure lors d'examens plus... délicats...". Ces derniers mots inquiétèrent Julie. Cette femme semblait jouer un peu avec ses nerfs mais la jeune femme se rassura en se disant qu'elle la taquinait sans doute.

Tout y était donc passé et même un examen méticuleux des aisselles.

Ce contrôle des aisselles avait été très précis. La doctoresse interrogeait Julie en même temps que ses mains les palpaient : "Depuis quel âge épilez-vous cette zone sensible ? ". Rougissante, la jeune patiente avait répondu qu'elle avait commencé dès que les poils s'étaient manifestés vers douze, treize ans : "Quelle méthode utilisez-vous ? Rasoir manuel, épilateur électrique, mousse à raser, savon, crème dépilatoire ?". Décidément, la doctoresse se muait en policière aux yeux de Julie très étonnée de devoir se dévoiler ainsi. Elle préféra s'abstenir de commentaire désobligeant qui aurait risquer de heurter la doctoresse : "Je... je m'épile avec une crème spécifique et passe un adoucissant aromatisé...". La praticienne avait noté que l'épilation avait été réalisée très récemment :"Donc je ne verrai pas tout de suite si vos poils poussent drus...". "C'est partie remise" sembla-t-elle ironiser. "En tout cas, je n'ai constaté aucune masse suspecte sous la peau qui est bien fine et douce...".

Quant la doctoresse s'éloigna de la table d'examen, la laissant une assise sur le bord, Julie pensait en avoir fini puisqu'aussi bien ses oreilles, ses cheveux, ses dents, ses yeux et même son nez avaient été scrupuleusement contrôlés. Elle vit que la femme s'était installé à son bureau pour y écrire son compte-rendu avec son ordinateur. Elle ne prononça aucun mot pendant de longues minutes ; Julie hésita à l'interrompre pour lui demander si elle pouvait descendre et aller se rhabiller.

Comme si elle prenait un malin plaisir à inquiéter sa patiente, la doctoresse se leva de son bureau et sortit de la pièce sans mot dire. Julie ne savait pas comment gérer ce moment de solitude inconfortable. Elle se dit que peut-être la praticienne était allée chercher les documents qu'elle avait remplis chez l'assistante puisque dans cette pièce, il n'y avait pas de trace d'imprimante. Au bout de deux minutes interminables pour la jeune femme, la femme mûre réapparut, le visage toujours assez fermé : "Bien Mademoiselle, j'ai besoin de vous reprendre la tension car je pense que vous étiez sans doute un peu stressée quand je l'ai prise au début de l'examen !". "S'il n'y a plus que ça à subir..." se dit Julie qui se voyait déjà retourner dans la cabine pour se rhabiller et quitter au plus vite cette femme qui ne lui inspirait guère la sympathie.

Bien que peu enthousiasmée par la froideur rigide de la doctoresse, Julie, persuadée d'en finir rapidement, s'était détendue : "Parfait, votre tension est bien plus logique que celle prise tout à l'heure... Vous deviez effectivement être très tendue lorsque nous avons fait connaissance...". La praticienne va alors noter sa mesure à l'ordinateur laissant de nouveau sa patiente attendre la phrase libératrice... En vain. Après avoir légèrement toussé, la femme mûre se rapprocha de Julie :" Bien nous en avons terminé...". Silence. La jeune femme s'apprête à descendre de la table quand...

A peine Julie avait-elle posé les pieds par terre que la doctoresse la rabroua :"Dites donc jeune fille ! Qui vous a dit de descendre de la table d'examen ? Vous êtes pressée de partir ? Vous n'aimez pas ma compagnie ? Vous allez y remonter de suite car nous sommes bien loin d'en avoir fini... Je vous rappelle que cette visite sera très complète. Allongez-vous et mettez vos bras le long du corps et vos jambes jointes parfaitement droites !"

Ces paroles sévères avaient sonné le glas des espoirs de la jeune femme de retourner au plus vite à son bureau : "Qu'est-ce qu'elle va encore me faire cette vieille mal aimable ?".

Julie s'exécuta. Perturbée par le ton martial de la doctoresse, elle commençait à transpirer et rougir légèrement. La praticienne s'approcha d'elle et se positionna au niveau de son nombril. Elle entreprit alors un examen minutieux du bas-ventre. Ses doigts virevoltaient d'un côté à l'autre alternant les séquences douces et les enfoncements dans la chair néanmoins ferme de sa patiente.

Quand la vieille femme approcha ses mains à la lisère de son string, des gouttes de sueur perlèrent sur le front de Julie. Elle crut qu'elle allait les passer sous le fin tissu et toucher sa toison intime.

Julie respira. La doctoresse ne fit que palper son bas-ventre sans franchir la fine barrière protégeant son intimité. Elle fit retourner la jeune femme sur le ventre et s'occupa de son dos après avoir précisé qu'elle avait oublié de le faire lors de ses examens précédents. Ses deux mains longèrent la colonne vertébrale et s'attardèrent ensuite sur le haut des fesses. Sans prévenir, elle s'empara des deux côtés du string et baissa le triangle postérieur de la pièce de tissu quelques centimètres en dessous de la commissure du sillon fessier.