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Vues: 973 Created: 2014.05.11 Mis à jour: 2022.04.17

Ma deuxième copine, une révélation ?

Chapitre 4

Maria revint rapidement tenant dans sa main une sorte de trousse de toilette. Elle se planta à nouveau face à moi et sortit de cette trousse un objet que je n’identifiai pas immédiatement, puis dans lequel je reconnus assez vite un stéthoscope. J’étais surpris, un peu déçu. Quand mon amie m’avait annoncé quelque chose qui allait me plaire, j’avais rapidement pensé à un thermomètre. Il est vrai que je n’avais jamais osé parler jusque là à Maria de mon goût pour la température rectale et encore moins du refus de ma chère Christine à s’y associer. Le stéthoscope me ramenait à l’univers de la médecine, ce monde qui m’effrayait tellement, je crois que j'avais dit à Maria ma phobie. Enfin, elle semblait cacher encore quelques trésors dans son sac à malice.

Les mains de Maria se posèrent à nouveau sur ma poitrine et ses doigts reprirent leur jeu avec mes tétons fermes, pour mon plus grand plaisir. " Pardonne-moi, je ne peux pas m’en empêcher, s’excuse-t-elle, je suis fasciné par tes petits seins… "

Tout en continuant ses caresses, elle me dit: " Tu te souviens que je t’ai dit que j’ai une sœur, une grande sœur, qui est médecin (j’avais oublié cette information) et elle me donne ses instruments usagés. Je crois que je suis en train de virer MedFet ". Elle ajouta: " Elle te plairait sans doute, c’est moi avec neuf ans et dix kilos de plus, bref, elle est nettement mieux que moi… ". Elle poursuivait sur cette idée: " Tu pourrais prendre rendez-vous avec elle, mais, ne t'inquiète pas, je ne te lâcherai pas".

L'idée de rencontrer la soeur de Maria ne m'excitait pas vraiment, justement parce qu'elle était médecin et que je pensais qu'avoir une copine toubib ne serait vraiment pas la solution à ma phobie de la médecine et des médecins, même si ma mère défendait justement cette idée, Comme parfois avec Maria, je me sentais un peu bête, je ne savais pas ce que signifiait MedFet. Comme souvent aussi, mon amie vint à mon secours et m’expliqua: " Med Fet, ça veut dire Medecine Fetish, c'est surtout anglo-saxon, ce sont les gens qui sont fascinés par la médecine et qui se rejouent les examens qu’ils ont passés, etc…". L'idée que Maria puisse rejoindre cette communauté ne me plaisait pas vraiment, pour les raisons exposées ci-dessus.

Face à ma copine avec son stéthoscope en sautoir, qui aurait fait un médecin très crédible avec son air sérieux, je lui demandai: " Et pourquoi tu n’as fait médecine toi-même, je pense que tu avais largement le niveau"

" Tu parles, j’étais nulle, archi-nulle, en maths", répondit-elle. Elle se souvint de nos discussions: " Toi, je crois que tu m’a dit que tu as peur des médecins. A un de nos rendez-vous, tu étais complétement malade parce que tu devais passer une petite visite médicale le lendemain et je me suis bien foutue de toi, ...je suis parfois méchante, tu sais,... (j'avais oublié cette épisode)…J’espère que mon stéthoscope ne te fait pas peur".

" Presque, avouai-je, tu sais, j’ai toujours peur que l’on me trouve quelque chose, par exemple justement au cœur,.. "

Elle m’interrompit: " Là, tu ne cours aucun risque, je vais écouter ton cœur, et tu pourras l'écouter aussi et le mien, mais je n’y connais absolument rien. Même si tu avais quelque chose de très grave, je ne m’en rendrais pas compte. »

Ses doigts cessèrent de titiller mes tétons. Elle proposa que nous nous installions sur le canapé, assis face à face de biais. Elle ajusta les branches de son instrument à ses oreilles et plaça le disque froid du stéthoscope sur ma poitrine.

Peut-être à cause de ma phobie, j'avais peu joué au docteur dans mon enfance et, malgré le contact des mains douces de Maria sur ma poitrine et ses paroles a priori rassurantes, je me sentais un peu mal à l'aise face à cette auscultation.

Comme un vrai médecin, Maria commença par placer le petit disque du stéthoscope sur différents endroits de mon thorax, puis quand elle estima avoir trouver le point idéal pour écouter mon cœur, elle se concentra sur cet emplacement. "J'entends ton coeur, c'est merveilleux" dit Maria. Je me sentais un peu bizarre, le stéthoscope me rappelait trop les visites médicales que je détestais tant, même si contact des mains, si douces, de Maria sur ma poitrine était on ne peut plus agréable. Et tout en écoutant mon coeur, elle me regardait avec un regard à la fois malicieux et sérieux que je ne lui avait jamais vu jusque là qui me touchait profondément. Je me demandais si les autres "mecs" de Maria avaient aussi eu droit au stéthoscope. Soudain, son visage prit un air grave, " Je trouve que ton coeur bat vraiment très vite" fit-elle, sur un ton soudain inquiet. Elle saisit mon poignet gauche sur lequel j'avais gardé ma montre pour regarder celle-ci, tout en m’auscultant. " Tu permets, demanda-t-elle pour la forme, les montres des nanas n’ont pas de trotteuse". Elle fixa ma montre pendant une trentaine de secondes, puis déclara: " Tu es à plus de 130 pulsations par minutes, c’est beaucoup, c'est trop, tu es sûr que ça va ? " Ce n’était peut-être pas la chose à dire à un hypocondriaque comme moi, et je croyais que Maria me connaissait assez pour avoir relevé ce trait de ma personnalité. Avait-elle peur que j'ai une crise cardiaque, là maintenant ? ou quand je la baiserai ? Je l’assurai que mon cœur battait toujours très vite et que l’on m’avait « emmerdé » avec ce problème à toutes les visites médicales que j’avais passées.

Déplaçant légèrement le disque sur ma poitrine, elle poursuivit; mi sérieuse, mi plaisantant: "je crois qu'il faudrait vraiment que tu vois ma soeur, elle a un certificat de cardiologie, tu sais...". Voyant mon air préoccupé, elle revint sur ses paroles: "Mais, non je blague..." .Puis elle ajouta, sur un ton conciliant et tendre: " Finalement, je trouve ça supermignon, ton petit cœur qui bat si fort pour moi ".

" Tiens, proposa-t-elle, en retirant les écouteurs de ses oreilles et en me les passant, tu veux-écouter ton cœur". J’avais entendu dire que beaucoup de médecins faisaient ce genre de chose avec leurs patients, en particulier avec les enfants, pour dédramatiser leurs relations avec eux. Je trouvais l'idée plutôt "sympa". Moi, aucun médecin ne m’avait jamais fait une telle proposition, cela aurait peut-être calmé mes angoisses. Je pris donc les écouteurs, les plaçais à mes oreilles et j'entendis mon coeur pour la première fois de ma vie. Je fus fasciné par le bruit sourd, régulier et accéléré de mon organe vital. Mon coeur semblait en effet battre très vite. J’écoutais, attentif à la régularité du rythme, craignant, en parfait hypocondriaque que j‘étais, de l‘entendre soudain s‘arrêter.

" Tu n’avais jamais entendu ton cœur", me demanda Maria. "Non", lui répondis-je.

" Tu veux écouter le mien ", m’interrogea-t-elle. " Bien sûr ", fis-je.

Et c’est alors que la chose prit un tour érotique qui me marqua, autant, sinon plus, que le bruit de nos coeurs respectifs battant à l'unisson. Maria se débarrassa enfin de son pull à col roulé et se retrouva avec un de ces chemisiers blancs dont elle avait l’habitude, qu’elle boutonnait très haut, mais qui laissaient deviner les pointes de ses petits seins sous leur texture. Et là, pour me permettre d’écouter son coeur, elle défit les trois boutons supérieurs du vêtement, et pour la première fois, je vis l’échancrure de son petit soutien-gorge de bon ton. Elle positionna même le disque du stéthoscope sous le bonnet gauche du sous-vêtement pour me permettre de mieux entendre son coeur à elle. Je fus frappé par la similitude des battements de nos deux cœurs, le même bruit régulier et sourd, plus lent et un peu moins puissant chez elle. J’écoutais subjugué, tout en lorgnant l’échancrure de son soutien-gorge et ce que je pouvais voir de ses petits seins, petits mais pas inexistants comme elle l'affirmait, tout cela alors que j‘étais moi-même entièrement nu depuis un certain temps. Elle me laissa écouter son coeur un bon moment, puis elle reprit le stéthoscope et le remis dans sa trousse. Elle déclara alors: "C'est encore mieux bien sûr d'écouter son coeur quand on baise. Je te promets qu'on fera ça...."

Elle me fit alors me redresser debout face à elle, elle restant assise au bord du canapé pour continuer à "explorer" mon corps comme elle avait commencé à le faire précédemment.

Comme tout-à-l’heure, Maria était assise au bord du canapé, toute habillée, et j’était complètement nu, debout face à elle. Une nouvelle fois, je me disais que la situation reproduisait celle de mes visites médicales du lycée, où Maria aurait joué le rôle du médecin scolaire. Différence: à mes visites médicales, ma nervosité m’empêchait d’avoir une quelconque érection, alors que mes camarades de classe se vantaient de bander devant la doctoresse, que ce fut la vieille peau que nous avions eu jusqu’en première ou la jeune femme « baisable » de terminale, alors que là, devant Maria, j‘arrivais, Dieu sait comment, à maintenir mon sexe dans un état présentable. Bref, par sa seule présence, Maria me faisait bander.., peut-être à cause des boutons de son chemisier ouverts qui me permettaient pour la première fois de voir l’échancrure de son soutien-gorge et de deviner ses petits seins.

Elle avait posé ses mains sur mon ventre, juste en dessous de mes côtes et celles-ci descendaient le long de mon abdomen. Je me disais que j’était trop maigre, que je n’avait aucun muscle, mais ma copine voyait les choses de manière plus positive. " tu es beau" ne cessait-elle de répéter, "Tu es mince, c’est bien, ….tous les mecs sont si gros… ta peau est si douce". Descendus au niveau du pubis, ses doigts jouèrent un moment avec les poils." J'imagine nos deux toisons blondes qui se mélangeront tout-à-l'heure quand on fera l'amour" dit-elle (aucune fille respectable n'aurait eu l'idée de se raser à cette époque). Ses mains apprécièrent à nouveau la fermeté de mon pénis bien dressé face à elle, impatient de la pénétrer enfin, puis palpèrent encore mes testicules. " Bientôt, tu pourra me déshabiller,… " m’assura-t-elle d’une voix chaude. Puis, d'un ton plus ferme, elle m’ordonna: " Tourne-toi". Elle ajouta: "avant que tu me baises, je veux voir ton cul ". Je lui obéis, que faire-d’autre.

Elle contempla un moment mes fesses, que je serrais instinctivement. " Tu as un cul superbe" dit-elle, avant d’ajouter "On déjà du te le dire". Je n’osai pas lui avouer que, lors de la visite médicale de terminale justement, la psy du lycée avait déclaré que j’avais un " joli petit cul " et ce alors que la doctoresse me prenait la température rectale. Maria poursuivit: "Je pense que tu sais que c’est la première chose que les nanas regardent chez les mecs et je peux te confirmer que je rêve de ton cul depuis notre premier cours d’islandais".

Ses mains se posèrent doucement à plat sur mes fesses et la sensation fut extraordinaire. Apparemment, cela ne lui déplaisait pas non plus. " Tes fesses sont si douces" répétait-elle. Nous restâmes ainsi un bon moment. Puis, avec douceur et fermeté, elle m’écarta les fesses. Elle mata un moment mon intimité, puis ses mains abandonnèrent un instant mon derrière. Elle cherchait quelque chose dans sa trousse. Elle préparait quelque chose. Je devinais ce qui allait se passer et mon cœur battait la chamade. Tout-à-coup, je sentis quelque chose de long, de dur, de froid, qui se glissait entre mes fesses, trouvait l’anus, puis forçait le sphincter, avant de me pénétrer le rectum, lentement, mais profondément. Je compris ce qui se passait, je ressentis alors une sorte de plénitude, qui me fit trembler quelques instants de la tête aux pieds.

" Calme-toi, me dit Maria d'une voix très douce, en maintenant son instrument en place, je te prends juste la température".

Je n'ai pas oublié cette première prise de température par Maria. Dieu merci, il y en aurait beaucoup d'autres.

D’abord, c’était la première fois qu’une fille me prenait la température puisque, je l’ai dit, Christine avait toujours refusé avec virulence toute intrusion du thermomètre dans nos relations sexuelles, alors que je faisais un usage immodéré du thermomètre dans mes séances de masturbation de jeune mâle esseulé, aussi bien avant, dès l’age de 13-14 ans, qu’après avoir fait la connaissance de Christine à 21ans, malgré la désapprobation formelle de cette dernière, non pas de la masturbation, mais de l’usage du thermomètre.

D’autre part, ceci ajoutait à mon trouble et ça Maria ne pouvait pas le savoir, la situation reproduisait exactement cette visite médicale mémorable qui avait eu lieu six ans plus tôt en terminale. Là aussi la doctoresse, une femme jeune et jolie, m' avait pris la température par surprise, debout, elle assise derrière moi. C’est là que j’avais eu mon seul début d’érection dans un contexte médical. C’est là aussi que la psychologue du lycée, dont on pouvait se demander ce qu’elle faisait là, s’était permis un commentaire, que j'avais alors jugé déplacé, sur mon " joli petit cul ". Cette visite médicale m’avait marqué et laissé pour le reste de ma vie, ce souvenir ambigu, mélange d‘humiliation et d‘excitation.

Enfin et surtout, c’était la première fois qu’il se passait quelque chose de sexuel entre Maria et moi. Pendant qu’elle maintenait le thermomètre en place et ne se génait pas pour jouer avec en lui imposant des mouvements de faible amplitude, se retirant puis puis s’enfonçant à nouveau en moi de quelques millimètres, tournoyant légèrement, ces .mouvements me mettant à chaque fois au bord de l’extase, je revoyais la jeune fille sage faisant quelques mois plus tôt un exposé sur " vengeance et violence dans les Sagas " devant les étudiants de la Sorbonne.

Le moment dot je rêvais depuis des mois était enfin arrivé. J’étais debout, nu, avec ce thermomètre dans le cul, au bord de la jouissance sexuelle, espérant que Maria finirait enfin par me permettre de la déshabiller et de faire l’amour avec elle Alors que je m'abandonnais à cette sensation extraordinaire que je ressentais, je fantasmais à l'idée que, si elle était portée sur la température rectale comme semblait l'indiquer son initiative présente, je pouvais espérer dans un avenir proche lui prendre sa température à elle en lui mettant un thermomètre dans son petit cul. Cette perspective m'excitait autant que l'idée de baiser la jeune fille, et tout cela alors que je n'avais même pas vu Maria nue. J’étais conscient que j'avais laissé Maria prendre l’initiative dans nos jeux érotiques, situation qui ne me gènait pas vraiment. Je ne me sentais pas vraiment macho et j‘étais largement dépourvu d‘amour propre. Je bandais comme je n'avais jamais bandé, mon pénis turgescent dressé, impatient de faire enfin l'amour à cette fille qui me rendait fou. ,

Je voulus poser une question à Maria : " Dis-moi, tu prends toujours la températur'e aux mecs qui…''

Elle m’interrompit de sa voix si douce, si chaude: " Chut, ne parle pas, tu vas faire monter ta température… "; Nous restâmes donc silencieux pendant plusieurs minutes, appréciant chacun la situation. Maria jouait toujours avec le thermomètre, qui se retirait très légèrement, puis réinvestissait mon rectum comme si il faisait l'amour à mon petit cul et la jeune fille me caressait doucement les fesses. J’aurai voulu que cette situation se prolonge, longtemps, toujours….

Combien de temps laissa-t-elle le thermomètre en place ? Sans doute plus que les trois ou cinq minutes "réglementaires". Enfin, elle le retira d’un coup sec puis, le temps de lire le résultat affiché, ’annonça:.

" Mais, tu as de la fièvre, une forte fièvre… "

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