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Vues: 1043 Created: 2014.05.15 Mis à jour: 2014.05.15

Ma deuxième copine, une révélation ?

Chapitre 5

" Tu as 39,5 " me dit Maria, d’un ton désolé pour ne pas dire consterné.

Je crus d’abord que c’était une blague…. J'envisageai même une " manoeuvre" de Maria pour ne pas baiser après s’être’bien amusé avec moi.

" Ce n’est pas possible, objectai-je, je me sens bien, je ne peux pas avoir une température pareille." Je réfléchissais et je me disais que je n’avais pas eu une température aussi élevée depuis ma petite enfance, quand j’avais eu la rougeole à l’age de cinq ans.

" Bon, proposa-t-elle, on vérifie, je te remets le thermomètre, mais, ajouta-t-elle en souriant, ne viens pas dire que je profite de la situation." Elle dit encore avec une pointe d'amertume: "Tu sais, j’adore te mettre des thermomètres dans ton petit cul, mais je préférerais quand même faire l’amour avec toi "

Maria m’invita à m’allonger sur le ventre sur le canapé. " C’est un peu plus confortable pour toi, non?" Elle approcha un tabouret du canapé , pour s’y installer, à hauteur de mon cul. Elle fit descendre le niveau du thermomètre en l’agitant, l’essuya, puis entreprit de vérifier ma température.

Une nouvelle fois, je sentis le thermomètre se glisser dans la raie des fesses, puis pénétrer profondément mon rectum. Toujours cette sensation extraordinaire! "Tu es si mignon comme ça avec le thermomètre entre tes petites fesses serrées. Tu me rend folle, tu sais" fit Maria. Peut-être que cette position permettait d'enfoncer encore plus l'instrument que quand j'étais debout ? Je retrouvais un peu ce sentiment curieux de mon enfance où le thermomètre dans mon rectum me procurait un vif plaisir, ce que je n'osai dire à personne, mais où, en même temps,j’avais très peur d’avoir de la fièvre parce que dans ce cas, ma mère appellerait le docteur, ce qui était pour moi la chose la plus terrible possible.

Tout à coup, après avoir eu le thermomètre en place pendant peut-être une minute, je me mis à avoir très chaud et à suer à grosses gouttes. En même temps, Maria, qui gardait ses mains à plat sur mes fesses, me dit, toujours d’une voix douce et attristée:

" Tu,as tout chaud, tu es sûr que ça va?"; Manifestement, cela n’allait pas. Après avoir eu très chaud pendant peut-être une minute, j’avais maintenant très froid et me mis à avoir des frissons, puis à grelotter et enfin à claquer des dents. La fièvre, que je ne pouvais plus nier, faisait son effet....

Maria retira alors le thermomètre et annonça " 39,7 ". Ma fièvre avait encore monté, mais là, en plus, je commençais à avoir des symptômes vraiment inquiétants. Soudain, je me mis à avoir des nausées et je dus courir aux toilettes (heureusement, je connaissais les lieux) pour vomir, en plus avec difficulté, ce qui devait être les restes du repas de midi.

Revenant au salon, toujours à poil, je claquais encore des dents, j’avais une sorte de vertige et je me sentais vraiment faible.

Maria s’exclama: " Mais , tu es tout blanc". Avec toute la douceur dont elle était capable, elle m’aida à m’allonger sur le canapé et couvrit ma nudité d’une épaisse couverture. Il n’y avait d’ailleurs pas grand’chose à couvrir. Mon sexe avait perdu toute velléité d’activité et pendouillait lamentablement. Malgré la couverture, je claquais des dents. le fait d'être malade m'angoissait, J'y vis tout à coup une manifestation de la justice immanente, une punition parce je m'avais voulu "tromper" Christine,... ou Maria...., ou les deux.

Me regardant d’un air triste, Maria me dit: " Je crains qu’on ne puisse pas faire l’amour aujourd’hui, et crois bien que je le regrette...., je ne peux pas te laisser comme ça….j’ai une idée, j‘appelle ma sœur Caroline, la doctoresse, tu sais...elle habite pas loin, je suis sûr qu‘elle viendra"

Malgré mes vertiges et les haut-le-cœur que je ressentais, auxquels s'ajoutaient maintenant des coups de couteau dans le bas-ventre, ma peur des médecins me revint et l'idée de voir un médecin, n'importe quel médecin, ajoutait à mon angoisse. En plus, je me demandais si ce serait une bonne idée d‘être soigné par la soeur d‘une copine, même si le statut de la copine en question était encore au stade virtuel.

Elle décrocha la téléphone qui était sur une tablette à coté du canapé. Je ne savais si je devais espérer une réponse ou pas.

La sœur avait manifestement répondu. Maria lui décrivait mes symptômes: " Oui, il est vraiment pas bien, il a vomi, il a des frissons, il est tout pale…Oui, ....rectale bien sûr, ....deux fois, 39,5 et 39,7. (Je me sentais très gêné, je voyais la doctoresse visualisant la scène de sa petite soeur mettant un thermomètre dans le cul de son copain, puis j'eu un violent frisson en imaginant la même dame vérifiant ma température selon le même protocole) ….Tu peux passer tout de suite….C’est vraiment sympa."

" Voila, Caro sera là dans un quart d’heure" dit Maria en raccrochant. Alors que je voulus protester, Maria ajouta: " Tu verras, elle est très sympa et super bien foutue en plus. " " Ne la laisse pas te draguer " fit encore Maria en souriant pour essayer de détendre l’atmosphère;

Je voulus m’habiller ou au moins mettre mon slip. Maria s’y opposa: " C’est ridicule, elle va t'examiner nu de toute façon, je crois que c'est comme ça qu'elle fait d'habitude.… " Je n'osai pas approfondir la question. L'idée qu'elle risquait, en plus, d'examiner mon pénis et mes testicules ajoutait encore à mes inquiétudes.

" Et qu’est-ce-que tu vas lui dire, pour moi, qui suis à poil chez toi ? "

" Que tu es mon petit copain et qu’on allait faire l’amour"

La sonnette de la porte se fit entendre, c’était Caroline, la sœur de Maria, la doctoresse. Maria ne m’avait pas raconté d’histoire, sa sœur était une fille, une femme, vraiment superbe. Un visage proche de celui de sa sœur, des cheveux blonds en chignon, les mêmes yeux bleus, elle faisait effectivement plus " femme" que mon amie. Elle portait une jupe relativement courte et malgré ma fièvre et mes angoisses existentielles, je constatais que ses jambes étaient splendides, remarquablement fuselées. Les boutons ouverts de son chemisier blanc de bon ton révélaient de plus une poitrine d’une taille respectable

" C’est toi qui a mis ce garçon dans cet état?" demanda-t-elle à Maria en souriant. Je ne devais pas avoir l’air très vaillant. Je grelottais toujours sous ma couverture et en plus je paniquais comme devant tout médecin. " Mon ami a un problème avec les médecins", voulut m’excuser Maria . " Je vois çà " répliqua sa soeur.

Caroline s’assit au bord du lit, tout près de moi. Je pouvais sentir son parfum capiteux. Elle commença par me prendre le pouls, puis me palper les ganglions du cou ; " Rien d'anormal" estima-t-elle. Elle sortit ensuite de sa trousse un tensiomètre et un stéthoscope et me passa le brassard autour du bras gauche. Elle manipula la petite poire de l’instrument, tout en me demandant si je connaissais ma tension habituelle: " Oui, répondis-je dans un souffle, j’ai plutôt une tension élevée, 14/9, 15/10 une fois", son visage marqua la surprise: " là, tu as 9/6, c’est-ce qu’on appelle une chute de tension."

" Et c’est grave ? " demandai-je sur un ton sans doute angoissé.

" Mais non " , répondit-elle, sans conviction me sembla-t-il, en rangeant le tensiomètre et en rabattant la couverture J’étais toujours nu , cela ne semblait pas la gêner. Maria observait la scène, me fixant de ses yeux énamourés, assise sur le bord du fauteuil où j’étais tout-à-l’heure.

" Oh là, le cœur est vraiment très rapide" , fit Caroline qui m’auscultait maintenant la poitrine. Malgré mon angoisse, je notais qu’elle était très douce dans ses mouvements. En plus, assise et se penchant sur moi allongé, elle m’offrait une vue plongeante sur son décolleté. Même si je sentais vraiment mal physiquement, je ne pouvait pas ne pas observer ce qu'elle me laissait voir de ses seins, ronds et fermes, d’une taille raisonnable,….. et j'en éprouvais un indéniable réconfort.

La soeur de Maria abandonna rapidement ma poitrine, enleva son stéthoscope et entreprit de m’examiner le ventre, depuis les côtes jusqu’au pubis. Le contact de ses mains n’était pas désagréable. Tout en m’examinant, Caroline me demanda: "Et quel age tu as?" "vingt-quatre ans" , répondis-je. Elle eut l'air surprise. "Tu fais nettement moins, observa-t-elle, j’aurais dit dix-huit ou dix-neuf ". Croyait-elle me faire plaisir ? Depuis toujours, j’avais fait jeune et cela me navrait. J’espérais seulement que je ferai encore jeune dans trente ou quarante ans. Appuyant sur un endroit précis du ventre, elle me dit: " une bonne nouvelle, ce n’est pas une crise d’appendicite" Il est vrai que c’était là aussi une de mes phobies.Elle prit un instant mon sexe dans sa main, le décalotta, examina le gland, puis fit rouler mes testicules entre ses doigts. J'eu l'impression qu'elle échangea un clin d'oeil avec Maria à ce moment. Je me sentais très gêné d'être examiné par cette femme superbe. Le fait qu'elle était la soeur de ma "copine" augmentait encore mon trouble.

" Bon, fit Caroline, je ne vois rien de grave, on va quand même vérifier ta température" Elle sortit un thermomètre de sa trousse. Je m’apprêtais à me retourner pour lui présenter mes fesses, mais elle m'arrêta et me fit replier mes jambes sur ma poitrine. c’était le première fois que l’on me prenait la température dans cette position qui me parut moins confortable et plus humiliante que la position à laquelle j'étais habitué sur le ventre.

Elle glissa le thermomètre avec habilité dans mon rectum, l’enfonça assez profondément, puis le maintint en place pendant un temps qui me parut très long. Caro me regardait avec un sourire ambigü, détaillant mon anatomie. "Une drôle de façon de passer une soirée avec sa copine" observa-t-elle, l'air sincèrement désolée. Maria me souriait toujours tendrement, tout en ne perdant rien du spectacle. C’était la troisième fois que mon rectum était visité ce soir. La sensation que j'éprouvais à me faire prendre la température par cette femme superbe, sous les yeux de Maria en plus, était un curieux mélange de jouissance et d‘humiliation. La remarque de Caro soulignait le ridicule de cette journée. J'étais vraiment lamentable. J’avais rêvé baiser Maria et j’avais passé ma soirée à me prendre des thermomètres dans le cul. Je réprimais un sanglot. Je me sentais ridicule, nu devant ces deux filles superbes. exhibant mon sexe minuscule. J’avais envie de pleurer, mais je voulais me maitrîser face à Maria et à sa soeur . Caroline retira tout-à-coup le thermomètre: " Bingo, fit-elle, tu est à 40, 40 tout juste". Elle sembla hésiter un instant, mais décida: " Il faut faire quelque chose. Mets toi sur le ventre, je vais te faire deux injections…."

Je protestais mollement: " je n’aime pas trop les piqûres, est-ce que vous n’auriez pas des cachets, ou même des suppositoires ?"

"Malheureusement, je ne me trimbale pas avec une pharmacie et je n’ai que des produits injectables, répondit Caro,un rien aggaçèe par mes exigences, je suis sûre que Maria aurait adoré te mettre des suppos dans ton petit cul, mais je n’en ai pas. Si tu ne veux pas de piqûres, je peux t’appeler le SAMU.... Mais je ne peux pas te laisser comme ça avec cette fièvre de cheval".

Je me résignais: "Bon, allez y " En fait, ma phobie des médecins en général ne portait pas particulièrement sur les piqûres et au point où j’en étais, je me sentais prêt à me laisser faire.

" Autre chose, dit Caro, tout en préparant ses produits sur la table basse du salon, il n’est pas question de laisser ce garçon se promener dehors avec une fièvre pareille avant demain, ni de le laisser seul. J’espère que vous aviez prévu de rester ici cette nuit" . Maria répondit: " Ses parents sont partis jusqu’à demain soir, je pense qu’il avait prévu de rester ici jusque là".

Caro continuait d'organiser les choses: "Je pense que ce serait sympa que tu lui laisses ton lit et que tu dormes sur ton canapé. Normalement, Il devrait bien dormir avec ce que je vais lui mettre; on peut d'ailleurs aller sur ton lit tout de suite".

Maria m’aida à marcher jusqu’à sa chambre qu'elle m'avait déjà montrée. Le lit était manifestement pour une personne. Je m’écroulais dessus à plat ventre, haletant. J’étais dans un tel état que je ne pensais même plus aux piqûres qui m’attendaient.

Les deux seringues étaient prêtes. " Un produit est pour faire tomber la fièvre, expliqua la doctoresse, l’autre est pour te détendre, je crois que tu en as besoin "

Je serrais les fesses en attendant que Caro les pique. Le premier impact ne fut pas si douloureux et je me sentis un instant soulagé, mais quelques secondes après, une sensation de brulûre intense envahit ma fesse, puis s’étendit dans l’ensemble de mon corps en s’atténuant peu à peu et me laissant pantois. Je n’avais jamais ressenti une telle expérience. Je me sentais lessivé.

"Celle-là devrait faire moins mal " dit Caro en piquant l’autre fesse. Là, Je ne ressentis pas d’effet particulier après la piqûre elle-même.

Je me sentis rapidement vaseux. "Tu vas dormir, laisse-toi aller " dit Caro. Je l’entendis dire à Maria: " Normalement demain, il sera en pleine forme et vous pourrez baiser comme des lapins…. Vérifie quand même sa température demain matin et préviens moi s’il a plus de 37,5. Dernière chose, prend lui encore sa température dans quatre heures, vers minuit, la fièvre devrait commencer à baisser, d'au moins un degré. sinon tu m'appelles, OK..." J’eu le temps de me dire que Maria ne s’opposerait sans doute pas à un tel programme et je repensais un instant aux hurlements de Christine quand je lui parlais de me prendre la température.

Les deux nanas quittêrent la chambre. Je sentais que j’allais m’endormir. Au moment de sombrer dans un profond sommeil, je suis sûr d’avoir entendu Caro dire à Maria: " Ce coup de fièvre est quand même bizarre, amène-moi ton copain pour un petit check up d’ici deux à trois semaines, il est si mignon que je me ferai un plaisir de l’examiner…. "

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