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Vues: 1018 Created: 2014.05.21 Mis à jour: 2014.05.21

Ma deuxième copine, une révélation ?

Chapitre 6

J’étais de nouveau dans cette position que je jugeais humiliante, allongé sur le dos avec les jambes repliées sur la poitrine , avec un thermomètre maintenu bien enfoncé dans mon rectum par Caroline., assise à mon chevet sur le lit.

Elle retira le thermomètre et annonça: " toujours 40, hélas". Elle me fixa dans les yeux un instant, puis se leva et dit: " Je sais comment faire baisser cette température, ne bouge pas, reste dans cette position, je reviens tout de suite ". Elle sortit de la chambre. Je ne savais à quoi m’attendre, une nouvelle piqûre, ou…

Elle revint assez vite et je fus sidéré. Elle était entièrement nue, elle était effectivement bien foutue, une femme de trente-cinq ans dans sa plénitude, des seins superbes. Entièrement nue, pas tout-à-fait, elle portait entourant ses fesses, également rondes et fermes, plusieurs lanières, et recouvrant son pubis une chose que je mis un moment à identifier, n’ayant jamais vu ou utilisé ce type d’accessoire,,...un gode-ceinture avec une imitation de phallus a priori de taille impressionnante. Je paniquais; elle n’allait pas… non, ce n’était pas possible.

Si, c’était possible, elle grimpa sur le lit et se plaça à genoux face à moi, juste au niveau de mon rectum.

" N’ai pas peur, me dit Caroline, Je suis sûre que tu vas aimer " Elle glissa un doigt dans mon rectum. " C'est vrai que ton petit cul est très étroit, ce sera encore plus amusant" commenta-t-elle. Elle retira son doigt et plaça son monstrueux appendice à l’entrée de mon rectum. J’étais tétanisé par la peur. Je ne m’étais jamais fait sodomiser et n’avais jamais mis dans mon orifice intime de choses plus grosses qu’un thermomètre. Elle prit son élan, donna un formidable coup de rein et son gode me pénétra sur la moitié de sa longueur. J’avais anticipé une douleur terrible, elle fut atroce, j’avais l’impression que mes intestins brûlaient, se déchiraient, et c’était d’ailleurs peut-être le cas. Je hurlais et suppliais Caro d‘arrêter cette torture. La doctoresse sadique continuait. Son gode avait maintenant complètement investi mon rectum et , témoignant d‘une rare énergie, elle se mit à faire aller et venir son gode en moi, s'enfonçant un peu plus chaque fois dans mon sphincter distendu, m‘infligeant des douleurs de plus en plus affreuses à chaque retrait et retour de l’engin diabolique en moi. A chacun de ses horribles assauts, elle m'arrachait un gémissement incontrôlable. .…

Assise à environ un mètre de la scène, Maria semblait révulsée, mais aussi fascinée malgré elle par le spectacle. Des larmes coulaient sur ses joues. Elle voulut calmer sa sœur: " Mais tu vois bien que tu lui fais mal, arrête çà, je t’en prie "

Tout à sa délectation de me sodomiser et me faire souffrir, Caro répondit à sa sœur: " Ne m’oblige pas à lui dire que c’est toi qui a eu cette idée de lui faire croire qu’il avait de la fièvre pour me faire venir et qu’on puisse jouer toutes les deux avec lui "

J’avais trop mal pour réagir à cette dernière révélation. Je voulais mourir. A ce moment, je réalisais que du sang coulait de mon rectum. " Il saigne " s’écria au même moment Maria, affolée.

Soudain, ma vue se brouilla. Maria se transforma en Christine, une Christine méchante qui ricanait et qui disait: " Je vois que tu t’amuses bien avec ta petite Maria…et sa soeur,....j’espère que tu me raconteras tout "

Je compris que j’étais dans un rêve, un cauchemar, et je me réveillai, ..en nage.

Je réalisais rapidement que j’étais sur le ventre et que j’avais un thermomètre maintenu dans mon rectum par Maria.

Je reprenais peu à peu pied dans la réalité, mais ce vilain rêve me poursuivait. Je tremblais de manière smasmodique, de la tête au pied, ce qui risquait sans doute de fausser le résultat de la prise de température en cours. Je m’excusais auprès de Maria: " J’ai fait un cauchemar, un cauchemar terrible,…sans doute à cause de cette fièvre " . Je ne savais pas si j’oserai raconter mon rêve à mon amie.

" Ce n’est pas grave, fit Maria, j‘espère que ma sœur ne te poursuivait pas avec ses piqûres dans ton rêve". " Mais non ", puis-je répondre sans mentir. Mon amie me donna quelques explications sur ce qui se passait. " Ma sœur m’avait dit de te reprendre la température vers minuit. Comme tu dormais si profondément, j’ai eu l’idée de te la prendre sans te réveiller…J‘avoue que c‘était assez excitant en plus. Tu étais si mignon. La première minute, tu étais calme, et puis tu as commencé à t’agiter, puis à crier et à trembler… ". Je sentais la caresse douce des mains de Maria sur mes fesses, sa pression sur le thermomètre. Je sentais aussi la douleur, encore cuisante, des deux endroits où sa chère sœur m’avait fait ses injections.

Maria me dit d’un ton désolé: " Je pense qu’il faut mieux que je te reprenne ta température un peu plus tard, … je ne sais pas si ton agitation peut avoir faussé le résultat." Elle ajouta: " Ca aura vraiment été la journée pour ton pauvre petit cul aujourd’hui". Repensant à mon cauchemar, je me dis en moi-même " tu ne crois pas si bien dire " .

Maria retira le thermomètre. Il affichait 38,8. Maria battit des mains et déclara: " tu vois, malgré ton rêve et ton agitation, ta fièvre a baissé de plus d’un degré. Ma sœur est vraiment géniale" . Elle ajouta: " Je pense que je peux te dispenser d’une nouvelle vérification avant demain." L’idée que les choses s’arrangeaient un tout petit peu me combla de satisfaction; Ce samedi avait vraiment été une journée de merde, mais j’espérais que le lendemain m’apporterait quelques compensations, sans trop y croire encore.

Maria continuait de me caresser les fesses avec amour, évitant les cicatrices des injections de sa sœur. Elle me dit d’une voix très tendre: "Je regrette de nous avoir fait autant traîner avant de faire l’amour et d’être restée égoïstement habillée devant toi qui t’est tout de suite mis nu devant moi. J’ai été méchante;.Je te promets qu’on va baiser comme des fous demain.. "

Elle se reprit: " enfin, si cette vilaine fièvre est bien tombée"

Ces promesses de Maria m’aidèrent à m’endormir.

Je dormis d’un^sommeil profond, sans nouveaux rêves jusqu’au lendemain.

Je me réveillai en pleine forme; j’étais toujours nu, allongé sur le ventre, les endroits où Caroline m’avait piqué me faisaient encore un peu mal, mais c’était supportable. Maria me regardait tendrement. Elle dit: " Je n’osais pas te réveiller, il est presque midi ".

Maria portait une sorte de longue chemise de nuit. Elle était vraiment à croquer.

Très tendrement, elle me dit; " On a promis à ma sœur de vérifier ta température, tu permets que je le fasse".

Maria glissa le thermomètre dans mon rectum, très doucement, sans forcer. Elle laissa l’appareil de mesure sans exercer de pression et garda ses mains à plat sur mes fesses. La situation était plus qu’agréable et la seule sensation du thermomètre dans mon cul et des mains de Maria sur mes fesses provoquèrent rapidement une belle érection. Mon amie retira le thermomètre et regarda le résultat; " tu sais combien tu as ? " , me demanda t-elle." Non "., dis-je: " 36,7 " , annonça -t-elle . Elle ajouta euphorique; " Ca veut dire que tu peux me baiser "

Maria se leva et me demanda: " tourne-toi " Je me mis sur le dos, malgré la douleur des piqûres de la veille au soir. Je vis alors mon amie se lever et se placer dans mon champ de vision. D’un geste, elle retira sa chemise de nuit, elle était nue dessous. Le visage rayonnant comme je ne lui avait jamais vu, elle me dit simplement: " Fais -moi l’amour, là, maintenant, tout de suite! "

C’était la première fois que je voyais Maria nue et je la trouvais merveilleusement belle. Ses seins étaient petits, mais absolument pas minuscules comme elle me l‘avait fait croire. Deux petits seins d’adolescente avec leurs pointes bien dressées. Ses jambes étaient fines, mais pas difformes, et bien des femmes auraient souhaité en avoir de pareilles. Sa chatte était également petite, mais bien dessinée. Maria était belle et j’étais excité au plus haut point à l’idée de lui faire l’amour, ….de la baiser.

Je me levai et me trouvais face à elle, à quelques centimètres d’elle., Comme la veille, nous tombâmes dans les bras l’un de l’autre, avec cette différence que là, nous étions nus tous les deux. Nos mains glissèrent naturellement de nos hanches à nos fesses. Les fesses de Maria, que je n’avais encore jamais vues, étaient fermes mais avec une peau d’une douceur infinie.

J’avais une érection formidable et mon sexe palpitait contre le bas-ventre de Maria. Nous nous roulâmes une pelle monumentale, plus torride encore que celle de la veille. La bouche de Maria se libéra de la mienne pour me dire une nouvelle fois: " je veux faire l’amour, maintenant ". Elle se dégagea de notre étreinte pour appuyer ses fesses sur le bord du lit et écarter légèrement les jambes. " prends-moi là,comme çà, tout de suite " ordonna-t-elle. En même temps, elle saisit avec fermeté mon pénis en rut et le plaça juste à l’entrée de son sexe à elle. J’aurais voulu lui faire profiter de mes talents pour les préliminaires acquis auprès de Christine, mais Maria était vraiment trop excitée."viens" me répéta plusieurs fois Maria, offerte.

J’avais retrouvé mes forces et je la pénétrai d’un coup de rein vigoureux. Elle eut un sursaut, puis un râle de satisfaction. Enfin, çà y était; Je faisais l’amour avec Maria, ce dont j'avais, consciemment ou pas, rêvé depuis que j'avais vue pour la première fois. J‘atteignais la plénitude. Aller et venir dans son vagin étroit était une sensation extraordinaire, divine. " Baise moi bien, mon petit viking" , m’implora-elle. Ses mains s’accrochaient à mes fesses, tant pis si elle réveillait la douleur des deux piqûres de sa sœur, les miennes se concentraient sur ses petits seins. Comme Maria l’avait prévu plus tôt, nos deux toisons blondes se mélangeaient alors que mon pénis allait et venait en elle. " Je t’aime" ne cessait-elle de répéter entre ses gémissements.

Nous étions trop excités tous les deux et nous sommes venus trop vite, tous les deux, elle eut rapidement un orgasme, juste avant que ma semence ne se répande en elle. Elle pleurait, de joie manifestement. Elle me supplia de ne pas me retirer, de rester en elle.

" C’étais formidable", dit Maria, quand mon sexe se fut enfin retiré. Elle se retourna brusquement et s’étendit à plat ventre sur le lit et me lança. " Maintenant, c’est toi qui va me prendre la température"

Maria était allongée sur le ventre, ses longs cheveux blonds tombaient jusqu’à sa taille. Elle était si belle.

Son petit cul frétillait en attendant le thermomètre. Je voyais pour la première fois les fesses de Maria, certes un peu plates, pour ne pas dire osseuses, surtout comparées aux globes charnus du derrière de Christine dont j’avais l’habitude. Mais je les trouvaient terriblement émouvantes, excitantes et leur seule vue rendit toute sa vigueur et sa fermeté à mon sexe. Bref, elles me faisaient bander, et pas qu’un peu. De plus, pour la première fois de ma vie, j’allais avoir l’occasion de mettre un thermomètre dans le cul: d’une nana. La proposition de Maria de lui prendre la température m’excitait au plus haut point.

J’étais assis au bord du lit, juste à coté de Maria allongée sur le ventre et je lui caressais doucement les fesses. Leur peau était si douce..

Maria me dit d’un ton soudain triste: " Ta copine, Christine, a un cul superbe, beaucoup plus beau que le mien. Elle avait un pantalon le jour où je vous ai vu chez Gibert et j'étais fascinée par ses fesses ....vous faisiez un si beau couple tous les deux. Je me sentais très conne à côté, avec mon cul de petit garçon et je me suis dit que je n'aurai jamais aucune chance de te plaire…"

J’essayais de rassurer Maria: " Tu sais, Christine elle.... elle trouve qu’elle a un gros cul et en fait un vrai complexe "

" C’est vrai? " interrogea Maria que cette information semblait mettre en joie. " Oui" , lui répondis-je sans mentir. Maria poursuivit: "Ca doit quand même être super de lui prendre sa température avec les superbes fesses qu'elle a,.... Non ? "; Je lui avouais alors que Christine avait toujours refusé de me prendre la température ou que je la lui prenne et que c'était une grande frustration pour moi que j'avais acceptée. " Elle est un peu givrée, ta copine..." jugea Maria, puis elle demanda: "Alors, tu n'as jamais mis un thermomètre à une nana ? "; Je reconnus que non. " Alors, ce sera encore plus mignon si tu le fais maintenant " conclut Maria.

Maria passa à l’organisation de la prise de sa température; Elle m'annonça: " Tu trouveras plusieurs thermomètres dans la table de nuit, et aussi de l’alcool pour les nettoyer"

Je fis glisser le tiroir de sa table de nuit et découvris une dizaine de thermomètres, de différentes tailles et présentations. Manifestement, le sujet l’intéressait,... et nous n’en avions jamais parlé en trois ans, période où nous nous considérions, sans doute à tort, comme de purs esprits.

" Prend le plus gros, me demanda Maria, je veux jouir encore."

Je suivis la recommandation de mon amie et sélectionnais en effet un thermomètre d’une taille que je n’avais jamais vu jusque là. " Tu as l’intention de me le mettre aussi ?",. demandais-je, mi-fasciné, mi effrayé.

" Si tu es sage, ....ou bien non, pour te punir, si tu n’es pas sage", dit Maria d'un ton malicieux. Je repensais un instant à mon cauchemar de la nuit dernière et essayais de chasser cette pensée. J’écartais doucement les petites fesses de ma copine, découvrant à la fois son petit anus rose et sa vulve parfaitement dessinée. Je glissais un doigt dans son rectum, lui arrachant un râle de plaisir. Je plaçais le thermomètre a l’entrée de son intimité, puis je fis pénétrer lentement le tube de verre en elle. Elle gémissait comme tout-à-l’heure en faisant l’amour. " enfonce-le bien", me supplia-elle. "Tu fais çà bien, m'encourageait Maria, ne me dis pas que c'est la première fois...". L’engin me paraissait bien en place. Je maintenais maintenant le thermomètre en exerçant de petits mouvements. " Oh oui , n"arrête pas, c’est si bon ", gémissait Maria.

Cette fille était vraiment un peu spéciale. " Combien de temps veux-tu le thermomètre ?" lui demandais-je. "Je ne sais pas, fit Maria, dix minutes…, ou plus...."

Elle semblait s’abandonner à sa jouissance. Manifestement, elle aimait avoir un thermomètre dans le cul et je n‘en avais rien su jusqu‘ici. J’étais fasciné par la situation et je bandais comme un âne. Je commençais à craindre que la situation me fasse éjaculer, là sur les draps de Maria, ou carrément sur elle. Comment réagirait-elle?

Maria vint à mon secours. Tout à coup, elle me dit: " tu sais ce qui serait sympa… que tu retires ce thermomètre et que, à la place, tu me mettes ton…enfin, que tu m’encules…."

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