Vues: 795 Created: 2014.05.24 Mis à jour: 2018.12.28

Ma deuxième copine, une révélation ?

Chapitre 7

L'idée de sodomiser Maria ne me déplaisait pas, mais, comme indiqué, je sentais que j'étais au bord de la jouissance et l'opération risquait de devenir compliquée.

Toute honte bue et un peu géné, j'avouai mon état à Maria. Cette dernière rigola: "Ca te met dans un état pareil de me prendre la température et de mater mon cul de petit garçon! Commence par me retirer le thermomètre et laisse-moi faire, je vais t'aider."

Je retirai le thermomètre."tu veux le résultat" demandai-je à Maria; "Bien sûr" répondit mon amie.

,,"Tu as un petit 37,9, lui annonçai-je, tu es un peu fiévreuse";

"C'est normal, répliqua-t-elle, je suis en train de faire l'amour avec l'homme de ma vie,...non" En même temps, elle se redressa et s'assit au bord du lit, face à moi, debout. Mon sexe était au bord de l'explosion. Une nouvelle fois, Maria apprécia sa fermeté, me caressant doucement le corps du pénis et mes petits testicules.

" Tu préfère que je te suce ou que je te caresse", demanda Maria. Je n'osai lui donner une réponse. "Fais comme tu veux", lui dis-je. "Bien", fit-elle et l'instant d'après, sa bouche engloutissait mon sexe et m'administrait une habile fellation. La sensation était merveilleuse et ce qui devait arriver arriva, beaucoup trop vite. Mon sperme gicla en plusieurs rafales dans sa bouche et elle se força à l'avaler

Elle abandonna.mon sexe devenu flasque. Maria me dit:"Ca aussi, j'en rêvais depuis si longtemps. C'était si bon, mais un peu rapide, monsieur" Après quelques instants, elle prit ma verge entre ses doigts et commença à la masturber avec énergie. "Deuxième étape, dit-elle, avec une nouvelle fois un sourire ambigü, durcir monsieur pour qu'il puisse défoncer mon petit cul"

Même si j'avais déjà jouis deux fois ce matin-là, mon sexe se retrouva rapidement en état de fonctionnement. Maria se remit sur le ventre et m'invita à me placer de manière à la sodomiser. "Défonce-moi bien le cul, mon petit viking". Je voulus porter ma bouche à sa région anale, mais elle m'arrêta: " Tu n'as vraiment pas besoin de me sucer le cul, je ne suis pas une chienne, c'est ta queue que je veux en moi" Je m'assis sur ses cuisses et lui écartais ses adorables petites fesses. Le spectacle qu'elle offrait était merveilleux avec sa vulve parfaite et la corolle de son anus rose. Cette dernière paraissait vraiment minuscule. Je sentais mon rythme cardiaque qui s'affolait à l'idée de ce que j'allais faire subir à la pauvre Maria..

"Qu'est-ce-que tu attends", s'impatientait Maria. Au moment où le plaçais mon pénis à l'entrée de son rectum, la sonnerie de la porte d'entrée se fit entendre.

" Et merde", s'exclama Maria en me bousculant pour se lever. "je pense que c'est ma soeur, .....après ce qu'elle a fait pour toi hier, on est bien obligés de lui ouvrir, non" dit-elle en passant un peignoir et en sortant de la pièce. Je ne savais pas où étaient mes vêtements, ni où était la couverture du lit. Heureusement (ou pas), l'interruption soudaine de nos ébats avait eu raison de ma belle érection. Je reconnaissais la voix de Caro qui disait: "comment va notre petit malade" alors qu'elle se dirigeait vers la chambre. Je cachais maladroitement ma nudité et essayais de chasser les souvenirs de ce cauchemar où elle m'avait fait subir les derniers outrages..

Caro sourit quand elle me vit nu. Elle s'excusa: " Je suis désolée. Vous étiez en train de....". " Tout juste", répondit Maria, avec un sourire à peine gêné. Caro s'assit sur le lit, juste à coté de moi. Ce mouvement releva sa jupe, dévoilant ses cuisses superbes, bien galbées. Une nouvelle fois, je me sentais ridicule, nu devant la sœur de ma copine (maintenant, je pouvais vraiment la qualifier ainsi ), une femme splendide en plus, exhibant mon pénis flasque et ratatiné. La nuit précédente, j'étais dans un tel état que je prêtais nettement moins d'attention au fait d'être nu devant Caro. La sœur de Maria annonça son intention de me réexaminer, elle jugeait ma poussée de fièvre d'hier soir inquiétante. Je cachais mon sexe de mes mains, elle me fit mettre les bras le long du corps. Elle me dit en souriant; "Tu sais, je fais passer des visites médicales dans trois lycées, alors je vois plus de mille jeunes mecs nus chaque année...". Elle entreprit de me reprendre la tension. Alors qu'elle appuyait sur la poire du dispositif, j'eu soudain une illumination. Pendant que Caro constatait que ma tension était redevenue "normale", peut-être un peu faible par rapport à mes chiffres habituels, je réfléchissais à ce que je venais de découvrir. Si Caro avait neuf ans de plus que Maria, elle avait donc trente-trois ou trente-quatre ans et elle avait vingt-sept ou vingt-huit ans il y a six ans quand j'étais en terminale, il était donc possible qu'elle ait été la doctoresse, ou l'étudiante en fin de cursus, qui m'avait fait passer cette mémorable visite médicale de terminale qui m'avait marquée et que j'ai déjà évoquée dans ce récit.

Caro m'auscultait maintenant le cœur et continuait de trouver qu'il battait trop vite. Pendant ce temps, je me remémorait les détails de cette visite médicale que Caro, puisque j'étais maintenant sûr que c'était elle, m'avait fait passer et en particulier le fait qu'elle m'avait pris la température rectale debout et avait gardé ses mains posées sur mes fesses, en un geste qui n'avait sans doute pour elle rien de sexuel, ni même d'ambigu, mais qui avait suffi à affoler (et à faire bander) le petit puceau que j'étais alors.

Caro rangea ses instruments dans sa trousse et s'adressa à sa sœur, lui disant: 'Maintenant, laisse moi seule avec ton ami". Maria était surprise, tout comme moi.' Mais pourquoi ?" demanda-t-elle. "Le secret médical, tu connais ? " répondit un peu vivement Caro. Comme d'habitude, je me laissais aller à mon hypocondrie naturelle et je m'imaginais que Caro allait m'annoncer que j'avais Dieu sait quelle maladie, sans doute mortelle. Manifestement un peu vexée, Maria annonça: "Bon, je vais me chercher des cigarettes, comme c'est dimanche, j'en ai pour un moment".

Quand je fus seul avec Caro, je voulus en avoir le cœur net et je lui demandai:

"C'est bien vous qui m'avez fait passer la visite médicale au Lycée Marcel Proust à Bourg-la-Reine en 1970"." Surement pas, répondit la jeune femme, en 1970, je faisais une spécialisation en Cardiologie à Harvard aux Etats-Unis". Je m'étais encore fait tout un film et venais une nouvelle fois de me rendre ridicule. J'étais à la fois soulagé et un peu déçu de ne pas avoir retrouvé cette doctoresse qui m'avait tant marqué.

Caro m'interrogea: "Tu as pris ta température ce matin ?". Elle ajouta: " Là, Je te trouve un peu fiévreux"."C'est Maria qui me l'a prise ce matin, répondis-je, j'avais 36,7" . J'eu soudain un doute affreux: et si Maria m'avait menti? Elle avait l'air de vraiment tenir à faire l'amour à en juger par son attitude. A la réflexion, je me dit que si elle m'avait menti, en me disant que je n'avais plus de fièvre alors que j'en avais encore, pour pouvoir faire l'amour avec moi pour la première fois, ce geste n'en était que plus émouvant, plus romantique et me plaisait assez.

"Tu permets que je revérifie ?" demanda Caro pour la forme, en me faisant plier les jambes de manière à me placer dans la même position qu'hier soir. "Pas très glamour comme position" admit la soeur de Maria en souriant. Je n'osai pas lui demander pourquoi elle ne me prenait pas la température sur le ventre, ce qui me semblait la position normale et qui aurait un peu plus ménagé ma pudeur, au lieu d'exhiber mon pénis flasque. D'une main experte, Caro glissa un thermomètre dans mon intimité, qui l'était de moins en moins, si j'ose dire, au cours de ce week-end et l'enfonça sur une bonne longueur. Je perdais le compte des prises de température au cours des dernières vingt-quatre heures. Mais je m'étais trop pris la température seul, avec ou sans masturbation associée, au cours de toutes ces années, pour ne pas ressentir une satisfaction perverse à me faire pénétrer le rectum par un thermomètre manipulé, en plus, par une femme attirante

Je me demandais si Caro avait chassé Maria uniquement pour me prendre la température, le motif me paraissait un peu ridicule et pour moi, la présence de celle qui était désormais ma girlfriend attitrée, n'aurait fait que rendre la situation plus excitante. Maintenant d'une main le thermomètre bien planté dans mon rectum et ayant posé son autre main sur le haut d'une de mes cuisses, Caro me souriait, de manière un peu équivoque, me semblait-il. "Ta peau est si douce, dit-elle alors que sa main se déplaçait lentement du haut de ma cuisse à ma fesse, Maria a bien de la chance, tu es vraiment trop mignon" Caro se mettait-elle à me draguer, n'était-elle pas en train de violer allègrement le code de déontologie médicale? Un instant choqué, je me raisonnai rapidement en me disant que Caro aurait peut-être eu mIeux à faire un dimanche après-midi que de prendre la température du copain de sa soeur et je me sentis un peu gëné vis-à-vis d'elle. Tout-à-coup, elle me demanda: "Et tu sais comment les Américains appellent cette position?". Je ne savais pas, Caro me donna la réponse: "diaper change position". Même si je ne connaissais pas le mot "diaper", je saisis le sens de l'expression,et cela suffit à renforcer mon sentiment mélangé d'excitation et d'humiliation. Heureusement, je n'avais aucun amour-propre. Caro retira le thermomètre. Elle lut le résultat et parut surprise; "Je m'attendais à pire.Tu as un petit 37,8, ce qui me semble normal après vos quelques galipettes de ce matin". Elle rangea son thermomètre, puis, toujours assise au bord du lit et moi toujours allongé nu sur le lit, elle me prit la main dans la sienne et me dit: " Tu te doutes que ce n'est pas parce j'allais te prendre la température que j'ai demandé à Maria de nous laisser seuls. Je voudrais te parler"

Mon inquiétude me reprit Je me demandais ce que Caro voulait me dire....

Caro prit la parole : " Ne t'inquiète pas, je ne vais pas t'annoncer que tu vas mourir prochainement ou que tu as telle ou telle maladie. Ton malaise d'hier m'inquiète un peu, mais je pense qu'il est sans doute d'origine psychologique. C'est pourquoi je voulais parler un peu librement avec toi et j'ai demandé à Maria de nous laisser seuls tous les deux..."

J'interrompis sans politesse Caro : "Mais, je n'ai rien à cacher à Maria !"

" C'est ce qu'on va voir , reprit Caro, et n'oublie pas que je suis médecin et que rien de ce que tu me diras ne sortira d'ici. Je ne répéterai rien à Maria".

Le discours de Caro m'inquiètait un peu sur les questions qu'elle allait me poser. Sa première question était en effet un peu indiscrète : " Hier, c'était la première fois que tu avais des relations sexuelles avec Maria ?". " Oui" avouai-je. " Mais vous connaissiez depuis trois ans, si j'ai bien compris". "Oui" reconnus-je une nouvelle fois. "Et est-ce-que tu n'aurais pas tendance à mettre Maria sur un piédestal, à considérer que c'est une fille extraordinaire,, qui te dépasse dans beaucoup de domaines. Bref , est-ce-que tu n 'aurais pas un petit complexe d'infériorité vis-à-vis d'elle ? ". " Sans doute, répondis-je, mais elle me bat dans tous les domaines, elle parle quinze langues quand j'en baragouine cinq, elle a tout lu, elle connait tout...". Là, ce fut Caro qui m'interrompit : " Bref, je pense que, pour toi, faire l'amour avec elle constituait le défi ultime, que tu avais peur de ne pas être à la hauteur et que, à ce moment ton corps s'est révolté et que tu as fait cette « crise », qu'en penses-tu? "

" Vous avez sans doute raison,répondis-je, mais il y a encore d'autres éléments que vous ne connaissez pas et qui vont sans doute dans le sens d'une explication psychologique...."

Et là, je lui déballait sans aucune pudeur le récit de mes relations avec Christine, les premiers temps idylliques, le fait que je la supportait de moins en moins, sans doute en comparaison avec Maria, la reconnaissance que j'avais cependant à son égard pour m'avoir tout appris dans le domaine sexuel, son exigence que nous ayons un « amour à la « Sartre et Beauvoir » et la vie débridée qu'elle menait elle à l'étranger comparée à la vie monacale dont je me contentais à Paris. J' avouai même à Caro que Christine m'avait mis au défi de « baiser » Maria avant Noël, sinon elle me laisserait tomber.

" Eh bien, fit Caro,c'est encore plus compliqué que je ne le pensais, on dirait du Marivaux ou un film de Rohmer, et cela renforce en effet la piste psychologique pour ta poussée de fièvre …."

A ce moment, on frappa à la porte de la chambre, c'était Maria qui revenait.

Caro rassemblait ses affaires . " Bon, je crois que je ferais mieux de vous laisser et de ne plus vous embêter " dit-elle en s'esquivant un peu brutalement, peut-être sincèrement ennuyée de nous avoir interrompu dans nos états .

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dudu Il ya 10 ans  
clyso Il ya 10 ans  
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