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Vues: 737 Created: 2014.06.06 Mis à jour: 2014.06.06

Ma deuxième copine, une révélation ?

Chapitre 8

Caro nous ayant laissé un peu abruptement, nous nous retrouvions seuls, Maria et moi. J'étais toujours allongé sur le lit de Maria, nu comme un ver. Maria portait un de ses éternels jeans et une chemise d'homme, plusieurs tailles trop grande. Je n'étais pas sûr qu'elle avait mis un soutien-gorge. A son tour, elle s'assit au bord du lit. Ses mains, froides puisqu'elle venaient de l'extérieur, se posèrent sur ma poitrine et ses doigts commencèrent à titiller mes tétons, lesquels se dressèrent rapidement en réaction à ces caresses.

"Je n'ose pas dire que c'est ce que je préfère chez toi parce que tu as d'autres atouts, dit Maria avec un sourire énamouré, alors que ses doigts agiles pinçaient maintenant à me faire mal mes si sensibles mamelons, mais j'adore tes petits seins ". Une de ses mains abandonna ma poitrine pour caresser avec une infinie tendresse mon pénis en train de se gonfler et de se dresser peu à peu en réaction à l'action de ses doigts sur mes mamelons. Face aux différentes caresses de Maria, je me laissais paressement faire avec délectation, réservant mon savoir-faire sexuel pour plus tard..

Tout en me prodiguant ses caresses sensuelles, Maria me mit au courant de ses intentions pour le reste de la journée : « Il est presque 14:00, je ne sais pas pour toi, mais moi je n'ai pas l'intention d'aller traîner dans un restau, alors qu'il ne nous reste que cet après-midi pour sauver notre premier week-end en amoureux ». Ecoutant Maria, je me disais que jusqu'à ce moment, notre week-end, s'il m'avait quand même permis de faire une fois l'amour avec Maria, il est vrai dans des conditions peut-être pas tout-à-fait idéales, et ça, c'était quand même, positif,...extraordinaire, ressemblait à ces mauvaise comédies "érotiques" qui florissaient alors où les protagonistes étaient continuellement empêchés de faire l'amour par une série d'incidents plus rocambolesques les uns que les autres. Passant à mes petites couilles pour des attouchements d'une égale douceur (et prudence ? ), Maria m'annonça : « J'ai acheté des sandwichs pour que nous ne tombions pas d'inanition – sinon, encore du travail pour ma sœur – mais je te rappelle que tu as une dette envers mon petit cul.... »

Me laissant avec une belle érection, elle me dit : « lève-toi et dépêche-toi de manger, tu as un programme chargé cet après-midi, je crois ». D'autres auraient trouvé ma « nouvelle » copine un peu « bossy », mais je m'accommodais fort bien de la situation . Je fus cependant un peu chagriné quand, ne voulant pas rester nu pour déjeuner et interrogeant Maria sur ce qu'elle avait fait de mes vêtements après mon malaise d'hier soir, ma copine me répondit : « Je te veux nu pour le déjeuner aussi, mon petit viking, Je ne voie pas ce que tu aurais à me cacher d'ailleurs, tu auras tes habits ce soir pour rentrer chez papa et maman, d'accord? ». Je cédai une nouvelle fois à mon amie. Après tout, la perspective d'une après-midi de sexe torride valait bien que j'abdique un peu de mon amour-propre.

Je me sentais un peu mal à l'aise nu devant Maria, même si nous venions de faire l'amour ensemble et nous apprêtions, normalement, à le faire à nouveau l'après-midi. Mon amie, qui elle gardait ses vêtements, rigolait de ma gêne. « Tu as vraiment un problème avec ton corps, observa Maria, alors tu n'as vraiment aucune raison d'être gêné, crois-moi ». Les sandwiches furent rapidement engloutis, Maria et moi n'avions rien mangé depuis la veille à midi.

Son sandwich expédié, elle m'avait laissé les trois autres, Maria s'éclipsa un instant. Elle revint nue. Je la trouvait de plus en plus belle. Mon amie sa planta devant moi. C'est là que l'on peut dire que nous avons vraiment fait l'amour pour la première fois, après l'essai trop rapide du matin, avec calme et sérénité. Cet épisode est resté dans ma mémoire. Je ne suis pas sûr que les mots puissent rendre compte de ce que j'ai ressenti.

Comme le matin, nous nous collâmes l'un à l'autre. Notre baiser fut une nouvelle fois chaud, intense. Nos mains parcouraient nos corps respectifs, se faisant de plus en plus audacieuses. Mes mains apprécièrent d'abord ses fesses, sans doute un peu plates, mais à la fois fermes et douces, puis se portêrent sur ses seins, petits mais durs avec leurs mamelons dressés, puis revinrent vers le bas de son corps, forçant l'entrée de son sexe déjà trempé. Ses mains à elle se montraient tout aussi aventureuses, passant de mes fesses à mon pénis puis mes testicules, glissant enfin un doigt dans mon rectum. Nous avions perdus toute retenue et rester debout commençait à devenir difficile, impossible.

Interrompant un instant nos caresses, Maria nous entraîna sur son lit dans sa chambre pour les reprendre de manière encore plus débridée. Nos lèvres se séparèrent et Maria me laissa porter ma bouche entre ses jambes pour lui montrer les talents que j'avais modestement acquis depuis trois ans auprès de Christine, ce qui rendait le situation presque gênante. Mes lèvres et ma langue prirent soin de son clitoris, minuscule mais bien gonflé, puis de l'entrée de son vagin, se glissant jusqu'à son rectum, que le visitais également . Maria hurlait Entre deux gémissements, haletante, elle me dit : « C'est dingue, on ne m'a jamais succée comme ça ». Elle eut un premier orgasme alors que mon pénis ne l'avait pas encore pénétrée ; Elle ne cessait de le réclamer.

Je lui donnai finalement satisfaction. Je chevauchais mon amie dans la position peu originale du missionnaire et pouvais lire tout son amour dans ses beaux yeux bleus. Mon sexe, gonflé, une nouvelle fois au bord de l'explosion, se plaça à l'entrée de son sexe trempé. Je pénétrai sans difficulté le fourreau étroit, mais trempé, de son vagin. Je restai immobile en elle un moment, espérant lui faire partager la sensation extraordinaire que je ressentais. « C'est merveilleux de te sentir en moi », articula-t-elle entre deux gémissements. J'entamai des mouvements de va-et-vient, Maria agrippait mes fesses avec violence. Elle avait replié ses jambes sur les miennes et je sentais ses chevilles frotter contre le haut de mes cuisses. Mes mains caressaient les petits seins de Maria, peut-être un peu brutalement. Ce jour-là, je voulais absolument « tenir longtemps » et faire en sorte de ne pas venir trop vite et j'avoue que, sentant l'explosion arriver, j'ai concentré mon esprit un moment sur le check-up et l'électrocardiogramme que voulait m'imposer Caro. Cela n'a pas si mal marché et j'ai pu laisser Maria avoir plusieurs orgasmes avant de venir en elle. Maria me supplia de rester en elle après avoir répandu ma semence en elle. J'essayai de lui donner satisfaction.

Allongés côte-à-côte, nous reprenions lentement nos esprits. Maria me dit : « Tu as vraiment un certain talent, on ne m'a jamais baisée comme ça » .Elle ajouta, avec un regret dans sa voix : « Je suppose que je devrais remercier ta copine de Californie » . Un ange passa, puis retrouvant sa gaité naturelle, elle me lança : « Et est-ce-que tu es encore en état d'honorer mon petit cul ? ».

Maria insista: « Tu as joui trois fois aujourd'hui. En plus, tu as été malade hier soir. Est-ce que tu penses que tu es capable de venir encore une fois pour mon petit cul? »

La question pouvait en effet se poser. Il me semblait qu'il m'était arrivé de jouir cinq ou six fois dans la journée lors des marathons sexuels que m'imposait Christine quand elle était de passage à Paris .Il aurait été un peu gênant d'évoquer ce souvenir devant Maria. « Je pense que oui » répondis-je et j'ajoutai : « On peut toujours essayer, non ? »

« Eh bien, allons y » fit Maria en se redressant pour s'assoir juste à côté de moi. Elle prit en main mon pénis et entreprit de lui rendre sa vigueur. Ce fut rapide. Ses caresses habiles permirent à mon sexe de retrouver toute sa fermeté et il pointait fièrement vers le plafond. Maria observa en souriant : « Tu m'impressionnes, c'est à se demander si Caro n'a pas ajouté quelque chose dans sa piqûre..... ». Maria roula sur le lit pour se retrouver à plat ventre, la croupe offerte, les fesses frétillantes d'excitation. « Je t'attends, mon petit viking » Je réalisais tout-à-coup que Maria utilisait ce "petit nom" depuis hier, depuis que nos relations avaient pris un tour nouveau. Je la trouvais particulièrement excitante, émouvante, a plat ventre avec ses longs cheveux descendant presque jusqu'aux fesses.

Au contraire de ce matin, Maria ne protesta pas quand je plaçais ma bouche entre ses jambes et me lançais dans un anulingus frénétique. Elle semblait avoir apprécié mes caresses buccales de ce matin et visiblement en redemandait. Rapidement, je l'amenai au bord de l'extase et j'espérai que son anus serait assez stimulé pour supporter la pénétration qui s'annonçait. Elle avait un trou du cul splendide, mais minuscule. J 'étais sûr que j'allais lui faire mal, très mal.

Je me plaçais, assis sur ses cuisses. Je lui écartais ses petites fesses au maximum. Je voyais sa chatte parfaite et juste au dessus la minuscule corolle de son anus. Je plaçai ma queue ferme et tendue juste contre la petite corolle et je donnai le plus fort coup de rein dont j'étais capable. Maria ne put s'empêcher de pousser un hurlement déchirant qui traduisait l'intensité de sa douleur. Le gland était entré. La sensation était pour moi extraordinaire, le sphincter distendu faisait un fourreau nettement plus étroit que celui de son vagin et exerçait une pression formidable sur mon sexe, mais j'étais conscient que la douleur que je ressentais n'était rien par rapport à celle que j'infligeais à ma copine Tout en gémissant doucement, Maria voulut me rassurer et me dit : « Tu me fais très, très mal, mais je veux que tu continues,..... c'est si bon, ….je veux que tu m'encules, mon petit viking,...encule-moi, je t'en prie ».

Il fallut plusieurs autres coups de rein vigoureux pour que mon pénis investisse son rectum de manière telle que l'on puisse parler d'une sodomie. Maria hurlait à chacun de mes coups de buttoir.

Je nous laissai un temps de répit quand j'estimai que mon pénis ne pourrait plus avancer plus loin dans l'intestin de Maria. Ma copine était en nage, elle tremblait de tous ses membres. Elle continuait de gémir, mais ses plaintes semblaient diminuer d'intensité. Elle s'habituait sans doute à la douleur. Elle me dit de sa voix toujours douce: « C'est si bon de te sentir dans mon cul ».

J'entrepris alors des mouvements de va-et-vient dont l'ampleur ne pouvait qu'être limitée. Mon pénis était complètement prisonnier du minuscule fourreau qu'il avait investi. La sensation était extraordinaire de sensualité, mais terriblement épuisante pour moi. Maria continuait de gémir à chaque poussée de ma part. Compte tenu de la « fatigue » de mon organe, il nous fallut longtemps pour que mon sexe atteigne le moment de l'extase. Heureusement en un sens, car ce temps permit à Maria de s'habituer à la douleur et d'éprouver une véritable jouissance. Elle eut un orgasme juste avant que j'expulse ma semence en elle.

Maria commenta : « Tu sais, c'est la première fois que je jouis quand on m'encule, c'était formidable, mon petit viking ».

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clyso Il ya 10 ans  
n/a Il ya 10 ans  
Nassau Il ya 10 ans  
patou39 Il ya 10 ans  
dudu Il ya 10 ans  
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