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Vues: 775 Created: 2014.06.09 Mis à jour: 2014.06.09

Ma deuxième copine, une révélation ?

Chapitre 9

Après cette sodomie mémorable, nous reprenions lentement nos esprits, allongés l'un à côté de l'autre. Nos respirations, d'abord haletantes, se calmèrent peu à peu. Nous ressentions une sorte de plénitude. Maria serrait très fort ma main. Je me sentais bien, ce dimanche après-midi avait plus que compensé les mauvais débuts de ce week-end. Maria rompit le charme de cette sérénité en nous rappelant aux réalités de ce monde: « Tu as dit que tu devais partir dans une heure pour rentrer chez Papa et Maman. Avant, je pense que tu devines ce que je vais te faire pour te remercier de m'avoir si bien fait l'amour ». J'en avais une petite idée. Je me disais que j'avais vraiment de la chance d'avoir trouvé une fille qui partageait ma passion secrète.

Maria fit glisser le tiroir de sa table de nuit. Elle annonça : « Tu avais sans doute noté que le thermomètre que tu m'as mis ce matin avait un frère jumeau. C'est celui-là que je vais te mettre, mon petit viking ». Elle ajouta : « Si tu es d'accord, bien entendu ». Bien sûr que j'étais d'accord, un peu inquiet quand même face à la taille de l'engin en question J'étais certain de ne jamais en avoir de pareil entre mes fesses.

Je me tournai sur le ventre, attendant relativement serein la suite des événements. Maria se plaça derrière moi. Elle posa ses mains si douces sur mes fesses. « Je me répète sûrement, fit Maria, mais je n'ai jamais vu un cul aussi mignon, tu as des fesses parfaites, bien musclées, ne viens pas me dire que tu ne fais pas de sport ». Pourtant, c'était bien vrai, je ne faisais aucun sport, néanmoins je marchais beaucoup dans les rues de Paris, c'était peut-être l'explication. Maria m'écarta, avec son mélange habituel de douceur et de fermeté, les fesses. Pendant un instant, elle contempla avec délectation le spectacle de ma région anale et glissa, très lentement, mais très profondément, le thermomètre géant dans mon rectum.

Habitué de la température rectale, je ne m'étais pas attendu à la sensation de déchirement que je ressentis alors. Mon corps sursauta, pour la plus grande joie de Maria. Ma copine s'exclama : « Eh bien, on voit que tu ne t'es jamais fait enculer, mon petit... ». C'était vrai, l'engin que m'avait mis Maria pénétrait des régions de mon corps qui étaient toujours restées inviolées, vierges.

Le thermomètre était bien enfoncé et en plus, ma copine s'amusait à lui imprimer de petits mouvements de va-et-vient qui augmentait encore cette sensation, mélange de douleur et de jouissance. « Comme ça, déclara Maria, tu as une petite idée de ce que j'ai ressenti quand tu 'as enculée tout-à-l'heure ». Je ne sais combien de temps dura le supplice. Le souvenir de mon cauchemar de la nuit précédente, et de Caro me sodomisant avec son gode, me revint. Je demandai à Maria où elle avait trouvé cet engin démoniaque. Elle m'avoua quelle l'avait volé dans le cabinet du vétérinaire, voisin de la maison de campagne de ses parents, et qu'il était prévu pour les chevaux et pour les vaches. Malgré mon absence d'amour-propre, je ressentis un sentiment curieux à l'idée d'avoir entre les fesses un instrument prévu pour les vaches...., en plus, cela faisait "vachement" mal.

Finalement, Maria retira le thermomètre. Elle examina doctement le résultat affiché. Elle se prononça enfin : « Tu as 37, 9, c'est un peu élevé, mais tu t'es fatigué à me faire l'amour, alors je t'autorise à rentrer chez Papa et Maman »

La fin de ce week-end mémorable arrivait. Maria voulut me donner l'argent pour un taxi. Je refusai. Nous nous quittâmes avec beaucoup d'émotion, conscients de l'importance des deux jours que nous venions de vivre. Nous nous promîmes de nous revoir dès que possible, de nous téléphoner dès le soir même.

Quelques heures plus tard, dans ma chambre de petit garçon sage de notre modeste pavillon familial, ayant du mal à trouver le sommeil, je repensais aux événements de ce week-end mouvementé. J'avais fait l'amour avec Maria, de toutes les manières possibles et nous avions été enchantés tous les deux de nos ébats. Nous nous sentions bien tous les deux ensemble. Je me disais que, avec Maria, j'avais trouvé une copine qui pouvait devenir la femme de ma vie. Elle semblait m'accepter, même si je me sentais comme « le ver de terre amoureux d'une étoile ».

De plus, j'avais découvert la face cachée de cette étudiante brillante, des choses dont nous n'avions jamais parlés en trois ans. Depuis mon adolescence, je croyais que mon goût pour la température rectale faisait de moi un fou, un malade, un pervers, et j'avais découvert, notamment en contemplant sa collection de thermomètres, que Maria était manifestement encore plus atteinte que moi par cet intérêt, ce virus pour rester dans le médical. J'avais réalisé mon rêve de trouver une copine avec qui partager cette passion, « malsaine » aurait dit Christine. Je pouvais espérer d'autres expériences dans ce domaine. Je fantasmais à l'idée de faire l'amour ( à Maria, bien sûr) avec un thermomètre dans le cul,..peut-être pas la « grosse Bertha » qu'elle m'avait infligée ce soir et dont mon rectum ressentait encore les atteintes à son intégrité, sinon sa « dignité ». Du point de vue des prises de température, j'avais été gaté ce week-end. Du fait de mon hypocondrie et de ma phobie de tout ce qui est (était) médical, j'étais plus effrayé, mais un peu fasciné quand même, par sa tendance « med fet » que Maria m'avait révélée en sortant son stéthoscope samedi après-midi. Allait-elle avoir d'autres idées dans cette veine ? Devais-je m'attendre à la voir me mettre un spéculum pour mon derrière ?

Tout cela posait, de mon point de vue, la question de mes relations avec Christine. Nous n'en avions pas encore parlé avec Maria, mais je considérais que je ne pouvais poursuivre des relations « sérieuses » avec les deux filles à la fois. L'une devait dégager, et vite....Il était évident que Maria battait Christine à tous les points de vue. Le seul avantage que je pouvais reconnaître à ma première copine était qu'elle était manifestement plus expérimentée dans les choses du sexe que Maria. A part cela, je jugeais Maria physiquement largement supérieure à Christine, peut-être parce qu'elle correspondait au prototype de la jeune fille scandinave, dont j'avais rêvé depuis mon enfance. Ne l'ayant jamais vue nue, j'avais eu tendance à exagérer ce qui devait être sa maigreur, qui n'avait au final vraiment rien de monstrueux. Je m'étais bien accommodé depuis trois ans des hanches « un peu larges » et du « gros cul » de Christine. Sur le plan intellectuel, Maria écrasait absolument ma première copine, j'ai eu l'occasion de dire à quel point ma « fiancée » me désolait sur ce point. Enfin il y avait eu cette « révélation » de ce week-end, sur un point peut-être pas vital, mais qui jouait un rôle important pour moi, le goût de Maria pour les thermomètres.

Bref, tout plaidait pour une explication définitive avec Christine et la fin de notre relation.

Ma décision était prise, j'allais larguer Christine. J'estimais que j'avais pris ma petite Mme de Merteuil à son propre piège et je n'en étais pas mécontent. Elle m'avait enjoint de baiser Maria, je l'avais fait et je ne voyais plus de raisons de continuer à voir Christine.

J'en parlais à Maria quelques jours plus tard. Nous avions fait l'amour et cela avait été merveilleux. j'étais allongé nu sur le ventre, Maria assise, tout aussi nue, au bord de son lit, ma copine m'avait mis un thermomètre entre les fesses, pas la « Grosse Bertha » du week-end précédent, un engin de taille classique, « pour vérifier ma température après cet effort ». Tout en continuant de jouer avec le thermomètre, lui impulsant des mouvements un peu pervers de va-et-vient dans mon petit rectum, Maria laissa une nouvelle fois transparaître dans sa réaction, toute sa sensibilité et sa gentillesse : « Même si nous sommes maintenant « ensemble », je ne me sens pas le droit de t'imposer de ne plus voir Christine, de ne plus « baiser » avec elle, je veux dire..., je comprends que cette fille a pu compter pour toi , qu'elle compte peut-être encore... Tu fais ce que tu veux ». Pour ma part, j'assurai Maria que ma décision était prise. Rentrant le lendemain de Californie, Christine m'avait fixé rendez-vous à l'appart de ses parents deux jours plus tard. Maria me suggéra de simplement ignorer cette « convocation ». Je trouvait cette solution un peu lâche et inélégante et je me sentais quand même obligé d'y aller.

En traversant le hall de l'immeuble cossu d'une de ces avenues chics du 16ème où habitait Chrsitine, je me dis que je perdais sans doute l'occasion de faire prochainement un « beau mariage » et je repensais à la conversation que j'avais eu la veille avec ma mère. A 24 ans, j'étais resté très proche de mes parents et je m'entendais plutôt bien avec eux. Ils étaient au courant de ma liaison avec Christine et la considéraient comme ma fiancée. Ils l'avaient rencontrée plusieurs fois et avaient même vu ses parents, à l'occasion d'une réception dans leur maison de campagne. La veille de cette entrevue avec Christine qui devait être la dernière, j'étais donc allé voir ma mère pour lui exposer la situation . Elle se montra compréhensive comme elle l'avait toujours été. « Tu es assez grand pour décider toi-même de ta vie, dit-elle, ce qui compte pour ton père et moi, c'est ton bonheur. Je te dirais juste que je trouvais cette situation, qui dure depuis trois ans, où tu attendais dans ton coin, le retour de ta bien-aimée, un peu malsaine. Et pour tout te dire, vous n'alliez pas tellement bien ensemble, elle était beaucoup trop superficielle et je trouve qu'elle manquait terriblement de classe pour l'argent que tu m'avait dit que ses parents avaient. Tout ce que tu me dis de cette petite Maria, que tu m'as quand même bien cachée depuis trois ans, me paraît très bien et je suis sûr que ton père, sera content de pouvoir parler suédois avec elle. L'autre jour, il était ému aux larmes en se réveillant et il m'a dit : « Tu sais, j 'ai rêvé que notre fils épousait une Suédoise et j'étais si content... »

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