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Vues: 811 Created: 2014.06.15 Mis à jour: 2020.09.12

Ma deuxième copine, une révélation ?

Chapitre 10

Christine vint m'ouvrir la porte de son immense appartement et me conduisit à travers un dédale de salons et de corridors à sa chambre. C'était l'endroit où nous nous retrouvions à chaque fois que je la voyais à Paris. C'était aussi le lieu où elle m'avais dépucelé trois ans et demi plus tôt, ce qui compliquait encore la présente situation. Arrivée à sa chambre, elle s'assit sur son lit et d'un geste, m'invita à la rejoindre. Je préférai m'installer dans le fauteuil disponible. Je dis à Christine : « Il faut qu'on parle ». « Tu peux me parler en étant assis à côté de moi, non? » minauda Christine, qui, manifestement, ne s'attendait pas à ce qui allait suivre. J'observais un instant Christine, avant de prendre la parole. Elle était mal fagotée à son habitude, rien à voir avec la classe de Maria, et sa jupe courte laissaient voir ses jambes qui me paraissaient énormes .

J'attaquai carrément : « Christine, je crois qu'il faut mieux qu'on cesse de se voir ». Elle sursauta sous le choc et répliqua : « Mais pourquoi, tu es fou ? » Je repris la parole : « J'ai fait l'amour avec Maria, je pense que c'est la femme de ma vie,....tu as bien remarqué que, nous deux, ça ne marche pas, non ? »

Manifestement choquée, elle répondit : « Mais non, il me semble , au contraire, que ça marche très bien entre nous, ...et au lit, il me semble qu'on s'éclate ». Elle poursuivit : « Tu n'as pas le droit de me faire ça, tu oublies que c'est moi qui suis venu te chercher dans ta merde de petit puceau débile et qui t'ai tout appris, justement dans cette chambre. On va se marier et on vivra ensemble, un point, c'est tout » Elle ajouta : « Et qu'est-ce-que c'est que cette histoire de Maria ? Tu n'as pas compris que je m'amuse avec toi, que je voudrais que tu profites de toutes les occasions comme moi, je le fais. J'étais sûr que ce serait comme d'habitude, que tu n'aurais pas le courage d'aller jusqu'au bout, de la sauter....Tu l'as baisée, je te félicite, et j'espère que c'était bien .Ce n'est parce que tu as baisé une autre nana qu'on doit rompre, on n'est plus au 19ème siècle... Et dis-moi, c' était bien avec elle, elle baise mieux que moi ? Ou bien, vous vous lisez des poèmes pendant, comme deux intellos tordus que vous êtes ? » Elle marqua une pose, je n'osai reprendre la parole. Tout-à-coup, elle sembla avoir une illumination et me dit : «Est-ce-que, par hasard, elle ne t'aurait pas mis un thermomètre dans ton petit cul pour te remercier de l'avoir baisée, ta charmante Miss Stockholm? C'était bien ça ton rêve, si je me souviens bien ...Et tu veux me plaquer pour ça, pour avoir un thermomètre dans ton cul, c'est pas un peu ridicule....Si ce n'est que ça, je suis prête à te faire éclater ton joli petit cul avec tous les thermomètres que tu voudras,... même si ce n'est pas mon truc... »

Je devais reconnaître une certaine intuition (féminine?) à Christine. Je lui répondis : « Il n'y a pas que ça. Je trouve que ça ne va pas entre nous deux en général, il n'y a pas que le sexe dans la vie. Je te remercie pour tout ce que tu as fait pour moi et t'en serais toujours reconnaissant, mais, vis-à-vis de Maria comme vis-à-vis de toi, je considère que je ne dois plus te voir.

« C'est elle qui t'a mis ça dans la tête, hein, elle t'a ensorcelé, ta folle anorexique ? »

« Pas du tout, répondis-je, et crois-moi « anorexique », c'est très exagéré. Elle a un corps splendide. »

Christine se laissa aller à une crise de larmes. Elle me dit : « Si tu restes avec moi, tu pourras la voir tant que tu veux , ta sorcière, …..même si on se marie, toi et moi, d'ailleurs, mes parents voulaient fixer la date du mariage, je croyais que c'était de ça que tu voulais me parler..... je suis quand même un beau parti, non, avec le fric de mes parents... »

« Ce n'est pas la question : j'aime Maria et je ne t'aime pas, ou plus » repris-je, un peu gêné quand même par le tour de la situation..

Je m'apprêtai à partir . « Ne pars pas, reste » me suppliait Christine. Au moment où je passais la porte, elle me fit une ultime proposition : « Au moins, fais-moi l'amour une dernière fois? » Je pris mes jambes à mon cou.

Je ne revis jamais Christine. Je pouvais consacrer ma vie à Maria. Dans le métro, j'étais partagé entre une lâche satisfaction et un léger pincement au coeur.

La période qui s'ouvrit par ce week-end tragi-comique chez Maria, puis ma rupture avec Christine, fut sans doute l'une des plus heureuses, sinon la plus heureuse, de mon existence. J'avais une copine avec laquelle je m'entendais bien sur tous les plans et nous étions libres de nous voir sans problème. En cherchant la petite bête, on pourrait dire qu'elle était intellectuellement un peu plus brillante que moi, ce qui ne me dérangeait pas et ne semblait pas la déranger elle. On pourrait également objecter qu'au lit, elle était moins experte que ma copine précédente, mais elle compensait ses ignorances par sa constante délicatesse. En plus, il y avait ce point, qui peut paraître ridicule ou pire pervers, mais qui était pour moi très important, j'avais trouvé une fille qui partageait mon goût pour la température rectale et cela me permettait de mettre en oeuvre cette « passion » dans nos multiples jeux et me rassurait de voir que nous étions au moins deux sur cette terre à éprouver ce sentiment bizarre. J'étais un peu moins emballé par le coté « med fet » que Maria m'avait également révélé et qui me renvoyait à mes angoisses hypocondriaques.

Je voyais Maria plusieurs fois par semaine, nous fîmes plusieurs voyages ensemble, y compris dans notre chère Scandinavie et à la fin de cette période, je fis ce que j'aurais dû faire plus tôt et m'installais carrément dans le deux-pièces de Maria. Nous faisions l'amour tout le temps et j'ose dire que j'appris pas mal de chose à ma nouvelle copine au cours de cette période.

Je me souviens avec émotion d'une de ces rencontres chez Maria, peu de temps après le début de notre liaison.

J'arrivai chez elle un après-midi. Allongée sur le ventre sur son lit, elle lisait. Dans un premier temps, j'eus l'impression que je la dérangeais. « Je ne sais pas pour toi, mais moi, j'ai l'impression que je ne lis plus depuis qu'on est ensemble » me dit-elle sans quitter son livre des yeux. Après une pause, elle repris, d'un ton un peu gêné : « Je me suis promis de finir aujourd'hui cette nouvelle bio de Kierkegaard, il me reste une cinquantaine de pages à lire,...alors, si tu veux être un amour, est-ce-que tu peux t'assoir le temps que je termine ». Elle ajouta encore d'un ton désolé : « Je vais continuer à jouer à l'intello, mais comme c'est en danois, j'en ai pour un petit moment ». Je cédai, un peu trop vite, aux arguments de mon amie et m'installai dans le fauteuil, près à attendre son bon vouloir. Pour m'occuper, je pris un vieux numéro du « Morgonblatid », quotidien islandais, qui trainait sur la table basse. Regardant le programme des cinémas de Rejkiavik, Je me disais que nous composions un tableau qui pouvait paraître au choix comme le comble de l'érudition ou du ridicule; au lieu de baiser comme l'instinct nous pressait de le faire, nous lisions ,elle un livre de philo en danois et moi un quotidien islandais.

Après peut-être un quart d'heure, Maria leva le nez de son bouquin et me demanda : « Tu ne t'embêtes pas trop ? » Je n'osai lui répondre par l'affirmative. Quelques instants plus tard, elle reprit la parole : « Tu sais, je me sens un peu fatiguée, est-ce-que tu veux bien être un amour et me prendre la température pendant que je lis ». Ne doutant pas de ma réaction, elle dégrafa la ceinture de son jean afin que je puisse le lui abaisser. Bien sûr que la proposition de Maria m'excitait au plus haut point, je sentis mon rythme cardiaque s'accélérer et, je l'avoue, mon pénis se durcir à la perspective de lui donner satisfaction. Je savais, depuis ce mémorable week-end que le tiroir de sa table de nuit abritait sa collection de thermomètres, je me permis donc de l'ouvrir et salivai devant cette impressionnante exhibition.

Quittant un instant Kierkegaard, Maria me dit : « Un pas trop gros, quand même, s'il te plait». Je choisis un instrument de taille moyenne et le posai sur la table de nuit. Assis au bord du lit, je fis glisser sans difficulté jusqu'à mi-cuisses le jean qu'elle avait ouvert. La vue de sa minuscule culotte augmenta encore mon trouble. « Allez, vas-y, baisse-moi mon slip » m'encouragea Maria. Je lui abaissais sa culotte dégageant les fesses. La vision qui s'offrait à moi était encore plus excitante. Maria, le haut vétu d'une sorte de chemise, avec ses longs cheveux blonds tombant sur son dos, le jean et la culotte baissés, révélant ses fesses, certes un peu plates, mais ô combien attendrissantes, qui frétillaient dans l'attente du thermomètre.

J'écartai les adorables petites fesses de Maria, révélant ce paysage anal que je commençais à connaître, mais qui me troublait toujours autant, et je lui glissais le thermomètre au fond de son rectum, m'efforçant de procéder avec douceur. Elle émit un petit gémissement et s'exclama : « tu l'a bien enfoncé, mon salaud », puis ajouta de sa voix la plus chaude :''c'est si bon''.

Assis au bord du lit à côté de Maria, je lui pris la température selon le protocole que nous avions tacitement fixé entre nous, c'est-à-dire que je jouais avec le thermomètre bien enfoncé, lui impulsant notamment des petits mouvements de va-et-viens qui ne pouvaient laisser la jeune fille indifférente. Maria semblait toujours concentrée sur son livre, même si elle laissait échapper quelques gémissements.

La situation m'excitait au plus haut point : les petites fesses crispées de Maria, le thermomètre planté dans son rectum, les gémissements qu'elle poussait à intervalles irréguliers, tout cela me rendait fou. J'avais l'impression que mon sexe était prét à éclater et qu'il aurait suffi que je dégage mon pénis pour que ma semence se répande sur les fesses de ma chère Maria. Elle leva un instant les yeux de son bouquin et proposa : « Je pense que tu peux arrêter pour la température, non ? » Je regardai ma montre, on était à plus de 10 minutes. Je lui retirai le thermomètre. Elle n'avait aucune fièvre : 37, 3.

N'ayant plus le thermomètre pour jouer, je me contentai de garder les mains à plat sur les fesses de Maria et cette sensation suffisait à mon bonheur et garantissait à mon sexe une belle érection. Cette situation se prolongea plusieurs minutes, puis soudain Maria, qui poursuivait apparemment sa lecture sans sourciller, s'interrompit pour faire une nouvelle proposition :

« Je t'avoue que j'en ai un peu marre de me taper Kirkegaard, alors que tu es à côté de moi et que j'ai envie de toi, alors je vais te proposer quelque chose : tu vas me pénétrer comme si tu allais me faire l'amour, mais tu resteras immobile en moi jusqu'à ce que j'ai terminé ce bouquin de merde, d'accord ? ». La proposition de Maria me plaisait assez, même si elle me paraissait un peu folle et je n'était pas sùr de pouvoir tenir le pari.

« D'accord » fis-je alors que Maria était retournée à sa lecture. Je me débarrassais rapidement de mes vêtements et, entièrement nu, me plaçais sur le lit, à genoux derrière Maria. Je lui écartai à nouveau les fesses. Je plaçai mon sexe à l'entrée de son vagin et la pénétrai d'un coup. Maria eut un sursaut. C'est alors que je réalisai la difficulté de l'épreuve imposée par Maria , rester immobile alors que tout incitait à faire l'amour à la jeune femme. « Je te sens en moi, tu es gros, c'est si bon, murmura Maria, mais maintenant reste sage. »

Les minutes qui suivirent furent un peu difficiles. Mon sexe était prisonnier de l'étroit fourreau du vagin de Maria, une sensation extraordinaire en soi, mais il y avait cette exigence de Maria de ne pas bouger. Je convoquais toutes mes pensées « négatives » pour ne pas bouger ou même ne pas jouir tout-de-suite. J'avais, il est vrai, un beau sujet d'angoisse en réserve. J'avais fini par accepter la suggestion de Caro, la sœur de Maria, de passer un check-up à la suite de mon « malaise » lors du mémorable week-end qui marqua le début de notre liaison. J'avais donc rendez-vous au cabinet de la sœur de Maria pour un électrocardiogramme qui me faisait très peur.....

Maria continuait de lire, même si elle poussait quelques gémissements pour bien me montrer qu'elle appréciait la présence de mon sexe en elle. Elle leva un instant les yeux de son livre pour déclarer: "Je suis complètement idiote,....j'avais oublié que tu parles aussi danois....je vais te faire la lecture de la fin du livre.....n'ai pas peur, il reste moins de dix pages.." Aussitôt dit, aussitôt fait, Maria se mit à me lire son bouquin dans un danois parfait, respectant les intonations gutturales de cette langue. Ce faisant, Maria perfectionnait son supplice, d'abord elle allongeait le temps qu'il lui faudrait pour finir son livre, en plus, sa voix chaude et sensuelle, même en danois, interrompue en plus de quelques râles due à la présence de mon pénis en elle, accentuait encore le caractère érotique de la situation. Je ne sais comment je pus tenir jusqu'à l'agonie du pauvre philosophe. Elle finit par achever son livre. Elle posa le volume et m'invita en termes crus à lui faire l'amour; "Tu peux me mettre ta sauce, mon petit viking" fit-elle d'un ton enjoué. Alors que mon pénis entamait enfin ses mouvements de va-et-vient en elle, elle ajouta en riant: "Je crois que je ne verrai plus jamais Kierkegaard de la même façon". Ce fut une "baise" fantastique, après la tension de l'attente. J'essayai de faire durer les choses, de ralentir mes mouvements de va-et-vient en elle. La sensation de ses petites fesses fermes contre mon bas-ventre était extraordinaire. Je sentis ma semence se répandre en elle, ...trop vite.

Maria affirma pour sa part qu'elle avait adoré cette séance de lecture un peu particulière. Il y en eu d'autres.

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arianai Il ya 2 ans 1  
patou39 Il ya 10 ans  
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clyso Il ya 10 ans