Vues: 764 Created: 2014.08.09 Mis à jour: 2014.08.09

Une romance imprévue

Chapitre 7

Une romance imprévue - 25 ► 28

Après mes différents émotions de la journée, je me couche tôt, non sans avoir vérifié ma température. Comme disait mon père au cours du repas, se faire prendre la température par une jeune femme n'est pas désagréable, la prendre seul est moins jouissif. 37;2, Le traitement de Chantal semble continuer à faire son effet. Je me mets aussi, avec quelques difficultés pour atteindre certaines zones de mon corps meurtri, ma pommade que nous avons oubliée, Chantal et moi. Heureusement que j'avais gardé le tube dans ma poche. Je m'allonge en réfléchissant à mes dernières aventures. Ma deuxième journée, sur les dix promises, avec ma « copine » a finalement été un peu frustrante, et sans doute encore plus pour elle que pour moi, en raison de ma poussée de fièvre. Nous avons fait l'amour une seule fois, et encore , si l'on peut qualifier ainsi la sodomie brutale que je lui ai infligée, à sa demande il est vrai, contre le vieux fauteuil de son studio, même si le souvenir de cette péripétie suffit maintenant à me donner une érection convenable, mais rien d'autre. En revanche, mon petit cul a été gâté. Chantal m'a pris la température au moins six fois, mais dans la plupart des occasions pour des raisons largement médicales, même si le plaisir n'en était jamais absent. En revanche, je n'ai eu l'occasion de prendre la température de Chantal qu'une fois, et mal si l'on peut dire, puisque ma propre poussée de fièvre commençait de me perturber et qu'elle a dû elle-même retirer le thermomètre de son adorable rectum..

Soudain, un sentiment de panique s'abat sur moi, à l'idée de cette poussée de fièvre justement. C'est la première fois de ma vie que j'ai ce genre de symptôme. Ma température est montée à un niveau qu'elle n'avait jamais atteint auparavant. Lier ce symptôme à mes coups de soleil ne me paraît pas sérieux, j'ai déjà eu pas mal de coups de soleil avec ma peau de blond débile, en général sans avoir aucune fièvre, mon hypocondrie et mon goût pour le thermomètre m'ayant amené à vérifier la chose. Je me demande donc si cette poussée de fièvre n'est pas le signe de quelque chose de grave, en plus peut-être d'une punition divine pour avoir baisé. Je continue d' y croire un petit peu. Je me dis que j'ai peut-être une leucémie ou quelque chose dans le genre et que Chantal et moi sommes en train de rejouer « Love story », mais là, c'est le garçon qui va mourir. D'ailleurs, d'un point de vue littéraire ou cinématographique, une « romance » entre un médecin et son patient condamné est un thème intéressant, déjà exploité me semble-t-il. Et j'ai peur, très peur..., que demain, Chantal me propose de me lancer dans des examens compliqués, de me faire des prises de sang et autres....Voila le résultat d'avoir une copine toubib, chère Maman!!!.... Je me rends compte que je garde mes angoisses métaphysiques face à tout ce qui est médical , malgré ma relation avec Chantal .Je me sens tout à coup très triste et prèt à pleurer comme un enfant.

J'essaie de me dominer et de concentrer mon esprit sur les aspects positifs de ma relation depuis deux jours avec Chantal. Après avoir vécu seul pendant des années dans mon coin, je me suis enfin trouvé une copine, mignonne et sympa, même si elle ne correspond pas à mon idéal de femme, elle a un visage d'une infinie douceur, de madone et un cul superbe. Je partage avec elle plein de passions, certaines parfaitement innocentes comme celle pour l'Amérique dans tous ses états, ou Etats, d'autres beaucoup moins avouables comme notre goût commun pour la température rectale. Grâce à elle, je ne suis plus un petit puceau ridicule. En deux jours, elle m'a appris une foule de choses et je pense que j'ai largement rattrapé mon retard sur les « copains » de la fac qui se foutent de moi et de mon ignorance du sexe. Et puis il y a ces « secrets » formidables qu'elle m'a fait partager, sa terrasse au Quartier Latin, où elle m'a dépucelé, je crois que je peux dire en beauté , ….et sa splendide voiture qu'elle vient de me faire découvrir. Et en plus, ce soir, j'ai découvert que je pourrais passer le prochain week-end avec Chantal ; Je nous imagine sur la route dans sa Mustang, descendant dans une auberge de luxe pour y baiser toute la nuit.

Je m'endors sur ses perspectives engageantes, pour ne pas dire idylliques.....

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.Je retrouve Chantal à son cabinet, je commence à connaître l'endroit. Chantal m'accueille avec plus de réserve que d'habitude et me désigne une jeune fille assise dans le fauteuil qui fait face au bureau du docteur. Elle se lève pour me saluer. Elle est blonde, mais franchement moche. Elle est aussi grande que moi, sinon plus, a des cheveux courts et un visage ingrat, le genre hommasse dont j'ai horreur. J'ai un mauvais pressentiment que la réalité vient rapidement confirmer.Chantal m'annonce avec son plus beau sourire : « Magali est une étudiante en cinquième année qui fait un stage en médecine scolaire. Elle va faire passer des visites médicales. Est-ce-que tu veux bien être un amour et nous servir de cobaye pour lui montrer comment cela se passe ? »La proposition de Chantal ne m'enthousiasme pas . J'ai horreur des visites médicales et la nouvelle venue ne m'inspire pas du tout confiance et ne me plaît pas du tout comme nana. Mais, par amour pour Chantal, j'accepte avec réticence de participer à ce « jeu ».« Eh bien, mets-toi en slip, mon petit chéri » commande Chantal. J'obéis en me demandant ce que les deux jeunes femmes vont m'imposer comme scénario. Je me retrouve en slip devant ces deux femmes. Je suis très gêné. Magali est en jupe courte, mais a de vilaines jambes, épaisses comme des troncs d'arbre, alors que Chantal cache les siennes, jolies, sous son jean. « Tu vas d'abord lui écouter le cœur, propose Chantal à sa « collègue » qui a sorti un splendide « Littmann » de son sac. « Il est plutôt mignon, ton copain, dit-elle à Chantal, mais il a l'air nerveux ». « Il n'aime pas les docteurs, confirme Chantal, il fait un gros effort pour nous aider ».

La copine de Chantal pose le disque de son stéthoscope en différents endroits pour en trouver un satisfaisant pour écouter mon cœur. Le contact de ses mains sur ma peau est rêche et peu agréable, rien a voir avec les mains de Chantal. Je suis en effet nerveux et mon cœur bat sans doute trop vite. Magali concentre son auscultation sur un point. A plusieurs reprises, elle me demande de ne plus respirer. Puis elle a ce commentaire : « Madame, j'entends nettement un souffle ». Cette affirmation suffit à affoler l'hypocondriaque que je suis. « Ca m'étonne, Magali, fait Chantal, j'ai ausculté souvent mon petit chéri et je suis sûre qu'il n'a rien. ». « On va vérifier ça », ajoute-t-elle en saisissant son propre stéthoscope. Chantal se met au coté de sa copine pour m'ausculter elle aussi. Moi qui ai horreur des visites médicales, je me retrouve ausculté en même temps par deux nanas. Je retrouve avec plaisir la douceur des doigts de Chantal. Ma copine confirme très vite que je n'ai pas de souffle et demande à Magali de lui passer son propre appareil. Elle m'ausculte un instant avec, puis rigole en disant : « Magali, tu as une touche « écho » sur ton beau « Littmann », si tu l'éteins, tu n'entendras plus de souffle » Non seulement elle est moche, mais en plus, elle est conne. Chantal fait comme si rien ne s'était passé et propose à son élève d'écouter mes poumons. Magali constate que mes poumons sont « clairs ». Chantal souligne que je ne fume pas. Magali annonce qu'elle en est à deux paquets par jour et se porte très bien. Chantal échange un clin d'oeil consterné avec moi. « On va passer à l'examen génital, annonce Chantal qui ajoute à mon égard, avec un sourire délicieusement pervers :: « J'espère que cela ne te gêne pas trop d'exhiber ta jolie queue devant ma copine ». Si justement, cela me gêne, et je n'apprécie pas tellement cette connasse, mais je suis décidé à tout faire pour faire plaisir à ma copine à moi. Magali se cale sur le siège face à moi debout. Visiblement impatiente, elle saisit l'étoffe de mon slip et le fait glisser le long ds jambes. J'ai décidé de ne pas lui faire le plaisir de bander devant elle. Chantal lui prodige ses conseils éclairés; « Tu as un petit copain, non.....alors tu sais comment cela fonctionne....on te demande juste de vérifier que tout fonctionne bien....tu dois décalotter et recalotter le sexe du garçon ». Les doigts rêches de la nana saisissent ma verge et la décalottent sans ménagement. « Eh, attention....c'est fragile » fait Chantal avant un large sourire à mon intention. Chantal lui suggère ensuite de vérifier l'état de mes testicules et une nouvelle fois, lui demande de manipuler mes attributs avec modération. « Bon, on a terminé avec l'examen génital, fait Chantal, j'espère que tu n'as pas trop abîmé mon petit copain ». Je souris, mais mes organes sont en effet un peu endoloris. " Maintenant, dit ma doctoresse favorite, on va passer à la partie que les garçons détestent le plus, tu vas lui prendre sa température rectale". Venant de cette connasse, je m'attends au pire

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Sans l'enthousiasme que j'aurais eu si cela avait été Chantal qui devait me thermomètrer, je me laisse tomber à plat ventre sur le lit d'examen du cabinet. Magali et Chantal mâtent mon cul. Magali, ce n'est pas la première, décrète que j'ai un beau cul et demande à Chantal si je baise bien. Chantal la mouche à ma satisfaction : « C n'est pas une question qu'on pose entre gens bien élevés et surtout pas devant le garçon intéressé ». J'ai un instant une agréable surprise quand je sens la douce main de ma copine qui se pose sur mes fesses en un geste de soutien. « Courage, c'est presque fini », me murmure la jeune femme à l'oreille. Elle ajoute : « Tu sais, tes petites fesses sont encore plus excitantes quand tu les serres, comme maintenant, tu vas rendre cette pauvre Magali folle ». S'adressant à son étudiante, elle lui dit : « Tu lui mets le thermomètre trois minutes, c'est pas très difficile quand même...et attention, le rectum est également sensible et fragile ». La nana n'en a cure . Elle m'écarte avec brutalité mes pauvres fesses, on ne me les a jamais traitées avec une telle violence, je me sens écartelé. Elle se repaît un moment du spectacle de mon cul et m'enfonce avec le même manque de délicatesse le thermomètre que Chantal lui a confié.

J'ai l'impression de subir le supplice du pal. Cette folle me déchire les intestins, je gémis doucement. Je plains son petit copain, s'il est possible qu'elle en ait un. La sensation du thermomètre enfoncé n'est finalement pas si désagréable, et heureusement la gamine n'a pas l'idée de jouer avec. Mais je me suis promis de ne pas bander pour cette connasse de Magali. Cette dernière a tout à coup l'idée de caresser mes fesses. « Ta peau est si douce » s'exclame-t-elle, sauf que la réciproque n'est pas vraie. Les mains de Magali me font l'effet de papier de verre sur mon pauvre postérieur. Les trois minutes finissent par passer. Magali retire le thermomètre, toujours brutalement. Elle lit le résultat : 37, 4.Température on ne peux plus normale. Je me dis avec un intense soulagement que le petit jeu de ces deux nanas avec moi comme cobaye est terminé. Je me trompe.....

Alors que je reste allongé sur le ventre, les deux nanas sont en grande conversation a quelques mètres de là à l 'autre bout du cabinet, mais parlent à voix basse et je ne suis pas en mesure d'entendre ce qu'elles se racontent. Je remarque cependant que Chantal a l'air contrarié et que Magali semble vindicative. Chantal vient me trouver, l'air gêné. « On a un problème, me dit-elle de sa voix la plus douce, Magali voudrait que tu la baises ». Je réagis vivement : « Non, non et non. D'abord, ça me gêne vis-à-vis de toi,....et puis tu as vu l'espèce de machin...Avec la meilleure volonté du monde, je ne sais pas si je pourrais physiquement ». Chantal insiste : « Tu sais, son père est un prof important de la fac de médecine, si tu refuses, on aura , enfin j'aurai des ennuis.... ». « So what, le père ne va pas te vider parce que tu aurais refusé de prêter ton copain à sa fille ? ». « Je ne sais pas, répond Chantal, mais je pense qu'il peut me faire avoir ou pas tel ou tel poste ». Elle persiste ; « S'il te plait, fais-le pour moi....Après, tu pourras me demander ce que tu voudras ». Trop gentil comme à mon habitude, je finis par céder à Chantal pour la bonne cause. « Tu es un amour, me murmure Chantal à l'oreille, je t'adore, je vais t'aider à baiser cette grosse vache et tu le feras en pensant à moi »

Chantal annonce à la jeune Magali que j'accepte de la baiser, mais une seule et unique fois et à condition qu'elle accepte nos conditions. Chantal invite son étudiante à se mettre sur le ventre, toute habillée. Curieusement, Magali, ayant obtenu ce qu'elle voulait, se montre docile. Chantal me prend tendrement par la main et m'amène dans un coin plus discret du cabinet où elle prend mon sexe dans sa bouche et commence à me sucer avec avidité. Cette fellation d'enfer compense un peu pour moi la mascarade que les deux nanas m'ont infligée depuis tout à l'heure. Quand Chantal estime que ma queue est assez « dure » et prête pour la « mission impossible » qui lui est assignée,.elle l'abandonne à son triste sort. Sans conviction, je retrousse la jupe de la jeune fille, son cul est énorme, trois fois celui de Chantal. Comment baiser cet hippopotame ? Je lui baisse sa culotte, c'est pire. Sa chatte est complètement distendue, fripée, peu accueillante. Je constate cependant que la rosette de son anus semble plus normale. Je risque un doigt dans le rectum de la jeune fille. Le fourreau apparaît accueillant. Magali est surprise ; « Mais, qu'est ce-que tu fais ? Laisse donc mon cul tranquille, je veux juste que tu me baises.... ».

Une idée me vient. Je vais sodomiser la gamine , petite revanche pour le simulacre de visite médicale qu'elle m'a imposée. Je place ma queue à l'entrée de son anus et donne un formidable coup de rein. Le gland de mon sexe a investi le cul de Magali . La jeune fille est d'abord surprise et ne comprend pas ce qui lui arrive, puis réalise que je suis tout bonnement en train de l'enculer. Alors que mon sexe progresse à chaque coup de rein dans son rectum, la nana hurle et proteste vigoureusement : « Pas comme ça, salaud....Retire ta queue de mon cul, connard, je voulais juste que tu me baises normalement....Tu me fais mal ». J'espère bien que je lui fait mal. Elle pousse des cris stridents de goret qu'on égorge et pleure toutes les larmes de son corps. Chantal observe la scène d'un air consterné, le papa ne va pas aimer. Tant pis, je ne me contrôle plus. Mon pénis va-et-vient dans le sphincter anal de Magali. J'encule cette connasse qui n'apprécie visiblement pas la chose. A chaque coup de pilon de mon sexe au fond de son cul, a chacun de ses cris, je savoure ma vengeance....

Soudain, tout devient flou, puis disparaît....Je réalise que toute cette histoire avec Magali n'était qu'un rêve et je me retrouve dans mon lit de ma chambre de petit garçon. Mon réveil marque quatre heures du matin. Je me rendors en me promettant de cocher sur le papier ce rêve bizarre, mais tout de même assez excitant

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J'ai rendez-vous avec Chantal à 14:00 au cabinet du Dr Blom après ses visites. Je me suis pris la température au réveil, 36,8, a priori je suis en pleine forme. Ma poussée de fièvre d'hier soir continue de préoccuper l'hypocondriaque que je suis. Je traine toute la matinée, révant à ma copine. Mes pensées se concentrent sur son visage angelique et sur ses fesses splendides. Suis-je tombé amoureux, alors que je croyais que c'était un truc de cinéma, plutôt pour les filles. Dans la salle de bain, je constate que mes coups de soleil pèlent lamentablement, surtout celui des fesses. Vers 11:00, je reférifie ma température, rectale bien sûr, appuyé contre le lavabo, jean et slip baissés sur mes chevilles : 37,1 Pensant toujours à Chantal, j'ai une belle érection dont je suis bêtement assez fier et je résiste à la tentation de me masturber.

Je me pointe devant le cabinet à 14:00 pile et je trouve la porte close. Dix minutes plus tard, je vois la jeune femme qui arrive, portant un de ses éternets Tshirts et une jupe blanche en corrole qui met en valeur ses jambes superbes. Elle porte une lourde sacoche sur son épaule et paraît fatiguée. « Désolée pout le retard, fait la jeune femme, je suis complètement crevée, j'ai fait une vingtaine de visites et j'ai marché au moins dix kilomètres dans ces rues que je connais mal. Les toubibs sont aussi des êtres humains, non,...La prochaine fois, je prends la Mustang, tant pis si les gens jasent ». Elle se colle contre moi en m'embrassant et ses mains parcourent mon corps. « Pas de fièvre, ce matin, je suppose que tu as vérifié » s'enquiert la jeune femme. Tout en lui communiquant ma température du matin, je glisse mes mains sous sa jupe, lui fait glisser sa culotte sur ses cuisses et agrippent ses fesses nues, si douces, si chaudes. Elle proteste pour le forme en rigolant : « Mais, tu es fou, tout le monde peut nous voir.....Et ma réputation de médecin, qu'est-ce-que tu en fais ? ». Mais, en même temps, elle reconnaît à mon oreille que la situation ne lui déplait pas tant que cà. « Oh oui, j'aime sentir tes mains sur mes fesses, mets-moi en plus un doigt dans mon cul, mon amour ». Alors que je lui donne satisfaction sur ce dernier point, je réalise que ses doigts à elle ont ouvert mon jean, puis se sont glissés dans mon slip et se sont refermés sur mon sexe déjà dur. Dans le même temps, nous nous roulons une pelle monumentale, toujours sur le seuil de son cabinet.

Chantal me fait entrer dans le cabinet. Elle s'assoit sur le fauteuil face au bureau et me fait un petit signe coquin pour que je la rejoigne. Je suis debout, face à elle assise. Elle m'ouvre mon jean et le baisse sur mes chevilles. Elle tâte ma queue à travers l'étoffe de mon slip et dit simplement : « J'ai envie de toi, je te veux ». Elle me baisse le slip. Mon sexe se dresse, conquérant, majestueux. « Wahou » fait Chantal admirative. Ses mains me caressent doucement mon sexe et mes testicules. Je profite de l'occasion pour annoncer à Chantal que mes parents me laissent à Paris pour le week-end, son visage s'illumine. Je lui confie que je suis prêt à sécher la réunion d'information sur le voyage en Californie qui m'a fourni ce prétexte. « Non, dit Chantal, ce voyage est important, je t'aménerai et viendrais te chercher avec la Mustang...Tu feras ton petit effet.... et cela nous laissera au moins une nuit.... » . « Combien de fois peux tu m'honorer en une nuit, mon petit ? » ajoute-t-elle réveuse.

« Je t'avais promis hier une fellation d'enfer, tu vas y avoir droit maintenant » annonce Chantal. La jeune femme approche son visage de mon bas-ventre et sa bouche engloutit mon pénis dur. La sensation est extraordinaire. La jeune femme me suce avec application et tendresse. Ses mains jouent avec mes testicules. En plus, Chantal a eu la bonne idée de me mettre un doigt dans mon rectum. Celui-ci s'agite dans mon rectum comme un petit sexe qui ferait l'amour à mon cul. Je me dit que c'est aussi bien qu'un thermomètre. Plusieurs fois, lorsqu'elle sent que mon sexe est prèt d'exploser, la jeune femme l'abandonne et prend dans sa bouche mes couilles, l'une après l'autre, une fois les deux en même temps. Finalement, en plusieurs jets impétueux espacés de quelques fractions de secondes, j'explose dans la bouche de Chantal qui se force à avaler la totalité de ma semence. « C'était merveilleux, dit Chantal, maintenant on aura tout fait ensemble...tu as honoré mon vagin, mon cul et ma bouche.... »

Chantal se lève du fauteuil, va prendre quelque chose dans une boite derrière le bureau du maître des lieux et me tend le thermomètre qu'elle vient de prendre. Elle me dit : « Maintenant, je voudrais que tu me prennes la température, tu sais que j'aime ça, ...toi aussi je crois ». Puis elle va s 'étendre sur le ventre, toute habillée, sur le lit d'examen du cabinet. Je récupère tout juste de la fellation que vient de me prodiguer ma copine, mais je ne rechignerai pas à thermomètrer ma copine. Je m'assiets nu au bord du lit d'examen, retrousse la jupe de ma copine et lui baisse sa petite culotte. Le spectacle de ses fesses et de ses cuisses parfaites suffit à ranimer l'ardeur de mon pénis, malgré la fellation qu'il vient de subir. Je glisse le thermomètre dans la raie des fesses de la jeune femme, puis dans l'intimité de son rectum. « Tu fais çà si bien, me félicite Chantal, enfonce-le bien ». Nous nous accordons sur un temps de mesure de dix minutes, gourmandise par rapport aux trois minutes, voire une unique minute, nécessaires médicalement. Pendant que je prends la température de Chantal, jouant avec le thermomètre et caressant ses adorables fesses, je ne résiste pas à la tentation de lui raconter mon rève de la nuit. Comme j'entre dans les détails, au bout des dix minutes. je termine à peine mon récit par l'évocation de ma sodomie rageuse de la jeune Magalie , qui divertit fort Chantal. Je retire le thermomètre à la jeune femme. Elle a une température anormalement basse de 36,5. « Je t'avais bien dit que je me sentais un peu faible, commente la jeune femme, je travaille trop, surtout si je dois baiser en même temps ».

Toujours allongée sur le ventre, Chantal commente le rêve que je lui ai raconté : « J'adore ton rève, il est très érotique et en dit long sur ta personnalité. J'espère que tu l'a coché sur papier pour le raconter à tes futures copines. D'abord, je te félicite pour ta culture médicale ; Tu a l'air de savoir que le « Littmann »est la Rolls des stésthoscopes, mon oncle d'Amérique m'en a envoyé un quand j'ai réussi ma première année. En revanche, je ne suis pas sûre qu'il ait une touche « écho ».... Ensuite, j'avais bien l'idée, avant la fin de nos dix jours, de te faire examiner par une, ou des, copine..... Rassures-toi, elles sont plus mignones, plus sympa et moins connes que ta Magali, elle est gratinée, celle-là ,... et je me disais même qu'on pourrait les confier à nous regarder baiser toi et moi, on est si mignons tous les deux, non. Mais, au grand jamais, je refuserai que tu les baises. Je suis peut-être vieux-jeu, bourg ou jalouse, ou tout simplement romantique.

Tout à coup, Chantal me dit : « Tu sais ce qui serait sympa : que tu me remettes le thermomètre dans mon cul et que en même temps, tu me fasse l'amour par derrière. Je pense que ta queue a retrouvé sa vigueur depuis tout-à-l'heure ». « Tu veux bien, dit ? » ajoute-t-elle de sa voix la plus sensuelle.

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