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Vues: 678 Created: 2014.08.09 Mis à jour: Il ya 1 an

Une romance imprévue

Chapitre 9

Une romance imprévue - 33 ► 36

Au cours de ce repas chinois, après l'intermêde sur la photo, nous revenons sur nos attitudes respectives lors de notre dispute de l'après-midi.

« Tu y a été un peu fort avec ta nympho qui voulait se payer un caniche pour son séjour à Paris » me dit Chantal , mi-amusée, mi-sérieuse. Elle poursuit : « Je reconnais que c'est moi qui t'ai choisi. Mais pourquoi les femmes n'auraient-elles pas le droit de prendre l'initiative ?...Quant à nympho, je ne sais pas...je ne suis pas sûre....Si c'est le cas, tu en un peu profité, non...Honey,....Au fait, tu aimes « Honey », puisque je ne peux plus t 'appeler « mon petit puceau » ?

« J'étais énervé et affolé par ta prise de sang, je disais n'importe quoi , bien sûr que je ne pense pas ça », reconnais-je. J'ajoute : « j'aime bien « Honey ».

Chantal évoque la question de notre week-end en amoureux : « Puisque tu es libre pour ce week-end, est-ce-que tu as des idées, Honey ? » Je lance une proposition : « Si on peut prendre la Mustang, qu'est-ce-que tu dirais de rendre un hommage au cinéma français et d'aller jusqu'à Deauville avec,.... « Un homme et une femme », ...Personnellement, j'ai détesté le film même s'il a eu la palme d'or à Cannes, mais j'avais adoré la Mustang ». C'est merveilleux, fait Chantal, nous sommes une nouvelle fois d'accord, j'ai également détesté le film, ….J'étais la seule dans le groupe d'étudiants qui avait été voir le film après un exam à ne pas aimer ». Je sens la pression de la main de Chantal sur la mienne. Elle poursuit : « On pourrait en effet se trouver un hôtel chic avec vue sur la mer, pour baiser tranquillement,....J'aime assez l'idée. J'en ai une autre, qui correspond en fait à mes projets établis avant que je sache que tu existais....On pourrait aller chez moi en Alsace...ça aurait un petit côté « je vous présente mon fiancé », vis-à-vis de mes parents, mais je suis sûre qu'ils t'adoreront et je pourrais te révéler quelques autres secrets à te laisser baba , Honey...Et puis, ca nous permettrait de faire rouler un peu plus la Mustang.....Et en plus, tu pourrais faire joujou avec le Hasselblad, j'ai cru comprendre que ca t'excitait.... ». Je donne à Chantal mon accord pour l'Alsace, nous partirons directement après cette réunion à la con pour le voyage en Californie. Je me vois déjà avalant les kilomètres au volant de la Mustang sur la toute nouvelle Autoroute de l'Est.

Il y a un autre sujet dont je voulais parler, dit Chantal en baissant à nouveau la voix : « Je trouve qu'on devrait écouter nos cœurs, le tien comme le mien, quand on fait l'amour....Je t'assure, c'est fascinant.....Ou bien, est-ce-que ta peur du médical va s'opposer à cette idée un peu medfet de ma part ? »

Je prends en effet sur moi, ayant toujours une petite appréhension quand je vois Chantal chausser son stéthoscope pour m'ausculter, et réponds à Chantal. « J'ai bien aimé quand tu m'as fait écouter nos cœurs, c 'était en effet fascinant et je serais ravi d'écouter nos deux cœurs quand on....Une question, c'est quoi medfet ? ». Chantal m'explique : « Medecine Fetish, ce sont les gens qui sont fascinés par la médecine et qui aime revivre leurs examens médicaux,....Moi, je crois que je le suis pas mal...Toi, c'est plus compliqué, d'un coté, tu dis que tu as peur de tout ce qui est médical, d'un autre coté, j'ai cru comprendre que tu aimes bien te prendre ou te faire prendre la température », cela dit toujours à voix basse avec un large sourire complice.

Nous quittons le restaurant, Chantal a payé, comme d'habitude. Une centaine de mètres à peine nous sépare de l'immeuble où se trouve le studio de Chantal. Nous nous tenons par la main pour parcourir cette courte distance.

Arrivé dans le studio, Chantal me demande une nouvelle fois : « Est-ce-que tu acceptes vraiment de passer la nuit avec moi, Honey ». Je lui réponds : « Oui, si tu ma laisse passer un coup de fil chez moi ». « OK, Vas y » fait Chantal, laissant transparaître une légère irritation, en me désignant le gros appareil en bakélite. Je compose le numéro de chez moi. Ma mère répond. Un peu gêné par la présence de la jeune femme, je m'embrouille dans mon mensonge : « Maman, ...Oui, c'est moi......Je t'ai laissé une note pour te dire que des copains retour d'Amérique m'avaient invité à une soirée.....En fait, cela risque de durer très tard, alors est-ce-que je pourrais dormir là-bas et rentrer seulement demain matin ?....Oui, merci Maman ».

Ma mère m'a donné son accord avec une facilité déconcertante. Chantal, me regarde, au bord de la crise de rire : « Tu mens très mal, Honey.....Mais je t'adore ».

Une romance imprévue - 34

Reposant le combiné du téléphone, je me sens pris d'une sorte de vertige. C'est la première fois que je découche, que je vais dormir avec une femme, chez elle. Même si j'ai déjà fait l'amour avec elle une petite dizaine de fois, je vois dans le fait de dormir chez elle le signe de quelque chose d'important, et peut-être de définitif. Chantal sera-telle ma femme, la mère de mes enfants ?...Je commence à me poser la question

.Pour l'heure, nous reprenons notre étreinte et cette fois, rien ne modère notre ardeur à tous deux. Comme ce matin, j'ai glissé mes mains sous la jupe de Chantal et lui ai carrément baissé sa culotte avant d'agripper ses fesses avec vigueur, et de lui mettre un doigt dans son petit cul. Chantal gémit doucement, elle semble apprécier. Alors qu'elle-même a, encore comme ce matin également, ouvert mon jean pour saisir d'une main experte mon pénis déjà dur, son autre main a fait glisser le fin vêtement jusqu'à ses pieds pour le récupérer, me le tendre et me dire, avec un mélange de grandiloquence et d'humour: « Puisque tu aime tellement cette culotte, je te la donne, en gage de notre amour, puisque je crois que c'est comme ça qu'il faut appeler les choses, à condition que tu l'emmène en Californie et que tu me promettes que tu la caresseras tous les soirs en pensant à moi , ...sauf les soirs où tu sauteras,...sauterais,...les petites Américaines de ta famille d'accueil ou les petites Sorbonnardes....Tu sais que je ne suis pas jalouse et que tu as ma bénédiction pour baiser les unes et les autres ». Tout cela agrémenté des gémissements que lui inspirent mes caresses. Je remercie ma copine avec un trait d'humeur, qui n'est pas du meilleur goût et qui tombe à plat : « Je crois que je pourrais accepter cet excédent de bagages »

.Se dégageant de notre étreinte, Chantal suggère de passer aux choses sérieuses : « On a dit qu'on allait baiser comme des fous,...Mais, d'abord Bébé est-il d'accord pour la tuture cucul ce soir ? ». Je suis un peu géné par ce rappel de Chantal de ma crise cet après-midi, mais lui donne mon accord sans réserve pour cet « examen ». Je retire mes vêtements et m'allonge sur le ventre sur le lit « king size » de Chantal, qui devrait être plus commode que le lit d'examen du cabinet pour nos examens, ébats et sommeils. La jeune femme sort un thermomètre de sa table de nuit. Elle « joue » un instant à éplucher la peau de mes fesses qui pelle lamentablement. Elle me demande une nouvelle fois pardon pour avoir imprudemment exposer aux coups de soleil ma peau de Nordique : « Pour une toubib, je suis nulle, non » se lamente-t-elle. « Enfin, se reprend-elle, tu ne pars que dans une semaine et tes fesses seront parfaites d'ici là, légèrement dorées ».

Chantal m'écarte les fesses avec son mélange habituel de douceur et de fermeté. Je sens le thermomètre me pénétrer très lentement mon intimité. Je savoure cette sensation en me disant que j'ai failli bêtement ne plus jamais la connaître. Chantal me propose de me laisser le thermomètre dix minutes. Je suis d'accord, je repense à sa demande à elle de le lui mettre pour l'éternité. Me caressant doucement les fesses malgré mes coups de soleil et les impacts de ses piqûres et manipulant doucement le thermomètre, Chantal a cette réflexion : « Tu sais, si je n'avais pas eu ces résultats de ta prise de sang à te transmettre, je n'aurais jamais osé t'appeler et notre histoire aurait été terminée ». Malgré ma honte pour ma propre inconduite, je proteste et rappelle à Chantal : « Oui, mais notre « fâcherie » a eu lieu uniquement parce que tu m'as faire cette prise de sang ». « C'est vrai, tu as raison » reconnaît Chantal tout en accentuant sa pression sur mes fesses et en enfonçant un tout petit peu plus le thermomètre

.La jeune femme profite de cette prise de température pour lancer une autre idée. « Tu sais, Honey, je me suis dit que je pourrais te faire assister à mes consultations au cabinet, comme ça, on serait toujours ensemble et tu pourrais même participer..... Si il y a une nana potable qui se pointe, tu pourrais lui prendre sa « tuture cucul » puisque tu fais ça si bien avec moi » . J'accueille avec un sentiment mélangé la proposition de Chantal. J'objecte : « Mais, c'est sûrement interdit,....C'est un truc à aller en prison, exercice illégal de la médecine et tout...Et si des connaissances de mes parents viennent voir le médecin, on fait quoi? »« C'est pas si grave, Honey, reprend Chantal,...De toute façon, c'est moi qui suis majeure et c'est moi le médecin, c'est moi qui serais responsable de tout....On en reparleras la semaine prochaine pour bien terminer nos dix jours, Okay..... »

Les dix minutes sont écoulées. Le thermomètre affiche 37.4, « une température tout à fait normale » commente Chantal.

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Chantal aurait voulu que notre première nuit ensemble soit un modèle du genre, une symphonie de luxure et de sexe. Elle a cependant oublié qu'il nous faut compter avec nos possibilités physiques. C'est elle , le médecin, elle devrait penser à ses choses. Elle a déjà recueilli ma semence deux fois il y a quelques heures, je devrait donc être en mesure de la baiser une ou deux fois, plus sera difficile . Elle-même, en tant que femme est physiologiquement dans une situation différente, mais elle a avoué elle-même qu'elle était fatiguée de devoir gérer dans le même temps ses activités professionnelles et sa relation avec moi. Elle aurait sans doute besoin de quelques heures de sommeil réparateur. Bref, cette nuit, nous ferons sans doute l'amour au moins une fois, mais il y a fort à parier que ce ne sera pas du sexe non-stop et que nous passerons un certain temps à dormir ensemble, ce qui constitue pour nombre de personne, et un peu pour moi, le comble du romantisme . D'ailleurs les Anglo-saxons disent : « dormir avec » (to sleep with).quand nous disons « coucher avec ». Et comme je l'ai déjà dit, il n'y a pas que le cul dans la vie, et notamment ce soir, je pense certes aux jolies fesses de Chantal, mais aussi à son Leica qu'elle m'a promis de me montrer, si je la satisfais du point de vue sexuel. Là , c'est un peu le serpent qui se mord la queue, si l'on peut oser ce jeu de mots.

Après m'avoir pris la température, donc, Chantal, pour ne pas m'irriter en se montrant trop directive , ce que je lui ai reproché cet après-midi avec quelques fondements selon elle, me propose que nous fassions l'amour comme un couple normal et m'annonce qu'elle me laissera l'entière initiative des opérations. S'étant débarrassée de ce qui lui restait comme vêtements, elle s'allonge sur le dos et lascive, écarte légèrement les jambes et me dit : « Voilà, je t'attends, Honey ». J'essaie de faire de mon mieux avec mon expérience de moins de trois jours. Je rejoins Chantal sur son lit et l'enlace. J'ai le sentiment d'avoir un peu négligé ses seins, pourtant superbes, jusqu'ici et tente de racheter cette erreur. Elle semble apprécier. Puis, je décide de me consacrer aux choses sérieuses, c'est à dire son sexe, auquel je consacre les caresses manuelles et buccales qui me viennent à l'esprit. Là encore, ma copine, par ses gémissements, me fait part de sa satisfaction, puis m'avoue son impatience : « Tu m'as bien caressée, maintenant prends-moi ». Mon sexe trouve sa voie. Je pénètre la jeune femme dans la position peu originale du missionnaire. Je vais et viens en elle, en m'efforçant de varier l'intensité et l'ampleur de mes mouvements. J'essaie de penser à cette prise de sang pour retarder ma jouissance. Chantal a un orgasme et me demande très clairement, une nouvelle fois de lui faire un enfant. Je viens en elle, trop vite...Une nouvelle fois, je me dis que c'était encore mieux que les fois précédentes. Je suis en nage et mon cœur bat la chamade, mais je me sens heureux....

Chantal se déclare satisfaite : « Tu as gagné le droit de jouer avec mon Leica » dit-elle d'une voix tendre alors que nous récupérons, tout les deux allongés sur le dos sur son lit, nous tenant romantiquement la main. « Mais avant, ajoute-t-elle, je suis sûre que tu peux encore me satisfaire, si je t'aide un peu.... » . Se disant, elle prend en main mon pénis pour lui faire retrouver sa fermeté, puis estimant la chose faite, elle grimpe sur moi pour s'empaler sur mon sexe dans la cowgirl position qu'elle a utilisée trois jours plus tôt pour me dépuceler. Là, c'est elle qui fixe le rythme, mais cela ne me déplait pas, loin de là. Par rapport à mon dépucelage où elle avait effectué cette manœuvre une seule fois, là, elle semble en proie à une véritable hystérie et, pour mon plus grand plaisir, se retourne pour s'empaler a nouveau sur mon sexe tout en m'offrant cette vue imprenable sur ses fesses en mouvement un nombre de fois que je ne suis même plus en mesure de compter. Je suis aux anges et mon sexe est suffisamment stimulé malgré ses précédentes performances de la journée . Et, c'est à un moment où elle est dans la reverse cowgirl position que je finis par jouir en elle. Mes mains se crispent sur ses hanches quand je sens ma semence se répandre dans son intimité. Une nouvelle fois, je ressens un sentiment de plénitude absolue.….

Nous mettons un temps certain à récupérer. Puis Chantal se lève pour prendre quelque chose dans son armoire. C'est bien vrai . La jeune femme possède un Leica , un M4 flambant neuf, qui doit valoir dix fois le prix de mon Nikkormat dont je suis si fier. Elle me le passe et me dit : « Comme tu m'as bien baisée, non seulement je te le montre et tu peux faire joujou avec ce soir, avant de faire dodo, mais je te propose de l'emmener avec toi en Californie pour faire de jolies photos là-bas, y compris celles des nanas que tu baiseras en pensant à moi ».

Impressionné, je prends en main l'appareil en me disant que j'ai vraiment beaucoup de chance.

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Je suis comme un enfant découvrant ses cadeaux de Noël et Chantal s'en amuse. Le Leica de Chantal n'a qu'un objectif, un 50 mm ouvert à 2.0 et je ne peux résister à la tentation de manipuler le fameux viseur à télémètre, puisque chacun sait que c'est la particularité de la marque, les Leica n'étant pas des appareils reflex. « Attention, me dit Chantal, il y a une pellicule dedans, de la couleur sur papier avec quelques photos que j'ai faites au début de mon séjour à Paris, quand je ne savais même pas que tu existais,..je n'ai vraiment la moindre idée de ce dont il peut s'agir ». Elle ajoute : « Tu vas encore me trouver « bossy » mais je propose qu'on finisse la bobine avec quelques photos « présentables »... parce que je me vois mal aller chercher chez le photographe des photos où mon petit copain se serait pris pour David Hamilton,...D'ailleurs, je ne suis pas sûre d'avoir le look de ses modèles habituels, qui sont plutôt ton genre de nanas,...non, ...genre grandes blondes scandinaves ».

Je ne peux rien refuser à Chantal, avec qui je m'entends si bien au lit et qui en plus me prête son Leica pour mon séjour en Californie et va m'amener passer le week-end avec sa Ford Mustang. Je me dis que j'ai vraiment une chance folle d'avoir enfin une copine et qu'elle soit aussi extraordinaire, je vis un rêve éveilllé. Est ce la revanche du destin pour ces années où je me morfondais seul dans mon coin ? Ayant toujours des inquiétudes au fin fond de mon esprit, je me demande si je dois m'attendre à un retour du balancier et à quelques catastrophes gratinées.

Il reste une dizaine de photos a faire sur le film engagé dans l'appareil. Nous décidons de faire des portraits de nos visages respectifs, alors que nous continuons de batifoler nus autour du lit king-size. L'éclairage du puissant lampadaire à halogène nous permet de pallier l'absence de flash. Je commence et cherche à rendre l'expression de pureté du sourire de madone de ma copine. Après trois photos, qui me permettent d'apprécier la douceur du déclencheur du Leica, Chantal, à son tour, me tire le portrait, trois fois. J'ai horreur des photos posées et ne suis pas sûr que je serai aussi mignon que Chantal le souhaite sur ces clichés. La jeune femme me repasse l'appareil et me demande de l'excuser un instant. Je pense qu'elle va satisfaire un besoin naturel et suis surpris de la voir revenir portant un bikini noir du meilleur effet. « On a dit des photos « présentables », on peut quand même exciter un peu le photographe en se prenant en maillot de bain, hein, Honey, ...Prends- moi comme ça... »

Je me dit que je pourrais comprendre de différentes manières cette invitation, mais sagement, je cadre la jeune femme dans les positions les plus lascives. Tout en cherchant à mettre en valeur sa poitrine, je ne peux m'empêcher d'observer: « Tu sais à qui tu me fait penser? ». Sa réponse est immédiate : « Je sais....On me l'a déjà dit.....A Romy Schneider dans « la Piscine »..... Je pense que c'est à cause du bikini....De toute façon, c'est plutôt un compliment, ... Mais je crois que j'ai plus de seins qu'elle et un cul un peu plus large aussi, ...Non . ». Après trois photos de ma Romy, elle me reprend l'appareil des mains et me dit : « Toi aussi, je veux ta photo en maillot,...Remets ton slip, Honey... ». Je ne pense pas ressembler à Alain Delon et je suis un peu gêné de « poser » en slip, mais que ne ferais-je pas pour faire plaisir à Chantal. « Je t'assure, tu es super bien foutu, m'affirme-t-elle, même si tu ne t'en rends même pas compte.....Essaie de bander un peu...Pense à moi, mon amour ». Je suis encore plus gêné. Chantal actionne trois fois le déclencheur et constate que le film est terminé.

Chantal me montre comment rembobiner le film et l'extraire de l'appareil, en fait c'est exactement comme sur mon Nikkormat prolétarien. Elle me dit : « On a dit que demain matin, pendant que je travaillerai, tu iras nous acheter un Polaroid,...En même temps, tu pourras acheter des films pour celui-ci et donner ces photos à développer,...On devrait les avoir pour avant ton départ. Comme ça, on aura des chouettes photos l'un de l'autre pour ton voyage en Californie Elle annonce tout à coup : « Je sais pas pour toi, mais moi, je me sens très, très fatiguée, je crois qu'il faudrait qu'on dorme un peu ». Elle retire son bikini, et, me fait glisser mon slip. Je bande légèrement. « Entre nous, on va pas s'habiller pour dormir » décrète-t-elle. Elle se love entre mes bras et semble plonger immédiatement dans un profond sommeil. Il est a peine minuit.

Comme dit précédemment, c'est la première fois que je dors avec une fille, je suis un peu nerveux et je mets donc un certain temps à m'endormir. En plus, Je suis excité comme une puce à l'idée de ces photos que nous venons de faire et de celles ue nous ferons demain. Mais je me sens sur un petit nuage en ce qui concerne ma relation avec Chantal. Juste avant de m'endormir, je me dit que son prêt du Leica est un nouvel indice que, pour elle aussi, notre relation devrait durer au delà des dix jours annoncés. Il faudra bien que je lui rende le précieux appareil.....

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patou39 Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans  
clyso Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans  
clyso Il ya 9 ans  
dudu Il ya 10 ans