Vues: 657 Created: 2014.08.09 Mis à jour: 2014.08.09

Une romance imprévue

Chapitre 12

Une romance imprévue - 45 ► 48

Après la présentation des participants, une femme d'age mûr rejoint le responsable qui nous a accueilli et lui remet une liasse de documents, puis prend la parole. Elle veut nous parler des visites médicales que l'organisme nous a imposées. Elle insiste sur le fait que le certificat médical demandé est absolument nécessaire pour pouvoir participer au voyage et que les étudiants qui ne l'auraient pas fourni perdront les sommes qu'ils ont versées. Elle indique que malheureusement 12 des 32 inscrits n'en pas fourni le certificat demandé. Je me sens serein puisque j'ai bien adressé le document dans les délais requis. En même temps, je réfléchis à l'ironie du sort ; alors que cette visite médicale me paraissait quelque chose d'abominable, et m'aurait paru abominable si j'en avais été informé à l'avance, si je n'avait pas passé cette visite lundi dernier, c'est un petit puceau ridicule qui serait présent aujourd'hui dans cette salle et non un « playboy » arrivé en Ford Mustang aux bras d'une fille superbe.

La dame poursuit son exposé en indiquant que, tenant compte des difficultés à contacter certains d'entre nous sur leur lieu de vacances, l'organisme offre aux 12 étudiants en question une « dernière chance » en les convoquant lundi prochain, après-demain donc, pour une visite médicale au siège de la compagnie d'assurance partenaire. Ceux qui ne viendront pas seront privés du voyage. La dame nous lit ensuite la liste des participants convoqués.

J'identifie parmi les premiers noms cités l'étudiant en cinéma, puis quelques instants plus tard, je vois le visage de Pénélope, juste en face de moi, se décomposer à l'appel de son nom. Paniquerait-elle comme moi face aux visites médicales ? Encore un bon point pour elle, me dis-je. Tout-à-coup, vers la fin de la liste, j'entends mes nom et prénom.Là, c'est moi qui panique, puis je me dis que c'est sûrement une erreur puisque j'ai envoyé le certificat à la date demandée. L'énoncé de cette liste clot la réunion, les étudiants convoqués à la visite médicale étant invités à retirer leur « invitation » auprès de la dame avant de quitter la salle.

Je m'avance jusqu'à la dame et demande à lui parler. Elle m'invite à attendre qu'elle ait distribué les convocations. A coté de moi, au bord des larmes, Pénélope vient également se plaindre : « Madame, insiste-t-elle, j'ai passé la visite médicale demandée et j'ai envoyé mon certificat, est-ce-qu'il faut vraiment que je la repasse ? ». La dame lui intime, sur un ton peu aimable, l'ordre d'attendre qu'elle ait terminé la distribution des convocations. Nous nous retrouvons côte-à-côte, la jeune fille et moi. Malgré moi, angoissé comme d'habitude à l'idée d'une visite médicale, j'observe à la dérobée l'échancrure de son chemisier dont elle a laissé plusieurs boutons ouverts, révèlant un soutif blanc de bon ton qui ne dissimule que partiellement deux adorables petits seins pointus, lesquels ont pour effet immédiat de me faire bander, malgré les circonstances et malgré Chantal.....Quand, quelques instants plus tard , par « galanterie », je laisse passer la petite Sciencesposeuse devant moi pour qu'elle expose son problème, ce sont ses charmantes petites fesses, parfaitement moulées par son jean, qui me mettent en émoi. L'image d'un thermomètre planté dans son petit cul me traverse l'esprit et me fait presque oublier la raison de notre démarche commune auprès de l'employée de l'organisme de voyage....

Pénélope abandonne la partie, le visage fermé, toujours au bord des larmes. Me laissant la place, elle me fait un pauvre sourire qui exprime toute la détresse du monde et me touche particulièrement. Je me plains auprès de la mégère, qui me renvoie dans mes buts sans ménagement : « On a rien reçu de vous,...Vous passerez la visite lundi ou vous ne partirez pas ». Je propose d'amener une copie du certificat à ce moment . « Si ca vous amuse, répond la femme, mais vous êtes convoqué pour une visite médicale et vous la passerez ». Elle me donne une feuille m'annonçant que je dois me présenter auprès du service médical de la Compagnie d'Assurance, pour une visite médicale, lundi à 14:00.

Je constate que, malgré ma relation avec Chantal, malgré les examens qu'elle m 'a fait passer au cours de nos jeux, la perspective de passer une visite médicale m'angoisse toujours autant. J'essaie de ne pas craquer et fondre en larmes. Je quitte la salle de réunion. Je me retrouve dehors. Chantal n'est pas encore là .

Je réalise que Pénélope est assise en larmes sur le banc devant l'Institut. Son visage me paraît encore plus joli quand elle pleure, même si son chignon compliqué perd de sa fermeté. Je me mets à coté d'elle et voudrais la consoler. Elle s'excuse de se donner en spectacle. Je suis toujours ému quand je voie une fille qui pleure, Chantal en sait queque chose. « Tu sais, me dit la joli rousse entre deux sanglots, j'ai une véritable phobie des médecins et de tout ce qui est médical.... Là, c'est un ami de mes parents qui m'a fait le certificat, ….il m'a juste pris la tension...Je ne sais pas ce qu'ils vont nous faire ...Et j'ai très, très peur.... ». Elle poursuit : « Quand j'ai vu sur leur certificat à la con que le médecin devait nous prendre la température rectale, j'ai paniqué ….Me retrouver à vingt ans avec un thermomètre dans le cul comme un bébé, pour moi, ce serait une humiliation sans bornes...Tu crois qu'ils vont vraiment nous faire ça ? » , Elle part dans une nouvelle crise de sanglots. « Je crois qu'il vaut mieux que tu me laisses, me dit la jeune fille, j'ai honte de moi,....Je suis ridicule ». Elle ajoute : « Ne t'inquiéte pas, ce n'est pas dirigé contre toi....Je te trouve vachement mignon,...Et supersympa,... On se verra lundi, ...Hélas... ».

Je quitte le banc. Je suis touché d'avoir rencontré quelqu'un qui réagit comme moi, face aux visites médicales....Et si c'était elle la femme de ma vie , avec son beau visage, ses petits seins et son petit cul , elle a mon age, elle a peur des médecins comme moi , elle a fait Sciences Po, que j'aurais révé de faire, plutôt qu'une femme médecin qui a cinq ans de plus que moi ? Je m'égare, d'autant que la Mustang de Chantal arrive sur ses entrefaites. Devant elle, je ne me sens plus de raisons de me controler et, à peine assis dans la voiture, c'est moi qui donne libre cours à mes larmes....

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« Mais, qu'est-ce-qui t'arrive , Honey ? s'exclame Chantal alors que la Mustang traverse le Paris désert d'un samedi de Juillet, ... Encore un drame …Je trouve que nous pleurons un peu beaucoup dans notre histoire d'amour de dix jours, non ? » . En proie à une crise de larmes, je lui explique maladroitement la situation : « Ils n'ont pas reçu mon certificat médical,....Alors, ils me convoquent à une visite médicale,... lundi à 14 :00 au siège de la compagnie d'assurance , ...et tu sais que j'ai horreur des visites médicales ».

Chantal est presque fachée : « Et c'est ça qui te met dans un état pareil, Honey ? Tu as vraiment un problème,... je croyais que ça allait mieux maintenant que tu es avec moi... ». Je me dis que Chantal ne me comprend pas, ...que personne ne me comprend,...sauf peut-être cette petite Pénélope que j'ai rencontrée aujourd'hui. Ma copine essaie de me raisonner, tout en conduisant avec aisance : « Honey, je sais que tu as cette phobie, et que ce n'est pas rationnel,...Je veux bien comprendre pour la prise de sang, tu étais angoissé par le résultat,...Mais, là, ils n'ont pas reçu ton certificat,...Lundi matin, je te donne une copie, ou j'en fais un autre si je ne le retrouve pas dans mon bordel, tu as quand même la chance d'avoir une copine toubib, que tu leur montreras, je ne pense pas qu'ils t'imposent une visite médicale pour le plaisir... ».

J'interromps Chantal, toujours en pleurant : «Si, ils ont déjà dit que ça ne marcherait pas, que leur visite est obligatoire... ». « Je trouve cela curieux, reprend Chantal,...au pire, tu devras passer une petite visite médicale, c'est quand même pas si abominable,...Et en plus, grâce à la prise de sang que je t'ai fait faire, tu sais que tu n'a rien, absolument rien, que tu es en pleine santé ? Donc ta principale raison d'être angoissé, qu'on te trouve quelque chose, tombe ,...Reste le fait que tu m'aimes pas qu'un monsieur ou une dame, tu préférerais une dame, je pense, inspecte ta jolie queue et tes petites couilles, ou te mette un thermomètre dans ton petit cul,...C'est quand même pas si grave et c'est pas ça qui va gâcher notre week-end , hein Honey». Je me laisse partiellement convaincre par les arguments de Chantal et séche mes larmes. La voiture s'engage sur l'autoroute de l'Est. « On ne parle plus de cette visite médicale jusqu'à lundi, OK Honey,... » Chantal engage la voiture sur la voie d'accès à un restoroute . « Et maintenant, dit-elle d'un ton qui se veut enjoué, on se prend un petit café et je te passe la voiture jusqu'à destination,

Je suis tellement égocentrique que ce n'est qu'en quittant la voiture que je remarque que Chantal s'est habillée de manière particulièrement sexy pour notre voyage. Outre un Tshirt qui flotte librement sur sa poitrine, elle porte un short en jean particulièrement court qui laisse voir jusqu'au ras de ses fesses rebondies. Bref, elle est a croquer,..et je m'en suis même pas rendu compte. Pour réparer cette erreur, je me colle contre elle sur le parking du restoroute et nous nous embrassons longuement. « Je te demande pardon, lui dis-je, encore une fois, j'ai été ridicule ». « Mais non, m'assure Chantal, je sais que c'est ta nature et que tu ne peux pas lutter contre ». « C'est ta personnalité,... et c'est ce qui fait ton charme » ajoute-t-elle . Alors que nous ingurgitons l'infame café du restoroute, Chantal me rappelle : « Si tu n'avais pas eu cet air complétement paniqué quand tu t'es présenté à mon cabinet lundi dernier, je n'aurais jamais eu l'idée de t'inviter à déjeuner ». Je lui réponds : « J'espère que tu ne le regrettes pas ». Elle répond en serrant très fort ma main dans la sienne sur la table du bistro.

Je prends les commandes de la Ford Mustang. « J'espère que tu es bien en état de conduire, après tes émotions à cette réunion, s'enquiert ma copine,...Il faudra d'ailleurs que tu me racontes ça ,...Est-ce-qu'il a, dans ce groupe, des filles dont tu serais tombé amoureux ?...Et ta famille d'accueil, ...Est-ce-qu'ils ont des filles pour toi ? ». Je me demande une nouvelle fois si Chantal n'est pas un peu sorcière. Je lui laisse les documents qu'on nous a distribués pour qu'elle puisse les feuilletter pendant le voyage, si ma conduite ne la préoccupe pas trop. Sur ce point, j'essaie de tranquiliser Chantal en lui disant que la grosse différence entre sa Mustang et une voiture francaise ordinaire, c'est la boite de vitesse automatique, or, la voiture que je conduis occasionnellement, la 504 de mon père a aussi une boite automatique. Alors que je mets le contact, Chantal me rappelle que le compteur de vitesse est en miles et non en kilomètres , 100 signifie donc 160 km/heures. Nous mettons la clim au maximum, pour avoir le aisir de frissonner alors qu'il fait près de 30 dehors, et une cassette de « country » sur la stéréo pour l'ambiance.

La Mustang est plus amusante à conduire que la 504 de Papa. Alors que nous avalons les kilomètres, Chantal feuillette les documents que j'ai reçus. Elle est impressionnée par la photo de ma famille d'accueil. « Whaou, fait-elle, les trois filles sont très mignonnes, je trouve que même la Maman est superbe ,... ». Elle fantasme. est-elle sérieuse ou rigole-t-elle ? : « Et si on se rejouait les « Liaisons Dangereuses » et je te mettais au défi de les sauter toutes les trois, non toutes les quatre, sinon je te laisse tomber ? Hein, Honey ». Elle passe au document avec les participants français. Sans surprise, c'est la photo de Pénélope qui accroche son regard. « En plus, tu as des filles, splendides, du moins de visage, dans le groupe » note-t-elle. Je vois une petite Pénélope en particulier ,... J'adore le prénom en plus, ..et déjà diplômée de Sciences Po par dessus le marché, ...Je pense que tu l'as repérée, hein, Honey ».

Tout en conduisant , j'avoue à Chantal , gaffé-je ?, que j'ai fait connaissance avec Pénélope parce qu'elle est dans la même situation que moi, elle a envoyé son certificat et est cependant convoquée pour une visite médicale lundi. Je raconte que nous nous sommes trouvés tous les deux à protester auprès des responsables et que, en plus, la jeune fille paniquait encore plus que moi et m'a fait part de sa phobie des médecins et de son angoisse face à la visite médicale de lundi.« C'est dingue, fait Chantal, d'un ton qui se veut badin, tout ça en ferait bien une fille pour toi , non». Elle ajoute, plus sarcastique : « Avec votre phobie des visites médicales, vous pourriez fonder un club », puis elle se plonge dans le programme des activités touristiques du voyage . Je ne sais toujours pas si elle est sérieuse ou pas quand elle me dit : « Si tu te trouves vraiment une copine, Pénélope, si elle survit à sa visite médicale, ou une autre, je te recommande le Grand Canyon pour votre première fois, c'est très romantique au lever du soleil » . Et Chantal n'a pas vu les seins et les fesses de Pénélope...J'ai un peu honte de fantasmer sur cette dernière et de me demander comment sont ses jambes alors que je conduis la voiture de Chantal et que ma copine m'expose ses cuisses, un peu charnues mais néanmoins superbes dès que mon regard se tourne vers elle.

Un ange passe alors qu 'un panneau indique que nous entrons en Alsace.

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Chantal qui somnolait vaguement, sursaute. « On est déjà là, je ne sais pas si je dois te féliciter, mais tu as fait vachement vite. On sera arrivés d'ici une petite heure...Et on est en Alsace, ...Il faut fêter cà ». La jeune femme détache sa ceinture de sécurité et se tourne vers moi. Sa main se pose sur ma cuisse et remonte jusqu'à l'entrejambes et apprécie, à travers mon jean, la fermeté de mon sexe. « Dis ,...C'est de conduire une Mustang ou de fantasmer sur cette petite Pénélope qui te fait bander, Honey ?...Ou bien, est-ce-que tu penses quand même un peu à ta vieille Chantal qui te laisse conduire sa bagnole de rêve ? ». La jeune femme ouvre mon jean, dégage mon pénis de mon slip et le prend en main. Soumis à ses caresses expertes, mon sexe durcit encore. Son autre main saisit mes testicules et les fait rouler entre ses doigts . « Tu sais que j'adore tes petites couilles, hein, Honey, elles me donnent tant de plaisir », me murmure ma copine de sa voix la plus suave. Je freine un peu brusquement pour passer de 160 à 80 km/h et m'efforcer de garder le contrôle de la voiture alors que, au terme d'une reptation quelque peu compliquée, ma copine colle son visage contre mon bas-ventre. Sa langue lêche quelques instants avec gourmandise le gland, puis engloutit gloutonnement le corps de ma queue, rapidement au bord de l'explosion.

La sensation est en effet extraordinaire . J'ai complètement oublié que Chantal fait partie de cette corporation des médecins qui me fait si peur, qu'elle a cinq ans de plus que moi. C'est simplement une fille qui me suce merveilleusement et que j'aime d'un amour sans borne. Il n'y a plus que cette plénitude. Est-ce mieux ou moins bien que de baiser ? Est-ce-qu'une autre fille (je ne peux m'empêcher de penser à Pénélope, alors que je ne la connais que depuis quelques heures et qu'il n'y a eu que quelques oeillades entre nous ) pourrait faire encore mieux que Chantal ? Serait-ce possible ? De toute façon, je dois à la fille qui me suce si bien la queue en ce moment une reconnaissance éternelle pour m'avoir initié à tout ça. Tout en essayant de garder un œil sur la route, je convoque toutes mes pensées anxiogènes liées à la visite médicale qui m'attend lundi pour retarder ma jouissance . On va me baisser le slip ...me tâter la queue et les couilles ,... me demander si je suis vierge,...me mettre un thermomètre dans le cul ,...peut-être même dans cette abominable « diaper change position » que Chantal m'a fait découvrir il y a deux jours....et qui sera le médecin, un vieux chnock, peut-être pédophile sur les bords, ou une vieille chouette acariatre, comme le médecin scolaire de mes années de lycée

Au moment où une grosse Mercedes immatriculée en Suisse nous dépasse, mon pénis explose et je sens ma semence giccler, en une dizaine de jets successifs en quelques secondes, dans la bouche de Chantal, qui avale consciensement mon sperme. Je ressens un sentiment de plénitude extrème, suivée d'un grand abattement. Chantal rejoint sa place, rattache sagement sa ceinture, et, comme à chaque occasion, me fait part de sa satisfaction. Est-elle vraiment sincère ou veut-elle faire plaisir à son quasi-petit puceau ? « C'était super,...J'adore avaler ton sperme » dit-elle de sa voix chaude. Elle ajoute en rigolant : « J'espère que tu en as encore assez pour ce soir,... »

Quelques instants plus tard, Chantal s'adresse à moi d'une petite voix timide, presque enfantine : « Honey, je dois te dire une chose,...enfin plusieurs choses... ». Je l'encourage : « Vas-y, ….tu n'as pas peur de moi quand même » . J'aime assez quand je peux jouer l'homme, le mâle dans notre couple. Elle poursuit : « J'ai menti à mes parents sur deux points, j'espère que tu ne m'en voudras pas, ...J'ai dis que tu as 22 ans, comme ça, ça fais moins « détournement de mineur » ou « sortie d 'école » et la différence d'âge est moins...choquante ». J'interromps Chantal : « Moi, ça ne me dérange pas,... Mais, on me dit déjà que je fais jeune et qu'on me donnerait 16 ans pour mes 20 ». J'ajoute : « D'ailleurs, toi aussi, tu fais jeune,...Tu m'as bien dit qu'on te demande ta carte d'identité quand tu vas voir un film interdit aux moins de 18 ans,...On a la chance de faire jeune tous les deux », « Oui, admet-elle, les gens sont souvent surpris quand ils me voient et que je leur dis que je suis le Docteur,...Toi même, lundi dernier, tu avais l'air surpris quand tu m'as vue pour la première fois ». Je corrige : « J'étais surtout malade de trouille à l'idée que tu allais me foutre à poil et me faire des tas de trucs, genre thermomètre dans le cul....et je me trompais pas tant que ça, hein Chantal ».

Chantal poursuit : « Justement, deuxième mensonge à mes parents, je ne leur ai pas dit que je t'ai dragué quand tu es venu à mon cabinet, parce que ton joli petit cul m'a fait craquer, ce qui est la vérité, tu es d'accord, Honey,...J'ai raconté qu'on s'est rencontrés à une soirée chez des amis communs retour des States où on a parlé ensemble de cinéma et de bouquins et qu'on s'est découvert plein de points communs, ce qui est presque vrai, ...J'espère que tu ne vas pas me contredire, hein Honey ». « Bien sûr que non » fais-je en doublant un poids lourd allemand. Chantal s'éclaissit la voix et poursuit, toujours de da voix presque enfantine : « J'ai encore un aveu à te faire avant qu'on arrive,...C'est le plus difficile ...Ca m'embête un peu ,...Je t'ai dit que mes parents sont des petits commerçants.....En fait, ils sont bien commerçants,...mais pas vraiment petits....ils sont même assez riches,...on peut même dire très riches,...voila,....Je n'osais pas te le dire pour ne pas te gêner... » .

Je ne suis pas vraiment surpris de l'aveu de Chantal. Quelques indices, comme les 2000 francs qu'elle m'a donnés pour acheter le Polaroid et ses accessoires m'avaient laissé supposer qu'elle avait un rapport à l'argent différent du mien, moi le tout petit bourgeois. Bien sûr que sa confession ne me dérange pas, ..au contraire, .au risque de paraître intéressé, j'ai toujours eu ce fantasme d'avoir une riche héritière comme copine , voire comme femme...Et mon copain Philippe m'a souvent répété ce mot : « Les riches héritières ne sont pas forcément moches ». J'ai aussi une pensée pour ma maman, qui, dans sa maison de Normandie, me croit sagement dans notre pavillon, je pense qu'elle serait enchantée de savoir que je me suis trouvé une copine, qui non seulement est médecin, mais en plus pleine aux as, pour me materner à sa place.

Je rassure Chantal : « Mais cela ne me gêne pas du tout que tu sois, ou que tes parents , soient riches. Il n'y a vraiment pas de honte à ça. Cela ne change rien à mes sentiments pour toi ». Chantal détache une nouvelle fois sa ceinture pour m'embrasser avec fougue alors que je conduis. « Tu sais, je t'aime vraiment très fort, Honey... » me dit-elle, manifestement soulagée de ses aveux. Nous avons quitté l'autoroute et ne sommes plus qu'à quelques kilomètres de notre destination. Nous nageons dans le bonheur....

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Alors que nous approchons de notre destination, Chantal me dit encore : « ma sœur sera là aussi ». « Tu ne m'avais pas parlé de ta soeur » fais-je distraitement, tout en pensant que je n'ai pas dû avoir l'occasion de lui parler de la mienne non plus. « On ne se connait que depuis cinq jours, six si on compte ta visite médicale à mon cabinet, …On n'a pas eu le temps de se raconter nos vies, reprend Chantal ,..Et je crois qu'on a eu autre chose à faire, hein Honey.... Solange, donc, sera là,.....Ca pourrait être une fille pour toi, aussi, plus que moi sans doute,...C'est tout-à-fait ton genre si j'ai bien compris, grande, blonde, un peu étérée, limite skinny,....Elle a 22 ans, ton age selon notre version officielle, et elle entre en cinquième année de médecine....et elle vient aussi de se faire larguer par un pauvre con ». J'écoute avec attention, mais je ne vois pas comment engager une relation avec cette Solange alors que je viens avec Chantal, à moins de nous lancer dans un « plan cul à trois » . Serait-ce dans les intentions de ma copine ?La Mustang entre dans un gros village, une petite ville dont le nom sur le panneau me paraît imprononçable. Chantal est soudain excitée comme une puce : « C'est là, c'est ici que mes parents ont leurs magasins ». et alors que nous traversons le bourg, je découvre que les parents de Chantal possèdent entre autres deux magasins de vêtements, une droguerie, une épicerie. Même si leur maison se trouve quelques kilomêtres plus loin, plus au calme. La voiture parcourt encore quatre kilomètres, emprunte un sentier non goudronné et nous débouchons sur une clairière dans la forêt, au pied des Vosges, et l'enceinte d'une propriété. Nous passons un porche et la voiture s'arréte devant un vaste manoir, probablement du début du (20ème) siècle. Je suis impressionné

.« C'est un château » m'exclamé-je. Chantal confirme : « C'est un château ». Il est a peine vingt heures et il fait encore jour. Trois personnes nous attendent sur le perron de l'entrée. J'identifie sans mal les personnages, le père, un petit monsieur rondouillard avec une tête non moins ronde, mais des yeux vifs, la mère, une grande perche avec une distinction certaine, enfin Solange, une grande blonde qui pourrait être scandinave avec de longs cheveux qui tombent jusqu'à ses fesses et un joli visage qui ressemble à celui de Chantal. Les parents sont habillés dans le style gentleman-farmer, Solange porte une longue robe blanche, qui accentue son coté romantique, mais me prive de la joie de voir ses jambes. Après des embrassades nourries, on invite les Parisiens à installer leurs affaires dans la chambre d'amis. Chantal et moi montons un escalier grandiose et pénétrons dans une chambre immense, où trône un lit pour deux. « Tu vois, mes parents ne font pas d'histoires, ils nous donnent une chambre avec un seul lit, ils savent qu'on baise ». Chanta me glisse que sa mère lui a reprochée d'être habillée comme une pute alors qu'elle se débarrasse de son short ras-les-fesses et de son Tshirt qui m'ont excité pendant tout le voyage, puis sa culotte, et m'invite à la rejoindre dans la salle de bain, immense elle-aussi.

Nus tous les deux, sous les jets puissants de la douche ultra-moderne, nous nous lavons de la poussière du voyage et nous étreignons avec fougue. Je repense à la fellation qui a célébré notre entrée en Alsace...et je bande. « Alors, comment tu trouves la bicoque des petits commerçants », plaisante Chantal. Je suis complétement bluffé et m'essaie moi aussi à l'humour : « Je suis très impressionné,...et je me demande vraiment ce que je vais chercher à Los Angeles ». Nous nous collons l'un à l'autre et nos mains parcourent nos corps, connaissant bien maintenant leurs points de repaire.« Et comment tu trouves ma sœur ? me demande la jeune femme en saisissant avec fermeté, mais aussi une infini douceur, mes petites couilles,...C'est elle qui te fait déjà bander,...Tu as déjà oublié ta Pénélope ? ». Je réponds franchement à Chantal, alors que je lui malaxe avec excitation ses superbes fesses et qu'un de mes doigts s'aventure dans son rectum : « Je suis décu de ne pas avoir vu ses jambes,...Je ne pense pas qu'elle puissent être mieux que les tiennes; mais.... ». La jeune femme me répond avec une pointe d"amertume: " Je crains que si, plus minces en tout cas,.... .et, de toute façon, je pense que tu auras l'occasion de les voir..." Je m'interroge sur le sens de ces paroles, alors que Chantal m'intime fermement l'ordre de me calmer et de cesser mes caresses audacieuses ,... « Pour ne pas faire trop attendre nos hôtes, ….et pour ménager nos forces pour ce soir ».Le diner se passe sans surprise. La maitresse de maison s'excuse de nous présenter un buffet de charcuteries locales et pas de plats plus élaborrés. Chantal rivalise d'élégance avec sa sœur et a mis une robe longue bleu nuit avec un décolleté plongeant. Ayant appris que je pars en Californie dans moins d'une semaine, les parents évoquent leurs souvenirs d'Amérique où ils sont allés souvent. Ils regrettent que je connaisse pas New York où vit leur oncle dont Chantal m'a parlé. « Celui-là, on l'appelle l'Oncle Picsou, fait le père, il est vraiment très riche ». Chantal évoque son travail de médecin remplaçant à Paris avec des anecdotes qu'elle ne m'a pas racontées. Elle a été frappée par la pauvreté de ses clients. A peu près une fois par jour, elle a eu des clients qui disaient ne pas pouvoir payer et elle leur a fait cadeau de la consultation. Timide comme d'habitude, je ne parle pas beaucoup, Solange encore moins. Je suis frappé par la similitude du dessin du visage des deux filles, mais Chantal a les yeux noisette et Solange des yeux bleu "où l'on aurait envie de se noyer". En plus, J'ai l'impression qu'elle passe le repas à me lancer des oeillades....J'essaie de ne pas trop la regarder et de me concentrer sur la poitrine de ma copine, ce qui n'est pas si difficile...

Après le repas, nous nous déplaçons dans le vaste salon. Là, je me retrouve face aux parents autour d'une table basse. Ils veulent tout savoir de moi, mes études (j'adapte mes mensonges à celui de Chantal), ce que font mes parents, où nous habitons, etc...Pendant ce temps, à l'opposé du salon, Chantal et Solange bavardent en rigolant. Elles sont vraiment superbes toutes les deux. J'ai l'impression que les deux filles passent leur temps à me regarder. Je suppose que Chantal révéle à sa sœur quelques uns de nos secrets d'alcôve et je me demande si je dois m'en inquiéter.....

Comments

patou39 Il ya 9 ans  
n/a Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans  
n/a Il ya 9 ans  
Nassau Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans  
dudu Il ya 9 ans  
n/a Il ya 9 ans  
dudu Il ya 9 ans  
dudu Il ya 9 ans