Vues: 753 Created: 2014.08.09 Mis à jour: 2019.06.27

Une romance imprévue

Chapitre 13

Une romance imprévue - 49 ► 52

Le père de Chantal se lance dans l'histoire de son entreprise, une « success story » digne des meilleures business schools. Ayant hérité du seul magasin de tissus de son propre père, il a, au cours des années d'après guerre racheté une dizaine d'autres magasins grace à des crédits quasiment gratuits en raison de l'inflation de l'époque, puis il s'est mis à acquérir des terres agricoles, des vignobles et il se lance aujourd'hui dans des investissements lointains, tels que des troupeaux de bovins en Argentine. Il se dit certain que la prospérité continue en Allemagne et en Suisse lui permettra de développer encore ses affaires et, au tournant de la conversation, me dit : « Si, vous et Chantal, c'est vraiment sérieux, avec votre formation de juriste, vous pourriez sans doute devenir mon associé, et le moment venu, me succéder, pendant qu'elle mènera sa carrière de médecin spécialiste, peut-être de prof de médecine. Je suis un peu heberlué par ces plans sur la comête et remercie le Père de Chantal de ses propositions. Pour l'heure, je remarque que les deux filles de la maison se sont levées de leurs sièges et, se tenant par la main et témoignant d'une franche gaité, traversent le salon pour se diriger vers les pièces du haut. Au passage, elles nous font un signe amical de la main. Je suis fasciné par les croupes sublimes des deux demoiselles, mises en valeur par leurs robes longues serrées qui moulent parfaitement leurs culs , alors qu'elles passent devant nous. Je note le contraste entre les fesses rebondies de « ma » Chantal et celles moins plantureuses de Solange, peut-être un peu plates, mais qui ont pour moi l'attrait de l'inconnu.

« Nous avons de la chance avec nos deux filles, dit la mère, qui était peu intervenue dans la conversation, deux docteurs dans la famille, alors que mon mari et moi n'avons pas pu faire d'études. Elle sont restées très proches, ...Elles partagent tout.... » Je me demande si cela inclut leurs petits copains et je m'interroge sur ce que les deux nanas ont prévu pour ce soir. Le père continue de philosopher sur la situation économique de la France et les perspectives de l'ouverture des marchés européens. A peu près une demi-heure après le départ des deux filles, les parents jugent qu'il est bien tard et me souhaitent une bonne nuit.

Un peu las et pressé de rejoindre Chantal,....et peut-être Solange, je monte l'escalier monumental et me dirige vers la chambre d'amis qui nous a été assignée. J'entends des éclats de voix et des gloussements qui indiquent que les deux filles ont bien investi notre chambre. Alors que je m'approche de la porte, j'entends distinctement la voix de Chantal et je m'arrête, tant ce que j'entends m'interpelle, Chantal est en train de parler à sa sœur du début de notre relation : « Quand je l'ai vu arriver à mon cabinet lundi dernier, j'ai été frappé par sa beauté,...un ange tombé du ciel... » Je n'ose pousser la porte de la chambre, même si ce n'est pas dans mes habitudes d'écouter aux portes, Ses premières déclarations sont plutôt flateuses, la suite est moins brillante . « Il avait l'air tellement paniqué, que j'ai eu envie de le prendre sous mon aile, de le materner,...et tout cà, parce qu'il devait passer une visite médicale et avait littéralement peur de moi parce que j'était médecin.... C'est dingue, non ».

Chantal continue de raconter à sa sœur le début de notre romance et je ne peux m'empécher d'écouter son récit : « Et puis, je l'ai fait se mettre tout nu, ...Il était vraiment beau,.. ». « Mais c'est quand j'ai vu son petit cul ,ajoute ma copine en gloussant, que j'ai vraiment craqué,...Je t'avoue que, quand j'ai vu sur le formulaire à remplir que je devais lui prendre la température rectale, j'en ai mouillé ma culotte et que j'ai un peu prolongé cette partie de l'examen ». Solange intervient : « C'est vrai qu'il a un très joli petit cul,...et il est encore plus mignon avec le thermomètre enfoncé dedans ». « Et sa queue n'est pas mal non plus ...» minaude-t-elle encore. C'est à ce moment que je comprends que les deux nanas sont en train de regarder les tirages que j'ai données à Chantal le matin même comme elles échangeraient de banales photos de vacances. Je suis un peu choqué, pour ne pas dire fâché, et j'hésite toujours à entrer dans la pièce, mais ce que dit Chantal continue de m'intéresser au plus haut et je continue de me montrer indiscret : « Quand je l'ai invité pour le lendemain midi, j'étais sûre qu'il ne viendrait pas....J'ai passé la nuit de lundi à mardi à me dire que j'étais vraiment folle de faire une chose pareille et à prier pour qu'il vienne....Et il est venu,....Et il s'est laissé dépuceler sur la terrace de tante Jeanne , parce que, tu l'as compris, il était vierge.... C'était très romantique, très beau, pour tous les deux je crois......Je me suis d'abord dit que j'allais m'offrir une escapace de dix jours sans conséquences avec lui avant son départ pour la Californie, et puis au fil des jours, je me suis dit que c'était peut-être quand même quelque chose de sérieux...Il est si gentil,...Et il baise bien, malgré son inexpérience,....Tu peux me croire .....Mais il est parfois si immature ,....Et il est hypocondriaque au dernier degré, il a une peur panique des médecins et de tout ce qui est médical,.... ça peut être génant entre nous, non... Bref, je ne sais plus... » . « Mais tu l'aimes ? », l'interrompt Solange. « Bien sûr que je l'aime,...Et de plus en plus chaque jour, ...Et justement, je me demande si pour son bonheur à lui, ce ne serait pas mieux qu'il se trouve une nana de son age, par exemple parmi les participants de son voyage en Californie,...Là, il a le choix, entre les petites Américaines des familles d'accueil et les Françaises du groupe, ...Et peut-être que 'après..... »

Je juge que j'en ai assez entendu. J'ouvre résolument la porte et je tombe sur les deux filles, toujours dans leurs robes longues un peu froissées, vautrèes sur le lit, avec la collection de nos photos intimes étalée devant leurs yeux . Je remarque que Solange tient dans sa main une des photos les plus « osées » de la collection, celle où mon sexe force le cul de sa soeur . « Ah, tu arrives enfin, dit Solange sur un ton de reproche amical, on se disait avec Chantal, que, comme tu fais de si jolies photos, tu pourrais peut-être en faire quelques une de moi, là, ce soir.... ». Chantal confirme cette demande : « Tu veux bien, Honey,....ce serait vachement sympa ....».

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L'idée de faire des photos de Solange n'est pas pour me déplaire. La jeune fille me plait beaucoup physiquement, elle correspond beaucoup plus à mon idéal féminin que Chantal, elle est blonde aux yeux bleus, un peu plus grande que sa sœur. Je lui trouve une classe folle. Je suis un peu gênée vis-à-vis de Chantal justement. Ce qui m'ennuie aussi, c'est que je ne connais rien de Solange dont j'ai appris l'existence aujourd'hui. Je n'ai aucune idée de ses centres d'intérêt, de ses goûts. La seule chose que je sais, et qui m'inquiète, c'est qu'elle est étudiante en médecine, en 5ème année en plus..., donc elle doit aller dans les hopitaux, faire des gardes, etc...bref, je retombe dans mes angoisses de me retrouver avec une fille qui risque à chaque instant de me scruter pour savoir si je ne souffre pas de telle ou telle maladie.

Chantal retrouve ses tendances « bossy » pour me détailler le programme de la soirée, déjà bien entamée d'ailleurs. « En t'attendant, puisque Papa et Maman te séquestraient pour parler avec toi de ton avenir, si j'ai bien compris, Solange et moi, on a réfléchi à un programme sympa pour notre visiteur de Paris. Donc, première étape, ... si tu es d'accord, Honey,.... tu vas nous faire quelques jolies photos de Solange, que tu nous tireras avant ton départ pour les States,...Si tu as le temps, bien sûr, avec tous tes préparatifs, ….Ensuite, toujours si tu es d'accord, je pense que ce serait bien pour ma petite sœur que je lui montre comment faire passer une visite médicale à un garçon, puisque nous en avons un à notre disposition ... » Je frémis à l'annonce de cette proposition, bien sûr l'idée m'excite d'être examiné par cette fille superbe, mais j'ai toujours cette appréhension vis-à-vis de ce type d'exercice. Je proteste mollement : « Mais Chantal, tu pousses pas un peu...Tu sais que j'ai cette vraie visite médicale prévue pour lundi, qui me rend malade ». « Justement, reprend ma copine, ca te fera un bon entrainement ».

« Et puis, ajoute-t-elle, après une pose, sur un ton délicieusement pervers, prend-le comme une punition pour écouter aux portes quand les nanas parlent de toi,...Hein, Honey » Je reste stupéfait face à cette remarque, Chantal est vraiment une sorcière . « Tout ça n'est pas grave, reprend ma copine, …...Après ta visite médicale, si tu veux bien ,.... tu pourras baiser,..tu préfére peut-être dire faire l'amour avec, Solange et je vous regarderai faire,...Je ferai peut-être à mon tour quelques photos ». Je me sens un peu, plus qu'un peu en fait, géné. Solange me gratifie alors de son plus beau sourire , ce qui semble marquer son plein accord à cette proposition. « Et, après, si tu as été sage, et si tu as bien baisé ma petite sœur, il y aura une jolie surprise pour toi » conclut Chantal. Naivement, j'interroge : « Le Hasselblad ? » . Chantal a l'air surprise : « Ah non, ce ne sera pas le Hasselblad , déclare Chantal,...On pensait à quelque chose de plus physique, de plus amoureux.... ». Elle ajoute : « Mais tu verras le Hasselblad demain, c'est promis ». Je me retrouve un peu abassourdi, je réalise que je suis complètement entre les mains de ces deux nanas. Je m'interroge : suis-je le premier à avoir droit à cette sorte de parcours initiatique ?

Je me prépare donc pour la première étape de cette nuit qui promet d'être fertile en émotions. Nous avons amené nos deux appareils photos 24/36 avec un stock plus que raisonnable de pellicules, en revanche, nous avons oublié le Polaroid qui nous aurait permis quelques amusements plus immédiats. Je demande à Chantal : « Tu me prètes encore ton Leica ? ». « Bien sûr », répond la jeune femme, qui ajoute en rigolant : « Monsieur a des goûts de luxe, maintenant qu'il se voit reprendre les affaires de bon-papa ». Solange s'apprète à retirer sa longue robe blanche, je l'arrête : « Attends, je te trouve superbe avec cette robe, je voudrais faire quelques clichés de toi avec . Solange, un peu surprise, rajuste sa robe et attend mes instructions . Chantal commente pour sa sœur : « Honey est un grand romantique, tu sais ». je fais plusieurs photos de Solange en pied dans cette robe que j'aime vraiment beaucoup. Les dernières poses se veulent suggestives, avec notamment une où la jeune fille est alongée sur le ventre sur le lit, toujours vétue de cette robe.

J'invite Solange à retirer sa robe. Mon rythme cardiaque s'accélère quand je voie la jeune fille en sous-vêtements, soutien-gorge et slip classiques, de bon ton, toujours blancs.

Comme je le pensais, Solange à des jambes splendides, un peu plus fines que que celles de Chantal, les cuisses moins charnues. Son soutif enveloppe des petits seins pointus, sa poitrine est nettement moins volumineuse que celle de Chantal. Sa culotte échancrée révèle des fesses bien moins développées que celles de sa sœur. Solange se lamente : « Je suis moche, je suis vraiment trop maigre, ...je suis plate comme une limande et j'ai un cul de petit garçon ».

Moi, je la trouve superbe, d'ailleurs, je sens que mon sexe lui-même n'est pas indifférent au spectacle que m'offre la sœur de ma copine et qu'il durcit dans mon jean. Je ressors àSolange la formule que j'utilise avec Chantal quand elle se plaint de son physique : « Fishing for compliments, my dear » J'insiste pour faire quelques clichés de la sœur de Chantal en sous-vêtements, puis quelques autres avec sa seule culotte, dont une photo, qui sera, je l'espère, assez érotique, où elle cache maladroitement ses petits seins. Enfin, un peu géné, je demande à Solange de se mettre entièrement nue.

Sans hésitation, d'un geste rapide, elle fait glisser sa culotte. Elle se tient droite, avec un air de défi sur son visage, malgré ses complexes. Personnellement, je la trouve superbe. A mon avis, elle a une classe folle, qu'elle porte une robe du soir ou qu'elle soit nue. Pour l'instant, elle me fait bander au delà de toute décence, les deux filles ne peuvent pas ne pas voir la bosse de mon jean. C'est la deuxième fois que je vois une femme nue dans ma vie et Solange m'offre un contraste saisissant avec la première, que j'ai découverte il y a moins d'une semaine. Chantal a des fesses rondes et des seins gonflés alors que Solange a des fesses plates et osseuses et des petits seins d'adolescente. L'idée me vient d'une serie de photos qui mettraient en valeur les appats des deux jeunes femmes côte-à-côte. C'est d'ailleurs à ce moment que Chantal, estimant avoir trop chaud dans sa robe du soir, se débarasse de celle-ci pour batifoler seins nus dans la pièce.

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Je recommence avec Solange l'exercice fait la veille avec Chantal, la prendre en photo dans toutes les poses possibles, y compris, surtout , les plus érotiques. Alors que je fais des photos depuis cinq ou six ans, je réalise pour la deuxième fois en deux jours mon fantasme absolu de faire des photos de filles nues, en plus de filles avec lesquels j'ai couchées, ou je vais coucher. Alors que j'entame mes prises de vue par des portraits en pied de Solange, je me dis que je dois être un peu ridicule, avec mes habits, devant les deux filles nues,....ou presque pour Chantal, Cette dernière semble vraiment lire dans mes pensées et m'interpelle ; « Dis, Honey, tu n'es pas un peu géné d'être le seul habillé ici alors que tes deux copines sont à poil ? Mets-toi à l'aise,... ». As usual, j'obéis à Chantal et retire mes vêtements. J'ai un moment d'hésitation quand je suis en slip, mais me résous rapidement à le retirer. Je bande et bien....«

Whaou, fait Solange, quand elle me voie avec mon érection . Elle ajoute : « tu es vraiment bien foutu,....Et j'en ai vu quelques unes, tu sais ». Alors que j'essaie de me concentrer sur mes cadrages, Chantal , qui a retiré sa propre culotte , se mêle à la conversation : « Tu sais, Honey, sous ses airs de Sainte Nitouche, ma petite sœur est une sacrée salope qui s'est envoyé toute la fac de médecine de Strasbourg ». « Tu exagères toujours, corrige Solange,...Et moi, je ne drague pas les petits puceaux qui viennent me consulter, ...Hein, Soeurette.. ».

Solange continue de se prêter de bonne grâce à notre petit jeu. Je fais quelques clichés vraiment très osés d'elle . « J'ai l'impression d'être chez le gynèco » fait-elle, quand je lui demande de bien écarter ses jambes pour une photo. Ma fonction de photographe m'interdit pour l'instant tout contact physique direct avec la sœur de ma copine, mais mon érection ne faiblit pas. Je fais plusieurs clichés de Solange nue sur le lit, à plat ventre dans des poses qu'elle n'a aucun mal et aucun scrupule à rendre lascives. Si les fesses de Solange ne sont pas rondes comme celles de Chantal, et peut-être même un peu plates, je les trouve particuièrement émouvantes et je crois que je tremble légérement quand je les cadre avec le Leica. Chantal rappelle que nous voulons quelques photos avec un thermomètre en place. Elle se déplace pour trouver l'instrument adéquat dans ses bagages et insiste pour le mettre elle-même à sa sœur. Elle annonce : « On va en profiter pour te prendre vraiment la « tuture cucul ». A cette occasion, elle révèle à Solange l'anecdote de son petit patient qui ne voulait pas qu'on lui prenne la température et lui confie que nous avons trouvé l'expression si charmante que nous l'employons entre nous quand nous avons envie de nous thermomètrer. J'espère, mais je n'ai aucune certitude à ce sujet quand je voie la complicité qu'affichent les deux sœurs, que Chantal ne lui racontera pas la crise que j'ai faite quand j'ai cassé rageusement un thermomètre.

Chantal écarte fermement les fesses de sa sœur et glisse, avec sa compétence et sa douceur habituelles, le thermomètre, profondèment dans le rectum de la jeune fille. Cette dernière pousse un gémissement ambigu. « Tu fais ça si bien » dit-elle à sa sœur. « On te le laisse dix minutes, annonce Chantal, comme ça, le photographe aura tout le temps pour faire ses photos ». Chantal a posé ses mains sur les fesses de sa sœur. Au bord de la crise d'apoplexie devant le spectacle que m'offre Solange, je mitraille la scène et avance ma main pour caresser moi aussi les fesses de la jeune fille et apprécier leur douceur. . « Hé Honey, , du calme, m'arrête Chanta avec autorité, tu pourras la caresser tout ton saoul tout-à-l'heure, mais, pour le moment, pas touche ». Un peu frustré par les régles du jeu que m'imposent mes copines, regardant Chantal qui caresse doucement les fesses de sa sœur et joue avec le thermomètre, comme elle le fait quand elle me prend la température à moi, et alors que Solange gémit doucement. je leur propose mon idée de faire quelques clichés d'elles deux côte-à-côte pour illustrer leurs différences. Elle acceptent avec enthousiasme. Chantal retire le thermométre et annonce une température normale de 37.4

Les quelques minutes qui suivent resteront dans ma mémoire. Chantal et Solange acceptent que je les prenne en photo côte à côte, debouts, de face et de dos, puis allongées sur le lit, toujours de face et de dos. Le deux filles personnifient pour moi la beauté féminine dans sa diversité. L'une est un peu ronde, l'autre un peu maigre, mais elles me plaisent autant l'une et l'autre et mon érection ne se relache pas. Je fais ensuite ensuite des clichés assez osés où les deux nanas présentent, toujours côte-à-côte, leur chatte, pas si différentes cette fois. Un peu plus charnue et la touffe un peu plus fournie en ce qui concerne Chantal , mais parfaitement dessinée et ferme pour les deux filles. Là encore, Chantal m'arrète quand je veux toucher. Enfin, je m'attarde sur ce qui devrait être le clou de cette séance de pose. Je cadre les poitrines des deux filles, le contraste est net entre les seins gonflés de Chantal et les petits seins pointus de Solange. Les deux poitrines ont droit à plusieurs clichés. Pour terminer, je cadre les postérieurs de ces deux demoiselles. Là encore, le contraste est évident entre les fesses rondes de Chantal et celles osseuses de Solange.

Chantal réclame une dernière pose avec les culs des deux sœurs visitées par le thermomètre. Les deux filles se mettent mutuellement les thermomètres en gloussant de plaisir. Elles décident de laisser les thermomètres seulement trois minutes pour ne pas retarder la suite du programme. Là encore, Chantal m'interdit de participer à l'opération, mais je suis plus que troublé par le spectacle des deux jeunes filles allongées sur le ventre avec les thermomètres plantés dans leurs culs. Mon sexe est au bord de l'explosion quand je dois cadrer cette dernière scène. J'y parviens cependant et espère avoir su traduire la forte charge érotique que je ressens. Les deux filles confirment leur complicité en affichant la même température ; 37.4Chantal continue d'assurer la direction des opérations. Elle annonce : « Bon, maintenant, assez fait joujou avec les appareils photo, Honey,.... Tu es convoqué pour une visite médicale chez le Docteur Solange,...

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Chantal s'adresse à moi : « Solange et moi, on va se préparer pour t'examiner. On va aussi chercher notre matériel. Toi, tu restes là et tu nous attends sagement. Tu peux remettre ton petit slip pour qu'on ai le plaisir de te le retirer « . Les deux sœurs quittent la chambre d'amis où Chantal et moi sommes sensés dormir et me laissent seul dans la pièce Elle rigolent et gloussent comme deux gamines, aucunement génées par leur nudité. Je présume qu'elles vont dans la chambre de l'une des deux. J'entends au loin leurs éclats de voix. Je me sens un peu bête, comme exclu de la complicité entre les deux sœurs. La visite médicale que les deux filles ont décidé de me faire passer ne m'angoisse pas vraiment, et l'idée de me faire examiner ou mettre un thermomètre par Chantal, ou encore plus Solange, m'excite au plus haut point. mais elle me remet à l'esprit la « vraie » visite médicale qui m'attend lundi et qui me fait véritablement peur. Comme Chantal me l'a recommandé, je remets mon slip qui cache mal mon érection, qui se maintient malgré mes inquiétudes pour ce qui pourrait se passer lundi.

Les deux sœurs reviennent dans notre chambre, toujours hilares. Je constate que Chantal et Solange ont concocté toute une mise en scène pour la visite médicale qu'elles ont décidé de me faire passer. . Non seulement, elle aménent sur un chariot à roulette différents accessoires dont la destination apparaît évidente, stéthoscopes, tensiomètre, thermomètres, mais en plus elle se sont habillées, Chantal en jean et Tshirt telle que je l'ai vue il y a six jours quand j'ai poussé pour la première fois la porte de son cabinet, Solange avec une jupe d'un rouge vif, classieuse mais courte, et un chemisier blanc largement ouvert, très BCBG . En plus, elles ont négligement passé sur leurs vêtements sans les fermer d'amples blouses blanches, marquées du sceau de l'Hopital universitaire de Strasbourg. Il y aurait dans tout cela de de quoi traumatiser l'hypocondriaque que je suis. Chantal dit à sa sœur : « Voila,je te le laisse,...Attention, il est un peu nerveux comme tu vois...Il faut être très gentille avec lui,....Je te dirais tout ce que tu dois faire ». Prenant le Leica que j'ai laissé posé sur table de nuit, elle ajoute : « Moi, je vais faire un petit reportage photo des événements , ...A usage strictement personnel, bien sûr ».

Je suis debout, face aux deux filles assises sur des chaises à peu de distance. Je suis torse nu, en slip . Inconsciemment, je bombe le torse et suis sans doute encore plus ridicule. Solange commente : « Pas très musclé, ton copain, hein, mais très mignon ». Elle se lève, elle se tient face à moi, ses mains se posent sur ma poitrine, elle joue un instant avec les quelques poils que j'ai sur le torse. Le contact des mains de Solange est très doux, très sensuel, est-ce mieux que celles de Chantal ? Puis ses doigts se déplacent sur mes mamelons, dont elle découvrent le caractère érectile. Ses doigts titillent les mamelons, la sensation est extraordinaire. « Attention, fait Chantal qui observe la scène, tu n'es pas là pour t'amuser avec ton patient, ça, ce sera pour tout à l'heure, ...Pour le moment, on te demande de lui ausculter le cœur ». A regret, du moins, je l'espère, Solange abandonne mes tétons et ajuste son stéthoscope. Le disque de métal se pose sur différents endroits de mon thorax, alors qu'elle me donne ses instructions. »Ne respire pas....Respire fort... » Elle s'attarde sur différents endroits. Elle chronomètre mon rythme cardiaque et annonce à sa sœur : « 80 pulsations/minutes ». Chantal commente : « C'est pas si mal, Honey, tu es presque calme ». Elle ajoute, à l'attention de sa sœur : « la première fois, quand il est venu chez moi, il étais à plus de 130,...Tu t'imagines ». Chantal prend quelques photos. Elle suggère à sa sœur : « Si tu veux être sympa avec ton petit patient, tu peux lui faire écouter son cœur avec ton stéthoscope , ….Et si tu veux être très sympa, tu peux aussi lui faire écouter ton cœur à toi ».

Solange met en œuvre les recommendations de sa sœur. Elle me passe les écouteurs du stéthoscope. Je suis comme avec Chantal fasciné par le bruit sourd de mon cœur, puis après quelques instants, Solange déplace le disque sous son chemisier à elle, juste au dessus de son sein gauche que j'aperçois dans l'échancrure de son soutif, et je constate que le rythme cardiaque de la sœur de ma copine est nettement plus rapide que le mien, à vue de nez, au moins 100 pulsations/minutes. La chère Solange serait donc sensible au caractère sensuel, pour ne pas dire érotique de la situation. C'est un peu l'arroseur arrosé et je ne me lasse pas du bruit sourd et accéléré du cœur de la jeune femme. Chantal nous rappellle à la réalité et m'invite à me tourner pour que sa sœur puisse écouter mes poumons. Je me laisse faire avec une reltive sérénité puisque Chantal a plusieurs fois eu l'occasion de me féliciter de ne pas fumer. Ma copine revient d'ailleurs sur la question en demandant à sa sœur si elle a bien arrété, elle, de fumer. Solange élude la question, ce qui laisse supposer qu'elle n'aurait pas donné suitet aux injonctions de sa sœur.

Après l'examen des poumons, Solange me demande de lui faire à nouveau face, la jeune femme se cale sur son siège et pose ses mains sur l'étoffe de mon slip. Le moment que j'appréhende dans toute visite médicale est arrivé. Ce soir, la situation est particulière puisque nous « jouons ». Solange, assise face à moi debout, m'offre avec sa jupe courte et son chemisier ouvert, une vue imprennable sur ses cuisses et ses seins. Comment ne pas bander dans ces circonstances ? Sous l'oeil attentif de Chantal qui immortalise la scène avec le Leica, Solange fait glisser mon slip jusqu'à mes pieds et mon pénis en érection se dresse devant la jeune fille. Je ne sais si je dois m'excuser, Chantal m'a dit qu'elle n'aimait pas les lycéens qui bandent quand elle les examine. « Ton copain en a une belle,...J'espère qu'il sait s'en servir » fait Solange à sa sœur en appréciant de ses doigts agiles la fermeté de mon sexe. « Je t'assure que tu n'as pas à t'inquièter sur ce point » la rassure Chantal avec un sourire entendu. Je suis bêtement content de moi. Soalnge me palpe longuement le pénis, puis les testicules, avec une infinie douceur. Là encore, j'aurais du mal à dire laquelle des deux filles fait ça le mieux. Chantal appuie avec frénésie sur le déclecheur de son Leica.....

Quand Solange en a terminé avec l'examen de mes organes génitaux, Chantal m'ordonne sans ménagement : « Maintenant, allonge-toi sur le lit ». Je m'appréte à remettre mon slip. La doctoresse m'arrète : « Tu n'as pas besoin de ton slip pour le moment, Honey.... ».

Comments

Svensson Il ya 6 ans  
clyso Il ya 9 ans  
jojofun73 Il ya 9 ans  
clyso Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans  
dudu Il ya 9 ans  
dudu Il ya 9 ans  
n/a Il ya 9 ans  
dudu Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans  
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clyso Il ya 9 ans  
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patou39 Il ya 9 ans  
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